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Avec des amies comme ça…

Chapitre 14

Trash
Je pensais qu’elles allaient me retenir après m’être fait tatouer pour assouvir leurs envies, mais elles me laissèrent rentrer chez moi seule. Mais pour être honnête, je préférais presque servir de sex-toy aux copines que de supporter les remontrances interminables de mes parents. À peine avais-je posé un pied à l’intérieur de la maison, que les remarques vexantes commencèrent :
— Je crois que notre éducation n’a pas été à la hauteur, se désola ma mère— Tu ne nous réponds pas ! Tu te baignes dans la boue, gueula mon père. Et j’espère que toi aussi tu as avoir honte ! J’ai vu le voisin. Il m’a demandé si tu t’étais battue et retrouvée dans la boue. Et j’ai répondu oui ! Car je trouvais ça moins répugnant que de savoir que tu te roules dans la fange toute seule comme une cochonne !— Tu nous désespères…— Cet après-midi, ton amie Hélène est venue nous voir. On a discuté avec elle, c’est une fille sérieuse, non ?— Oui. Je pense… répondis-je espérant qu’elle les avait rassurer un peu.— Elle pense que tu as besoin d’être surveillé constamment.— Quoi ! Mais c’est n’importe quoi ! — Non, ce qui est n’importe quoi, c’est quand on prend des bains de boue dans la forêt, soupira ma mère.— Tu as passé l’âge ou l’on pouvait te fesser, même si tu le mériterais. Ta mère est trop faible pour ça, et moi j’aurais peur de ne pas savoir me contrôler.— Je suis désolée, je ne recommencerais pas les bains de boue.
Mes parents me regardèrent avec un air désabusé.
— Et qu’est-ce que tu faisais dehors ?! Tu devais rentrer immédiatement ! — Hélène ne vous a pas dit ? Je croyais qu’elle devait vous expliquer…— Elle nous a dit que tu… que tu avais un de ces sex-toys, un gode ! et que tu l’utilisais dans waters pour te faire jouir ! Oui, elle a dit que tu te godais dans les W.C ! Et que tu ne voulais pas t’arrêter.— C’est faux !— C’est ce qu’on aurait voulu croire… On lui a dit que c’était impossible, que tu n’avais pas ce vice en toi et parce qu’on avait encore un mince espoir que tu ne sois pas récupérable… Mais elle nous a montré une photo prise où tu es au lycée avec un gode-miché ! — Quoi ! Mais c’est des mensonges !— C’est ce qu’on va vérifier, vide ton cartable !
Je voulus refuser ; j’expliquais que c’était une atteinte à ma vie privée, mais ma mère n’en eut cure. Elle m’arracha mon cartable des mains, l’ouvrit, et après une rapide recherche en sortit le gode noir pas encore lavé.
— Tu mens à tes parents en plus… Et cette odeur… Il n’y a aucun doute !— Quand je pense, que si ton amie n’était pas venue, l’on aurait tout ignoré tes pratiques sexuelles perverses… — Apporter un sextoy au lycée ! Comme avons-nous pu éduquer une salope comme toi !— Je ne recommencerais pas !— Ça, j’y compte bien ! Et pour ça nous avons conclu un accord avec Hélène, tu devras être baby-sitter.— Quoi !— Il n’y a pas d’autre solution, nous payerons chaque jour Hélène ou une de ses amies de confiance afin de s’assurer que tu ne fasses pas de bêtises dès que l‘on a le dos tourner.
J’entendis alors sonner à la porte.
— Ah, il est dix-huit heures, ça doit être Hélène.
En effet, Hélène était au seuil de la porte attendant qu’on vienne lui ouvrir.
— Bonjour Madame, Monsieur. Je viens pour m’occuper de Cécile, dit-elle insouciante, comme si c’était ce qu’une amie est censée faire.— Oui, voilà la somme convenue, et mon père sortit dix euros de son portefeuille.— Oh non ! Pas aujourd’hui, je n’ai pas pu l’empêcher de se masturber au lycée, je ne le mérite pas.— Mais, vous nous avez avertis. Cela mérite même plus.
