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Avec des amies comme ça…

Chapitre 6

Trash
11) Prisonnière des fourmis
D’après ma prof de S.V.T. Les fourmis sont des insectes sociaux de l’ordre des hyménoptères. Une catégorie regroupant diverses espèces bénéfiques à l’homme. Bien sûr, quand ma prof racontait ces inepties, elle n’avait pas une cohorte de fourmis qui lui ravageait la foufoune. Elle aurait su que ce n’étaient pas des animaux utiles, mais des salopes sadiques, n’ayant de cesse de tourmenter les parties vulnérables de leurs victimes jusqu’à ce qu’elles rendent grâce ! Et, je suis trop généreuse, elles se fichent bien que leur cible soit à genoux, exténuée par leurs attaques... elles continueront tant qu’elles n’auront pas accompli leur tâche, combien même j’aurais souffert mille morts avant cela.
Si je me retrouvais ainsi, attachée à un arbre et des fourmis s’autorisant toutes libertés sur mon corps ; c’est parce qu’une autre salope sadique, Victoria, m’avait farci la chatte d’une pêche pourrie. Elle me l’avait enfoncé profondément, son bras m’ayant agrandi le trou intime sans qu’elle y accorde une arrière-pensée, et y laissa le fruit couvert de moisissure au plus profond de mes entrailles. Mon cul n’était pas en reste, elle avait aussi fourré un gros champignon humide dans mon derrière.
Les fourmis attirées par tous ces végétaux bien juteux me rongeaient la chatoune, mandibule en avant, mes poils pubiens grouillaient sous leur nombre, de loin on aurait été incapable de distingué mes bouclettes blondes, on aurait dit que ma chatte était noire et vivante. Cela me chatouillait terriblement, mais je ne riais pas. Ce n’était pas tant dû à l’effet paralysant du champignon qu’au spectacle se déroulant sous mes yeux… cette colonne grouillante qui me pénétrait, s’infiltrait dans mon corps... Je sentais ma foufoune se remplir, j’avais l’impression d’en être dépossédé comme si elle les fourmis en avait acquis la propriété et avaient seules le droit d’en jouir. Je les sentais avancer de plus en plus loin, de plus en plus profond. Bientôt tout mon intérieur ressemblait à une plage lors de la marée haute, les fourmis formant un flux et reflux où elles emportaient un peu de pêche à leur passage… elles me rendaient folle. Leurs pattes crochues me grattaient la chatte, leurs antennes me frottaient inlassablement les parties les plus sensibles.
Le pire n’était pas de servir de terrain de labour à ces bestioles, le pire est que je commençais à mouiller… ces fourmis me laissaient dans un état d’excitation intenable. Une sensation d’être à deux doigts de jouir sans pouvoir y parvenir. Ma chatte bavait comme une chienne enragée. Entravée comme je l’étais je ne pouvais rien faire pour me soulager, tout au plus, par réflexe, je me mordais les lèvres, et j’entreprenais de me frotter contre l’arbre. L’écorce rugueuse offrait un réconfort pour quelques instants, mais trop friable, elle tombait par terre avant d’avoir pu assouvir mon envie.
Alors que je coulais littéralement, pas de plaisir, mais de frustration, je sentis les fourmis attirées par le champignon. Il aiguillait leur curiosité, les petits insectes se faufilaient sur le pied de champignon et commençaient à me rentrer dans le cul, ce qui avait accroissait mon excitation. On ne peut pas mourir de plaisir, mais j’aurais aimé… Mon sexe, mon cul ne me répondaient plus, je tirais sur la corde pour me libérer les mains dans le but de les enfoncer sauvagement dans les parties intimes, me libérer de cette sensation de plaisir insoutenable... J’aurais voulu m’enfoncer une bonne paire de doigts dans le cul, me frotter le clito jusqu’à ce que je jouisse de tout mon être… Mais tout ce que je pouvais faire, c’était gémir et sentir la chaleur monter dans mon corps.
