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Avec des amies comme ça…

Chapitre 21

Entubage pour un sondage

Trash
En arrivant au lycée, je m’aperçus bien vite que mes amies n’avaient nulle intention de s’excuser. Lorsqu’elles m’avaient vu aux prises avec le mac, elles s’étaient carapatées et n’avaient pas un instant songé à venir à mon secours. Et je pensais que logiquement, elles allaient vouloir se faire pardonner, ou au moins faire profil bas. Mais en fait, elles n’en avaient rien à foutre de qui avait bien pu m’arriver. C’est à peine si elles me demandèrent s’il m’avait obligé à lui servir de pute, comme si c’était un détail anodin.
Ce qui les intéressa bien plus par contre, ce fut de savoir le nombre de fois que j’avais léché les couilles du vieux monsieur - le père de Victoria - et si cela était bien conseiller pour son âge. Une discussion s’anima entre Jeanne et Lisa sur la question de savoir s’il était normal ou non que je lui avale son foutre.
« C’est curieux qu’il lui ait demandé d’avaler quand même, s’étonna Lisa.
— Ben non, pourquoi ? Les salopes ça se nourrit de foutre, répondit Jeanne
— D’accord, mais un vieux daron vicelard comme lui, il devrait préférer lui étaler son sperme sur la gueule.
— Ben non, il jouit dans la bouche de la pétasse quoi. Il ne va pas sortir son sexe alors qu’il est bien au chaud en train de se faire sucer.
— Ce serait normal... avec une fille normale. Mais avec une salope, c’est mieux de lui gicler en pleine face. C’est comme ça dans tous les pornos que j’ai vu.
— D’accord, mais ça, c’est que dans les pornos. Pour que les gens s’identifient avec l’acteur. Qu’ils imaginent que c’est leur sauce qui est giclée à la gueule de la pétasse d’actrice.
— Mais justement, tu vois, si la personne elle s’identifie ; elle devrait préférer savoir que son jus coule dans la gorge de la pouffe. »
Hélène avait l’air songeuse en écoutant cette discussion, et quand elle intervint, c’était après avoir bien réfléchi au problème.
« La seule façon de savoir ce qu’il en est, ce serait de demandé à un garçon ce qu’il en pense.
— Moi je ne demande pas, intervint aussitôt Jeanne avec timidité.
— Évidemment ! Ce n’est pas à nous de faire ça, c’est à notre salope. Et puis, je me disais, il y a plein de questions de ce genre que je me pose, et ce serait top si la salope faisait un sondage.

— C’est long les sondages. Faut choisir des échantillons représentatifs et faire d’autres trucs mathématiques, affirma Lisa.
— On fera plus simple... on ne va quand même pas se casser la tête. Pour ce qui est de l’échantillon, Fifi n’aura qu’à poser les questions aux garçons de notre classe. Et comme ça, on aura une représentation de 100 % des garçons de la classe, on ne peut pas faire plus juste mathématiquement.
— Génial ! On va au CDI écrire le questionnaire. »
On me fit attendre dehors, toute seule, dans ma tenue obscène… Pas un garçon n’entrait ou ne sortait du CDI sans siffler. Et un bon nombre me prirent tellement pour une salope qu’ils voulaient savoir si je voulais bien les sucer. Heureusement mes amies ne furent pas longues et elles revinrent avec quinze feuilles imprimées. Hélène expliqua ce qu’elles attendaient de moi :
« Aujourd’hui, tu as toute la journée de libre. Tu passes ton temps comme tu veux, mais à la fin des cours je veux avoir les réponses des quinze garçons de notre classe notée sur les feuilles et ce à dix-sept heures précise. On t’attendra ici, et tu nous en feras un résumé complet. Et n’espère pas écrire les réponses au hasard... on fera des vérifications pour être sûre que tu es bien accomplie ta tâche correctement. Si tu n’as pas posé toutes les questions à chaque garçon, tu seras puni d’une façon que tu n’as pas envie de savoir…
— On pourrait la jeter dans la fosse de détritus de la forêt, et l’y laisser tout le Week-end ! proposa quand même Victoria…
— Oui, pourquoi pas… ou même pire… Tu as bien compris Fifi ?
