Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 9 J'aime
  • 1 Commentaire

Avec un escort boy

Chapitre 2

Gay
Avec un escort boy (2)

Après ce baiser, Klaus qui m’écrasait de son poids, s’écarta et s’allongea le long de mon flanc droit. La tête rehaussée par l’oreiller et les mains glissées sous sa nuque, une jambe étendue et l’autre à moitié repliée, le sexe mollement reposé sur la première, il était superbe. Tout son être dégageait une impression de jeunesse et de virilité. A cette vue ma verge avait repris toute sa vigueur et je ne pus m’empêcher de lui dire :— J’ai encore envie de toi, de ta peau, de tes bras, de tes jambes, de ton sexe et de tes fesses.— Nous avons toute la nuit. Tu pourras faire ce que tu veux de moi. Par quoi veux-tu commencer ?— Par ton cul. J’ai toujours fantasmé sur les culs des jeunes gens mais Je n’ai jamais pu caresser les fesses d’un homme. Les tiennes sont excitantes.— Alors vas-y, prends en possession. Ceci aussitôt dit, Klaus se retourna sur le ventre, m’exposant son superbe cul rebondi, couvert d’un léger voile de poils blonds et sa raie ombreuse. Sans hésiter, j’y posai les mains et commençais à les caresser. Elles étaient fermes sous mes doigts qui les pétrissaient sans retenue. Attiré par le pli interfessier, j’y glissais le majeur et l’explorais de haut en bas, langoureusement. Mon amant m’encourageait de la voix et se trémoussait du cul. Mon doigt se posa enfin sur le petit trou plissé, chaud et humide, de son anus. J’hésitais à pousser plus loin, mais Klaus m’enleva toutes mes réticences.— Vas-y Jacques, enfonce ton doigt dans mon intimité et prépares mon cul à te recevoir. Pourquoi hésites-tu. Je t’appartiens pour toute la nuit et, crois moi, j’y trouve aussi mon plaisir. Stimulé par ces paroles, j’introduisis mon majeur dans son anus, profondément. Il s’enfonça aisément, après avoir écarté un sphincter souple et mouillé et tâtait les parois de son rectum. Je sentais ce muscle se contracter sur mon doigt irrégulièrement et cela me fit frissonner. J’étais en sueur et mon cœur battait la chamade. J’essayais d’introduire un second doigt et j’y parvins assez facilement. Klaus était complètement décontracté et ouvert, offert à mes fantasmes jusqu’ici inassouvis. La courbe de ses reins était légèrement humide, de même que sa nuque et il haletait doucement. Un troisième doigt rejoignit les deux premiers et je du cette fois forcer le passage. Mon partenaire laissa échapper un petit cri de douleur. Aussitôt je retirais mes doigts de son anus et pris soudain d’une envie nouvelle, jamais encore ressentie, je commençais à embrasser ces fesses magnifiques, le creux des reins, le dos, les épaules, la nuque de cet homme livré à mes passions, puis redescendais vers le cul, pour enfin me risquer sur la raie des fesses. Klaus redressa son cul, me disant :— Suce moi maintenant, pénètre-moi avec ta langue. Ne crains rien, e me suis lavé avant de venir. Surmontant mes réactions de dégoût et stimulé par ces paroles, je léchais d’abord timidement ce petit trou si sensible. Il avait un goût salé et acide mais pas désagréable. J’allais plus loin et poussais du bout de la langue, écartant la peau plissée de l’anus, puis l’anneau musclé du sphincter. Sans difficulté ma langue pénétrait dans l’intimité de Klaus, que je sentais frémir de tout son être sous cette caresse spéciale. J’insistais et entrais un peu plus en lui, léchant ses parois internes. Mon amant ne restait pas inactif pendant ce temps et de la main tendue en arrière, il m’avait saisi le vit et me le branlait doucement. Jamais mon membre n’avait été aussi tendu et dur, ni ma libido aussi excitée. Je dégageais ma langue, me redressais et tapant sur les deux fesses de Klaus, puis lui écartant les cuisses, je me plaçais à genoux entre celles-ci. Comprenant aussitôt mon désir, mon partenaire se mit en position de levrette, me tendant son cul bien ouvert.— Prends moi maintenant. Tu es bien chaud et moi aussi. Arroses moi de ton jus, comme tu le faisais avec ta femme. Je pointais ma verge bandée vers son œillet, posais mon gland violacé et baveux sur celui-ci et m’enfonçais d’un seul coup brutal dans ce cul de mec qui m’était offert. Mon premier cul de mec ! Quelle jouissance de pénétrer ainsi cette intimité et de sentir mon zob enserré par un muscle agité de contractions, dans ce milieu brûlant et humide. Déchaîné, tous les muscles bandés, soufflant comme un phoque, couvert de sueur, je défonçais ce cul de mec à grands coups de bite, jouissant pleinement de ce corps masculin écrasé sous mon poids et frémissant sous mes assauts. Mes couilles frappaient en cadence ses fesses vaincues et ma main droite, passée sous la cuisse de Klaus, lui pressait les testicules et lui masturbait la verge. Je n’ai pas tenu très longtemps, hélas ! Dans un hurlement de triomphe et de jouissance, j’ai brusquement éjaculé au plus profond du cul de mon amant, l’inondant de ma semence encore abondante, avant de m’écrouler sur lui. Peu après, sous la stimulation de ma main, Klaus jouissait à son tour et répandait son sperme blanc et opalescent sur mes doigts et le drap du lit.— Sacrebleu, tu es resté très vert pour ton âge. Je n’ai pas joui ainsi depuis pas mal de temps. Quelle vigueur !— C’est toi qui m’inspires et ravive ma libido assoupie. Ma verge, toujours enfoncée dans le cul de mon amant, débandait doucement et j’essayais de prolonger cet instant magique, tout en léchant mes doigts couverts du jus de mon jeune partenaire, âcre, odorant et visqueux. Finalement ce n’était pas mauvais et j’en étais surpris, car je n’avais jamais essayé auparavant, ni avec un homme bien sûr, ni même avec mon propre sperme. Je me retirais enfin et Klaus se retournait pour venir me nettoyer le sexe de ses lèvres pulpeuses, puis m’embrasser avec douceur et sensualité. Nous nous sommes reposés un moment, nos corps entrelacés.


Patrocle
Diffuse en direct !
Regarder son live