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AVENTURES HIPPIQUES (1)

Chapitre 1

Zoophilie
Avant de commencer, je tiens à préciser qu’il s’agit d’une histoire que j’ai réellement vécue il y a déjà 25 ans.
Tout a commencé la première année où je me suis retrouvé en pensionnat. A l’époque j’avais 16 ans et étais un jeune homme plutôt mignon.Mais même si tout le monde était super sympa et l’ambiance très conviviale, le fait que les filles soient très peu nombreuses mit un sérieux coup de frein à mon épanouissement sexuel. Bref, les occasions de se changer les idées dans cet environnement studieux et majoritairement masculin étaient quasi inexistantes. Bien sûr il y avait de temps en temps des concours de branlettes qui permettaient de bien se marrer, mais rapidement cela devint banal et ennuyeux.
Et puis, quelques semaines après la rentrée scolaire nous eurent enfin la possibilité de mettre un peu d’ambiance dans toute cette monotonie. Un club hippique qui se trouvait assez proche du pensionnat proposait aux élèves qui le souhaitaient, de pouvoir monter à cheval en échange d’un coup de main pour aider à entretenir les lieux et les chevaux. Les quelques volontaires dont je faisais parti, se rendirent vite compte que cela permettait de se retrouver dans un environnement très féminin vu le nombre impressionnant de cavalières comparé à celui des cavaliers.Les semaines passèrent, et je pris rapidement goût au fait d’être presque tous les jours au contact des chevaux que je trouvais de plus en plus passionnants. A vrai dire, je commençais à prendre autant de plaisir à y aller pour rencontrer d’éventuelles petites amies, que pour monter à cheval et m’occuper d’eux.
Un soir, après que nous ayons fini un cours d’équitation, le club hippique se vidait progressivement pendant que je brossais le cheval que l’on m’avait confié, lorsque je réalisais que j’étais seul dans l’écurie, pendant que le propriétaire du club était dans son bureau. Au moment de déposer le harnachement de mon destrier à la sellerie, j’entendis du bruit dans un box où se trouvait Orbiny, le seul entier (cheval non castré, mais pas reconnu comme étalon) du club hippique. Après avoir posé rapidement et en silence mon matériel, j’approchais doucement du box en question, et surpris une des cavalières de mon cours qui caressait lentement le bas ventre et l’entre cuisse d’Orbiny.N’ayant pas remarqué ma présence, je décidais de la laisser continuer afin de voir ce qu’elle avait en tête. Le sympathique Orbiny, car c’était un des plus gentil cheval entier qu’il m’aie été donné voir, avait déjà son sexe entièrement sorti. La petite coquine pris alors cet énorme phallus dans la main et se mis à le masturber lentement pendant qu’il grossissait à vue d’œil.Tout en continuant à branler l’animal, et après avoir nettoyé son pieu à l’aide d’un gant de toilette, je vis la petite ingénue dégrafer son pantalon avant de plonger une de ses mains à l’intérieur. Après une à deux minutes, elle se mit accroupie sous le ventre d’Orbiny et sortit la main de son pantalon pour lécher ses doigts avant de les y replonger à nouveau.Je n’en croyait pas mes yeux, cette petite coquine à peine plus vieille que moi, était en train de se fourrer des doigts dans la chatte pendant qu’elle masturbait un cheval en pleine érection. Le spectacle était si excitant, que je décidais de me masturber à mon tour, vu que j’étais également en pleine érection et que ma bite avait rarement été aussi dure. Mais manquant encore d’expérience à l’époque, j’éjaculais presque aussitôt, dévoilant en même temps involontairement mon poste d’observation tant mon plaisir avait été peu discret.
