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Je n'avais pas prévu de voir ça !

Chapitre 2

Inceste
Retrouvant peu à peu mes esprits, je réalisai que si je voulais moi-aussi profiter sexuellement de ma grande sœur, il fallait que je "batte le fer pendant qu’il était chaud" ! Je décidai donc de remonter rapidement jusqu’à la maison... plus vite que si j’avais eu une partie de jeu d’arcades en cours !
Arrivant devant la porte d’entrée qu’elle avait sans doute refermée à clé derrière elle, je me mis à chercher mon trousseau de clés avec une fébrilité et une excitation que je n’avais jamais ressenties auparavant... même devant un ordinateur et une partie de Warcraft ! J’avais l’impression de jouer ma vie d’homme sur cet après-midi, comme si un ratage là avec Julie me laisserait niais et puceau tout le reste de mon existence. Les sites de "cul" sur Internet, les longues séances de branlettes en fantasmant sur les actrices pornos et en m’imaginant acteur de ces scènes orgiaques... c’était sympa, certes ! Mais il fallait que je passe à l’étape suivante, celle qui fait que l’on devient un homme... un vrai ! Et aujourd’hui était le jour !
Après avoir réussi à entrer, puis balancé mon sac d’école dans le couloir d’entrée, je montai quatre à quatre les marches de l’escalier et, une fois à l’étage, me mis à ouvrir à la volée toutes les portes, le cœur battant la chamade et le souffle court...
"Julie... Julie !
Je devais agir vite, pour ne pas lui laisser le temps de se changer et de cacher ses habits souillés.
— Julie, tu es où ? Je veux que tu me suces moi-aussi ! Julie... Tu me suces... ou, sinon, je raconte tout aux parents ! Tu m’entends, Julie ?!
Je continuais en même temps à regarder dans les différentes pièces... quand elle déboula de la salle de bain en petite culotte et soutien-gorge pour passer dans la chambre des parents, sans oublier de me lancer avec un regard noir, une réplique cinglante...
— Tu peux te branler ! Si tu veux, je te laisserais une de mes culottes sales à renifler, petite bite ?!
"Petite bite" !? Et puis, comment savait-elle, pour ses petites culottes que j’allais parfois récupérer dans la corbeille de linge sale... et dans lesquelles je me masturbais ?! J’avais toujours été discret !
"Petite bite" ! Comment elle m’avait appelé, la salope ?! Même si c’était ma sœur, je ne pouvais pas laisser cet affront impuni ! Je la suivis donc dans la chambre de nos vieux, avec la ferme intention de lui montrer qui j’étais... mais aussi que mon sexe n’était pas si petit que ça, surtout quand elle l’aurait dans la bouche ou dans le cul ! D’ailleurs, qu’allait-elle faire dans la piaule des parents ?!
— Ju... tu ne me parles pas comme ça !... lui lançai-je avec un ton limite plaintif, en m’approchant d’elle et en tentant de lui caresser les fesses.— Touche à ton cul ! Ça, c’est terrain privé...— Arrête, Ju ! Les deux vieux, dans le tram, ils ont eu le droit de le caresser, ton cul, et ils ont même pu te sauter... Moi, je suis quand même ton frère ! On se connait depuis dix-sept ans ! Suce-moi, s’il te plait !?
Dans le même temps, j’essayais de lui toucher un sein... avec délicatesse, comme pour lui montrer que je n’avais pas de mauvaises intentions... mais elle recula d’un bon mètre et, avançant vers elle une main tendue en quête du Graal, je me pris un pied dans le tapis. Un moment de suspension en l’air, mes bras faisant de grands moulinets comme pour empêcher l’inexorable... puis je m’affalai de tout mon long, la tête venant choir au niveau des pieds de ma sœur... qui riait tout ce qu’elle pouvait ! La honte ! J’avais la honte !Une vive douleur me fit réaliser que je devais bander comme un taureau devant Julie et que j’étais tombé droit sur la béquille !
Putain... Ahhhhh !!! Jamais je n’avais eu une telle douleur de toute ma vie ! Je devais sûrement m’être fracturé la queue... pour avoir mal comme ça !? Et cette dinde qui continuait à rire, pliée en deux sur le lit des parents ! Je la haïssais... tout d’un coup, là, à l’instant !
Je la haïssais... Je haïssais aussi cette journée de merde... où je m’étais fait tirer ma tablette et coller par la prof de français... où j’avais peut-être définitivement perdu ma virilité avant même d’avoir pu l’utiliser ne serait-ce qu’une fois, avant même d’avoir pu baiser une seule fille ! Peut-être n’allais-je plus jamais pouvoir bander ?! Toutes ces pensées s’entrechoquaient dans mon esprit... des larmes coulaient sur mes joues.La douleur était lancinante... c’était sûr, je devais avoir la bite fracturée !
— Allez, p’tit frère... Baisse ton froc et montre-moi ton pauvre petit asticot pour que je m’occupe de lui !... me dit-elle en riant encore et toujours.— Hein ! Fous-toi de ma gueule ! J’ai mal... — Allez, relève-toi et montre-moi ton p’tit kiki pour que je lui redonne un peu de vigueur...
Julie m’aida à me relever et, avant même que je puisse faire le moindre geste, elle avait posé une main sur la braguette de mon pantalon et s’attelait à défaire la ceinture. Je n’en croyais pas mes yeux... j’étais d’un seul coup dans un rêve ! Depuis ce matin, je passais du rêve au cauchemar et du cauchemar au rêve... en quelques minutes d’intervalle. Mais là, c’était bien une phase de rêve !Ma grande sœur venait de sortir mon sexe de mon caleçon et le caressait délicatement, agenouillée qu’elle était devant moi... Elle s’apprêtait à le prendre en bouche quand nous entendîmes les deux une porte, sans doute celle de l’entrée, claquer... puis notre père m’appeler à plusieurs reprises ! Sans doute avait-il vu mon sac d’école en-bas...
Merde ! Tout s’effondrait de nouveau autour de moi ! Que foutait-il si tôt à la maison, le vieux ?! Je n’eus pas le temps de réfléchir que Julie me tira dans la penderie des parents et ferma les portes devant nous ! Toujours dans le "gaz", j’entendis mon père continuer à m’appeler et monter l’escalier... puis, après avoir fait sans doute le tour des chambres, dire à une autre personne :
— Tu peux monter... il n’y a personne ! C’est sans doute mon abruti de fils qui est parti ce matin sans refermer la porte à clé... Nous allons être tranquilles les deux jusqu’à 18 heures !
"Abruti" ?! Julie me retint alors que je m’apprêtais à sortir m’expliquer avec ce vieux con... Des pas plus légers résonnèrent dans l’escalier... ceux d’une femme ?! Nous étions cachés mais aussi et surtout bloqués dans la penderie de la chambre de mes parents, ma grande sœur à moitié à poil et moi avec la queue à l’air... quand notre paternel rentra dans la pièce avec une femme qui n’était de toute façon pas ma mère ! Quel fumier... il trompait ma mère !
Ils n’allaient sûrement pas jouer aux billes en plein milieu d’après-midi et j’étais une fois de plus spectateur bien malgré moi !
La journée de "merde" continuait de plus belle...
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