— Oui. »
Je n’avais aucune envie de passer le week-end immerger dans des immondices et aussitôt après qu’elles m’aient donnée les feuilles, je partais à la rechercher d’un des garçons de la classe pour l’interroger.
[…]
Fin des cours, 16 h 58, le même jour...
On avait écrit « Conne » sur mon front, et d’autres choses pires encore à d’autres endroits... Jamais je n’avais été aussi humiliée par ce que je venais de vivre en cette journée. En arrivant devant les quatre filles assises sur leur banc, et même si ces quatre filles étaient mes amies, je me sentais monter en moi une intense colère contre elles. Elles avaient dépassé les bornes de ce qui était acceptable. J’avais vécu une horreur. Poser à quinze garçons les questions que j’avais posées, faire ce que j’avais dû faire… Et j’allais devoir vivre un an en sachant que chaque fois qu’ils me verraient, ils repenseront à ce que je venais de faire aujourd’hui.
Je retrouvais donc "mes amies" dans le hall d’entrée. Elles se marraient sur leur banc en me voyant avancer. Avec la tête que j’arborais, ça n’avait rien d’étonnant. Je finis par me présenter devant elles avec les feuilles complétées. Pendant ces vingt derniers mètres, ma colère avait cédé la place à l’inquiétude. Alors que j’aurais dû montrer mon indignation pour m’avoir forcé à remplir les questionnaires, j’étais soudainement prise par la peur qu’elles n’apprécient pas les réponses et me donnent une punition. Comme je restais sans voix devant elles, c’est Hélène qui parla en premier :
« Alors salope, tu as eu toutes les réponses.
— Oui.
— On dirait que tu t’es bien amusée pour les remplir.
— C’était humiliant…
— Pour une salope comme toi, il n’y a rien qui ne puisse être humiliant. Tu devrais le savoir… Une salope cherche l’humiliation. C’est ça qui l’excite, et elle se vautre dedans !
— Je suis désolée...
— Pour te punir de parler à tort et à travers, retire ta culotte et garde-la dans la main. »
En plein dans le hall, je passais mes mains sous ma minuscule jupette et retirais ma toute petite culotte avec un cœur dessus, elle sentait le sperme et je répugnais à la toucher. Mais après ce que je venais de vivre, c’était peu de chose.
« Maintenant, dis-nous comment tu as obtenu les réponses.
— Je suis allée voir chaque garçon de la classe un à un. Au début il fallait que je me dépêche juste après qu’ils aient quitté la classe pour avoir leurs réponses. Mais c’est vite devenu plus facile, ils ont fait passer le mot que je faisais un "sondage", et ils m’attendaient. »
Je ne précisais pas comme il était gênant que les garçons parlent de moi entre eux, surtout sachant qu’ils devaient accentuer le fait que je me comportais comme une traînée avec le feu au cul.
« Je vois… Alors qu’elles ont été les réponses ? » demanda Jeanne.
Je m’éclaircis la voix. J’avais recopié les quinze réponses sur une feuille unique que je me mis à lire :
« 1ère question : Vous voulez bien répondre à des questions qui concernent votre sexualité ?
Huit ont répondu oui, et sept ont dit non.
Lisa commenta : « Ils sont timides dis-donc, j’aurais pensé que si une salope posait des questions à un type il répondrait automatiquement oui. »
Je continuais : « Question 1A, si "Non", voudriez-vous bien répondre si je vous fais une pipe à la fin du questionnaire ? Là, sur les sept qui ont dit "non", six ont fini par dire oui. Mais ils ont tous voulu s’assurer que je le ferais vraiment. Deux parmi eux ont demandé à ce que je les suce d’avance.
— Ah ah ! Ils sont méfiants… Ils ont raison, qui ferait confiance à une pétasse comme toi ? Tu les as sucés sur le champ, j’espère.
