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Le bac sous haute tension

Chapitre 1

L'arrangement

Trash
Cette histoire a pour but de vous divertir et de retranscrire de la façon la plus fidèle possible le fantasme du membre qui m’a demandé de l’écrire pour lui. 
Le bac sous haute tensionChapitre 1 : L’arrangement
Marc Cheyroux, vingt-sept ans, surveillant au lycée de la Seine. Telle est la description de ma personne et de ma profession. 
Dans le cadre de ma fonction, il m’arrivait régulièrement de remplacer des professeurs afin que leurs directives pussent être transmises à leur élèves. 
Durant ces deux derniers mois, je surveillais souvent une classe de terminale durant ses cours de mathématiques en raison du congé maternité de l’enseignante titulaire. Dans cette assemblée de jeunes esprits, je remarquais souvent des messes basses entre deux jeunes filles dont les noms demeuraient dans ma mémoire en raison de leur comportement et de leur physique qui ne laissait pas les hommes indifférents. 
Ces deux « fortes têtes », si l’on pouvait les appeler ainsi, se nommaient respectivement Laura et Noa. Âgées de dix-huit ans, ces deux demoiselles ne semblaient pas accorder beaucoup d’attention à leurs études. La première arborait une longue chevelure brune et lisse et aimait porter des décolletés plongeants et des mini shorts au ras des cuisses, un look qui flirtait avec l’indécence. La seconde avait les cheveux blonds et bouclés et s’habillait un peu plus sagement que sa camarade malgré son attitude plus que discutable. 
Il n’était pas rare que je dusse intervenir pour les rappeler à l’ordre, perturbant ainsi les autres élèves qui se plongeaient dans leurs révisions. À la fin des cours, bien qu’elles se trouvassent en fond de salle, Laura et Noa étaient toujours parmi les premières à en sortir. 
Après avoir attendu que les derniers étudiants fussent sortis, je baissai les stores puis refermai la porte derrière moi lorsque je me fus assuré du bon positionnement des chaises sur les pupitres et de l’extinction de la lumière. 
Comme je n’avais plus de cours à surveiller pour la journée, je décidai de prendre une pause cigarette avant de regagner mon bureau pour rédiger le rapport que l’enseignante en congé maternité m’avait demandé de lui transmettre à son retour. 
Près d’une heure plus tard, après avoir vérifié les derniers détails de mon compte rendu et l’avoir imprimé, je quittai mon bureau pour prendre la direction de mon domicile. Après avoir éteint la lumière et fermé la porte à clé, je traversai le hall pour sortir par l’entrée principale. En chemin, je dus m’arrêter net dans ma marche pour laisser passer deux jeunes étudiantes qui déboulaient à vive allure, sans doute pour pouvoir prendre un bus. Alors que j’allais leur rappeler que le règlement du lycée stipulait que l’on n’avait pas le droit de courir dans l’enceinte de l’établissement, je m’aperçus que les deux jeunes filles pressées étaient Laura et Noa. 
Sachant que les mots ne semblaient ne pas avoir d’effet sur elles, je m’abstins de formuler cette recommandation et les laissai poursuivre leur chemin. Alors que je m’approchais de la sortie, je vis un sachet tomber de la poche de Laura. En bon gentleman que j’étais, je me penchai pour ramasser l’objet en question et le rendre à sa propriétaire. 
En me redressant, je pus constater que le sachet qui s’était accidentellement retrouvé sur le sol contenait une poudre blanche qui ne me semblait pas être très réglementaire et le regard affolé de Laura ne faisait que me conforter dans cette idée. Je décidai cette fois d’agir en qualité de surveillant. 
— Je pense qu’il y a quelque chose dont nous devons parler, Mesdemoiselles. Avec moi dans mon bureau. 
Laura et Noa me suivirent, tête basse. Je les fis assoir en face de moi et pris place à mon bureau, le sachet à la main. 
— Je ne vais pas y aller par quatre chemins : la drogue est formellement interdite dans cet établissement. Enfreindre cette règle peut vous coûter très cher, à savoir l’exclusion du lycée et peut-être même une condamnation pénale pour détention de stupéfiants. 
Contrairement à ce à ce quoi je pouvais m’attendre, mon discours fit l’effet d’une bombe sur Laura et Noa dont les visages viraient à l’écarlate sous l’effet de la peur. Cette réaction m’encouragea à suivre la voie de l’interrogatoire. 
