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Le Bagne

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Au terme d’un bref conciliabule avec Lise, la plus galonnée des WSS avait atteint son but. La persuasion germanique et quelques souvenirs judiciaires douloureux l’avaient apprivoisée. En tant que signataire légale de l’organisation, Lise parafa les vingt pages du contrat qui les liaient contractuellement pour deux ans. Non seulement, elle avait accepté qu’elles fassent des vidéos et des photos de sa naïade mais l’intégration des WWS dans la structure de son ONG était acquise.— Que diriez-vous, maintenant, de faire essayer notre pilori futuriste à votre aguichante recrue? — Il faut peut-être lui demander. Pour moi, pas de problèmes. Opale! Sale fille! Regarde comme tu as salopé mon carrelage avec ta mouille. Viens! Nous avons besoin de parler. Baisse les yeux et cambre-toi! Je ne te le répéterai plus. Mon amie aimerait te flatter la croupe et les seins. Ton anatomie et docilité l’ont séduite.Opale, grisée autant par l’alcool que par la chaleur de l’accueil, s’avança en dissimulant ses seins sous ses paumes.Le capitaine sortit un couteau de sa poche et coupa l’élastique de la jupette qui glissa à ses pieds. Dans un réflexe malheureux, la gamine porta ses mains sur son pubis. Les yeux bleus de l’allemande lui lancèrent une salve d’éclairs éloquente de son état d’esprit. Lentement, avec la pointe de sa dague, il fit tressaillir son ventre et prit la direction de sa fente. — Présente-moi tes miches avec les paumes de tes mains, en faisant rouler tes tétines entre tes pouces et tes index ! Je veux t’entendre miauler rapidement.— C’est cruel de m’exhiber dans cette position et de m’obliger à faire cela, Madame. — Mais tu vas le faire car tu es une séductrice dans l’âme, n’est-ce pas? Je t’interdis de fermer les jolis yeux. Regarde et écoute-moi attentivement ! Tu vois, ce bel instrument est un couteau d’attaque. Il est aussi tranchant de l’extrémité de sa pointe que de sa lame. La dague SS décrivait des arabesques sur le ventre tendu de la beauté cuivrée.— Ceci est un métronome. Je peux en régler le rythme à ma guise. L’entends-tu? — Oui, Madame!— A chaque clic, tu vas te pincer une tétine, puis l’autre, en la distendant jusqu’à ce que nous entendions un petit cri. Clic iiih, clic iiiih, clic iiiiih, clic ooh, clic oooh....— Pitié! Pas si vite! oooh non! Je mouille...je mouille...Pitié! Madame Lise!— Je n’aime pas être contrariée. Pour ta punition, j’augmente la cadence. Lise avait atteint un niveau d’excitation extrême. Une fois ce sommet franchi, elle savait qu’elle ne se contrôlait plus au point de devenir violente parfois. — Capitaine! C’est bien votre grade? Accordez-moi le privilège de traire cette louve en cadence. Toi, mets les mains sur ta nuque et contente-toi de mouiller à profusion! Ce sera d’ailleurs ta principale utilité sur ce camp.— Madame! Madame! C’est trop! Je vais jouir devant tout le monde.— Capitaine! Aidez-la à garder le contrôle de son corps! Empêchez-la de se masturber en pressant sa vulve gluante entre les cuisses.Lise avait senti Opale se raidir et lui lâcha les seins.— Un peu de psychologie, chère Lise. Opale commence à peine à nous révéler sa vraie nature. Exhiber son sexe juvénile n’était que la première phase de sa stratégie d’enjôleuse. Être obligée ensuite de se caresser en public était inespéré pour elle, il y a deux minutes encore. Comprime bien ta chatte, ma petite! Plus fort, pour te faire couler encore plus. Observe-la bien, Lise! Tu remarqueras à quel point elle est allumée. Ce serait facile de s’envoyer en l’air devant nos yeux mais insatisfaisant pour elle. Elle ne cherche pas le plaisir immédiat car elle sait que la soirée se terminerait très vite après son délit. Opale est beaucoup plus ambitieuse. Elle est consciente de sa beauté envoûtante et des désirs obscènes qu’elle engendre. Sa conduite exhibitionniste lui sert à tester l’attrait qu’elle exerce sur les femmes qui lui plaisent dans un but bien précis qu’elle va nous préciser immédiatement si elle est intelligente. La pointe dirigée vers le pubis, la capitaine fit glisser sa lame dans la fissure close de la métisse qui en éprouva une délectation inattendue.— Oui! Ouiii! Je suis une salope qui aime se laisser masturber en public.— Ton but, ce soir, était de séduire un maximum de filles pour qu’elles s’occupent de ta chatte. — Oui!