— Oui, enfin, j’ai dû les conduire dans une cabine de toilette.
— Sucer des types dans les W.C. c’est tout toi ça.
— Mais deux d’entre eux, après que je les ai sucés, ont décidé qu’ils n’avaient pas l’intention de répondre, et que j’étais qu’une conne.
— Ils ont raison, t’es une conne… Mais c’est sans doute que tu les as mal sucés, alors… »
Je me sentis rougir de colère. Pendant qu’au moment où moi je suçais un type pour LEUR faire plaisir, elles devaient tranquillement siroter un café. Elles étaient gonflées de critiquer la façon dont je pratiquais les pipes et d’oser me faire des reproches. Mais… je n’avais pas vraiment le choix. Je fis comme une bonne salope devait faire et répondis :
« Je sais, je me suis douté que je n’avais pas été une assez bonne salope et que vous me le reprocheriez. Je lui ai proposé de vous fourrer la chatte s’il acceptait de répondre.
— Ah tu as du sang de pute dans les veines ! on te reconnaît bien là !
— Ils voulaient me sauter d’abord, mais comme je me méfiais après qu’ils aient rompu leur première promesse, j’ai été ferme et ne me suis pas fait enfiler tout de suite.
— Comme quoi, malgré tout tu dois quand même avoir au moins une cellule grise qui traîne dans ta cervelle.
— À la question N° 2...
— Woh, attends ! Toi tu es peut-être conne, mais pas nous... Tu as dit que sur les sept qui ont dit non, seulement six ont accepté après que tu leur aies promis de sucer leur bite… Il en manque donc un… »
J’avais essayé de camoufler ce détail, mais Hélène avait l’esprit vif.
« Oui, l’un ne voulait absolument pas. Je lui ai proposé de me baiser, puis même de me péter le cul, mais il n’y avait rien à faire…
— Et pourquoi ? Qu’est-ce qui s’est passée ? Tu lui as fait peur ? T’étais pas assez salope ? C’est mauvais pour toi ça. Pas du tout professionnel !
— C’est que… en fait, je pense qu’il est gay.
— Et c’est ta seule excuse ? Les gays se sucent aussi ! Et ils s’enculent ! Tu ne t’es pas montrée à la hauteur, ça ne sert à rien de le cacher...
— Je suis désolé. Je ferais tout pour être plus salope à l’avenir.
— Tu as des regrets, c’est bien. Mais il va quand même falloir te punir. Va te mettre sur les genoux de Jeanne pour recevoir une bonne fessée. »
Il ne servait à rien de vouloir m’y opposer. Je savais que si je protestais, je ne parviendrais qu’à rendre ma punition plus dure et plus honteuse encore. Alors, autant en finir le plus vite possible, de toute façon tous les garçons dans le hall me regardaient déjà comme si j’étais la reine des putes, mes amies ne pouvaient pas me faire grand-chose de pire que ce qu’elles m’avaient déjà fait faire.
Comme me l’ordonnait Hélène, je plaçais mon ventre sur les genoux de Jeanne ; celle-ci releva ma jupe laissant voir mon derrière à tous les lycéens de passage. À ma plus grande honte, je réalisais à ce moment que je tenais ma petite culotte souillée dans ma main et que j’étais complètement cul nue. Jeanne ne se fit pas prier et commença à m’assener de fortes frappes sur le cul. Je me mis à pleurer, je ne savais pas trop si c’était dû à la douleur ou à l’humiliation. J’espérais qu’elle ne voulait que me faire peur... mais Hélène précisa :
« Pour une salope désobéissante, il faut que son cul soit bien rouge ! »
Je ne sais pas combien de temps passa, je finis par pousser de petits cris quand à chaque nouvelle claque sur mes fesses j’avais l’impression que je ne pourrais plus jamais m’asseoir. Je pouvais voir qu’un rassemblement autour de moi avait pris forme. Certains prenaient des photos, beaucoup riaient et me montraient du doigt. Finalement Hélène demanda à Jeanne d’arrêter :
« Je crois que la salope à compris la leçon, Fifi, que tu sois face à un gay, un zoophile ou un pervers de la pire espèce, tu dois te montrer suffisamment pute pour être capable de les baiser quand on te le demande, tu as compris ?
