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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Baiser de Vipère

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Les lumières de l’immeuble d’en face s’allumèrent au fur et à mesure que la nuit tombait. Je me trouvais sur le balcon pour essayer de capter le peu d’air frais qu’il aurait été possible de trouver par cette chaude fin de journée d’été. Le ciel sans nuage découvrait peu à peu ses perles d’or. Les conditions étaient idéales pour faire quelques clichés de la voûte étoilée. Je sortis mon télescope et je commençais à préparer mon matériel photo. Les lumières d’en face commençaient à s’éteindre les unes après les autres. Le halo bleuté de quelques télévisions transparaissaient en quelques points de la façade. Je fis la mise au point de mon appareil sur la façade pour vérifier, que l’ensemble était en état de marche. Je visais une fenêtre éclairée afin de vérifier la cellule de l’appareil. En mettant l’oeil au viseur, je découvris qu’il s’agissait d’une chambre. La télévision allumée projetait un film. Je fis la mise au point sur la télé. A ma grande surprise, je constatais qu’il s’agissait d’un film porno. Je balayais du regard l’espace de la chambre et trouvais enfin une jeune femme en chemise de nuit sur son lit. Elle n’était vêtue que d’une robe de chambre entrouverte sur son mont de vénus que caressait sa main droite. Sa main gauche glissait sur son sein droit, tandis que ses yeux ne quittaient pas l’écran.Je déclenchais mon appareil. Il n’était plus question de chercher Vénus dans le ciel alors qu’elle se trouvait là en face de moi. Petit à petit, le rythme de sa main s’accélérait et par curiosité je regardais à nouveau l’écran. Une blonde pulpeuse se faisait sucer par un mâle stéréotypé. Elle s’agitait sous la langue de son partenaire , qui s’immisçait dans les moindres recoins de son intimité. Le mâle partenaire la retourna pour la mettre à genoux et la prit en levrette.Je retournai sur la jeune femme pour m’apercevoir qu’elle avait sorti tout un lot de godemichés de tailles variables et de crèmes lubrifiantes. Alors que l’étalon de l’écran avait commencé à pistonner sa partenaire, notre inconnue avait ressentie le besoin de sentir sa cavité vaginale pleine d’un sexe d’homme. Elle prit un des membres artificiels qu’elle suça pour le lubrifier, avant de s’en fourrer. Les piles de l’engin entrèrent en action. Mon doigt fébrile s’était compulsé sur le bouton de mon appareil et la scène de la pénétration se trouvait captive dans mon boîtier. Des spasmes commencèrent à secouer, la belle inconnue qui atteint là son plaisir ultime. Elle retira alors son partenaire mécanique pour goûter les liqueurs de sa jouissance solitaire. Je réalisai soudain que mon propre sexe était lui même passablement excité. Après développement mes photos s’avérèrent correctes et je les archivais. Quelques temps plus tard, poussé par la curiosité, je reportais mes appareils sur la fenêtre de la charmante inconnue. Elle n’était plus seule mais accompagnée. Tous deux en tenue de soirée, ils rentraient certainement d’une petite fête. La joie se lisait sur leurs visages et l’homme enlaça son hôte. Ses mains parcoururent sa croupe et je recommença à déclencher. Il ne fut pas long à lui ôter sa robe alors qu’il n’était déjà plus qu’en caleçon. La dame extirpa de celui-ci un énorme mandrin qui ne demandait qu’à s’évader. Tout deux enfin nus, ils se retrouvèrent sur le lit, tête bêche, chacun à sucer le sexe de l’autre. Leurs langues s’agitaient frénétiquement sur leurs gourmandises respectives. L’hommes écartait les fesses de la femme et sa langue allait de l’un à l’autre de ses trous divins. La femme gobait ce pénis géant qu’elle masturbait de ces deux mains. Elle changea alors de position pour s’enfiler ce sexe humide de salive, après l’avoir recouvert d’un morceau de caoutchouc. Elle chevauchait l’homme, qui accompagnait son mouvement en la tenant par les hanches. La femmes haletait de plaisir et son corps se cambrait sous l’effet de la jouissance à venir. Elle se figea, soudain saisie par l’orgasme qui la traversait. Elle se retira, épuisée alors que l ’homme lui aussi ne pouvait plus esquisser le moindre geste. Les deux amants s’endormirent l’un contre l’autre après une brève toilette.Quelques jours après j’allais chercher mes photos. Que ne fut pas ma surprise de découvrir que la vendeuse n’était qu’autre que l’inconnue qui était sur les photos. ’No 80921, oui je les ai reçues, je me souviens’. Je rougissais au fur et à mesure que ses doigts triaient les pochettes de photos.’Nous les avons reçues ce matin. Les voilà!’ ’Vous prendriez bien des pellicules 800 ou 1600 ASA avec cela pour vos photos de nuit ajouta-t-elle avec un clin d’oeil’.Je ne savais plus que faire et de stupeur laissai tomber la pochette. Je ramassais la pochette bredouillait une vague excuse et me précipitai hors du magasin. Dans la rue j’ouvrait nerveusement la pochette. Un petit mot accompagnait les photos. — Monsieur, écrivait elle. Vos photos sont fort réussies et je les ai faites dupliquer pour mon usage personnel. J’espère que vous prendrez autant de plaisir que moi à les regarder. Ce soir, je reçois des amis et j’espère que je peux compter sur vous pour ne rien perdre de cette soirée. Affectueusement, votre muse photographique
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