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Avec un escort boy

Chapitre 6

Gay
Avec un Escort Boy (6 et fin).
Le soir, après le spectacle, Klaus mon Escort, m’a laissé pour passer le début de la nuit avec un nouveau client, un antillais de grande taille. Ayant regagné notre cabine, j’y retrouvais Karim, qui préparait les lits pour le soir. Il m’annonça qu’un groupe d’une vingtaine d’homosexuels était à bord et avait retenu le bar de nuit pour une soirée privée le lendemain soir. Karim avait été désigné pour tenir le bar et servir nu, avec seulement une ceinture dorée autour de la taille. Il en était tout excité. « Vous devriez venir » me dit-il avec gourmandise, « il doit être possible de vous faire inviter ». Lorsque Klaus revint au petit matin, j’étais réveillé. Pendant qu’il se déshabillait pour prendre une douche, je le mis au courant de ce que m’avait dit Karim. Intéressé, il me dit avec un sourire : « Je vais voir avec Daniel. Il connaît peut-être ce groupe ». Le lendemain en effet, pendant l’excursion de l’après-midi, il me glissa à l’oreille : « C’est arrangé pour ce soir. Daniel fait bien partie du groupe et nous sommes invités à nous joindre à eux. C’est pour 22h ». Ce dernier soir, après le dîner de gala, nous sommes retournés à notre cabine, avons retiré nos smokings, pris une bonne douche et revêtu un simple pantalon de toile, une chemisette et des chaussures, sans sous-vêtement ni chaussettes. A 22h pile, n’y tenant plus, j’ai entraîné mon Escort vers l’ascenseur et nous sommes descendus jusqu’au dernier pont, pour enfin nous diriger vers le Night Club, à l’arrière du paquebot. La porte en était close, mais Klaus avait le code et a frappé selon un rythme convenu. Dès la porte franchie, nous nous sommes retrouvés dans une petite entrée éclairée d’une lumière bleue et un serveur noir que j’avais déjà remarqué au restaurant du bord nous a accueilli. Il était nu de la tête aux pieds, montrant un pubis agrémenté de bouclettes noires, des couilles sombres et volumineuses et une tige noire, longue et épaisse. Une ceinture dorée enserrait ses reins. Il nous tendit des sacs poubelles en nous invitant à y mettre nos vêtements. Nous fûmes rapidement à poil, nos légers atours enfouis dans les sacs. Il nous a alors indiqué l’entrée du bar, fermée par un rideau de perles. Le bar était éclairé de lumières tournantes, multicolores et une dizaine de mecs, tous à poil, étaient en train de boire au comptoir ou de deviser, un verre en main ou encore affalés dans des fauteuils. Instantanément, j’ai senti ma bite frémir et commencer à se redresser. J’étais gêné, mais Klaus m’entraîna vers le bar où il avait reconnu Daniel. Celui-ci nous embrassa, en se serrant contre nous, ce qui accentua encore mon érection. Se tournant vers un homme dans la cinquantaine, cheveux drus et grisonnants, ventre replet, sexe petit et gros, noyé dans des poils gris, il nous présenta : « Antoine, voici les amis dont je t’ai parlé. J’ai passé des moments extra avec eux ». L’homme, avec un sourire accueillant nous dit : « Bienvenue au club ». Les yeux fixés sur ma teub bandée, il ajouta : « Je vois que vous êtes prêt à participer à nos ébats.. Bonne soirée ». D’une tape sur mes fesses, il marqua sa satisfaction et se tournant vers Karim, il commanda : « un whiskies pour monsieur ». Je reconnus alors, derrière le bar, notre garçon de cabine, en tenue d’Adam, une ceinture dorée nouée autour de la taille. Plusieurs autres mecs étaient rentrés derrière nous et la compagnie semblait complète. Le noir de l’entrée, après avoir verrouillé la porte, nous a rejoint et s’est occupé de la sono. C’était le DJ. Tout en l’admirant, je vidais mon verre lorsque je sentis des mains me caresser le cul. Me retournant, je vis un bel athlète antillais à la peau chocolat, aux attributs virils imposants, d’une couleur plus sombre, terminés par un gros gland brun. Je reconnus l’un des clients de Klaus., il me prit par les épaules et me dit : « Viens danser ». Hypnotisé par la beauté de ce mec et la puissance mâle qui s’en dégageait, je me laissais aller dans ses bras et me collais à son corps musclé, ma verge raide contre son bas-ventre, mes couilles contre son sexe encore mou. Nous sommes ainsi partis sur la piste dans un slow languissant. J’ai aperçu Klaus, dansant près de nous, avec le gros Antoine, qui lui triturait les fesses. Mon