— Pourquoi est-ce que vous vous baladez avec ça ? Pour en consommer en cachette ? Pour en vendre ?— Nous l’avons achetée mais pas pour nous. — Expliquez-moi. — L’un de nos amis qui a des dettes importantes nous a chargées d’aller acheter la drogue pour lui auprès du dealer pour qu’il ne subisse pas de représailles de sa part. — Et est-ce que votre ami est élève de ce lycée ?— Non, Monsieur. — Dans ce cas, je suis au regret de vous annoncer qu’aux yeux de cet établissement, vous êtes les seules fautives puisque c’est vous qui avez amené ce sachet de cocaïne dans son enceinte. 
Laura et Noa baissèrent les yeux, rouges de honte et tremblantes de peur. En voyant ces adorables petites pestes dans cet état, je décidai de faire un compromis. 
— Cependant, je veux bien ne pas vous dénoncer mais à certaines conditions. 
Les deux jeunes filles relevèrent la tête, le regard plein d’espoir et de reconnaissance. 
— Merci, Monsieur. On fera tout ce que vous voudrez, on vous le promet. — Ravi de vous l’entendre dire parce que ce que je vais vous demander ne sera pas simple. — On fera tout ce que vous voudrez. — Puisque vous insistez...
Je pris un post-it et y annotai les noms de Laura et Noa avant de le déposer sur le sachet et de ranger celui-ci dans un tiroir que je fermai à clé. 
— En réalité, il s’agit plutôt d’un compromis. Je ne vous dénoncerai pas et ce sachet de cocaïne restera dans ce tiroir dont je porterai la clé sur moi en toute circonstance. En échange, vous allez m’accorder quelques faveurs. 
Ne devinant pas tout de suite mes intentions, Laura et Noa me regardèrent d’un air interrogateur. 
— Et lesquelles ?— Premièrement, j’ai remarqué que vous étiez très complices. J’aimerais donc pousser cette complicité un peu plus loin et en faire partie. — C’est-à-dire ?— Je veux que vous vous fassiez du bien l’une à l’autre et que vous m’en fassiez aussi.— Vous voulez qu’on couche ensemble ?!— Je ne l’ai pas dit en ces termes, mais oui. 
Je pus lire la surprise et le choc sur les visages de Laura et Noa. 
— Mais, on ne va pas faire ça ?!— Vous m’avez dit que vous feriez tout ce que je voudrais. — Oui, mais pas ça !— Très bien, dans ce cas, je me vois contraint de parler de votre cas au directeur. — Non ! S’il vous plaît ! C’est d’accord. Nous vous donnerons satisfaction. — Parfait. Deuxièmement, si vous ne souhaitez pas que je vous dénonce, réussissez votre bac. Dans le cas contraire, je dirai au directeur que vous avez échoué au bac parce que vous étiez trop occupées à fournir de la drogue à votre ami toxicomane. Est-ce que vous acceptez cette condition ?— Oui, Monsieur. — Très bien. Dans ce cas, je vous promets que si vous remplissez ces deux conditions, je m’engage à jeter ce sachet de cocaïne aux ordures et personne n’en saura rien. — Merci, Monsieur. — Ne me remerciez pas trop vite. Nous allons sceller notre pacte ici et maintenant. 
Comprenant qu’une poignée de mains n’aurait pas suffi à officialiser notre accord, Laura et Noa commencèrent à s’effeuiller l’une l’autre jusqu’à se retrouver complètement nues. Leurs lourdes poitrines, leurs fesses rebondies et leurs sexes intégralement épilés eurent vite fait de provoquer mon érection. 
Timidement, les deux jeunes filles adoptèrent une première posture. Laura s’assit sur une chaise tandis que Noa s’agenouillait devant elle pour lui prodiguer un cunnilingus. Les premiers coups de langue furent plutôt mous, signe du malaise ressenti par Noa vis-à-vis de la situation puis, sous les encouragements de Laura, elle mit du coeur à l’ouvrage et sa langue titilla le clitoris de son amie, ce qui eut pour effet d’augmenter le plaisir de cette dernière et le sien. 
Désireuse de rendre la pareille à Noa, Laura lui fit signe d’interrompre son oeuvre puis s’allongea sur le sol. Comprenant l’invitation, Noa se mit à quatre pattes au-dessus d’elle et les deux filles se livrèrent à un soixante-neuf torride. 
Heureux de voir ces deux demoiselles ainsi décomplexées, je jugeai bon d’entrer à mon tour dans la danse. Je défis les boutons de ma chemise et la lâchai nonchalamment sur le sol avant d’ouvrir la fermeture éclair de mon pantalon et de me débarrasser des derniers remparts à ma nudité.   
Je n’eus pas à prononcer le moindre mot pour que Noa relève son visage de la vulve de son amie et qu’elle m’enlace en m’embrassant langoureusement sur les lèvres. Pour ne pas être en reste, Laura s’agenouilla entre Noa et moi et entreprit de me prodiguer une fellation. 