— Oui Hélène, je suis vraiment désolée. Je serais la meilleure salope qui soit à l’avenir ! Je le jure !
— Bien, maintenant qu’on a mis ça au point, continu… »
Jeanne desserra son emprise sur moi et je pus me remettre debout. Je vis l’attroupement diminuer autour de moi, même si avec ma tenue je restais au centre de tous les regards des garçons. Mes fesses me faisaient terriblement mal et je continuais ma lecture des sanglots de honte et de douleur dans la voix. J’aurais voulu être partout ailleurs…
« La deuxième question concernait leur race, je devais leur demander s’ils étaient Noir, Arabe, Blanc ou Chinois… Il y avait deux Noirs, trois Arabes, un Chinois et le reste de Blancs. Mais il y a un Arabe qui n’a pas aimé que je parle de race, il a trouvé ça raciste.
— Mais pauvre conne ! Il ne fallait pas le dire à haute voix ! s’exclama Lisa.
— Mais la question…
— Tu devais juste le noter ! T’avais pas besoin de demander à un black s’il est black pour le noter, tu regardais juste leur couleur ! »
Elle était marrante ; si je n’avais pas posé la question, elle aurait capable de dire que j’avais mal fait mon travail… Elle était trop de mauvaise foi. Mais ça ne l’empêchait pas de continuer :
« Maintenant ils vont penser que t’es une raciste, peut-être même qu’ils vont pensé que nous aussi on est des racistes par association avec toi. Ça ne va pas du tout ! Il faut que tu répares ça.
— Je peux aller voir le type qui a fait la remarque et…
— Non, c’est le seul qui l’a dit, mais les autres l’ont sans doute pensé aussi. Même moi je pense que c’est raciste de le dire comme ça. Alors tu vas voir les trois rebeus et les deux blacks et même le noiche. Et t’iras leur dire de ton air le plus salope et de tes yeux de biche : "Je suis désolée d’avoir mal dit, je ferais TOUT pour me faire pardonner." Et t’as intérêt à faire ce qu’ils demandent réparation pour tes propos. »
J’avalais ma salive. Je n’étais pas raciste, mais ce qu’elle me demandait c’était de me faire enfiler par deux queues de noirs et trois d’arabe coup sur coup... Sans compter qu’il y en aurait sûrement pour vouloir me défoncer le cul ! Tout le lycée savait maintenant que j’étais une salope, et après ça, ils allaient en plus penser que j’étais une de ces putes à Black et une bouffeuse d’Arabes, c’était un peu gros à avaler… Mais encore une fois, que faire d’autre ?
« Oui, Lisa, je ferais ça… La question suivante concernait la taille de leur sexe. Aucun n’a répondu moins de dix centimètres. Un seul à estimer sa taille dix et quinze centimètres, six ont répondu entre quinze et vingt et finalement sept ont répondu plus de vingt. Et euh… comme vous le savez, la feuille de question indiquait qu’il fallait que je vérifie s’ils répondaient "plus de vingt centimètres". J’ai donc demandé aux sept qui avaient dit "plus de vingt" qu’ils me montrent leur zgeg. À ce moment trois m’ont spontanément dit que leur bite n’était peut-être pas si grosse que ça. J’ai insisté pour qu’ils la montrent, mais deux d’entre eux ont farouchement refusé que j’y jette un œil.
— Ça devait être de toutes petites bites. Ceux qui se vantent le plus c’est ceux qui en ont les plus petites, c’est bien connu.
— En tout cas, j’ai dû en vérifier cinq. Celui qui a fini par accepter après avoir dit qu’il en faisait moins était fina…
— Hey attends ! Tu nous dis ça comme ça, mais, genre... tu les as débraguettés dans le couloir pour mesurer leur pine ?
