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Avec le père d'une amie

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Marie, j’ai 33 ans et j’aime me souvenir d’une histoire qui m’est arrivée quand j’avais 18 ans, je suis châtain clair aux yeux bleus avec de beaux seins ronds et une taille fine qui fait ressortir mes fesses ; je me sais plutôt jolie, mais à 18 ans j’étais encore très timide et pas vraiment consciente de mes atouts. Je connaissais peu de choses sur la sexualité à l’époque ; je venais tout juste d’être dépucelée par mon petit copain Sébastien. Après des mois de longs préliminaires il s’allongeait sur moi pour venir en moi et, après quelques va-et-vient, il éjaculait. Je prenais du plaisir et je pensais connaître une sexualité épanouie.
Un jour, mon amie Amandine m’a fait venir chez elle pour parler mecs et essayer quelques fringues à elle. Nous étions dans sa chambre et nous essayions tour à tour des vêtements. Soudain, le téléphone a sonné et Amandine est partie répondre ; elle est revenue en me disant qu’elle s’absentait pour aller chercher une autre amie à nous. Elle en aurait pour à peine une demi-heure ; en attendant elle me proposait de continuer à essayer ses vêtements. Une fois mon amie Amandine partie, poussée par la curiosité et persuadée d’être seule chez elle, je poussai la porte de la chambre de ses parents. Je voulais voir la penderie de sa mère. Je savais les parents de mon amie fortunés et je savais que sa mère aurait ses vêtements de marque. Je ne fut pas déçue, l’armoire était pleine de vêtements les uns plus beaux que les autres, et je ne pus résister à la tentation ; j’essayai une jupe courte.
J’étais alors en soutien-gorge, en train de remonter la jupe sur mes hanches quand, soudain, je sentis une main puissante dans mon dos. Je compris que c’était le père d’Amandine quand il me dit "sale voleuse qu’est ce que tu fais ?" Il me plaque la poitrine contre le matelas, m’empêchant de le voir et de me retourner. Je suis très gênée et tente de lui expliquer que je ne faisais rien de mal. Il continue de me dire que sa femme et sa fille seraient très déçues de ma conduite. Je tente de protester quand je sens qu’il me remonte la jupe et découvre ainsi mes fesses. Complètement interdite, je me tais et je ne bouge plus. Je revois le visage du père d’Amandine : C’est un homme toujours en costume cravate, très froid et distant, mais surtout de l’âge de mon père ! Je commence à être alors très excitée. Alors, comme ça ton copain ne te fait rien ? Toujours fermement maintenue, je sens que le père d’Amandine glisse un doigt dans mon vagin. J’ai le cœur qui s’emballe pendant qu’il me pénètre de ses doigts : "salope, tu as pourtant un beau cul de garce". Je suis alors plus choquée par le fait d’être insultée que par la situation, mais j’ai le ventre en feu ; je retiens mon souffle, j’ai peur, mais j’aime cette situation. Il me donne ma jupe à tenir au dessus de mes hanches, me baisse le string au niveau des genoux. "Donnant-donnant ; tu ne dis rien, je ne dis rien". Il me fait remonter les jambes écartées sur le bord du lit "allez à quatre pattes, comme une chienne, tu le mérites". J’entends la boucle de sa ceinture tomber au sol, et il colle sa verge sur les lèvres de mon vagin. Je panique alors, je tente de me redresser mais il plaque mon torse sur le matelas "tout doux "me dit il en m’aplatissant d’une main, la tête contre le lit ; de son autre main, il me frappe les fesses en me disant de remonter mon cul. J’obéis, je remonte mon bassin en ravalant mes larmes. Il me pénètre d’un coup, fort ; j’ai l’impression d’être déchirée par cette verge qui me semble être surdimensionnée ; je me dis"je vais mourir !"
"Remonte ton cul, chienne " ; je fais un effort pour ne pas crier , pas pleurer, je le sens aller et venir en moi et, à chaque fois qu’il bute en moi, cette impression d’être déchirée ; jamais Sébastien n’est allé aussi loin, aussi profond,aussi fort... Je me concentre sur ses mains qui, maintenant, tiennent mes hanches , sur ses couilles qui tapent mon con. Doucement, je m’entends gémir, je n’ai plus mal, ni peur. "Oui garce, tu aimes ça". Ses deux mains prennent appui sur mes fesses qu’il écarte tout en continuant à me limer. Je le sens entrer et venir de plus en plus vite et, soudain, un liquide chaud se répend sur mon postérieur. Je me sens humiliée et salie ; je ne pensais pas qu’on pouvait me faire ça. "Bouge pas". Je reste dans ma position, les fesses offertes, la tête sur le matelas. Il prend son temps, je sais qu’il me regarde tout en s’essuyant la verge, et il se rhabille. Soudain, il me jette un mouchoir en tissu au visage pour que je m’essuie. " Je t’aurai bien fait le cul! T’es une brave fille !"
Je me suis vite nettoyée et rhabillée, remis la jupe dans la penderie. Amandine revenait avec Julie. Je crois avoir prétexté un appel de mes parents pour repartir au plus vite. Avec le temps, je me dis que si j’avais eu moins peur j’aurais pris plus de plaisir. Je pense maintenant souvent à cet homme pour me masturber, à cet homme qui a relevé ma féminité. J’aime être prise dans cette position pour revivre un peu ma première expérience.
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