— Quelle est la longueur de ta délicieuse fente?— Seize centimètres!— Je veux bien parier que tu es la seule d’entre nous à se l’être mesurée.— Et ma dague, sans le manche, à combien l’estimes-tu ? Sois précise!— Quatorze ou quinze centimètres!— Ma lame en fait vingt.— Faites très attention! Ne bougez plus! Pitié!— Je n’ai jamais bougé pourtant ta minette l’a engloutie. Ne me prends pas pour une idiote! Tu croyais ma lame plus courte. Depuis cinq minutes, tu agites ton bassin en cadence en étant persuadée que ton sexe pourrait l’avaler. — Montre-nous toute l’étendue de l’indécence que tu caches en toi! Que cherchais-tu en te frottant à mon poignard? — Ooh! Ooh!— Je vais répondre à ta place. Tu veux montrer à celles qui nous regardent que tu es très courageuse et plus vicieuse encore. Mais tu cherches aussi à leur montrer quelque chose d’autre. Une chose que tu penses être la seule à posséder. Une particularité qui avec ta longue fente aura la faculté de rendre folles toutes les gouines. Ne dis rien! Nous allons leur montrer! Cambre-toi! Tout doucement! Jusqu’à ce ton bouton effleure ma dague. — C’est trop bon... Ne me laissez pas dans cet état! S’il vous plaît, s’il vous plaît!— Fais bien ressortir tes fesses Jusqu’à ce que ta petite queue d’écrevisse apparaisse au sommet de ta fente! Caresse-la, avec la pulpe de ton index pour la faire frétiller!L’arienne retira délicatement son coutelas. Toutes les filles étaient en pamoison devant la vision de ce mignon petit gland si appétissant. Lise prit le relais.— Le capitaine a exigé de le voir frétiller. Tu vas nous présenter ton nœud de chair au garde à vous et cuisses jointes. Pousse bien ton bassin en avant et gâte-le entre tes deux index! Très étonnante ta perle! Garde la pause et fais-le bien rouler pendant que je te caresse les nichons. Ne t’arrête pas ou notre capitaine tailladera ton joli clito!- J’aurais mauvaise conscience à l’amputer dans un lieu pareil mais je n’hésiterai pas si elle se refuse.La sentant proche de la délivrance, la WSS lui demanda de remettre ses mains sur sa nuque. La pointe du coutelas remplaça les index et se mit à taquiner le clitoris saillant d’une Opale en apnée. — Respire lentement et réponds-moi! Tu viens de nous avouer, sans détours, ta quête africaine. Nous sommes prêtes à t’aider. Je sais combien il est pénible de ne pouvoir se satisfaire.— C’est horrible. Jamais on ne m’avait fait cela. Faites quelque chose! C’est encore plus cruel de me titiller avec votre couteau.— Tu as montré ton joli minou à des dizaines de filles qui ne rêvent plus que d’une chose, c’est de le faire couler. Pour cela, tu sais qu’il ne faudra pas hésiter à les allumer en faisant étalage de tes charmes. Si tu veux soulager tes tensions…— Et remplir ton journal de classe. Je vous expliquerai, capitaine.— ...promets-moi de toujours montrer, sans pudeur, ton sexe humide ! — Toujours? Toute la journée?— Et la nuit aussi.— Je vous le promet.— Je suis désolée d’avoir coupé ton tutu par mégarde. As-tu emportées d’autres jupes aussi courtes et affriolantes ? — Même plus courtes encore. Je n’ai emporté que cela, en fait. Et toutes des blanches que j’ai un peu raccourcies pour ne pas paraître trop gourde. Elsa me dit que le blanc, c’est ce qui me va le mieux car quand je suis humide, ça devient transparent. Madame ! C’est terrible ce que vous me faites avec votre couteau.— Je préfère les réponses courtes et j’ai horreur qu’on m’appelle madame. Mon prénom n’a aucune importante. On me connait sous le pseudo de COBRA. Est-ce pour nous échauffer avec tes ravissantes jambes que tu n’as emporté que des micro-jupes? — Oui, c’est exprès. Toutes les filles me disent que j’ai des jambes à damner une sainte.— Tes cuisses me fascinent. Tes fesses tout autant. Il m’était devenu insupportable de te voir prendre du plaisir en me cachant ton sexe rien pour m’allumer. Tu ne chercheras jamais plus à me faire de la peine, je suppose, petite Tahitienne aux cheveux fleuris?— Non! Jamais, jamais ! J’ai plein de strings ficelles aussi, tout mini mini, si vous préférez. Aucun soutif! Pour ne pas vous fâcher! Rien que des pastilles à coller sur mes aréoles. Mais elles ne collent pas bien parce que je bande tout le temps. — Ton bourgeon aussi, il va bander tout le temps. — Je sais. C’est très gênant. C’est pour cela que je ne mets jamais de culotte. Qu’est-ce que je disais? Ah oui! Mes tétines! Alors, j’ai fait des trous au milieu de mes pastilles. Le plus petit possible, le trou. Juste pour y passer le téton en tirant fort dessus. Effet sexy garanti, débandade impossible et mouille surabondante. Elsa aime quand je mouille beaucoup. Vous aussi, vous aimeriez me voir mouiller tout le temps?— J’aime que mes esclaves mouillent et jouissent quand je les y autorise. Ta voix chevrote et tu grelottes comme si tu sentais monter l’orgasme en toi.— A force de me chatouiller le bouton avec la pointe de votre couteau, je vais finir par me liquéfier. Ça, c’est certain.