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Je n'avais pas prévu de voir ça !

Chapitre 3

Inceste
— Putain de bombasse !— Chut !... Tais-toi... ils vont nous repérer sinon !— Eurk....
Par la porte de la penderie à peine entrouverte, nous pouvions voir la chambre et notamment le lit de nos vieux. Même si je l’avais chuchoté, je n’avais pu retenir mon exclamation en voyant le putain de petit cul qui était entré dans la piaule derrière mon père ! Une métisse... que même dans l’élection de Miss France avec "la FONTENAY", je n’en avais jamais vues d’aussi belles et d’aussi bandantes ! Et encore, elle était habillée, là... Je n’osais imaginer le bonheur et la gaule que j’allais me chopper si elle décidait de retirer son petit short qui lui moulait les fesses à la perfection... Quant au haut, un petit bustier jaune qui laissait entrevoir une petite paires de nichons... que même Sophie MARCEAU n’en avait pas d’aussi jolis... j’aurais donné tout ce que j’avais, même mes jeux vidéo, même la dernière version collector de Warcraft... pour pouvoir le lui dégrafer et les peloter, ses miches !Bien sûr, Julie n’avait rien trouvé de mieux à faire que de me foutre un coup de coude dans le bide en me disant de me taire... Que pouvait-elle comprendre, elle, une gonzesse, à ce que représentait pour moi ce sublime petit cul ?! Rien, évidemment !
Mon paternel s’arrêta au niveau du lit et se retourna vers la jeune femme qui ne devait pas être beaucoup plus âgée que nous, ma sœur et moi... Comment avait-il fait, le vieux, pour séduire une bombe atomique comme ça ?! Il avait sans doute craché au bassinet ou offert je ne sais trop quel caillou précieux pour qu’elle s’intéresse à lui... c’était évident !Pour autant et c’était clair pour moi... il n’y avait vraiment aucune justice dans ce bas monde... pour qu’un vieux "con" se choppe une telle bombasse alors que des jeunes tel que moi attendaient vainement de pouvoir baiser une première fois. Non... vraiment pas de justice !

— Vous m’avez apporté votre synopsis, Léa ?— Oui, Monsieur... et même le scénario tout entier, si vous voulez le lire ?!
Elle lui tendit un document relativement épais, relié et avec une belle couverture carminée... Je ne pus réussir à lire le titre, d’où j’étais. De toute façon, ce n’était pas ça qui m’intéressait... avec un tel petit cul à portée de regard.
— Merci ! Je prendrai le temps de lire et étudier tout ça à tête reposée, pour m’en imprégner complètement. Mais dites-moi vite fait la trame de l’histoire, s’il vous plait, Léa...— Merci Monsieur !... L’histoire commence avec une représentation d’Othello, dans un théâtre fermé ou en plein air, comme vous voulez ! Cela n’a pas forcément d’importance... Nous sommes à la fin de l’acte III, quand Othello lui-même demande à Desdémone le mouchoir dont il lui a fait cadeau auparavant. C’est à ce moment là que...
Mais qu’est-ce que c’était, cette connerie ?! Je voulais bien rester bloqué dans ce réduit, avec des cintres qui me rentrent dans le dos, une odeur de "Soupline" et ma grande frangine qui m’empêche de vivre pleinement mes émotions... à la seule et unique condition de voir du cul, du sexe ! Bloqué pour bloqué dans cette putain de penderie, il devenait urgent que le père et sa Léa se décident de passer aux choses sérieuses... qu’il lui attrape le bras, l’attire vers lui et lui arrache d’un coup sec short, culotte et bustier ! Qu’une fois à poil, il la fasse se mettre à genoux et qu’il lui fourre sa queue dans la bouche... à cette petite salope !C’est vrai, quoi ! Il n’avait quand même pas amené ce putain de petit lot dans sa chambre à coucher pour qu’elle lui déclame ses rédactions d’écolière en se prenant pour SHAKESPEARE !? C’était en fin de compte pas moins que la réputation des hommes de notre famille qui était en jeu... et j’espérais bien que mon paternel allait se reprendre et montrer à "miss monde" que les mecs PIOSSENGER étaient bien burnés et qu’il savaient s’en servir surtout !
