Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 142 J'aime
  • 3 Commentaires

Aventure extra conjugale

Chapitre 1

Erotique
Cette histoire est véridique mais romancée avec quelques adaptations pour un souci de discrétion, vous comprendrez pourquoi en lisant …Cette aventure est arrivée il y a une dizaine d’année, à une époque particulière dans ma vie. Je suis actuellement marié avec une femme fabuleuse mais la quarantaine (c’est tellement facile …) avait apporté son lot de discorde dans notre couple, et nous n’étions plus sur la même longueur d’onde sur bien des points. La vie fait que l’on évolue, quarantaine ou pas, on change et les aspirations d’un moment changent pour devenir autres. Les câlins étaient très éloignés, sans passion, le train-train de la vie nous bouffait petit à petit, notre bêtise aussi puisque nous n’en parlions pas. Quand j’y repense, quel gâchis ! Quel temps de perdu !Je suis un homme normal je crois, et à ce moment de ma vie, malgré une création de société réussie et un bon confort de vie, je n’étais personne, quelqu’un de lambda comme on dit, invisible, du moins c’est ce que je ressentais profondément, j’étais un peu paumé dans mon fort intérieur. Je mesure 1m75 pour 70 Kg, blond cendré, yeux bleus foncés, pas de charme particulier, un peu sportif avec une petit bidon naissant du à une vie professionnelle intense ne laissant plus beaucoup de place aux activités sportives (là encore on trouve des excuses tellement facilement ! Ça nous arrange bien tous autant que nous sommes… On fait parfois preuve d’un courage vraiment exceptionnel pour ne pas se regarder en face ! Mais bon, sujet hautement philosophique dont je me garderais bien de débattre ici …)Depuis plusieurs mois, j’assurais la restructuration d’une société en difficulté dans le nord de la France. Étant spécialiste de ce domaine, je prenais mon pied à organiser tout ce petit monde. Les débuts avaient été difficiles mais une restructuration l’est toujours mais je crois en l’homme, en ses capacités d’adaptation. Il faut créer le bon climat, avoir un vrai projet, définir des étapes claires, avec des objectifs simples à réaliser. Il faut faire prendre conscience à tous qu’ils peuvent se faire confiance et qu’une entreprise n’est qu’une chaîne qui n’existe que par la cohésion de l’ensemble de ses maillons et que tous, à chaque niveau, sont importants. Enfin bref, on me dit plutôt bon dans ce domaine.Le personnel voyait les évolutions et commençait à me faire confiance, mais pas encore complètement séduit par le projet commun qui avait du mal à aboutir.Je décide donc afin d’avancer, de réaliser un audit individuel afin de mieux exploiter les capacités de chacun en tenant compte de ses propres aspirations. Lors de ces entretiens individuels, je remarque une femme du service achats d’une trentaine d’année, brune, 1m60, de bonnes hanches, style classique, genre tailleur stricte mais toujours le sourire dans les yeux. Des yeux bruns, de grands yeux de biche extrêmement expressifs. On ne peut pas dire que c’était une belle femme, mais il se dégageait quelque chose de bien plus subtil que la beauté, elle était jolie. Entretien un peu solennel, me laissant entrevoir une grande force de caractère et de grandes compétences étouffées par le protectionnisme de son ancien responsable licencié quelques semaines plus tôt. Valérie était réservée, mais j’avais cru comprendre qu’elle ne mâchait pas ses mots à qui lui marchait sur les pieds. Je compris vite qu’elle n’avait pas confiance en moi. Mais Elle faisait de son mieux, mettait à profit ses compétences et faisait preuve d’un grand dynamisme. Quelqu’un d’une valeur inexploitée. Je ne l’appréciais pas particulièrement en tant que femme mais je reconnu vite son travail fructueux pour les projets de l’entreprise. Après cet entretien, elle s’adoucit et je me surpris à la regarder; lors de ses allées et venues au photocopieur, ou dans mon bureau pour les débriefings. Elle avait quelque chose d’attirant bien que pas mon type de femme (les blondes naturelles, jolies, sans fioritures)A un moment, je m’aperçu que je faisais de plus en plus attention à elle, à son style, à ses regards, à ses postures, à ses mimiques. Sans en avoir vraiment conscience au début, je tombais sous son charme, et elle n’en manquait pas. De temps à autre alors que je dormais à l’hôtel toute la semaine je l’imaginais car elle m’amusait, sans pour autant avoir de pensées érotiques d’ailleurs.Un jour alors que nous étions en déjeuner d’affaire avec la grande direction, elle s’assit à mes cotés et à plusieurs reprises (furtives) me frôla de la main