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Avant la secrétaire

Chapitre 1

Travesti / Trans
Bonjour.
Peut être vous rappelez vous de moi.je m’appelle Samuel, mais mes amis m’appellent Sam.J’ai la petite trentaine, je fais 1m78 et je m’entretiens physiquement. J’ai la particularité d’être totalement épilé, de la tête aux pieds, y compris les sourcils ! J’ai commencé à perdre mes cheveux assez jeune, et j’ai pris l’habitude de tout raser.Mon petit secret est que j’aime me travestir en femme. J’ai longtemps réalisé ce fantasme seul, mais je suis passé à l’acte avec des amies proches récemment.Je suis déjà venu vous raconter comment j’avais échangé les rôles avec ma secrétaire récemment – l’histoire s’appelle Le fantasme de la secrétaire si vous voulez la lire.
Aujourd’hui, je voudrais revenir un peu dans le passé, pour vous racontez comment tout cela a commencé, en particulier, ma première fois en tant que travesti avec une femme.Je porte le crâne rasé depuis longtemps, et n’ayant pas une pilosité corporelle forte, je me suis rasé le torse assez jeune, pour des raisons esthétiques. C’est assez naturellement que je me suis laissé convaincre par une petite amie de me raser les aisselles et le pubis.A une époque, je me suis laissé pousser la barbe, comme pour compenser le manque de poils et de cheveux, mais je me suis vite lassé de l’entretien que cela demandait, et j’ai pris l’habitude de me raser chaque matin. Il n’a pas fallu longtemps pour mes sourcils subissent le même sort, étant les derniers poils qu’il me restait.Je remarquai bientôt que, sans poil, j’avais des traits un peu androgyne, et, bien qu’en bonne condition physique, mes pectoraux formaient une petite paire de seins fermes – avec un peu d’imagination.C’est ainsi que mes premiers pas de travesti se firent.Je commandai en ligne quelques habits féminins. Des culottes, un string en dentelle, une nuisette, une robe moulante, un ensemble deux pièces à volants – mini jupe et soutien gorge, des bas.J’y ajoutai bientôt une perruque blonde, puis une rose. La dernière étape fut de commander un peu de maquillage : fond de teint, rouge à lèvres, eye-liner. Il me fallut un peu de pratique avant de paraître féminine plutôt que grotesque, mais je finis par être satisfait (ou satisfaite peut être) du résultat.
Avec la transformation, me vint le désir de la sodomie, de la fellation, de la soumission. Lorsque je me transformait en femme, je n’avais plus de désir d’utiliser ma bite avec une femme mais bien de lui offrir ma bouche et mon cul.Toutefois, il m’apparut clairement que je restais hétéro – ou devenais lesbienne suivant le point de vue, car les hommes ne m’ont jamais attirés.Très vite, je me procurai quelques jouets : plugs, de plusieurs tailles pour m’habituer, doigts chinois, gode-ventouse, gode vibrant. Les débuts furent difficiles mais j’en avais très envie et mon cul commença à apprécier les pénétrations et à accepter de plus en plus facilement les plus gros de mes jouets. Je dormais parfois en nuisette, un plug dans le cul et me réveillais immanquablement humide du cul.Il m’arrivait même de porter des sous vêtements féminins en dessous de mes habits masculins.Je conservais toutefois une vie sexuelle hétéro, mais n’avais pas de relation suivie.Il m’était difficile de parler ouvertement de mes fantasmes avec mes amies ou mes amantes, car j’appréhendais beaucoup leur réaction, et, même si mon cul s’était habitué, j’avais toujours peur d’avoir mal lors d’une ’vraie’ pénétration anale.
Dans un premier temps, je me sodomisais devant des films sur DVD ou internet, regardant des femmes sublimes prendre violemment le cul de mecs en imaginant que c’était le mien.Ensuite, je me tournai vers des chats en ligne et le téléphone rose pour plus d’interaction. Cela ne dura pas très longtemps. Le niveau d’interaction était limité, et, finalement, c’était à peine plus excitant que de me branler seul mais beaucoup plus cher.
Cela faisait maintenant quelques temps que j’étais célibataire, mes fantasmes occupant trop mon esprit pour me permettre d’entrer dans une relation suivie, mais je n’arrivais pas non plus à passer le cap pour les réaliser.C’est alors qu’intervint Lola.
Je connaissais Lola depuis quelques années. L’amie d’une amie. Nous nous étions croisé en soirées plusieurs fois, je l’avais hébergé sur mon canapé quelques fois lorsqu’elle cherchait un boulot.Lola était ce qu’on appelle communément un garçon manqué. Elle avait ses cheveux blonds coupés courts, était assez grande, presque autant que moi, avec une poitrine assez petite (85B je pense), portait des débardeurs, des pantalons et des sneakers, se maquillait très légèrement, buvait la bière à la bouteille et regardait des matchs de foot en insultant l’arbitre. Nous étions devenu d’assez bons amis au final.