— Eh bien, ça a varié selon les cas, quand on était en heure de cours, et que le couloir était isolé… oui. Mais quand il y avait trop de monde, je les ai conduits soit dans les toilettes, soit derrière les escaliers.
— Et ils étaient bien bandés ? Rien qu’à te parler ils devaient avoir la gaule j’espère ?
— Pour la plupart oui… Mais deux parmi eux avait la bite flasque. Alors je les ai branlés jusqu’à ce qu’ils atteignent leur taille maximale et que je puisse les mesurer… L’un a bandé tellement vite, qu’il a joui dans ma main…
— La SALOPE !! Trop classe. Et qu’est que tu as fait.
— J’ai mis ma main à la bouche et j’ai avalé son sperme, je me suis dit que c’est qu’une grosse salope comme moi devait faire…
— Bien raisonné, salope. Alors, ces tailles ?
— Oui… Eh bien, celui qui s’était rétracté sur sa taille faisait en fait tout juste vingt centimètres. Quand aux quatre autres, ils étaient tous en dessous sauf un. Plus précisément, j’ai pris mon double décimètre et l’un faisait neuf centimètres, un autre douze, le troisième treize et le quatrième vingt-quatre. À part celui qui faisait vingt-quatre, ils ont tous dit que je mesurais mal, ou que le froid faisait rétrécir leur queue et que normalement elle était bien plus grosse.
— Le froid !? Il fait plus de vingt degrés… Putain quelle bande de mythos…. Et celui qui fait vingt-quatre centimètres, c’est un des noirs ?
— Non, un blanc.
— Dingue ! C’est fou ça. Tu nous le présenteras bientôt... Je suis curieuse de voir ça. Surtout en action. Je me demande s’il pourrait l’enfoncer complètement dans ton cul. Rien que pour la science, faudra qu’il essaie ! »
Je passais à la question suivante
« La quatrième question me concernait, je devais leur demander comment ils trouvaient mes nichons, s’ils étaient trop petits, trop gros, normaux ou bien proportionnés. La plupart ont eu du mal à répondre, hésitant entre normal et bien proportionnés.
— J’étais sûre qu’aucun ne dirait qu’elle les a trop gros, pourtant c’est de vraies pastèques, critiqua Lisa.
— "Trop gros" pour des seins, ça n’existe tout simplement pas pour les garçons… renchérit Victoria. C’est vraiment tous de sales machos.
— En tout cas, repris-je, je devais aussi leur demander leur avis sur la fermeté de mes nichons, s’ils étaient par exemple trop mous, bien fermes ou gras. Et pour cela je devais... selon vos consignes, les leur montrer et demander de me les tâter pour qu’ils puissent avoir un avis éclairé.
— Ah oui, c’est vrai… Alors ils l’ont fait ?
— Et bien quand je leur ai proposé que j’ouvre mon chemisier, ils ont tous été enthousiastes. Ils m’ont tous peloté un long moment, vraisemblablement beaucoup n’avaient encore jamais touché les seins d’une fille.
— Comme quoi, une salope c’est bien utile dans un lycée.
— Beaucoup sont allées un peu plus loin et m’ont mordillé les tétons.
— T’as aimé ça, hein, grosse pute…
— C’est-à-dire que j’étais souvent dans le couloir, et j’avais peur qu’on me voie les nichons à l’air alors…
— Comment ! On te suce les nénés et t’aimes pas ça !?
— Si si ! me repris-je vite. J’ai adoré ça. Toutes ces langues et toutes ces mains sur moi. J’étais excité comme une grosse truie. J’étais pleine de mouille.
— Mouais, » Hélène semblait septique, « Je pense que tu devrais passer plus de temps à t’exhiber, une salope devrait adorer qu’on puisse la surprendre alors qu’elle est à moitié, ou complètement, à poil. Faudrait qu’on t’apprenne ça, tu pourrais faire des webcams pornos peut-être… Qu’est ce que t’en penses Fifi ? »
Je trouvais l’idée tout simplement dégradante, montrer mon corps juste pour faire triquer des mecs c’était de la perversion. Je visualisais déjà ces sales porcs en train de me reluquer comme une bête de foire, de sales types en train de m’imaginer leur faire des choses affreuses… C’était répugnant. Son exhibitionnisme, Hélène pouvait se le mettre où je pense… Cependant il était hors de question que je réponde ça.