ou du pied. Ces contacts faisaient naître en moi des sensations confuses. Je finis par me poser des questions existentielles. Me drague t’elle ? Suis encore amoureux de ma femme alors que nous ne faisions l’amour qu’une fois tous les 2 ou 3 mois … Pourtant très amoureux d’elle 15 ans après notre mariage, elle n’exprimait plus de besoin, ni beaucoup de tendresse. Nous faisions l’amour par habitude parce que ça faisait longtemps que nous ne l’avions pas fait (pathétique quand j’y repense).Je me sentais coupable de la destruction de notre relation. Nous habitons dans l’Ouest, et je n’étais pas présent de la semaine ce qui fait qu’elle gérait la maison et les enfants. Le week-end, je n’étais pas dans le rythme de la famille ; plus à ma place, plus de place, et je ne la réclamais plus ; mais j’en crevais ! L’absence de courage et les préoccupations de ma société faisaient de moi un légume capable de beaucoup professionnellement parlant mais lâche et très laxiste (regardons les choses en face) dans ma vie privée.Après quelques semaines torturées par ces pensées, ou je fis un peu la gueule au boulot pour ces mauvaises raisons, Valérie vint dans mon bureau pour me parler d’un problème qu’elle ne pouvait résoudre seule. Je la reçu, très pro, sans équivoque alors qu’elle faisait ce qu’elle pouvait pour me décoincer. Finalement elle se mit en colère de tant de distance, elle ne comprenait pas, elle qui se démenait pour me satisfaire! Je lui répondis sèchement que je n’étais pas là pour plaire et que j’attendais de mes collaborateurs le plus grand professionnalisme. Quel con ! T’as une nana qui te dit qu’elle cherche à te plaire et toi tu l’as jettes ! Mais qu’est ce qu’on peut être con parfois ! Mais bon… J’ai toujours été « popo » sur ces questions là…Ma réplique blessante la figea net et fit monter des larmes dans ses grands yeux si expressifs. Elle se leva, ne voulant pas pleurer devant moi, et je la laissais quitter mon bureau. La journée fut une belle journée finalement soulagé d’avoir mis de la distance à une proximité naissante mais dérangeante. Mais je voyais bien qu’elle me fuyait. Son regard ne m’accrochait plus. Je ne m’y attardai pas. J’avais autre chose à faire et étant fidèle et fier de l’être, cela m’arrangeait bien. A l’opposé de mon job, je me surprenais à tourner le dos au problème plutôt que l’affronter.Une semaine plus tard, je m’aperçu de manquements dans son job et lui fit remarquer en pleine réunion afin qu’elle se ressaisisse. Ce fut l’effet d’une bombe ! Elle piqua un fard et quitta la pièce en claquant la porte.Le soir je l’ai rejointe dans son bureau afin d’avoir une discussion franche avec elle sur les problèmes rencontrés. Loin d’être fâchée, j’avais devant moi quelqu’un de détendu avec un grand sourire dans les yeux. Décontenancé, je l’interrogeai et sa réponse fut cinglante, toujours avec ses grands yeux plantés bien au fond des miens : — Alors comme ça il faut que je fasse des conneries pour que tu daignes t’intéresser à moi !-Évidemment que non ! » Lui répondis-je— Alors que me vaut ta charmante visite ? »— Disons que je ne comprends pas tes résultats et je m’interroge car ça ne te ressemble pas …— Ah bon … Et … Qu’est ce qui me ressemble ? Parce que tu prétends savoir ce que je sais faire ?— Disons que tu as une vrai niaque, de grandes capacités et que tu sais faire de vrais efforts pour un excellent résultat. Sauf en ce moment …— Ou-ah !!! Que de compliments … Et pourtant en termes de capacité tu n’as pas tout vu …Jouant le jeu et amusé de ce revirement :— Tu aurais donc des talents cachés ??— Comme tout le monde, et tout le monde est doué pour des choses qui lui sont propres. Mais peut être auras tu l’occasion de le découvrir— Et bien je ne demande que ça …Sur ces dernières paroles, elle s’appuie sur son bureau en se penchant en avant et me laissant entrevoir la naissance de ses seins et en me fixant droit dans les yeux me répond :