Et mon père sortit un autre billet de dix euros, ce qui sembla faire plaisir à Hélène
— Puisque vous insistez… dit-elle en empochant le liquide.— Donc voici notre marché, on te versera dix euros par jour à toi ou tes amies pour empêcher notre fille de se comporter de façon grotesque ou indécente, mon père se tourna vers moi. Est-ce que tu réalises à quel point tu nous déshonores au moins ?! — Oui.
Je me sentais moi-même une moins que rien, la plus misérable des créatures. J’étais mis sous l’autorité de filles qui m’avaient déjà réduite à l’état de salope tout juste bonne à leur brouter le gazon. Et voilà qu’elles avaient, en plus, la bénédiction de mes parents pour abuser de moi. Je n’avais aucune aide à espérer, juste à être la plus complaisante possible pour que l’on soit satisfaite de moi.
— En tout cas, je tiens à ce que tu lui obéisses sans discuter ! Si Hélène t’interdit de faire quelque chose, tu te soumets à son avis ! Quand on ne sait pas se servir de sa tête, on laisse ce soin à d’autres ! Et si tu désobéis. Ha ! Je ne sais pas ce que je ferais, mais ça fera mal… On te chassera de la maison ! On t’enverra en maison de redressement, avec les délinquants ! Là-bas, on te fera passer l’envie d’avoir des fantaisies !
Heureusement, Hélène se mit à rassurer mes parents :
— Je crois que Cécile a saisi, elle va être super-sage, pas vraie Cécile ?— Oui.— Vous voyez… tu m’obéiras comme il faut ?— Oui.— Alors c’est bon, allons faire nos devoirs !
Nous montons les escaliers, et arriver dans ma chambre Hélène ferma la porte. Et me donna une claque sur les fesses :
— Alors salope, on a réussi notre coup, hein ? On va toucher dix euros par jour ! Et tout ce que tu as eu à faire c’est de te goder ! Tu te rends compte !? Je suis trop un génie.— Oui, mais…— Trois cents euros par mois ! Si avec ça tu n’es pas contente de nous avoir rencontrées, je ne sais pas ce qu’il te faut. On va se faire du fric ! Si on partage Lisa, Jeanne et Victoria, ça fait... euh…— Soixante-quinze euros.— Voilà !... Hein, seulement ? Ça ne fait pas tant que ça finalement... elle eut l’air déçu.
Je ne pus m’empêcher de demander :
— Et moi ?— Quoi, toi ? On doit te baby-sitter et assurer à tes parents que t’es pas une salope... alors que t’es la plus grosse truie du quartier ! Tu devrais presque nous payer aussi. Sans compter que tu dois déjà nous rembourser pour les tatouages… Alors, estime-toi heureuse. Et puis on te fera profiter de l’argent… tiens prends déjà ces deux euros. De quoi t’acheter des capotes !
Je pris les deux euros un peu à contrecœur, j’étais un peu le dindon de la farce de cette histoire, mais je commençais à m’y habituer. Pendant ce temps Hélène fouillait dans son sac pour en sortir notre livre de cours :
— Prends ça aussi, et ponds-moi ma rédaction à rendre pour demain. Je n’ai pas eu le temps de la faire avec toutes tes conneries de salope… Et fait ça bien, c’est noté.
Elle sauta sur le lit et saisit une B.D. pendant que je me mettais au bureau et commençais à travailler. Une heure plus tard, j’avais fini, Hélène regarda ce que j’avais rédigé.
