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Avec des amies comme ça…

Chapitre 18

Trash
Résumé : Cécile après avoir passé une nouvelle journée à souffrir des perversions de ses « amies » rentre chez elle, accompagnée de ses méchantes camarades, mais il semble que ses parents aient, eux aussi, des reproches à lui faire…
21) Des parents en colère
Hélène fut surprise, moi aussi. Mais à la réflexion, ce n’était pas si étonnant que le blâme retombe sur moi, mes amies avaient toujours eu raison, c’était donc forcément moi qui étais en tort. Encore une fois, je n’avais qu’à m’en prendre à moi-même pour douter de mes amies.
Mon père rassembla ce qui traînaient sur la table : un magazine et deux DVDs et me les jeta au visage.
Je réussis à attraper le magazine, les deux DVDs tombèrent à mes pieds. Je regardais la couverture du magazine, ça se nommait « la belle et la bête » ; en photo on voyait en effet une "belle" ; une blonde nue dans un pré, elle avait la main sur une bête, un chien, un gros doberman pour être plus précise. J’ouvrais à une page au hasard. Le chien avait sa queue enfoncée dans la femme, qui bizarrement semblait ravie de la situation, sa chatte était gorgée de mouille. La légende disait : « Médor est une bonne bête, il engrosse Sylvie de sa grosse teub. » À une autre page "Sylvie" avait la queue du clebs dans la bouche, la photo était sous-titrée : « Le maître de Sylvie lui donne une bonne rasade de foutre. Elle se régale la gourmande ! »
Jamais je n’avais vu de spectacle aussi répugnant ! Une femme faire des cochonneries aussi viles avec un animal ?! C’était écœurant ! Immonde ! Les autres photos étaient toutes plus horribles les unes que les autres, sur l’une d’elles, elle se faisait même pénétrer par un porc ! Le sexe difforme de la bête déchargeait une quantité débordante de foutre… Comment pouvait-elle accepter de faire de telles choses ? Et pourtant, elle souriait...
Je regardais les DVD tombés à mes pieds. L’un se nommait "Scato et nympho, ma vie de vicelarde". Sur la pochette une jeune fille était en train de lécher le trou du cul d’un type qui ne s’était visiblement pas bien essuyé depuis sa dernière grosse commission. Je retournais le boîtier, on voyait au dos la même jeune fille se prendre des claques en souriant, pendant qu’un noir accompagné d’une bande la prenait par-derrière.
La pauvre fille, je me demandais quel genre de vie elle devait avoir eu pour être tombée aussi bas.
Enfin le deuxième DVD se nommait tout simplement "Orgie en famille". On y voyait une famille avec père, mère, fille et frère. Et tous avaient, en effet, un air de famille assez marqué. Déjà très peu habillé sur la couverture, au dos de la pochette on pouvait les voir complètement nus et en action : le père en train de chevaucher sa fille tandis que le frère regardait leur accouplement tout en se faisant sucer par sa mère.
Était-ce vraiment la même famille ? La description sur le boîtier l’affirmait et disait en fournir la preuve dans la vidéo. Mais comment toute une famille pouvait être assez perverse pour se vautrer dans de tels excès, c’était une abomination... de l’inceste !
« Qu’est-ce que c’est ? demandais-je, étonnée que mes parents laissent traîner une pornographie aussi répugnante dans le salon.
— C’est ce qu’on aimerait bien savoir ! Et j’espère que tu as une bonne explication
— Une explication ? Mais je n’ai rien à voir avec tout ça !

— Tout ! Le colis est à ton nom ! Il vient du sex-shop "Aphrodite", tu y es allée, avoue !
— Eh bien… »
Hélène intervient :
« C’est pas là que tu nous as dit avoir acheté le gode.
— Euh oui. »
Tout d’un coup je me souvenais, Hélène il y a une semaine, avait commandé un magazine et des DVDs en se faisant passer pour moi. Le résultat s’étalait à mes pieds...
Ma mère était dévastée, elle pleurnichait
« Tu es la honte de la famille… De la zoophilie, je suis… C’est trop horrible, je ne veux plus te voir. »
Sur ces mots elle monta à l’étage en pleurant. Mon père lui restait à sa place, furax.