— A toi de bien voir …— Et bien disons que j’ai déjà une bonne vue d’ensemble de l’entreprise …— Ah … mais tu ne vois pas tout ! Tu ne vois que l’extérieur…— Explique-toi …— Disons que certaines affaires ont des dessous qu’on te montre mais dont tu ne t’occupes pas.— Et donc tu as fais tout cela pour me montrer ces détails ? Et tu veux développer certains points ? Je ne suis pas tout mais je t’écoute !! – Passionné par mon travail et malgré toutes ces allusions je ne comprenais toujours pas … ou qui m’apparaissait tellement improbable que je ne voulais y croire.— Mais tu le fais exprès ou quoi ?. Là-dessus elle contourne le bureau pour s’y asseoir en face de moi.Sans le voir vraiment elle écarte les jambes laissant apparaître ses cuisses – du moins je le crus. Je commençais à comprendre mais je crois que mon cerveau faisait blocage.— Je veux que tu comprennes bien que je te suis complètement. Telle que tu me vois je suis prête à me mettre à nue pour que tu comprennes !Je suis resté sans voix. Voilà qu’une femme venait de me faire une déclaration depuis ¼ d’heure et que je ne venais que de comprendre les sous entendus. Je décidais de jouer le même jeu histoire de voir, amusé de la tournure de la situation.— Mais dis moi, tu ne serais pas en train de me dire que je ne sais pas aller en profondeur ?— Peut être que si mais je ne demande qu’à voir jusqu’où tu peux aller.— Mais tu sais que mon rôle n’est pas simple et que certains points peuvent être sensibles …— Oh que oui, tu ne crois pas si bien dire (avec un grand sourire plein de malice). Et crois moi, il y a bien des choses à découvrir, et je les connais bien !— Tu crois donc que tu vas m’apprendre des choses sans savoir si je ne connais pas déjà …— Excuse moi du peu mais ça fait 3 mois que je te cours après pour ces choses et tu ne t’en aperçois que maintenant. Alors oui je crois bien que tu as besoin d’un bon coup de pouce … voir plus d’ailleurs … (encore ce sourire charmeur)Là elle s’approche de moi et me fixant droit dans les yeux :— Bon on ne va pas y passer la nuit … Quoi que …Je m’approche d’elle, la regarde de près et m’aperçoit de son désir…, brûlant. Je m’approche encore et lui murmure : — C’est un jeu dangereux que tu joues là— Pour qui ? Moi je ne crois pas que ça soit un jeu. – Et elle m’embrasse fougueusement. Sa langue force mes lèvres, et s’empare de la mienne dans un feulement. Elle respire vite, sa poitrine se colle à la mienne. Sa langue enroule rageusement ma langue et je commence à lui rendre son baiser. Mais je n’ai plus l’habitude de ces échanges et je suis lent. Je lui réponds par un baiser tendre. Elle se recule légèrement et me dit : — Tu embrasses bien mais sans passion ; Tu as besoin de faire des progrès mon cher ! Tu veux peut être un plan de formation ?Je me recule pour l’observer, la détaille. J’ai l’impression de ne la voir que maintenant. Je prends mon temps. Elle porte un tailleur beige qui met ses formes en valeur avec un chemisier blanc à grand col ouvert sur deux boutons. Elle a un beau décolleté. Elle me regarde amusée de se sentir détaillée, et ouvre un bouton supplémentaire…— Je te plais ?— Oui, mais tu n’es pas à proprement parlé mon type de femme pourtant… sans vouloir te blesser.— Peut être mais je te plais ?— Oui— Tu m’aurais dis le contraire je ne t’aurais pas cru, vu la bosse que je vois sur ton pantalon.— Mais dis moi tu me détailles !— Pas toi ? Je crois bien que je suis déshabillée du regard, non ?— …— Écoute ! je me fous que tu sois marié. Je ne te demande rien. Je veux juste que tu me donnes ce dont j’ai envie et toi aussi. Là maintenant !— C’est plus compliqué que ça pour moi.— C’est pourtant beaucoup plus simple que tu ne le crois ! j’ai envie de toi depuis des semaines, et tu as envie de moi non ?— Oui j’ai envie de toi mais si je vais plus loin, je trompe ma femme. Et je la respecte trop pour ça … Je suis désolé.— Tu es quelqu’un de bien (avec un regard triste). Alors tant pis, mais tu ne sais pas ce que tu perds… (de nouveau ce regard, ces yeux qui me font fondre)Je la prends dans mes bras. Je m’excuse encore. Je ne sais pas quoi faire. Torturé entre mes principes de fidélité et une envie folle d’elle. J’ai envie de la baiser mais j’ai toujours fais l’amour … Et pour moi il y a une grande différence.Elle se laisse faire. Je la serre fort contre moi, paumé, complètement paumé et torturé. Je m’accroche à elle comme à une bouée qui m’empêcherait de me noyer. Noyée dans le creux de mon épaule, elle me dit doucement :— Arrête de tout vouloir maîtriser… On ne parle pas boulot là … Tu fais des merveilles ici. Laisse toi aller… Tu as besoin de te poser, de te relâcher, de lâcher prise. Regarde toi dans une glace, tu mérites d’être bien. Je ne te propose que de prendre du plaisir. Le sexe pour le sexe. Tu me plais, je te plais. Les choses sont très simples, ne les compliques pas.On ne m’a jamais dis ces choses là. Je la repousse doucement, la regarde dans les yeux et lui avoue :— Je ne sais pas faire ça. Je n’ai pas appris à faire ça. Je n’ai jamais connu de genre de relation. Je suis passionné par ce que je fais ; et à vrai dire je crois que ça me protège du reste. (je l’embrasse sur le front)— Alors laisse-moi t’apprendre. J’ai envie de t’apprendre.

... A suivre ...
Diffuse en direct !
Regarder son live