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Il avait raison

Chapitre 1

Inceste
Bonjour, je me présente: je m’appelle Nathalie.
Sur la demande de mon frère je vais vous raconter mon histoire, mais avant tout je vais me présenter. Je suis une maman de 28 ans, mère de quatre adorables enfants: trois filles et un garçon, le petit dernier, qui fait actuellement la sieste. J’habite avec mon petit frère et mes enfants dans une grande maison, une ancienne ferme, en plein Cantal. Nous sommes très isolés et cela pourrait être gênant pour mon travail si je ne travaillais pas à domicile, tout comme mon frère. Je suis ingénieur informatique et lui est programmeur. Le seul gros investissement que nous ayons fait n’a pas été une grosse voiture ou un autre élément de ce genre, mais ça a été la participation à l’installation de la fibre optique. Nous sommes donc pleinement reliés au monde, même si c’est principalement par le biais de cet écran et des courses hebdomadaires.
Mais je vois que vous vous posez des questions: qu’en est-il de mon mari, du père de mes enfants? Je n’ai jamais été mariée, et le père de mes enfants n’est autre que mon petit frère, Nathan. Je sens qu’il va falloir tout vous expliquer. Il y a tant à dire... mais il faut bien commencer quelque part après tout.
Je pense que le bon début doit être ce qui s’est passé il y a maintenant 6 ans, à l’époque j’avais tout juste 22 ans et je venais de finir mes études d’ingénieur. L’entreprise avec laquelle j’avais fait un stage de fin d’étude m’avait fait signer un CDI et j’étais en période d’essai. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais Nathan était plus pessimiste. Je me souviens encore très bien de notre conversation.
— Ils ont eu 6 mois pour voir ce que tu vaux. Encore une période d’essai, ça ne sent pas bon. — Mais non, c’est normal avec un CDI. — Ils auraient certainement pu ne pas l’avoir s’ils avaient confiance. Ils cachent quelque chose. — Tu l’as dit, ça fait 6 mois que je travaille avec eux, je l’aurais bien senti. — Si tu es aussi sûre de toi, que dirais-tu de parier? — Ce que tu veux! — Accepté. Ce que tu voudras contre ce que je voudrai.
J’ai été stupide à ce moment là. J’ai tapé dans ma main, si pleine de fierté et d’orgueil. J’étais une adulte avec presque un travail, et lui n’était qu’un adolescent de 17 ans. Notre oncle nous l’avait bien dit: si un employeur nous veut, il fera tout pour nous garder. Ma période d’essai a, comme il l’avait pensé, été renouvelée pour être rompue peu avant son terme définitif. Le chef du service avait décidé de me remplacer par sa nièce qui cherchait du travail. La jeune fille n’était ni sérieuse ni compétente, d’où son besoin de piston. Et là je me retrouvais le bec dans l’eau, sans rien. Je ne voudrais pas être méchante: il y avait bien toujours nos parents qui m’accueillirent, et mon frère qui me soutint de toutes ses forces, mais la chute fut rude. Je dus me mettre à chercher du travail, mais cela faisait déjà un an que j’avais mon diplôme, et comme il ne faut pas de motif pour rompre une période d’essai, tous les employeurs me regardaient avec méfiance. Pourquoi aurais-je été virée si j’avais vraiment été compétente. C’était le début de l’essor du téléphone portable. Mon frère, a le flair duquel j’avais pris confiance, me conseilla de me tourner dans ce sens. Le marché était encore restreint mais les acteurs étaient rares et cela ne marcha pas mal. Je travaillais en freelance. Je gagnai rapidement assez pour reprendre un appartement et retrouver mon indépendance. Un soir je reçu un texto de Nathan: "Te rappelles-tu notre pari?" C’est à ce moment là seulement qu’il me revint. Avec tout ce qui s’était passé je l’avais complètement oublié, mais une parole est une parole et je me sentais le devoir de la remplir, je lui répondis donc par l’affirmative. Ce fut ensuite le silence pendant presque une semaine, avant que je ne reçoive un email de sa part.
Chère Nathalie,
tu seras ma cavalière à l’anniversaire de Jérôme vendredi soir de la semaine prochaine. Tu porteras les vêtements dont tu trouveras les liens en bas. Je ne veux te voir avec rien d’autre. Souviens-toi de la promesse.
A la suite se trouvaient le lien avec une robe d’été échancrée mais pas vulgaire, et vers un ensemble de sous vêtements très sexy. J’étais soufflée. C’était le genre de chose que demande un petit copain, pas un petit frère. J’étais sur le point d’effacer l’email mais quelque chose retint ma main. Cela faisait presque un an que je n’avais pas eu de petit copain et je dois bien avouer, avec le recul, que cela m’émoustillait. Le sentiment de culpabilité qui venait du fait que la demande émanait de mon frère apportait également un goût d’interdit et de transgression qui n’était pas pour me déplaire. Je pris donc ma carte bleue pour acheter en ligne les articles et répondis à Nathan par texto "Je serai prête".
Presque une semaine plus tard, tôt le mercredi matin, je fus réveillée par un texto qui arriva très tôt. Il était de Nathan et était si court qu’il laissait la part belle à l’imagination :« Vas pour 9h au (il y avait une adresse) et dit que tu as un rendez-vous. Donne ton nom. Tout est prêt, prends juste une carte bleue pour payer. Tu passeras me prendre chez les parents à 20h vendredi soir. »
Surprise je ne pensais pas un instant à lui demander de quoi il était question. Je me rendis au lieu dit à l’heure dite pour découvrir le salon d’une esthéticienne que je ne connaissais pas. Le lieu n’avait apparemment rien de louche et j’entrai, aussitôt accueillie par un sourire de la part de la secrétaire qui tenait l’accueil. Après lui avoir donné mon nom, elle ouvrit son agenda pour consulter les rendez-vous.oui, une épilation des jambes, des bras, des aisselles et du maillot. Marie vous attend au salon n°4.
Pour le début j’aurais ben remercié Nathan. C’est vrai qu’une épilation des jambes et des aisselles ne m’aurait pas fait de mal, mais je tressaillis lorsqu’elle évoqua le maillot. Ne voulant pas paraître cruche, je me repris tout de suite pour me rendre dans ledit salon. Une femme entre deux âges m’y attendait. Elle me désigna un petit vestiaire caché derrière un paravent. Il n’y a pas grand chose à dire sur ce qui s’y passa, excepté que cela me fit bien moins mal que je ne le craignais, sans doute à cause des mains expertes de l’esthéticienne, et qu’on me vendit également une crème hydratante que j’utilise encore aujourd’hui pour apaiser la peau après l’épilation. Me retrouver nue face à elle était gênant, mais pas plus que ça : elle était professionnelle après tout.
Ce n’est que le soir que la question me vint : pourquoi Nathan me faisait-il faire tout ça ? Je pensais à un strip tease après la soirée, et l’idée, à ma honte, m’excitait furieusement. L’idée d’avoir un regard empli de désir se posant sur moi... c’était si ancien déjà.
Le surlendemain, très excitée, je me préparais de mon mieux, comme pour un premier rendez-vous : je me lavais, maquillais et me coiffais avec soin, mis les sous-vêtements et la robe qu’il m’avait choisi. J’avais l’impression d’être redevenue une adolescente se rendant à un premier rendez-vous. Ca n’avait évidemment rien de tel, mais l’attention qu’il me prêtait devait bien éveiller mes sens.
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