Ma cavalière sexy et son amant chevalin furent tout deux très surpris d’être interrompu de la sorte, et la surprise laissa très rapidement place à la honte que l’on pouvait lire sur le visage désormais rougeoyant de cette petite effrontée. Les secondes qui suivirent à ce moment là, paraissèrent interminables jusqu’à ce que la petite cochonne reprenne le contrôle de ses émotions et me propose de venir la rejoindre dans le box pour que je la vois finir ce qu’elle avait commencé.Après les avoir rejoints, je ne mis pas longtemps à rebander comme un âne, tant ce qui se passait devant moi était incroyable. La petite coquine était en train de descendre complètement son pantalon, laissant apparaître un corps et un petit cul parfait. Elle me confia son pantalon totalement trempé de mouille que je mis sur l’une de mes épaules tout en reniflant son odeur subtile et m’aperçu qu’elle ne portait pas de culotte. Cette jolie petite blonde désormais à moitié nue, se remis accroupie sous Orbiny dont le sexe était toujours aussi gonflé de désir et repris là où elle en était, en le branlant de nouveau. Au bout de quelques minutes, je remarquais que cette cochonne était si excitée, que le jus provenant de sa chatte ruisselait le long de ses cuisses avant de tomber sur la paille fraîche. Régulièrement elle plongeait ses doigts au plus profond de sa fente afin de récupérer un peu de ce nectar pour continuer à s’en délecter. Au bout d’un moment, alors que ses doigts s’agitaient à nouveaux dans sa fente, elle commença à sucer la gigantesque bite de cheval faisant aller et venir sa langue sur le cylindre rose et noir d’Orbiny.Au fur et à mesure que les minutes passaient, les doigts de cette cochonne s’agitaient frénétiquement dans sa chatte, lorsque soudain elle mit dans sa bouche l’énorme gland dégoulinant de liquide séminal de son amant chevalin. Cette fellation bestiale l’a mis dans une transe telle, qu’elle me demanda en haletant si je voulais bien la sodomiser. Tout en continuant à masturber et à sucer le pieu de ce magnifique cheval, elle se releva, me présentant sa croupe. La vision de ce magnifique petit cul tendu et offert à ma bite sans aucune retenue, me mit dans un état sans pareil. Après avoir lubrifié son petit trou avec ma langue et le jus provenant de la chatte brûlante de cette dévergondée, je rentrais ma bite avec d’infinies précautions au plus profond de son intimité. Je commençait alors lentement mes va et vient dans son cul, pendant qu’elle poussait des râles de plus en plus fort à mesure que j’accélérais le mouvement.Il ne fallut pas plus de deux à trois minutes de ce traitement insolite, pour que notre amant à quatre pattes n’en puisse plus et se décide enfin à vider ses couilles bien pleines dans la bouche de sa jeune maîtresse. Le sperme gicla de partout, tant la quantité et la puissance de l’éjaculation du cheval était puissante. La petite cochonne ne pu rester qu’une fraction de seconde en face de ce jet hallucinant de foutre bestial, la projetant en arrière contre mes couilles qui se vidèrent en même temps au plus profond de son cul. Nous étions maintenant tout les trois complètement inondés de sperme chevalin, et ma belle petite blonde mit quelques secondes avant de reprendre tous ces esprits. Quant à moi, intrigué par cette expérience insolite, je profitais de ce moment là pour aller goutter l’épaisse semence qui coulait encore un peu de la bite d’Orbiny. Tandis que je nettoyais son pieu jusqu’à la dernière goutte foutre avec ma langue, j’observais mon extraordinaire petite cochonne dont le trou du cul dégoulinait de mon sperme pendant qu’elle remettait son pantalon.
Une fois toute cette agitation retombée et après nous être rhabillés au mieux, nous avons brossé notre étalon adoré pour le remercier de sa participation et le calmer avant de le laisser dormir. En sortant du club hippique, le propriétaire du club était toujours dans son bureau à faire de la paperasse, et j’embrassais à pleine bouche ma fougueuse cavalière dont les yeux brillaient encore de plaisir.Tout le reste de l’année scolaire fut ponctué par de nombreuses autres partouzes équestres avec Orbiny et cette petite cochonne, avec qui je venais de créer une incroyable complicité.
Si la première partie de mon histoire vous a plu, faites le moi savoir et j’écrirai la suite de mes aventures équestres.
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