— Une fille normale devrait craindre que je la blesse et non penser à s’envoyer en l’air lorsqu’elle a un couteau dans la chatte. A moins que tu fasses partie des filles qui aiment se faire peur et en jouissent. Je vais te faire une faveur. Ne me force pas à le regretter! Je te prie de croire qu’il n’est pas dans ma nature de laisser le choix de leur destinée à des petites pisseuses dans ton genre. Comment préfères-tu être attachée sur mon pilori magique? De gré ou de force?Opale chercha un hypothétique soutien dans les yeux de la directrice. Lise était ailleurs. Elle visualisait déjà sa pouliche, haletant dans de cruels écartements.— Opale! Comment appelle-t-on une fille qui fait étalage de ses charmes?— Une allumette? Je ne me laisserai pas attacher à cet engin que je trouve moche, d’ailleurs. Il y a d’autres façons de me faire plaisir.Lise venait de sortir de ses rêves sadiques.— Non! Une allumeuse, cela s’appelle. Et tu es une égoïste. Mademoiselle te propose gentiment d’essayer son pilori. Elle l’a fait transporté péniblement en jeep, rien que pour admirer la souplesse de ton corps dont elle a déjà qualifié certaines parties d’exceptionnelles. Ce refus est vexatoire au plus haut point pour nous deux. Je te laisse une minute pour prendre la bonne décision sinon, je la prendrai à ta place.Une fille galonnée apporta, sur un grand plateau, une trentaine de coupes identiques disposées en cercle. Au centre du plateau, un verre en cristal, nettement plus grand et bien rempli, représentait une esclave enchaînée. Cobra affichait un sourire tout en retenue. Les bras croisés, elle préparait sa vengeance, tapotant nerveusement son coude avec le manche du coutelas qu’elle tenait par la lame. Regardait-elle le sexe délicat de la donzelle qui dodelinait discrètement de la croupe ou son ventre musclé lui donnait-il des idées charcutières? Une goutte de sang tomba, dans l’indifférence générale, de la paume de l’arienne.Jade et Elsa venaient de faire leur entrée dans l’arène. Jade prit son Cobra dans les bras et lui roula un patin dénonciateur des liens qui les unissaient. La belle teutonne avait du lui expliquer l’incognito que souhaitait Elsa. Elle avait certainement détaillé le profil psychologique d’Opale car, dès cet instant, Cobra ne la regarda plus avec les mêmes yeux.Lise avait refusé son verre pour garder la tête froide. L’alcool, elle n’avait jamais supporté. Habituée d’avoir une guerre de retard, elle tenta d’excuser les hésitations de son informaticienne. — Je ne cherche pas à la défendre, mais je tiens à vous dire que cette jeune femme n’a jamais été réellement battue, ni attachée. Elle est venue en Afrique en quête d’expériences croustillantes, mais peut-être pas de cet ordre. Tout est à découvrir pour elle et elle est à découvrir pour nous toutes. Les femmes sont toutes quelque part un peu masochistes. J’ai peut-être mal jugé ma collaboratrice ou peut-être n’est-elle pas encore prête. J’espère en tout cas qu’elle a reçu un bout de gène maso au bon endroit, juste à côté de celui de l’obéissance. — Si nous trinquions à Opale et son corps de rêve? Prenez celui-ci, Lise ! Il est sans alcool. La chef SS maniait les verres comme un illusionniste les cartes.- Devine quel verre que nous t’avons réservé, ma mignonne!Opale s’approcha du plateau, s’empara de l’esclave enchaînée et l’avala d’un trait. Elle fit un pas en avant et tendant sa poitrine, posa la pointe de son sein gauche sur celle du poignard de Cobra. — Vous ne me faites pas peur. Vos sbires encore moins. Je ne suis plus une gamine comme vous avez l’air de le penser. Je suis une femme et j’aime me faire désirer. Voilà tout! Vous n’auriez pas du me confronter à ce choix stupide. Vous aviez toutes les cartes en main. Les femmes tyranniques m’ont toujours fascinée. Avec plus d’autorité et de brutalité, vous m’auriez déjà fait délirer. Car oui, j’aime me faire peur. Pourtant, je ne suis pas convaincue que vous êtes la personne la plus capable de rencontrer mes désirs. Je prends le risque et vous offre une ultime chance de compléter mon journal intime.— La bravoure est selon moi une qualité essentielle dans le chef d’une esclave, en ce sens qu’elle stimule mon ardeur. Tu es transparente, ma pauvre petite. Ta provocation innommable ne cherche qu’à m’inciter aux représailles. Emparez-vous d’elle ! Sans ménagement, c’est ce qu’elle préfère.— Ma chère Lise, trinquons à notre entente et notre complicité ! Un détail me chiffonne. Votre beauté n’est pas présentée selon mes critères. Je vais vous délaisser quelques instants. Pardonnez-moi ! La disposition des parties nobles sur la broche est essentielle pour sublimer la tendresse de la chair lors de la cuisson. Je suis très perfectionniste quand il m’est offert de cuisiner une si tendre petite cochonne. J’aime prendre mon temps pour rectifier l’assaisonnement et l’huiler régulièrement pour que la viande exprime au mieux son jus.
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