Je n’osais d’ailleurs imaginer l’horreur, la honte... si mes potes de lycée apprenaient un jour que mon vieux faisaient venir des bombasses telle que Léa à la maison... pour faire de la poésie ou de la littérature. Sûr que derrière, je change de nom et de famille immédiatement ; que je renie mon père !


Léa continuait de raconter à mon paternel ses histoires d’Othello, de Desdémone, de tire-jus... et autres conneries du genre dont je ne voyait pas le moindre intérêt. Julie, quant à elle, s’était accroupie dans la penderie... Était-elle énervée que j’essaye depuis tout-à-l’heure de glisser ma main dans sa petite culotte et un doigt encore un peu plus profondément ? Sans aucun doute, vu le regard noir qu’elle m’avait envoyé... Et pourtant, cela partait d’un bon sentiment de ma part, puisque je voulais lui donner du plaisir, à ma grande sœur !
Toujours est-il que je commençais à sérieusement désespérer de la situation et que je me résignais donc à me taper une petite pignole, plus par dépit qu’autre chose. Néanmoins, le frôlement des cheveux de Julie avec mon gland, particulièrement agréable et électrique, me provoqua rapidement une belle érection... ce qui me rassura en premier lieu sur la fracture de ma bite moins grave que prévue et ma virilité retrouvée.Et puis, suite logique des choses, j’eus mon plaisir, sentis mon corps se tendre de tout son long... et de puissants jets de sperme partirent maculer la belle tignasse rousse de Julie... qui ne sembla pas particulièrement apprécier le cadeau, à en juger son regard de tueuse ! La situation était d’ailleurs en train de dégénérer puisqu’elle venait de me chopper violemment les couilles... quand la belle Léa me sauva la mise en ayant instantanément cessé de raconter son histoire.
Nous avait-elle entendus ou même vus dans notre placard... impossible de le dire avec certitude ?! Nous étions l’un et l’autre, Julie comme moi, paniqués à l’idée que notre paternel nous trouve dans cette situation fort gênante... aussi nous tenions-nous complètement immobiles et presque à ne plus respirer. Je réfléchissais également quelle explication foireuse je pourrais bien apporter dans le cas où nous serions découverts...
Mais non ! Ça ne se passa pas comme ça !
La jeune métisse s’était penchée vers mon père et lui avait chuchoté quelque-chose à l’oreille... Quoi ? Incapable de le dire... mais la réaction du vieux ne fut vraiment pas celle que nous attendions, que nous appréhendions aussi, la frangine et moi !
— Comment ça ?! Léa... Vous êtes une méchante petite fille !— Monsieur PIOSSENGER ?!?... — Si, si... une très méchante petite fille qui mérite une punition ! Approchez vite !— Mais... Monsieur ! J’ai vraiment envie de...— Pas question, Léa ! Approchez !!!
Elle semblait perdue, désemparée... et nous ne l’étions pas moins face à cet échange incompréhensible !? Cette fille qui semblait vraiment sûre d’elle quelques minutes auparavant dans son récital, avançait maintenant à tous petits pas vers mon père... qui s’était assis au coin du lit conjugal. Son regard, au vieux, était devenu sévère...Il prit la main de la jeune femme et la tira jusqu’à lui... puis, par un subtil mouvement de bras et de jambes, la fit basculer en avant sur ses propres cuisses.
— Monsieur !?...— N’insistez-pas, Léa ! Vous méritez une bonne correction... et je vais m’en charger tout de suite !— Monsieur... je vais faire dans ma culotte !
Rien ne semblait perturber le paternel, qui commença à donner de petite claques sur les fesses de Léa...