Un soir, elle m’appela assez tardivement. De passage sur Paris, elle avait manqué son train de retour, et cherchait un hébergement d’urgence. Mon canapé était disponible, aussi je répondis favorablement à sa demande.Elle arriva bientôt, habillée comme de coutume – jeans, débardeur - sous une veste unisexe, un mini sac à mains à l’épaule et un sac à dos contenant son ordinateur portable et ses affaires de travail sur le dos.Je lui offris une bière, elle s’installa dans le canapé et nous discutâmes quelques heures. Au moment où nous envisagions de passer au couché, elle réalisa qu’elle n’avait pas de tenue de nuit. Comme souvent, elle ne portait pas de sous vêtements, et elle ne voulait pas dormir nue dans mon canapé, surtout qu’il faisait un peu frais.
Je lui dis que je devais pouvoir trouver quelque chose, mais rien de très féminin. Elle rit et me suivit dans la chambre. ’Un caleçon propre fera l’affaire’, m’assura-t-elle, ’je vais garder mon débardeur.’ ’Je peux te prêter un t-shirt aussi si tu veux.’Je trouvai un boxer bleu dans mon tiroir à sous-vêtements et lui tendit. ’Parfait’, dit-elle, ’allons l’essayer’.Tandis qu’elle partait vers la salle de bain, je m’aperçus qu’on pouvait voir mes culottes de femme, rangées sous mes boxers. Elle ne semblait pas s’en être rendu compte, et aussi fermais-je le tiroir rapidement et retournais-je dans le salon.Elle ne tarda pas à me rejoindre, vêtue uniquement de mon boxer et son débardeur, tenant quelque chose dans son dos, probablement son jean. Je notai qu’elle avait prit le temps de se démaquiller. Lola n’avait jamais eu de problème de pudeur, et je l’avais déjà vue en sous-vêtements. Cette fois, c’était toutefois différent. Ainsi vêtue, démaquillée, avec ses cheveux courts, son débardeur large et un boxer d’homme, elle m’évoqua une contre-partie presque parfaite à mon alter-ego féminin. Alors que la pensée me traversait l’esprit, faisant grossir ma bite dans la culotte que je portais, Lola révéla ce qu’elle tenait derrière elle, et ce n’était pas son jean : une nuisette d’un rouge semi-transparent avec les seins d’un noir mat. J’avais complètement oublié qu’elle séchait dans la salle de bain. ’Ça aurait pu faire l’affaire aussi’, me dit Lola avec un sourire, ’à moins que sa propriétaire n’apprécierait pas que tu prêtes ses affaires.’Je restais un instant silencieux, posant le pour et le contre de la vérité. Je pouvais prétendre que j’avais une relation un peu sérieuse en ce moment, et qu’elle avait laissé quelques affaires chez moi, et que je ne pouvais pas prêter ces affaires comme ça. Cette explication aurait probablement suffit, et rien ne se serait passé.
Mais je vis l’occasion d’enfin franchir le pas. L’appréhension me nouait les tripes, mais Lola m’avait toujours fait de l’effet, même si nous n’étions jamais passé à l’acte ; et je sentais que je pouvais avoir confiance en elle. Je choisis mes mots avec soin, mais je balbutiai un peu. ’Son propriétaire ne verrait pas d’inconvénient à te prêter cette nuisette’, dis-je, ’mais il trouve que l’ensemble boxer-débardeur te va mieux.’Ce fut à son tour de rester silencieuse un instant, le temps de comprendre les implications de ce que je venais de dire. ’Soyons clairs’, dit-elle finalement, ’cette nuisette est à toi ?’ ’Oui.’ ’Tu la porte souvent ?’ ’Parfois pour dormir, d’autres fois juste comme ça, à la maison.’Elle attendit un instant. ’J’imagine que ce sont des culottes de femme que j’ai aperçus dans ton tiroir tout à l’heure ?’ ’Tu imagine bien.’Elle posa la nuisette sur la table basse, devant le canapé. ’Donc, tu mets des nuisettes et des culottes.’ ’Tu veux me voir avec ?’, demandai-je subitement.Elle n’hésita qu’un instant. ’Je crois que oui.’Je lui souris, me levai, ramassai la nuisette et me dirigeai vers la chambre. ’Tu peux faire ça là’, me dit-elle, ’ je ne pense pas que te voir à poil soit un problème dans le contexte.’ ’Laisse moi un instant’, répondis-je, ’ce n’est pas qu’une histoire de nuisette.’