« Si tu penses que c’est une bonne idée… moi je ne suis qu’une salope alors mon avis… Mais en ce qui concerne la fermeté de mes nichons, ils ont trouvé ça assez mou… Mais ils ont bien aimé quand même ! me sentis-je obliger de préciser.
— Ce qu’ils aiment je m’en fiche, répliqua Héléne. Ça veut juste dire que t’es pas assez excité quand on te pelote les loches, la preuve c’est qu’ils devraient être bien durs… Si tu n’arrives pas à être excité quand on te malaxe les lolos, on utilisera des glaçons pour mettre tes tétons au garde-à-vous. »
Je frissonnais rien qu’à l’idée. Mais plutôt que de m’appesantir dessus, je repris la lecture des réponses au questionnaire :
« La question cinq concernait la chatte des filles. À savoir de quelle façon une femme doit se tailler la toison pubienne pour avoir une forme idéale… avec comme choix possible : "Ticket de métro", "complètement rasée", "forêt vierge", "en cœur", "autre". Et bien sûr, je devais leur montrer ma chatte pour les aider à visualiser. »
Cette fois, ce fut Jeanne qui m’interrompit :
« Comment ta chatte pouvait les aider à visualiser… elle est juste super mal taillée.
— C’est vraie Jeanne, c’est pourquoi je leur ai proposé d’utiliser les ciseaux pour la taillée à leur goût.
— Mais… Ils peuvent la tailler qu’une fois…
— Oui… Le premier à utiliser mes ciseaux, et à tailler mes poils en forme de ticket de métro. Ça lui a beaucoup plu, ainsi qu’aux quatre suivants. Mais le sixième a pensé qu’une chatte entièrement rasée aurait meilleure allure… et… » là, je dus faire un effort pour ne pas pleurer. « Il m’a coupé tous les poils…
— Sérieux ? Ça veut dire que t’as maintenant la une chatte de petite fille ? Une grosse salope comme toi ? demanda Lisa
— Oui…
— C’est trop drôle ! Je suis curieuse de voir ça.
— D-d-donc, au final, sept sont favorable au ticket de métro, deux à la forme en cœur, quatre à la chatte complètement rasée, et un a pensé que je devrais avoir la chatte en forme de "S".
— De "S" ? s’étonna Victoria.
— Oui. Il a dit : "Un S comme Salope !"
— Ah ah ! Excellente suggestion. On verra ça à mesure que tes poils repousseront.
— En attendant, on pourrait la talquer, comme un bébé ! Ce serait rigolo, proposa Lisa.
— En plus c’est vrai qu’elle est trop idiote pour faire quoi que ce soit toute seule… T’es une vraie demeurée… dis areuh !
— Areuh ! Areuh !
— Comme elle fait bien, je suis trop impatiente qu’elle vienne en cours en couche-culotte, la chatte talquée et une tétine dans la bouche… »
Encore une perspective horrifiante… J’enchaînais vite sur la prochaine question en espérant qu’elles oublient leurs idées sadiques.
« La question six… je leur ai demandé comment une salope comme moi devrait être surnommée ? Et si "Fifi" leur plaisait. Alors pour quatre d’entre eux, ils ont pensé que comme j’étais une salope, « salope » serait un très bon nom, très précis, très rigoureux…
— Peut-être... c’est descriptif, mais tout le monde sait déjà que t’es une salope, ça fait un peu un peu tautologique.
— Deux ont pensé à « Poufiasse » deux autres à « Chienne »
— Ah, c’est un peu nul, mais ça va bien avec Fifi…
— Un a proposé « Clara Morgane », un autre « La suçeuse », mais aussi « La pute » et « garage à bite », et finalement l’un d’eux a dit que je devais juste être sifflé comme une chienne.
