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Avec un escort boy

Chapitre 4

Gay
Avec un Escort boy (4)

Depuis que Klaus m’avait déniaisé, je faisais régulièrement appel à lui chaque fois que le démon de midi me faisait fantasmer, pour une nuit de chaud corps à corps. Je ne me lassais pas de son corps jeune, musclé et viril, de sa verge dure, longue et fine, de ses couilles lourdes et duveteuses, de sa semence abondante et onctueuse et de sa gentillesse. L’été approchant, je m’étais laisser séduire par une annonce pour une croisière en Méditerranée. Aucun de mes fils n’étant disponible pour m’accompagner, je songeais à mon Escort boy avec, je l’avoue, infiniment d’espoir. Je lui téléphonais donc. Klaus hésita d’abord, ayant déjà des engagements, puis parvint à se libérer et nous convînmes des conditions. Je lui payais la croisière et tous les extras qui vont avec et il aurait la possibilité de louer ses services à bord si l’occasion se présentait. Le 5 juillet, nous nous retrouvions à Orly, pour prendre le vol de Marseille. J’avais décidé de le faire passer pour mon fils, ne souhaitant pas apparaître comme un vieux saligaud qui se paye un jeune mec. A 17h nous embarquions sur le « Mistral » et découvrions notre cabine. J’avais demandé deux lits séparés pour sauvegarder les convenances. Le premier soir, après le dîner et le spectacle nous avons regagné notre cabiner, nous sommes dévêtus, avons pris une douche à tour de rôle, avons rapproché les deux lits et nous sommes couchés, à poil, l’un contre l’autre. Grisé par la perspective de l’avoir à moi pour une semaine, sevré de sexe depuis presque un mois, je me jetais sur lui et le possédais à trois reprises, avant de m’effondrer, épuisé, les bourses vides et le vit débandé. Alors qu’à son tour il me pénétrait doucement, pour une sodomisation sensuelle et profonde et éjaculais dans mon cul, il me glissa à mi-voix : « Tu ne voudrais pas qu’on essaye avec d’autres mecs ? Il y en a plein ce bateau et je suis certain de parvenir à en dégotter au moins un ou deux ». A ces mots j’eus une érection brutale, qui répondit pour moi. Il me flatta le sexe, me dit « bonsoir » et se retourna pour dormir. J’eus du mal à en faire autant, des images de sexe à plusieurs m’occupant l’esprit et maintenant la raideur de ma verge échauffée et encore gluante de sperme. Le troisième jour, alors que nous étions en mer, Klaus vint me rejoindre au bar de la piscine où nous avions rendez-vous et me dit, triomphant, « j’ai trouvé ». Il me montra alors un homme dans la trentaine, brun de poil et de peau, bien bâti, avec un cul splendide et un beau sexe, soulignés par son slip de bain rouge, qui s ‘apprêtait à plonger. « Un client. C’est pour cette nuit » ajouta Klaus en souriant. « Il m’a dragué ce matin sur le pont. Je l’ai allumé et il a accepté mes conditions » précisa-t-il encore. Je contemplais longuement ce mec qui allait profiter des charmes de Klaus. Je l’enviais et le détestais instinctivement. Mais je ne protestais pas, cela faisait partie du contrat après tout et Klaus était libre. Ce soir là mon Escort m’a quitté après le dîner, pour rejoindre son client et je suis allé tuer le temps au casino du bord. Après avoir perdu pas mal d’argent, écœuré, j’ai regagné ma cabine et me suis couché. Nu dans mon lit, je me tournais et retournais, cherchant en vain le sommeil. Hanté par des visions érotiques où je croyais voir Klaus sodomiser son beau client, je ne pouvais m’empêcher de me branler par moments, me retenant cependant d’aller jusqu’à la jouissance. Lorsque Klaus est rentré, peu après 1h du matin, je ne dormais toujours pas. La bite raide, je l’ai entendu se déshabiller dans l’obscurité. J’ai alors allumé la lumière et l’ai contemplé, debout au pied du lit, son superbe corps de jeune mâle exposé sans pudeur à mes regards lubriques. Je tendis la main pour l’attirer sur le lit et pressais mon visage contre son flanc, respirant avec délice cette odeur de sueur et de sperme, arômes virils entre tous, qui émanaient de sa peau si douce et de ses poils blonds et souples. Repoussant mes draps, je me jetais sur lui en lui murmurant « Je t’attendais. J’ai envie de toi. Tu sens le stupre et cela m’excite. Sens ma verge dressée depuis des heures dans l’attente de ton petit cul ». Mon Escort n’a pas faibli, malgré un début de nuit qui avait dû être chaud. Il s’est mis en 69 et a pris mon vit bandé dans sa bouche. Je fis de même avec son sexe, qui ne tarda pas à se raidir et se redresser, vigoureux et encore plein de sève. Lorsqu’il eut repris toute sa vigueur, il me retourna, saisi à deux mains les globes de mes fesses pour les écarter et, sans autre préliminaire, introduisit sa verge, d’un coup sec, jusqu’au fonds de mes entrailles. Dix minutes plus tard, après des assauts violents et répétés, nous jouissions ensemble et je sentis sa semence chaude remplir mon rectum, alors que je répandais la mienne sur le drap. Enlacés, nous nous