Je revins quelques minutes plus tard. En plus de la nuisette, j’avais enfilé des bas résille noirs, et un string assorti, qui contenait à grand peine ma bite déjà grossie. J’avais également mis ma perruque blonde, ce qui me donnait des cheveux plus longs que ceux de Lola, et un collier en cuir autour du cou, avec écrit BITCH en lettres de métal. J’avais pris le temps de me mettre du rouge à lèvres, et d’insérer un petit plug rouge dans mon cul.Lola resta un instant bouche bée. ’Ce n’est effectivement pas qu’une histoire de nuisette’, finit-elle par dire. ’Tu es une vraie petite coquine.’ ’J’espère que ça ne te choque pas.’ ’Je suis surprise, mais pas choquée’, m’assura-t-elle. ’Voilà qui explique ta difficulté à avoir une relation stable.’ ’Effectivement. Ce n’est pas un sujet facile à aborder.’
Elle m’observa sous toutes les coutures, alors que je tournais sur moi-même pour qu’elle ait une meilleure vue. Elle nota le plug et se leva pour le toucher du bout du doigt, m’arrachant un léger gémissement. ’Je dois te poser la question’, dit-elle finalement, ’tu es bi ?’ ’Non’, répondis-je sincèrement, ’je ne suis toujours attiré que par les femmes.’ ’Mais tu aimerais te faire limer le cul’, ajouta-t-elle en désignant le plug. ’Par une bite en plastique. J’ai quelques godes dans mes affaires.’ ’Oh, je vois.’Elle m’observa un moment. ’Tu pratiques souvent ?’ me demanda-t-elle. ’En solo, oui’, avouais-je. ’Mais je n’ai jamais mis en pratique réellement.’ ’Et tu voudrais que je …’, commença-t-elle. ’Seulement si tu en as envie.’Elle réfléchit un instant. Me mata encore un peu et se regarda, avec mon boxer. Elle sourit. ’Je fais l’homme, tu fais la femme. Il y a une logique. Viens par là, ma coquine.’
Elle m’attira vers le canapé, m’embrassant tendrement au passage.Elle me fit pencher en avant, les mains sur le canapé, le cul en l’air. Elle releva la nuisette et caressa mes fesses avec des mouvements amples.Subitement, elle me mit une claque. Je poussai un petit cri, elle rit.Elle dégagea le string ma raie et titilla le plug, me faisant gémir doucement. Puis elle le retira doucement, sous mes gémissements. Elle titilla mon anus avec ses doigts, puis je sentis sa langue sur l’intérieur de mes fesses. Elle se dirigea ensuite vers mon petit trou, qui s’ouvrit instantanément.Elle ne me lécha pas longtemps, remettant le plug en place doucement. Puis elle recommença à le retirer et le remettre, d’abord doucement, puis de plus en plus vite et brutalement, m’arrachant des gémissements de plus en plus fort. Elle commença même à me claquer les fesses en rythme, me faisant crier à chaque fois.Elle s’arrêta un instant, le plug à la main, me portant une dernière claque sur les fesses. ’Tu aimerais goûter ton cul ?’, me demanda-t-elle sur un ton que je trouvai vicieux.Je hochai la tête en me retournant et en ouvrant la bouche. Elle passa sur le côté et me fourra le plug en bouche. Je le pris avec enthousiasme, et roulai ma langue autour, pendant qu’elle le faisait tourner. ’Tu suce plutôt bien.’Lorsqu’elle retira le plug de ma bouche et revint derrière moi, elle hésita un instant. Je me cambrai et offrit un peu plus mon cul. ’Ça vient, mais ton joli cul est trop ouvert pour ce petit plug. Il me faudrait quelque chose de plus gros. Tu n’as pas parlé d’un …’Elle s’arrêta net dans sa phrase et je me retournai pour voir pourquoi. Je la vis poser le plug sur la table basse et aller saisir sa canette de bière vide sur le plan de travail de ma cuisine ouverte. ’Ça devrait faire l’affaire, dans un premier temps’, décida-t-elle.Je la vis sucer le goulot de la canette pour l’humidifier. Je pense qu’elle hésita à me le faire sucer mais elle vit mon cul ouvert et humide en même temps que ma bouche qui l’était tout autant. ’Pas la peine de perdre trop de temps en lubrification, ton cul est déjà prêt.’