« Elle a raison ! Avec toi chaque jour nous apporte son lot de déception. C’en est trop pour elle... et pour moi aussi. Je ne sais pas ce qu’on va faire de toi... Te voir dans cette maison, savoir qu’on t’a élevé pour que tu deviennes... ça, cette saloperie... C’est un cauchemar
— Mais… »
Victoria intervint :
« Je peux la prendre chez moi... pour quelque temps. Mon frère est parti de la maison, et il y a une chambre de libre.
— Vraiment ? demanda mon père surpris, c’est vrai que ce serait bien... mais il faudrait la garder sous surveillance constante...
— Comptez sur moi !
— Et puis, je ne comprends pas… pourquoi commander du porno aussi sale, aussi dégoûtant. »
Hélène avait la réponse :
« C’est que... elle a des perversions bien ancrées... Je me souviens, un jour, un chien se promenait devant le lycée. Il était mignon et propre alors je l’ai caressé. Et puis votre fille aussi... Mais très vite, j’ai vu que ses mains descendaient plus bas, très bas... et ce n’était pas tellement des caresses qu’elle faisait, plus de la... enfin vous voyez...
— J’y crois pas, soupira mon père et prenant sa tête entre les mains.
— Mais en tout cas, depuis qu’elle a touché les couilles du chien, elle se sent délivrée d’un poids. Pas vraie Cécile ?
— Oui. »
J’étais soulagé, Hélène allait trouver comment me sortir de là.
« Elle avait toujours voulu toucher des couilles de chien… Et après avoir branlé la queue du clebs, et bien l’envie que des clébards lui sautent dessus lui est passée, pas vrai ?
— Oui !
— Parce qu’avant elle me racontait qu’elle s’imaginait leurs grosses queues déverser leur foutre dans sa chatte. Fallait la voir comme elle fantasmait de se faire inonder de sperme animal, c’était indécent ! Elle en jouissait presque rien qu’en y pensant. On a dû lui taper sur les doigts pour pas qu’elle se doigte. Oui, elle s’est bien calmée depuis.
— C’est vrai ? demanda mon père un peu rassuré.
— Bien sûr ! Par contre, il y a un autre problème, vous voyez, elle nous a avoué que la nuit… Ah non ! Je ne peux pas vous raconter ça.
— Je crois que vous pouvez tout me dire, mon opinion sur ma traînée de fille ne changera pas.
— Ça, je le vois bien, mais... c’est vous que j’ai peur de mettre mal à l’aise, sachant que…
— Sachant quoi !
— Eh bien voilà, la nuit votre fille quitte son lit. Elle va devant la porte de votre chambre et regarde par le trou de la serrure.
— Comment ?!
— Eh oui, elle vous regarde vous et votre femme faire l’amour. Et cela l’excite à un point… Elle se masturbe devant votre porte comme une grosse cochonne. »
Je vis mon père furieux avancer vers moi d’un pas rapide, lever la main bien haut et
PAF !
« Aie !! »
Je venais de me prendre une énorme mandale. Mon père levait à nouveau la main, mais Victoria le retint.
« Monsieur, ça ne sert à rien ! Vous savez bien que c’est une salope masochiste, quand vous la frappez comme ça, elle est à deux doigts de jouir. N’est-ce pas Cécile ?
— Euh... oui.
— Je crois que pour la guérir de sa maladie, il n’y a qu’une solution...
— Il faut qu’elle parte, répondit mon père sûr de lui.
— Oui, bien sûr, un peu de temps loin de son lieu de débauche habituel lui fera du bien. Mais je crains que ce ne soit suffisant. La vérité, c’est qu’elle passe ses journées avec des images dans la tête... des images de vous et de votre femme en train de... vous voyez... et elle ne pourra s’en défaire que si…
— Que si ? pressa mon père.
— Je suis vraiment gênée de vous le dire, mais la seule façon de lui ôter cette idée de la tête, c’est en faisant comme elle a fait avec le chien... Il lui faut une expérience de première main. »
Mon père restait silencieux ayant peur de comprendre. Hélène dut se faire plus explicite :
« Il faut qu’elle ait une relation sexuelle avec vous pour la libérée de ses fantasmes.
— Ma fille et moi ; baiser ? Tu divagues.
— Nan mais moi je suis d’accord avec vous ! Avec Cécile c’est répugnant, ce serait de l’inceste. Enfin, je veux dire que l’inceste est répugnant, pas Cécile. Elle, elle est bien fichue, de gros seins et tout ce qui va avec. Personne n’aurait de mal à la baiser, mais l’acte entre un père et sa fille... j’en frissonne.
— Oui, voilà.