Je fus alors surprise de sentir mes poumons se vider et une douleur fusée de mon ventre. Je pensais un moment que les fourmis avaient creusé un trou dans mon estomac, mais non, c’était une bille bleue de paintball qui avait touché mon ventre. La douleur remonta le long de mes nerfs, je poussais un cri, mes jambes me firent défaut… je m’effondrais. Quand je repris mon souffle, je levais la tête et vis Jeanne s’approcher de moi, l’air satisfait de son tir.
« Alors tu ne t’enfuis pas ?— Je peux pas, je suis attachée, cette conasse de Victoria m’a lié les mains derrière l’arbre.— Et pour passer le temps, tu te frottes tout contre… Une belle salope que voilà, je te savais une grosse chaudasse, mais à ce point… J’ai jamais vu une chatte aussi trempée…— Mais il faut me délivrer ! Elle a même mis un fruit pourri dans ma chatte et les fourmis me bourrent la foufoune !— Oh la méchante Victoria ! C’est salaud de faire ça… Mais rigolo… J’espère que tu vas bien t’entendre avec les fourmis, je ne vais pas fourrer ma main dans ta chatte gluante. Du moins pas sans gants…— Libère-moi ! Je retirerais la pêche toute seule.— Alors que je peux marquer des points aussi facilement ? Tu rêves ma belle ! — Quoi !— Mais ne t’inquiète pas, je m’éloignerais pour te tirer dessus, c’est plus amusant, et puis de toute façon le tir sur cible fixe, ce n’est pas très dur. — Quoi ? Mais non ! C’est nul ! Fais pas ça !— Il te reste trois minutes avant le prochain tir, j’espère pour toi que ton second prénom c’est Houdini… »

Malgré mes cris elle s’éloigna, m’enjoignant de me taire pour ne pas troubler sa concentration, je m’étais relevée, elle aurait peut-être « la gentillesse » de me tirer dans les jambes. J’avais du mal à me tenir debout, les fourmis me grouillaient toujours dans la chatte et le cul. Il n’avait pas fallu une minute pour que je ressente à nouveau une terrible excitation inassouvissable. J’essayais de me contrôler, de ne pas agir comme une chienne en chaleur, mais rien à faire... je gémissais comme la pire des salopes sous la pénétration des insectes, je sentais des pulsations jusque dans mon cul, mon corps était tellement chaud… à chaque frottement contre l’arbre je sentais ma chatte ruisseler de mouille.
Au loin, je vis Jeanne appuyer sur la détente, et un instant plus tard la bille m’atteint, elle m’avait touché au sexe ! Je me pissais dessus… mais non… elle m’avait loupée si ç’avait été le cas je me serais évanouie. La bille avait atterri juste sous ma chatounette projetant de la peinture et me colorant la foufoune en bleu. Les fourmis affolées par mon urine et la peinture s’agitaient encore plus, mes seins étaient dressés comme des rocs ; ma température interne devait atteindre les quarante degrés, voir plus… Je n’avais jamais été autant en chaleur. Jeanne se rapprocha pendant que je me contorsionnais contre le tronc d’arbre.
— Mais la salope est toujours excitée on dirait. Ça doit être vraiment frustrant de ne pas pouvoir se branler quand on en a tellement envie.
Au point où j’en étais, certaines notions me semblaient bien lointaines, comme la décence ou la dignité… c’était des conceptions dont on ne pouvait que s’étonner qu’elles puissent exister dans le monde de plaisir où je me trouvais.
— Détache-moi, je t’en supplie ! Il faut que je me branle !— Oh, mais tu es tellement drôle à te tortiller comme ça, contre ton arbre.— J’ai la chatte en feu !! Je ferais ce que tu voudras détache-moi !— Mais je ferais ce que je veux de toi, après, de toute façon.
Et pour illustrer son propos, elle me pinça les tétons. Ça aurait dû me faire mal, mais le contact de ses doigts n’eut pour résultat que de faire miauler de plaisir, et de me faire produire plus d’humidité.