Revenant se mettre derrière moi, elle enfonça doucement le goulot de la canette dans mon anus accueillant. Je gémis sur le coup, mais le goulot s’enfonça sans heurt et avec peu de douleur tellement j’étais ouvert et excité. Lola commença à accélérer le mouvement, enfonçant toujours un peu plus de la canette. Lorsqu’elle fit passer quelques centimètres du corps de la bouteille, je criai, mais mon cul se dilata presque lui-même.Ma bite ne tenait plus dans le string et se mit à pendre, raide d’excitation. Lola la vit rapidement, et entreprit de me branler en rythme avec les coups de canette dans mon anus. ’Tu aimes ma cochonne’, ronronna-t-elle, ’tu avais déjà entrer une canette dans ce petit cul ?’ ’Non, mais j’ai des godes plus gros.’ ’J’y penses, j’y penses. Mais pour l’instant, avale déjà ça !’Elle s’enfonçait de plus en plus profondément, et de plus en plus vite, et mes couinements devenaient des râles de plaisir.Elle s’arrêta un instant, avec une claque sur les fesses. Avant que je puisse demander pourquoi elle s’arrêtait, je la sentis forcer mon cul avec quelque chose de plus gros, qui entra finalement assez facilement mais m’arracha un cri aigu : elle avait retourné la canette et m’enfonçait le cul de la bouteille dans le fondement. Tenant fermement le goulot, elle pouvait me ramoner le cul plus vite que dans l’autre sens, et je me remis à crier mon plaisir très vite.Subitement, sa main lâcha ma bite, tandis qu’elle me ramonait toujours. Je regardai derrière en penchant ma tête en avant pour la voir glisser sa main dans le boxer et commencer à se caresser. ’Moi aussi, je veux me faire plaisir,’ me lança-t-elle en surprenant mon regard. ’Branle toi toi-même.’
Je parvins à mettre tout mon poids sur une seule main pour me branler de l’autre, mais j’avais du mal à coller au rythme des coups de canette dans mon cul dans cette position, et j’abandonnai rapidement la masturbation. De toute façon, j’étais tellement excité par la situation que je bandais déjà dur et que j’allais jouir même sans y toucher.Elle arrêta un moment les va-et-vient dans mon cul, laissant la canette plantée là. Une seconde plus tard, je sentis le plug se glisser à côté de la canette dans mon anus, et le mouvement reparti de plus belle, m’arrachant des cris plus puissants encore.
Lola s’arrêta un instant, me réduisant à un silence interrogatif. ’Tu gueules un peu fort’, me dit-elle, ’il faut occuper cette bouche.’ ’J’ai ce qu’il faut dans la chambre. Un baillon-balle notamment.’Elle hésita un instant. ’J’ai une meilleure idée.’Elle me retira le string, le frotta un instant contre sa chatte, que je devinais humide vu la trace sur le boxer, et me le colla dans la bouche. Je gémis sur le coup, mais le string étouffait correctement le son et le goût de sa chatte était agréable...
Lola profita de la pause pour me faire changer de position, et allongea mon torse sur le canapé, la bite juste devant et le cul toujours offert. De cette façon, je pourrais me branler, et elle pourrait me pilonner le cul sans risquer de me faire tomber.Elle reprit rapidement les deux engins, la canette et le plug, et repartit pour un pilonnage en règle, mes cris maintenant étouffés par le string dans ma bouche.Je m’étais déjà sodomisé avec plus large que cette combinaison, mais jamais aussi intensément. Je pouvais enfin me branler en rythme, et je sus que j’allais jouir assez vite.Quelques secondes plus tard, le cul en feu, le bouche pâteuse autour du string, je me laissai aller avec un râle étouffé, crachant ma jouissance sur le canapé et le parquet.Lola, toute à ma sodomie, ne s’en rendit pas compte tout de suite. Mais mon cul avait joui aussi et elle remarqua bien vite le jus qui s’en écoulait, puis elle vit ma souillure sur le sol.
Elle retira le canette et le plug de mon cul, les laissant au sol, et se pencha pour enlever le string de ma bouche. ’On dirait que ça t’a plu !’Je hochai la tête. Elle baissa le boxer, révélant sa chatte entièrement épilée et toute humide. ’Ne crois pas que ce soit fini’, me lança-t-elle en l’approchant de ma bouche.
Elle s’assit sur le rebord du canapé et plaqua ma tête sur sa vulve. Je m’activai aussi à la lécher du mieux possible, cherchant son clitoris gonflé. Elle me guida avec ses mains, gémissant à son tour comme je m’activais pour son plaisir à elle.Ce ne fut pas très long, car me prendre le cul l’avait clairement excitée, et elle jouit rapidement sur mon visage.
Nous restâmes un instant immobiles, puis nous échangeâmes un baiser passionné. ’Ça t’a plu ?’ me demanda-t-elle. ’Terriblement.’Je me sentais soulagé, d’avoir enfin pu vivre ce fantasme. Je compris aussitôt qu’il faudrait que ça se reproduise. ’Tu devrais venir dormir à la maison plus souvent’, ajoutai-je avec un sourire. ’Je vais y penser.’Nous restâmes silencieux un instant, jusqu’à ce que mon regard se pose sur l’horloge du four. ’Je sens que ça va être difficile demain.’Elle suivit mon regard et sourit.
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