— Après, vu ce que vous avez appris sur elle, on peut dire que c’est devenu presque une étrangère pour vous... Votre fille telle que vous la connaissiez, elle n’existe plus. Jamais elle n’aurait fait quoi que ce soit de ce qu’elle a accompli ses dernières semaines. Toucher un chien, fantasmer sur son père...
— C’est vrai, mais…
— Oui, ça n’empêche qu’elle est la chair de votre chair, le sang de votre sang. Ça, rien ne pourra l’effacer. Elle a beau se branler en s’imaginant prise par des clebs, ou de vieux pervers, ça ne change rien.
— Quelle dégueulasse !
— C’est clair, toutes ces années où vous l’imaginiez comme une sainte... elle se mettait des doigts dans la chatte en vous voyant nu dans le trou de la serrure. Elle regardait votre bite, et, pardonnez mon langage, et elle pensait que vous la fourriez profondément.
— Une vraie salope ! »
Mon père était en rage, il ne me regardait plus comme un parent peut regarder sa fille, même s’il pense que c’est la dernière des connes... Non, il me regardait comme un taureau regarde le toréro, avec le désir d’empaler, d’embrocher...
— Oui, elle, c’est vraiment une salope. Sa photo pourrait illustrer la définition. Au lycée, tout le monde pense que c’est une pute, ils n’ont pas tout à fait tort, ça fait longtemps qu’elle n’est plus vierge d’aucun trou, vous savez. En classe, pour les garçons le grand jeu est de savoir qui ne l’a pas baisé, ils cherchent encore... Avec les copines on essaie bien de l’empêcher de se faire sauter, mais on est que des filles… Qu’est ce qu’on peut faire quand, une fois le prof sortit, elle crie à tous les mecs de rester en classe pour la tringler...
— Traînée ! Pute ! »
Mon père était dans un tel état qu’il ne pouvait plus que grogner et insulter.
« C’est vrai, et pourtant, si vous la baisiez, peut-être serait-elle moins excitée. Peut-être serait-elle moins salope. Là, tout de suite on ne peut rien pour elle, mais plus tard, pour pas qu’elle ne fasse pas le trottoir rue Saint-Denis, à alpaguer tous les noirs et arabes… Parce que je vous l’ai pas dit, mais c’est ça qu’elle préfère, les queues bronzées dans sa chatte toute blanche.
— Elle fait ça !
— Oui, elle aime ça... les noirs elle en raffole. Elle regarde leurs queues comme une bénédiction. Pour elle, c’est des sucreries, des péchés mignons, elle les prend en bouche comme des sucres d’orge. Et là elle les suce jusqu’à ce qu’ils explosent. »
Pendant qu’Hélène parlait, Victoria se pencha à mon oreille :
« Regarde comme tu excites ton père. »
C’est vrai que je pouvais presque voir sa queue dans son pantalon tellement elle était gonflée. Victoria voulut me guider sur la conduite à tenir :
« Tu es une bonne salope, hein, alors tu sais ce qu’il te reste à faire. »
Mais, Hélène avait beau me décrire comme une pétasse, je ne voyais pas ce qu’on attendait de moi. Je suppose que je ne pouvais pas nier être une salope, mais pourquoi Hélène inventait-elle toutes ces histoires ? Victoria précisa sa pensée :
« Va te mettre à genoux, et sois gentille avec lui.
— Gentille ?
— Prend soin de sa queue. Tu veux la queue de ton père ? »
J’y réfléchissais un instant. J’imaginais mon père nu, son dard dressé dans ma bouche. Oh non ! ça me répugnait.
Je grommelais : « Non... pas ça...
— Allons, tu sais ce que tu es ? »
La leçon était bien apprise, je répondis automatiquement :
« Je suis votre très grosse salope.
— Alors tu vas faire ton travail de grosse salope.
— Mais pourquoi ? c’est mon papa et...
— Justement, il faut que tu mérites ton titre... Tu ne l’as pas gagné pour blaguer. À moins que tu te sois foutu de nous ?
— Non ! Pas du tout ! Je… je ferais ce qu’il faut… »
J’avais promis d’être leur salope. Je ne pouvais pas reculer où je n’aurais vraiment pas mérité d’être leur copine… Je m’approchais de mon père, j’avais honte de ce que je m’apprêtais à faire… et puis il me regardait avec fureur, mais aussi je crois, avec envie. Hélène continuait à parler :
« Regardez cette poufiasse. Tout ce qu’elle a dans la tête, c’est comment pouvoir sucer une queue et garder le jus en bouche le plus longtemps possible... Comment se faire limer la chatte par le plus gros gourdin qu’elle puisse trouver...