— Monsieur... ahhh... non ! Ahhh...
Je n’en croyais pas mes yeux ! Il continuaient à fesser ce sublime petit cul tout en faisant délicatement glisser le short vers le bas, découvrant progressivement l’intimité de la jeune femme ! De son autre bras, il la maintenait à plat ventre sur ses cuisses... mais, de toute façon, elle ne se débattait pas plus que ça, poussant juste de petits cris à chaque claque !Jamais de tout ma vie, je n’avais vu, ni même imaginé dans mes fantasmes les plus fous, une scène aussi excitante... et pourtant j’avais déjà dix-sept ans et regardé un bon nombre de vidéos de cul en tous genres !
— Alors, la méchante petite garce... elle aime se faire fesser son petit cul !? Hein... petite chienne ?!— Ahhh... Je vais... ahhh... je... dans ma culotte... ahhh !
Son superbe cul s’ouvrait un peu plus à chaque tape, comme une invitation à poursuivre les sévices sur cette belle peau mate que les coups ne semblaient pas marquer plus que ça... Sa jolie petite chatte palpitait et s’humidifiait d’excitation ; ses cris devenaient petit à petit des cris de jouissance... Moi... j’avais repris ma masturbation, m’astiquant frénétiquement le poireau. Julie semblait elle-aussi apprécier la scène et se caressait a priori le minou avec ferveur, sa respiration s’étant accélérée au rythme de ses mouvements de bras !
— Ohhh... ouiii... encore... Monsieur... ahhh !!!
Mon père venait d’enfiler sans sommation son majeur dans le cul de la jeune Léa... jusqu’à la garde ! Il le retira de suite, cracha sur le haut des magnifiques fesses de sa jeune proie, prit la bave avec ses doigts puis en enfonça cette fois-ci deux dans le conduit rectal ! Tout le corps de Léa fut pris instantanément de soubresauts... elle jouissait de tout son être et de toute sa voix !
Quant à moi, quelle ne fut pas ma surprise de sentir la main de Julie prendre ma queue tendue comme une arbalète... et la porter jusqu’à sa bouche. Tout de suite, sa langue se mit en action et la sensation fut au-delà de tout ce que je pouvais imaginer... un bonheur incommensurable ! Je n’étais pas loin de tout lâcher... il fallait que je fasse durer un peu le plaisir !
C’est quand je vis ce filet jaillir d’entre les cuisses de Léa et inonder ses jambes, celles de mon vieux et le sol autour... que je ne pus retenir ma jouissance. Toujours avec deux doigts et même un troisième dans le cul, la belle métisse pissait d’un jet saccadé en même temps qu’elle continuait à jouir ! La scène était fantastique, extraordinaire... et je fus submergé par l’excitation, par la force de mon plaisir ! Je sentis les saccades de spermes que je lâchais et qui remplissaient la bouche de ma grande sœur ! Toutes mes forces semblaient me quitter en même temps que ma semence... et, fébrile, je voulu me tenir à la porte de la penderie... qui se déroba !!!
Putain ! Non, pas encore !
Même moment de suspension... puis je me sentis partir en avant, entrainant cette fois-ci ma frangine qui avait toujours ma bite en bouche, dans ma chute... J’allais l’empaler avec ma queue !!!
Il y a des moments de la vie comme ça, hors du temps... comme si tout se déroule au ralenti, peut-être pour mieux profiter de l’instant ?! Ma queue qui s’échappe de la bouche de ma sœur, des gouttes de sperme qui montent en l’air... puis retombent et explosent sur le sol, ma hanche qui s’écrase lourdement sur le plancher, les fesses de Julie qui atterrissent avec un bruit mate... elle qui recrache une partie de ce que je viens de lui mettre en bouche !
Grand moment de solitude pour nous deux... devant les regards ébahis du père et de sa poule !!!
Il y a vraiment des jours où il vaut mieux rester couché... ou devant l’ordinateur !
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