— Hey ! Mais c’est bien ! Je ne suis même pas sûr que j’aurais fait beaucoup mieux, t’es pas totalement débile quand tu veux.— Merci, mais il faut que je fasse la mienne maintenant.— Attention ! il ne faut pas que ça ressemble.— Oui je sais, dis-je pensive, n’ayant pas trop d’idée pour faire autrement.— Attends, tu m’as aidée, je vais t’aider ! C’est réglo non ? Tu n’as qu’à écrire ce que je vais te dicter ; je me sens prise d’inspiration ! Allez, qu’est-ce que tu attends ? Prends ton stylo... voilà, je commence : « Flaubert dans ce passage de Madame Bovary la décrit comme une salope. » Tu notes ? « Mais il est avare sur les détails… Suce-t-elle ? Prend-elle par le cul ? C’est des questions que Flaubert semble négliger... Sans doute parce qu’il bande mou ou qu’il manque d’imagination, un comble pour un écrivain ! Tandis que moi j’adore ça, sucer, me faire sodomiser, et je ne parle même pas de mes fantasmes... Moi je ferais tout ça, bien mieux que la Bovary, Monsieur le professeur… D’ailleurs plutôt que d’écrire cette stupide dissertation, si vous me faisiez venir après les cours ? Que je vous montre tout ce que la grosse bourge de Flaubert ne fait pas... Vous savez que vous me faites mouiller ? »
Hélène s’arrêta un instant, tournant la tête dans sa direction, je remarquais qu’elle se doigtait pendant qu’elle me dictait mon devoir.
— Passe-moi la feuille.
Je la lui tendis, mais plutôt que relire ce que j’avais écrit, elle s’en servit pour s’essuyer sa moule baveuse dessus. Elle frotta bien la feuille contre son con, et lorsque le papier eu bien absorbé sa mouille, elle me rendit la feuille.
— Bon on reprend, je te dicte : « Si vous trouvez ce papier mouillé, c’est que j’ai frotté ma chatte dessus. Je trempe complètement quand je pense à vous, et c’est sur votre belle bite que je veux me frotter... pas sur un papier m’sieu… Alors, mettez-moi une bonne note, d’accord  ? » Point d’interrogation final, mets ton nom en marge... voilà, parfait. On a chacune fait la rédac de l’autre, on reste de super amie, non ? Je me demande qui aura la meilleure note… — Mais je ne peux pas rendre ça !— Bien sûr que si. En fait je le prendrais super mal que tu ne le fasses pas. Et puis qu’est-ce que c’est que ces façons de discuter ? Tes parents ont bien dit de m’obéir en tout.— Oui.— Alors obéi non d’un chien ! Et puis lèche-moi avant que je parte. Je suis tellement mouillée que je ne peux pas remettre ma culotte.
Je quittais le fauteuil pour m’allonger sur le lit la tête entre ses jambes. Hélène les avait bien écartés, sa culotte pendait sur une de ses jambes. Elle s’était bien excitée et avait recommencé a juté après avoir utilisé mon devoir comme serpillière, son jus coulait le long de ses jambes, et elle se fichait bien que je dorme dans un lit trempé par sa mouille. Je me penchais donc et me mettait à lui lécher les guibolles pour la nettoyer de cyprine, puis sur ses grandes lèvres. Une fois bien propre et qu’elle gémissait, j’enfonçais ma langue dans son trou tout prêt à l’orgasme. Sa rosée continuait à couler... Son jus était bien plus agréable que celui de Victoria dont je m’étais bâfrée dans la journée. Elle avait un goût sucré, je n’irais pas jusqu’à dire que j’en raffolais, mais ça ne me gênait pas de la gougnotter. Quand elle poussa un gémissement plus long et écarta ma tête de ses pieds, j’aurais aimé continuer à lui nettoyer la chatte...
— Bravo ! t’as été une bonne salope… Mais, c’est pas tout ça, il faut que j’y aille maintenant.
On quitta ma chambre ensemble. Elle souhaita le bonsoir à mes parents qui ne trouvèrent pas de propos assez laudateurs pour la remercier de ses efforts. Elle refusa de rester pour dîner, et me laissa seul pour manger avec mes parents, le repas se passa ensuite sans un mot. Puis on m’envoya au lit tout de suite après que j’eus mangé ma pomme, alors qu’il n’était que neuf heures ! Je cherchais le sommeil en vain, j’étais de mauvaise humeur pour avoir été puni comme une petite fille.
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