— JEANNNE ! Ce que tu veuuux ! Je suis sûr qu’il y a un truc ! Touut ! Allez je te le ferais. — Euh…. Et puis peut-être... Après tout, tirer sur un arbre c’est ennuyeux.— Oui ! Alors détache-moi.— Mais qu’est-ce que tu feras si je te libère ? — Tout !! Tu n’auras qu’à me siffler pour que je te lèche ou ce que tu veux ! — Mais encore ?— Je serais ta pute !! Ta pupute pour te lécher la chatte, le cul ! Je serai ton essuie-sexe ! — Très bien Pupute. On va voir ce que tu vaux.
Elle passa derrière l’arbre, et je sentis la pression sur mes poignets se détendre, je restais deux secondes les bras ballants, le sang se remettant à circuler dans mes veines. Juste après ce court laps de temps je sentis Jeanne soudainement refaire un nœud.
— Hey, qu’est-ce que tu fais ? Mes mains sont dans le dos. Je dois me branler ! C’est urgent…
— Tu feras ça après, d’abord tu vas me faire plaisir Pupute… C’est ce dont on avait convenu, tu vas m’obéir au doigt et à l’œil.— D’accord ! Mais dépêche-toi, je trempe tellement ! C’est infernal !— Alors c’est simple, tu vas faire le ver de terre… tu vas ramper jusqu’à mes pieds, là tu retireras ma culotte avec des dents, tu me supplieras de te laisser me lécher. Et tu me lécheras, oh oui, tu me lécheras jusqu’à ce que je te jouisse dans la bouche.— Ok ! Ok ! Si ça te fait plaisir.
Elle aurait pu me demander n’importe quoi, tant que je pourrais me toucher ma chatte brulante, je l’aurais fait. Je me mettais à plat ventre et me dirigeais vers elle, ce n’était pas facile. Si marcher pieds nus en forêt est déjà pénible, ramper sur les branches, les feuilles trempées ou les glands est atroce, j’essayais de me détourner d’une bogue de châtaigne, mais Jeanne me l’interdit.
— En ligne droite salope !
Je sentais les piquants me rentrer dans la chair. Ramper nue dans les bois est une des pires expériences qui soit, j’imagine que certaines pourraient penser qu’il s’agit d’une communion avec la nature. Et c’est assez vrai, on sent la terre grouiller de vie, et venir sur notre corps. Ce n’était plus seulement les fourmis qui s’insinuaient dans ma chatte que je sentais, mais aussi des insectes se déplacer sous moi. Et à la vitesse de limace où j’allais, je sentais les bêtes grimper sur moi, sur mes fesses, mon dos. Je me couvrais aussi de terre et d’humus, ma chatte frottant contre le sol n’avait que pour effet de m’exciter encore plus, je frottais mon bassin contre les bosses espérant soulager mon envie, mais cela ne faisait que l’exacerber. J’avais l’impression de laisser une trace de mouille derrière moi, comme un escargot. J’étais un mollusque au milieu d’insecte… Arrivée aux pieds de Jeanne, mon corps était un nid de bestioles me démangeant et me courant dessus :
— Alors, Pupute ! Qu’est-ce qu’on dit ?— Je suis un misérable ver de terre, une pauvre merde, indigne de votre chatte. — C’est bien vrai ça, j’espère que tu réalises l’honneur que je te fais… Maintenant, renifle-moi la chatte.
Je me mettais difficilement à genoux et respirais l’odeur de sa culotte le nez contre celle-ci ; je sentais qu’elle était excitée – bien moins que moi —, mais suffisamment pour être bien chaude.
— Vas-y, arrache-la !
Je saisissais la culotte avec les dents le plus délicatement possible, et la tirais vers le bas. Arrivée à ses genoux, elle se remit à me commander.
— Supplie-moi de te laisser me lécher !— c’est trop, je ne la mérite pas ! une chatte comme ça, si belle ! Poser ma sale langue dessus, elle a l’air tellement délicieuse, un tel régal pour moi…— Vas-y, lèche ! lèche !