Au son de mes ronronnements, Noa en conclut que j’aimais la gâterie que m’offrait Laura et se mit en tête de me faire don de ses talents. Les deux jeunes filles échangèrent leurs positions et ce fut au tour des lèvres de Laura de rencontrer les miennes. 
Je sentis les mains de Laura caresser mes épaules puis descendre sur mon torse. Sans interrompre notre baiser, je posai mes mains sur ses seins et les malaxai avec frénésie. Tandis que les baisers et les caresses de son amie gagnaient en ardeur, Noa accéléra le mouvement de ses lèvres sur ma verge en me malaxant doucement les testicules. Cette attitude eut pour effet de me décider à aller plus loin. Je repoussai doucement Laura et commandai à Noa de cesser sa fellation. 
Je fis ensuite signe aux deux jeunes filles de se pencher sur mon bureau, leurs seins touchant sa surface. Lorsqu’elles eurent adopté la posture que j’avais exigée, je me plaçai d’abord derrière Laura et enfonçai ma verge dans son intimité. Au vu de la facilité avec laquelle je l’avais pénétrée et de la cyprine qui s’en écoulait, je pus en déduire qu’elle n’était plus vierge depuis longtemps et que le fait de copuler avec sa copine et moi l’avait beaucoup excitée. 
Tandis que j’allais et venais dans les chairs intimes de Laura, j’invitai de temps à autre mes doigts à fouiller celles de Noa. J’alternai ainsi mes actions entre mes partenaires jusqu’à en être lassé puis je voulus vérifier s’il n’y avait pas encore un orifice qu’elles n’avaient pas déjà donné à quelqu’un d’autre. J’écartai d’abord les fesses de Laura puis celles de Noa. En constatant la petite taille de leurs trous, j’en conclus qu’elles n’avaient pas été habituées à y recevoir des visiteurs. Je décidai donc de remédier à ce fait. 
En guise de lubrifiant, je mis un peu de ma salive sur le sombre conduit de Laura qui me lança un regard paniqué auquel je répondis par un sourire que je voulus malicieux. Dès la première poussée, Laura hurla de douleur. Je laissai ses souffrances retomber avant de poursuivre mon avancée. Suite à plusieurs lentes intromissions accompagnées de grimaces de la part de Laura, je finis par être totalement enfoncé dans son arrière-train. 
Afin de faire durer le plaisir et d’habituer Laura à ce genre de rapports, je fis une série de lents va-et-vient. Lorsque je la sentis habituée, je me retirai et entrepris la même démarche avec Noa. Contrairement à Laura, elle ne cria pas lorsque j’introduisis ma verge dans son sombre conduit mais la douleur se lisait sur son visage. Fort heureusement, le passage de la douleur au plaisir fut plus rapide que pour Laura et je pus très vite accélérer le rythme de mes mouvements, allant jusqu’à lui pilonner violemment le derrière, provoquant ainsi sa délectation. 
Je sodomisai ainsi Laura et Noa en alternance jusqu’à ce que je sente la jouissance me gagner. Je me retirai du petit orifice de Laura puis ordonnai aux deux filles de s’agenouiller en face de moi. 
Dès qu’elles furent en position, je me masturbai avec force et éjaculai sur leurs poitrines offertes. Une fois remis de nos ébats, j’autorisai Laura et Noa à se rhabiller puis en fis de même. 
— Avant que vous ne partiez, je tiens à vous préciser que je vous donne rendez-vous ici demain à la même heure. Je veux également que vous ameniez votre ami toxicomane avec vous. — Mais, Monsieur. Je ne pense pas qu’il acceptera de venir ici. Comment allons-nous expliquer ce rendez-vous ?— Dites-lui la vérité. Que le surveillant de votre lycée vous a prises en possession du sachet de cocaïne, que vous lui avez tout raconté et qu’il souhaite le voir pour lui parler. — On peut essayer mais on ne vous promet rien. — N’hésitez pas à faire preuve de persuasion. Notamment à lui annoncer que je le dénoncerai à la police s’il ne se présente pas au rendez-vous de demain. Étant donné que vous êtes ses amies, vous ne voulez pas que ça arrive. Je vous invite donc à faire en sorte que votre ami vienne ici demain. — Bien, Monsieur. 
Laura et Noa quittèrent mon bureau tandis que, de mon côté, je restai assis et m’imaginai à quoi pouvait ressembler ce fameux toxicomane et à la façon dont je pourrais le pousser à réaliser l’idée perverse qui avait germé dans mon esprit au moment où Laura et Noa m’avaient parlé de lui. 
[ à suivre ]
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