— AHAHAHAH ! Excellent ! Tu iras le remercier pour cette idée. Et d’ailleurs, tu devrais faire ça à chaque fois qu’un mec te siffle. Tu vas vers lui au petit trot et tu fais la belle comme une chienne qui réclame un sucre, sauf que tu demandes s’il a besoin que tu lui suces la bite ! Ce sera trop drôle ! »
Je ne trouvais pas ça drôle, pas drôle du tout.
« Dix ont trouvé "Fifi" très adapté à une salope comme moi. Deux se sont abstenus, et deux étaient contre… Ils ont trouvé que ce serait injurieux envers les chiens.
— Ils n’ont pas tout à fait tort pour le coup. Peut-être que pour te faire pardonner vis-à-vis des cabots, on devrait t’organiser un gangbang canin… C’est à creuser en tout cas. »
Quelle horreur, j’avais déjà eu une expérience avec un de ces stupides cabots et mon vœu le plus cher était de me tenir loin de ces horribles bêtes.
« La septième question concernait mes fesses : sont-elles trop fermes, trop grasses ? Et pour que chaque élève mâle puisse bien s’en rendre compte, je devais, selon le questionnaire, les encourager à me peloter et à me fesser le cul.
— T’as adoré ça, pas vraie salope ?
— Oui Victoria… Une salope comme moi adore qu’on la touche et qu’on la baise, répondis-je presque automatiquement.
— Et tes fesses alors… comment elles sont ?
J’étais un peu outrée qu’elles ne m’interrogent pas plus que ça sur l’épreuve que ça avait été pour moi de me faire toucher les fesses par les sales mains de tous ces garçons, et de la manière dont j’avais reçu des tapes sur le derrière. J’avais eu l’impression d’être considérée comme une vache lors d’une foire agricole, sauf que... même pas. Je n’étais pas jugée pour mon utilité ou mes capacités comme le sont les vaches… mais en fonction du fait que je sois bonne à baiser ou pas.
— D’après le sondage, deux les ont trouvés trop fermes, huit trop grasses, et quatre "tout à fait baisable"…
— Huit pour trop grasses... quand même, c’est beaucoup…
— C’est-à-dire que ceux qui ont répondu ça sont ceux qui les ont pelotées le plus longtemps… Je crois qu’ils les aimaient comme ça en fait…
— Combien de fois il faut qu’on te le dise ! On ne te demande pas ton avis pétasse… Par contre, j’ai pas envie de m’user les mains à fesser un cul trop ferme, répliqua Victoria.
— Bah, si ça arrive, on utilisera une règle ou une branche. On n’est pas obligée de se fatiguer à utiliser nos mains… Et puis on a déjà "nos empreintes" qui lui marquent le cul... pas la peine de continuer à nous fatiguer.
— T’as raison Lisa, approuva Hélène, dorénavant tu te muscleras le cul, et on utilisera nos règles pour te fesser, si par exemple… et bien, si ton cul n’est pas assez ferme. C’est un bon incitatif non ?
— Oui… répondis-je, désespérée. La huitième question était : « Comment puis-je avoir l’air encore plus salope ? » Avec comme choix de réponse « des vêtements plus sexy », « un tatouage de pute », « en changeant mon attitude. » Tous ont trouvé que mes vêtements étaient déjà dignes de la pire des salopes et que je n’avais qu’à continuer sur cette voie. Par contre plus des deux tiers ont apprécié l’idée d’un tatouage. Et presque tous ont pensé que je pourrais avoir une meilleure attitude. Quand j’ai demandé des précisions ils ont expliqué que je devais me comporter comme une plus grosse pétasse, que, par exemple, je ne remuais pas assez du cul ou que je ne proposais pas assez souvent de « me faire défoncer la chatte » et que, grosso modo, je n’avais pas l’air d’être assez enthousiaste à l’idée de me faire tringler vite fait à la sortie d’un cours…
— On ne peut pas leur donner tort… Combien de mecs de la classe avais-tu baissés avant aujourd’hui ?