— C’est ma fille !
— Oui, la pire des salopes. Celle qui rêve que vous lui sodomisiez le cul bien profond. »
J’étais à côté de lui, il ne m’avait toujours pas baffé.
« Il faut qu’elle accomplisse son fantasme, ou son esprit restera constamment fixé sur votre queue, sur la façon dont elle pourrait le sucer, sur tout le foutre que vous pourriez lui décharger à la gueule...
— Pardon. dis-je à mon père, alors que je me mettais à genoux.
— Je sais, c’est dégueulasse… continuait Hélène, il faut vraiment être la pire des traînées, et cette traînée c’est votre fille... Mais pensez que c’est aussi la salope du lycée, la pute du quartier… Et il faut qu’elle le fasse, ou elle n’évoluera jamais, elle restera une chaudasse pour toujours.
— Mais enfin, je ne vais pas… »
Je m’étais agenouillée à ses pieds, je voyais l’entrejambe de son pantalon gonflé. Je commençais à le débraguetter.
« Il faudra lui mettre votre bite dans la chatte, dans le cul. Lui défoncer la moule. Si ça peut vous simplifier les choses, ne l’imaginer comme votre fille, mais comme la chaudasse, la pute que vous vouliez baiser, mais n’avez jamais osé.
— Ah, c’est ça qu’elle est ! »
J’avais défait sa ceinture, et retirais son pantalon. Il ne lui restait plus qu’un slip rouge un peu ridicule. J’avais envie de fermer les yeux, d’arrêter, je tournais la tête vers Victoria ; elle me fit signe de continuer... obéissante comme toujours, je descendais le slip de mon père. Ses couilles étaient pleines de poils, j’avais devant moi la bite de mon père.
Elle était grosse, impressionnante, jamais je n’aurai imaginé que ma mère le faisait avec cet engin. Et, moi aussi, j’allais devoir la manier... Elle était gonflée et bien bandée, je la saisissais du bout des doigts, j’en avais peur, c’était cette bite qui en déchargeant m’avait donné vie.
« Regardez là comme elle en a envie, comme elle est affamée ! s’enthousiasma Hélène, sa bouche à bite a été vide trop longtemps, il faut la remplir, combler cette décharge à foutre ! »
Je sentis mon père me passer la main dans les cheveux et commencer à me pétrir la caboche. Il exerçait une pression dure de ses doigts, comme s’il voulait me faire exploser la calotte crânienne. Puis, d’un coup sec, il précipita ma bouche ouverte contre son pénis dur.
J’en avais plein la bouche, et je commençais à sucer, à pomper ce qu’on me fourrait. J’eus tout de même un frisson de répugnance en sachant à qui appartenait cette bite alors que je passais ma langue sur le vit. Je préférais encore sucer le clodo qui m’attendait le matin, mais je ne montrais aucune résistance. Je me comportais en bonne fille obéissante, j’avais accepté le fait que j’étais une grosse salope. Quand bien même devoir être à genoux à sucer son père, c’était plus qu’être une salope, c’était être une dégénérée.
J’entendais Hélène se réjouir de cette situation :
« C’est ça ! Mettez en lui plein la bouche de votre bite ! Regardez-la, je suis sûr que vous avez toujours voulu la baiser, vous saviez au fond que c’était une traînée, qu’elle ne rêvait que de bites bien dures. Alors, allez-y ! Pas de pitié ! Il est temps qu’elle reçoive ce qu’elle mérite, cette pute ! »
Mon père était déchaîné par les encouragements de mon amie, il ne se rendait même plus compte de ce qu’il faisait : baiser sa fille ! Tout ce qu’il voulait en cet instant, c’était me faire payer la déception dont je m’étais rendu coupable ces derniers jours.
Il me releva en me tirant par les cheveux. Je grimaçais. Ce qu’il vit ne lui plut pas : ma tête bavant de l’avoir sucé ; ma tête qu’il imaginait l’espionner quand il baisait maman. Mon visage devait lui être insupportable, car il ne put s’empêcher de me foutre des claques en me voyant. Une, deux et un aller-retour... Paf ! Paf ! Paf ! Paf !