cavalier, qui m’avait dit se nommer Barthélémy, me pressait de plus en plus fort contre lui et je sentais son gourdin grossir et raidir entre mes cuisses. La fièvre du désir s’emparait de tout mon être. Faire l’amour avec un noir était l’un de mes fantasmes depuis que j’avais découvert ma bisexualité. Le moment était grisant et tout en dansant, je frottais mon vit dur et brûlant contre le ventre de Barthélémy. Lorsque la musique s’est arrêtée, il m’a entraîné vers un canapé, placé contre un mur, tout près du poste du DJ. Là il m’a embrassé sur la bouche, les mains sur mes fesses, sa verge maintenant dressée vers son nombril, comprimée contre la mienne. Nos langues se sont emmêlées, tandisque de mes deux mains je lui caressais les épaules, le dos, les reins et enfin le cul. Lorsqu’il m’a doucement poussé sur le canapé, je n’ai pas résisté et me suis étendu sur le dos, exposant à ses yeux me couilles contractées de désir et ma verge palpitant sur mon ventre. Il s’est agenouillé près de moi, s’est penché vers ma virilité et a gobé mon gland, le caressant de sa langue humide et salivant abondamment. J’ai gémi bruyamment sous cette caresse et j’ai tendu le bas de mon corps vers cette bouche chaude. Ma main gauche, pendante a touché sa cuisse, ce qui a déclenché un mouvement vers le sexe de Barthélémy, que j’ai enserré. Lui me suçait avec ardeur, pendant que je le masturbais. Le DJ, qui venait de mettre un nouveau disque de musique tonitruante, s’est avancé vers ma tête posée sur l’accoudoir du canapé et m’a présenté sa bite déjà raide. Un énorme barreau noir, long, épais, terminé par un gland sombre qui suintait. Sans honte, j’ai avalé ce gland qui remplissait ma bouche. Barthélémy a alors abandonné ma verge, s’est redressé, agenouillé de part et d’autre de ma poitrine et m’a présenté à son tour son gourdin à sucer. Je me suis appliqué, léchant tour à tour ces deux magnifiques pénis noirs, tiraillant leurs couilles lourdes de ma main gauche, tout en me masturbant de la droite. Echauffés mes partenaires m’ont introduit avec peine leurs deux bites dans ma bouche distendue et commencé à me baiser ainsi. Mais c’était trop pour moi et je me reculais, préférant les sucer séparément. Finalement Barthélémy s’est retiré, me laissant faire une fellation profonde au DJ et de nouveau agenouillé, m’a soulevé les jambes, écarté les fesses, et s’est mis à me lécher la raie des fesses, puis l’œillet. Ayant beaucoup salivé, il a introduit le bout de sa langue, préparant mon cul. C’était délicieux ! Mon sphincter s’ouvrait sous cette caresse et la langue intrusive s’enfonçait un peu plus, balayant les parois de mon rectum. Klaus et son nouveau partenaire Antoine, s’étaient rapprochés et nous regardaient, tout en se masturbant réciproquement. Antoine se mit à palper les fesses du DJ, qui se contracta brusquement, m’enfonça son braquemard au fond de la gorge et éjacula abondamment. Non sans m’étouffer à moitié, j’avalais tout. Alors que le DJ se retirait et retournait à son poste, Barthélémy crachait sur mon petit trou, posait son gland sur cet orifice bien détendu et d’une poussée lente et progressive, franchissait l’anneau de mon sphincter et me pénétrait profondément. J’eus très mal, mais j’étais tellement excité de désir, que je ne laissais échapper qu’un faible gémissement. A ce moment Antoine me glissa son zob entre les lèvres, pour que je le suce. Un membre petit, épais et très poilu, avec un prépuce allongé et étroit. J’eus du mal à dégager le gland, tout mouillé de jus. L’homme était excité et chaud. Pendant que Barthélémy ramonait mon cul d’un mouvement ample et lent du bassin, je suçais avec application le pénis d’Antoine qui gonflait et se durcissait. A ce moment un jeune homme que j’avais vu en entrant dans le bar, assis dans un fauteuil, les jambes écartées, se tripotant le sexe, vint à nous, se pencha vers mon zob bandé à mort et commença une fellation. Pris ainsi de trois côtés, salivant, soufflant, suant, gémissant, tremblant de tout mon corps je ne tardais pas à jouir à grands jets de foutre dans la bouche du jeune homme qui me suçait. Presque au même moment Antoine se vida dans ma gorge. Barthélemy amplifia alors ses mouvements, qui devinrent plus puissants et éjacula à son tour au fond de mon cul. Effondré sur le canapé, je restais inerte de longues minutes, reprenant ma respiration et calmant