sommes endormis sans coup férir, jusqu’au matin. Au réveil, laissant Klaus récupérer, j’ai commandé le petit déjeuner dans la cabine. Lorsque le garçon de cabine a frappé à la porte, je n’ai plus pensé que j’étais en tenue d’Adam et je lui ai ouvert. Surpris, il m’a regardé, a souri et m’a dit « Bonjour », tout en s’approchant de la table pour y déposer son plateau. C’était un jeune Arabe, mince et élancé, en pantalon noir et chemise blanche. Se retournant, il regarda Klaus, étendu nu sur le lit. Je voyais le regard égrillard qu’il fixait sur le sexe de mon amant de la nuit, visiblement intéressé par cette verge non circoncise, en semis érection matinale.Enhardi, je lui saisissais le bras au passage et demandais « Viens nous rejoindre dès que tu seras libre ». Les yeux luisants, le sourire aux lèvres, il me répondit « Pas avant 11 heures. Je viendrai faire votre cabine » et il sortit en refermant soigneusement la porte. Réveillé, Klaus avait entendu. « Bravo. Tu as vite et bien réagit. Ce petit Arabe doit avoir une belle gaule et semble bien chaud. Nous allons nous régaler ». Je lui répondis en riant : « il nous faut prendre des forces et nous préparer. Un bon petit déjeuner et une bonne douche devraient suffire ». Assis côte à côte, nos corps encore maculés des traces de la nuit, nous avons déjeuné, non sans nous caresser parfois ou flatter nos sexes ou encore échanger des baisers profonds. Nous étions fins prêts, à poil sous nos peignoirs de bain, lorsque deux coups discrets à la porte annoncèrent la présence de notre nouveau partenaire. Je le fis entrer et refermais la porte au verrou. Sa chemise et son pantalon lui furent vite ôtés par nos mains fébriles, révélant son corps brun et peu poilu, couvert de son seul slip noir, visiblement bien rempli. Pas intimidé du tout, le garçon se collait à Klaus pour lui faire savourer une pelle insistante, alors qu’une main brune s’insinuait sous mon peignoir pour venir tâter, puis caresser, enfin masturber mon vit au garde-à-vous. N’y tenant plus, je passais ma main gauche sous l’élastique de son slip, tirait un peu sur ce dernier pour dégager le haut des fesses et glissait un doigt dans sa raie chaude et humide de sueur. Il mouillait le bougre ! Tout en m’agenouillant devant lui, je fis descendre son sous-vêtement jusqu’à ses pieds, laissant apparaître un magnifique organe viril, épais, long, circoncis, au gland rose foncé de la taille d’une châtaigné, légèrement recourbé vers le nombril, brun foncé et parcouru de veines apparentes et gonflées. Au-dessous pendaient deux couilles lourdes et velues, encore plus sombres que le vit et qui semblaient gonflées de sève. Les jambes musclées et couvertes de poils noirs, le cul bombé et orné d’une fine toison sombre, venaient compléter le spectacle excitant qui se présentait à moi. « Vas-y, suces moi » me dit le jeune Arabe, en approchant son zob odorant de mes lèvres et en poussant ma tête vers le bas. Je ne me fis pas prier et je pointais ma langue sur son méat suintant, léchant une perle de son nectar, puis j’entourais son gland de mes lèvres serrées, appréciant la douceur de cette peau veloutée et le goût acre de ce vit palpitant. En même temps, de mes deux mains, je saisissais ses bourses contractées, faisant rouler ses testicules dans leur enveloppe. De son côté Klaus avait retiré son peignoir et prenant notre jeune mec par les épaules, venait se coller contre son corps, sa verge frottant le cul du bel Arabe. Pas farouche, ce dernier faisait bouger son arrière train, tantôt pour enfoncer son membre dans ma gorge, tantôt pour presser son cul contre la bite de mon Escort.A ce petit jeu érotique, nous nous sommes vite enflammés et pendant que je pompais cette barre dure et gonflée et au goût fort, Klaus ramonait les fondements de notre garçon de cabine qui râlait de plaisir sous nos assauts et en demandait toujours plus. Une vraie bête de sexe ! En plus il était résistant et c’est après vingt minutes d’efforts que nous avons enfin éjaculés, presque au même moment. J’avalais la semence abondante de mon Arabe, alors que celui-ci recueillait dans son antre humide le sperme de Klaus et que je jouissais dans mon peignoir et sur la moquette de la cabine. « Je m’appelle Karim. Je suis de Tunis. Appelez-moi quand vous voudrez au n° 733. Je viendrais dès que je serai libre» nous dit notre partenaire en se rhabillant rapidement, sans même nettoyer sexe et cul, avant de disparaître., nous laissant là, les verges pendantes, comme des couillons, alors que nous espérions encore d’autres plaisirs en compagnie de cet éphèbe exotique. Après une bonne douche chaude, nous nous sommes vêtus et avons gagné le restaurant pour déjeuner. A notre retour la cabine avait été nettoyée et rangée et un petit mot posé sous le téléphone indiquait : « Merci messieurs. A charge de revanche. ». C’était signé : « K », avec en dessous « maître ou esclave ? »
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