Il me projeta alors contre la table du salon, et sans perdre de temps, il souleva ma jupe. Je ne pense pas qu’il fut surpris de me voir sans culotte, il grommela juste « salope ». Devant moi, j’avais mes amies, Hélène et Victoria et derrière mon père.
Il enfonça sa bite sans plus attendre. Je poussais un petit cri, j’étais en train de me faire fourrer la chatte par mon papa !
Mes amies ne perdaient pas une miette du spectacle. Je pouvais comprendre, ce n’était pas tous les jours qu’on pouvait voir une grosse salope se faire défoncer par son père… J’aimerais tellement ne pas être moi, ne pas être cette salope… mais je devais me rendre à l’évidence. J’étais la grosse pute, la vraie salope dont tout le monde se gausse des dépravations. Et Hélène était là pour que je m’humilie jusqu’au bout :
« Vas-y salope, demande-lui de te fourrer salement ! Réclame sa grosse queue dans ta chatte pourrie !
— Mais… »
Paf ! Une claque, décidément...
Il fallait que je me montre à la hauteur du rôle qu’Hélène attendait de moi, si mon comportement de pétasse devait servir à une chose, qu’il me permette de garder l’affection de mes amies. Je me mis donc à gémir :
« Oh papa ! Baise-moi fort ! Je veux ta bite si fort, si profond ! Elle est si belle ! Défonce-moi ma chatte de pute. Papa, fourre-moi ! »
Mes paroles produisirent un effet immédiat ; je le sentis me culbuter à cadence redoublée. J’avais honte, mais je sentais ma cramouille avoir des spasmes sous ses coups de boutoir. Je m’agrippais aux bords de la table fermement, mes doigts se crispaient sous l’accélération des pénétrations, je serrais les dents pour ne pas crier.
Hélène dut voir que je prenais plaisir à me faire baiser par mon père :
« Ça fait quelque chose de se faire troncher par son papa, hein salope ? C’est autre chose que les petits merdeux du lycée, c’est une bite de mâle, conçut parfaitement pour te remplir la chatte… Réponds salope !
— Oh oui ! C’est une vraie bite, j’adore ! Papa enfonce-la moi bien profond. Je serais ta pute de fille à jamais ! »
Malgré le plaisir que je prenais à me faire enfiler, je sentis des larmes coulées sur mes joues. Comment pouvais-je dire ça ? Comment pouvais-je demander à mon père de me baiser ?! J’étais vraiment la pire des putains !
Et mon père me traitait comme telle, et comment pouvais-je lui reprocher. Il avait ses mains sur mes hanches, poussait sa queue au plus profond de mon con. Je gémissais, jouissais alors que son rythme accélérait, je sentais les coups de trique s’accumuler. Et finalement le pire arriva, je le sentis décharger son sperme dans mon con, je sentais son foutre se mélanger à ma mouille.
Il se retira, je sentis une claque sur mes fesses. Il avait encore de la colère en lui.
« Prenez cette salope, mettez-la où vous voulez ! Chez vous, dans une niche, au bordel, je n’en ai plus rien à foutre d’elle. »
Je ne pouvais pas affronter son regard, je ne me relevais que quand je fus sûre qu’il était parti. Son sperme me dégoulinant le long des jambes, j’étais seule avec mes amies. On n’avait plus rien à faire ici, j’étais reniée. On sortit de la maison, je me demandais si j’y retournerais un jour.
Hélène nota mon air triste.
« Qu’est-ce qu’il y a ? T’es pas contente ? »
Elle ne manquait pas d’air !
« Contente ? Je viens de me faire baiser par mon père, chasser de chez moi…
— Calme-toi ! Tu as été super... Ton père avait besoin de se défouler, et tu as servi d’agneau sacrificiel. Maintenant il va se calmer.
— Tu crois ?
— Oui, il regrettera peut-être même ce qu’il a fait.
— Vraiment ?
— Où alors il voudra te baiser à nouveau... dans tous les cas dans quelques mois, tu rentreras chez toi et tu verras que tout se sera arrangé ! »
Victoria s’écria aussitôt
« Quelques mois ! Je suis sympa, mes parents aussi ; mais je ne vais pas garder cette traînée chez moi aussi longtemps !
— Allons, je suis sûr qu’elle ne ménagera pas sa peine pour nous remercier de son hébergement, pas vraie Cécile ?
— Oui, bien sûr... »
Je rougissais. J’avais beau m’être fait défoncer par mon père, je craignais ce qu’Hélène pouvait bien imaginer que je lui rende comme « services » dans les semaines à venir.
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