— Mais… C’est que j’étais vierge il y a encore…
— Tu vois… Tu ne faisais vraiment aucun effort. Heureusement que tu nous as rencontrés. Avec nous je peux te jurer que tu vas devenir la traînée du lycée. D’ici la fin du trimestre, il n’y aura pas un garçon qui ne t’aura pas fourré par chacun de tes trous… Et je ne parle pas seulement des garçons de la classe, on va te faire baiser tout le lycée, tu serais la reine des pipes, tu auras le trou du cul tellement élargi que d’ici la fin de l’année on pourra y faire entrer des concombres entiers… Je me demande comment tu arrivais à te présenter en classe en étant vierge… Tu n’avais pas honte ?
— Euh… s-s-si… Je…
— Et qu’est ce que tu ressens à l’idée de devenir le dépotoir à foutre de l’école ?
— Je…
— Attention, si tu réponds mal, tu auras droit à une fessée bien violente.
— Je… je suis honorée… Je suis vraiment impatiente de me faire baiser par tous mes camarades. C’est vraiment ce pour quoi je me sens faite… J’adore sucer des queues et me faire défoncer la chatte… »
Je rougissais, et quelque part je me rendais compte à quel point tout cela était cruel. C’étaient mes amies, je dépendais d’elles, j’étais prête à tout pour elles… Alors pourquoi m’infligeaient-elles ça ? C’était vraiment… Méchant. Je voulais retrouver ma vie d’avant, quand on ne me demandait pas de faire toutes ces choses… Mais évidemment, ce n’était plus possible, il était trop tard pour ça... Je fis donc ce que j’avais à faire et lisais les dernières réponses du sondage :
« Neuvième question… "Si je vous suçais, préfériez-vous me gicler à la gueule ou que j’avale votre foutre ?" Quatre ont répondu qu’ils préféraient que j’avale, et dix qu’ils adoreraient m’asperger ma "face de pute" de leur sperme… Cependant, la moitié d’entre eux ont ensuite précisé qu’après l’avoir fait pour se marrer, ils préféraient ensuite me décharger leur sauce dans la gorge.
— Hum… Donc, ça fait plus des deux tiers qui préfèrent qu’on leur avale leur jus… J’en étais sûr, affirma Jeanne.
— Dixième et dernière question. Je devais leur demander de penser au mot qui me décrivait le mieux ; puis de l’écrire sur mon corps à l’endroit de leur choix, sans que je regarde. Pour cela je leur ai confié le feutre noir indélébile que vous m’aviez remis.
— On voit ça... Y en pas mal d’apparents, t’as l’aspect d’un mur à graffiti... »
D’abord, elles firent le compte de ce qui était visible, chaque fois commentant le mot, trouvant qu’il était bien trouvé et tout à fait adapté à ma personne. J’avais « conne » écrit sur le front, « salope » sur la jambe gauche, « pute » sur celle de droite. Elles avaient déjà eu l’occasion en me fessant de voir « trou à pine » avec deux flèches indiquant mon trou du cul. Mon ventre était marqué de « Sac à foutre. » Sur le bras droit « Chienne » et « Truie » sur le gauche. Mais bien sûr, mes amies n’allaient pas se contenter de ce qui était visible. Elles me demandèrent de soulever chacun de mes vêtements pour montrer ce qui était encore dissimulé. Au-dessus de ma chatte « garage à bite ». Sur ma poitrine commençant sur un nichon et finissant sur l’autre était inscrit « Grosse Pétasse », dans mon dos « Paillasse à sperme » et pour finir, on avait dessinée une bite pleine de poil sur une de mes joues.
Mes amies glapissaient de joie à la découverte de chaque nouvelle inscription. Trouvant que j’étais exactement comme il était écrit. Je me rendais compte que dorénavant j’étais vraiment marqué comme la salope du lycée, tout le monde le savait, et personne ne l’oublierait. Je ne pouvais aller que droit dans le mur, et pour la première fois, je me demandais si, tant qu’à me crasher, je ne pouvais pas en emmener mes amies avec moi…
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