Je plongeais ma tête entre ses poils pubiens et lapais énergiquement… Le plus vite elle jouirait, et le plus tôt elle me détacherait les mains pour que je puisse calmer mon excitation. Elle marqua son rythme me plaquant la tête et fléchissant les jambes à mesure qu’elle prenait plaisir. J’avais le visage trempé de sa mouille, pendant que j’enfonçais ma langue dans sa chatte. Elle se frottait la chatte et le clito avec mon visage. Ses mouvements frénétiques trahissaient le plaisir qu’elle avait eu à me voir ramper comme un ver. Observer une de ses camarades de classe prête à se trainer sur la terre humide pour lui lécher la chatte l’avait excité au plus haut point. Il ne lui fallut pas longtemps pour qu’elle jouisse alors que j’avais encore mes lèvres collées à sa chatte.
Satisfaite elle m’écarta de son sexe et m’ordonna de me remettre à plat ventre devant elle. Je le fis, et elle m’écrasa sa chaussure sur les cheveux me plongeant le visage dans la terre pendant qu’elle s’essuyait la mouille et remettait sa culotte et son pantalon treillis. Finalement rhabillée, elle souleva son pied me laissant respirer à nouveau. Elle regarda, dégoutée, ma tête pleine de terre, avala de l’eau et me la recracha au visage pour me débarbouiller.
— Bon, maintenant il va falloir calmer ma Pupute. Montre-moi ton cul, pétasse.
Je me retournais, et levais ma croupe un peu inquiète. J’avais fait ce qu’elle voulait, ne pouvait-elle pas simplement me détacher ? Je tournais la tête, elle avait récupéré une longue branche bien épaisse. Elle en retira les pousses pour obtenir un bâton bien lisse. De plus près je pouvais constater que la branche était presque pourrie. Cela aurait pu me dégouter, mais je n’en étais plus là, j’attendais juste avec impatience qu’elle me l’enfonce dans la chatte. Jeanne positionna le bâton à l’entrée de ma fente suintante de liquide, et poussa d’un coup sec la branche dans mon con.Je ressentis un grand choc. Ma chatte était tellement humide, chaude et vibrante que je fus submergé de plaisir. Je crois que de ma vie, je n’ai jamais ressenti un tel bonheur… Jeanne continuait à touiller la branche dans ma chatte, je l‘entendais faire des bruits de clapotis, la cyprine éclaboussait tout mon fessier. J’ouvrais la bouche. Et je poussais des cris que j’étais incapable de contrôler :
— Ohhh ! Ooooouuuiiii ! Oooooooh. Enfonce-le !
Le bâton, déjà friable et gorgé d’eau se désagrégeait dans ma foufoune, j’avais l’impression que ma chatte était un cratère en fusion qui absorbait tout ce qu’on lui entrait dedans. Finalement Jeanne poussa le bâton d’un grand coup, l’enfonçant entièrement, je rugis sur le coup d’un monstrueux orgasme.
Je reposais mon arrière-train à terre, exténuée.
— Ooooh... Merci Jeanne.— Et bien qu’est-ce que tu attends Pupute ? Fuis ! Avant que je tire dessus à nouveau.— Et mes mains ?!— Oh, ne m’ennuie pas avec ça ! Je t’ai déjà détaché de ton arbre et soulagé ta chatte puante de chienne, alors ne m’en demande pas trop !
Elle rechargeait son arme, elle n’allait ni me délivrer de mes liens ni me laisser me reposer alors que j’avais encore des spasmes de plaisir après mon violent orgasme. Je m’enfuis donc, mais à peine avais-je fait quelques mètres que je reçus l’impact d’une balle bleue sur la fesse droite.
— Maintenant tu as cinq minutes de répit.
Le corps couvert de toujours plus de peinture, les mains attachées dans le dos, la chatte farcie de bois pourrie, d’un fruit moisi et de fourmis ; le cul enfourné d’un champignon, je me relevais et me remis à courir en me disant que les choses ne pourraient pas empirer...
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