mon cœur, aidé en cela par le jeune homme qui me caressait tendrement sur tout le corps d’une manière apaisante. De taille moyenne, le corps vigoureux, le poil noir et abondant, il avait une figure régulière, marquée d’un nez d’aigle, de yeux de jais et d’une chevelure noire et bouclée, descendant bas sur la nuque. Il m’a aidé à me relever et m’a conduit au bar où Karim nous a servi, à sa demande, deux whiskies. J’avais du sperme qui coulait le long de mes cuisses et je serrais les fesses pour le retenir en moi. Le jeune mec s’était assis sur un tabouret de bar, une jambe pendante, l’autre repliée, mettant en valeur sous mes yeux son pubis broussailleux, sa verge blanche au repos, au prépuce pendant et ses couilles sombres et volumineuses. Une irrésistible envie de toucher ce bel engin s’empara de mon esprit. Je posais mon verre vide et de la main droite j’allais fouiller sa toison pubienne, épaisse et soyeuse, puis effleurais son pénis à la peau souple et douce. Instantanément sa verge se redressa comme un serpent, le gland se décalotta et vint se coller au nombril. A cette vue je bandais à nouveau, me rapprochais de ce corps viril et embrassait le jeune mec sur la bouche, tout en commençant à le branler. Il me rendit mon baiser et nos langues s’emmêlèrent. Sa bite palpitait dans ma main droite et de la gauche je me mis à caresser ses couilles, faisant rouler ses testicules dans leur sac. L’adrénaline envahissait à nouveau mon organisme surexcité. Lorsque ses mains descendirent sur mes fesses et que ses doigts explorèrent ma raie encore trempée de la semence de l’antillais, je frémis de tous mes membres et accentuais mon baiser profond.Sentant que j’étais plus que prêt à le recevoir, le jeune mec sauta de son tabouret, me retourna vers le bar et appuya sur mes épaules pour que je m’accoude sur celui-ci. Je me laissais faire, avançant mon bassin vers son sexe dont je cherchais le contact. Il est entré en moi comme dans du beurre, d’un seul élan, à fond, heurtant de son gland ma prostate, ce qui m’arracha un feulement de plaisir. Devant moi, de l’autre côté du bar, Karim m’observait, l’œil égrillard et la bite raide. Réduit à l’état de femelle, de salope, je penchais ma tête vers lui et ouvris la bouche. Le petit tunisien comprit l’invite et vint m’introduire son zob dans la bouche. Pendant que le beau brun me ramonait avec force, je suçais avec avidité le pénis circoncis qui m’était offert en gâterie. Quel pied ! Nous avons joui, le brun dans mon cul et Karim dans ma bouche, à peu près en même temps. Etourdi par la musique, l’alcool et le désir sexuel, je repartais danser avec mon jeune mec, étroitement collés l’un à l’autre, nous heurtant à d’autres couples, plaisantant en touchant les fesses ou les cuisses qui nous frôlaient. J’ai revu mon Escort, accroupi devant Antoine, et qui le suçait avec application. A ce moment les lumières se ont éteintes et nous avons continué à danser, tout en changeant de cavalier à chaque injonction du DJ. Lorsque la musique s’est arrêtée, j’étais dans les bras d’un grand mec, massif et glabre, dont la bite, petite, épaisse et dure me pressait le ventre. Sentant qu’un autre homme était derrière moi, tout près, je me suis retourné, appuyé sur ses épaules et j’ai tendu mes fesses vers la bite de mon cavalier, me frottant contre elle. Cette invitation a été aussitôt honorée et j’ai senti la verge de cet inconnu me pénétrer brutalement. Pendant ce temps, tirant l’autre mec vers mon ventre, je lui frappais le cul de mon zob dressé, cherchais son orifice anal et le sodomisais lentement. Lorsque la musique a repris, nous venions de jouir tous les trois et étions encore enlacés, en train de nous embrasser. La lumière s’est alors rallumée et j’ai constaté que je venais d’enculer Klaus, mon Escort, pendant qu’un asiatique d’une quarantaine d’années, que je n’avais pas encore repéré, me possédait et m’inondait le cul. Cette fois j’avais eu mon compte. Laissant Klaus qui s’intéressait maintenant à mon asiatique, je réclamais mon sac au DJ, quittais la salle, me rhabillais dans l’entrée et regagnais ma cabine où je m’effondrais sur mon lit et m’endormais aussitôt. Le lendemain, à mon réveil, nous étions au port. La croisière était terminée et j’allais retrouver mon quotidien, égayé seulement par les passes avec Klaus.

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