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Bal masqué

Chapitre 11

Travesti / Trans
23-Cet esclandre eut un effet positif. Agathe mit à la porte son mec et l’affreux Kévin. Je repris une activité normale et me replongeai dans mes cours. J’avais pris pas mal de retard et mes notes avaient du mal à grimper. Je repensais aussi à la promesse faite à Lydie : ne plus cacher ma féminité sous prétexte que ce n’était pas bien vu, voire provocant. Je décidai d’y arriver progressivement et commençai par abandonner mes baskets au profit d’escarpins ou de bottes à talons. Les pantalons raccourcirent pour se transformer en jupe. Mon maquillage devint moins sobre, sans être trop chargé pour autant. J’observai les réactions de mes camarades de promo. Si les filles me regardaient d’un air menaçant, les garçons se rapprochèrent ostensiblement avec des idées derrière la tête, ou plus exactement dans le caleçon. Un jour, j’en pris un au hasard : — Ecoutes-moi bien : je suis célibataire et je n’ai aucune envie de sortir avec l’un d’entre vous. Je suis ici pour mon année de prépa et pas autre chose. C’est clair ? Il fut surpris par ma charge, surtout qu’elle n’avait pas été discrète. Cela suffit pour qu’ils me lâchent et me mettent définitivement au ban de la classe. Mais je m’en foutais. J’étais enfin moi, que ça leur plaise ou pas.
Si Papa et Maman s’inquiétaient des possibles ennuis et désagréments que je pouvais subir, Léa et Nadège s’enthousiasmèrent de mon audace.— Et qu’est-ce qui vous empêchent d’en faire autant ? Vous êtes fan de guêpières et corsets. Pourquoi vous n’en portez pas tous les jours ? Je crois qu’il est dommage de se priver de notre plaisir juste pour rentrer dans un moule instauré par des gens soi-disant bien-pensants. — C’est vrai, tu as raison. Mais ce n’est pas aussi simple. — Parce que tu te mets des barrières. Ou plutôt, tu ne veux pas faire exploser ces barrières. J’ai décidé de faire ce qu’il me plait maintenant car je ne sais pas de quoi sera fait demain. Et même s’il y aura un demain. Ce qui est pris n’est plus à prendre. — Pas faux, dit Léa. Elle adhérait totalement à ma théorie. Mais de là à la mettre en pratique…
Les vacances de février arrivèrent enfin. Je n’étais pas mécontente de relâcher un peu la pression. Juste un peu. Les cours étaient de plus en plus corsés et denses. Aussi, je ne réfléchis pas longtemps lorsque Joëlle me proposa de passer le week-end avec eux.
J’arrivai vers dix-huit heures. Joëlle venait de fermer son salon. Patrick nous invita au restaurant, faisant le trajet en tenant le bras de sa femme. Nous discutâmes de tout et de rien. Mais vers la fin du repas, alors qu’on attendait le café, Joëlle prit ma main et glissa son alliance à mon annulaire. — A partir de maintenant, tu es l’épouse de Patrick, dit-elle. Et lui ton mari. Vous êtes donc mari et femme et à ce titre, vous vous devez respect et fidélité, vous consentez à vous aimer et vous chérir, etc, etc. — Mais …— Ne t’affole pas, répliqua Patrick. C’est juste un jeu, le temps du week-end. On t’expliquera plus tard. — Le marié peut embrasser la mariée. Patrick se pencha vers moi et me roula un patin, avec la langue et tout. Baiser que je lui rendis avec la même passion. Le café arriva. Je ne cessai d’observer l’anneau nuptial serti de petits diamants. Je le trouvai élégamment assorti à mon vernis rouge vifs posé sur mes ongles longs.

Cette fois, je fis le retour au bras de Patrick, quand il ne me tenait pas par la taille. Joëlle nous suivait, à quelques mètres. Il me susurrait des petits mots d’amour, des mots doux qu’un homme ne dit qu’à son épouse. Même Driss ne les avaient pas prononcés. Cela me rendait toute chose, tout comme cette alliance qui m’obnubilait. Cela avait beau n’être qu’une mise en scène, cela n’en restait pas moins réel. J’étais Madame Sarah Duris. Il me tardait de consommer ma nuit de noce. Joëlle ferma la porte alla s’installer dans le coin le plus éloigné du salon— Tu as passé une bonne soirée mon amour, demanda Patrick en m’enlaçant par la taille. — Excellente soirée mon chéri. Je passai mes bras autour de son cou et l’embrassai tendrement. — Je t’aime tant, dis-je — Je t’aime aussi. — J’ai envie de toi. — Gourmande !
On s’installa dans le canapé. Je me lovai contre mon mari. On parla, comme le ferait n’importe quel couple, ponctuant nos phrases de « mon amour », de « mon chéri », de « mon cœur ». Je lui caressais le visage du bout de mon ongle rouge. Ce n’était qu’un jeu, mais en vertu de ma nouvelle philosophie, je faisais comme si ça n’en était pas un. Qui pouvait dire de quoi demain serait fait.
Je me relevai, remontai ma jupe crayon sur mes hanches, mettant à jour mes jarretelles et enfourchai mon mari. Mes lèvres cherchèrent les siennes pour un baiser interminable. Patrick ne resta pas inactif et ses mains pelotèrent sans vergogne mes fesses symboliquement protégées par un string minimaliste. Un doigt trouva l’entrée de mon intimité.Je quittai enfin ses lèvres, presque à regret. Je me glissai entre ses genoux, défit son pantalon et avalai son sexe déjà bien dur. Je savourai ce membre délicieux. Parfois, je remontai pour l’embrasser et, accessoirement, faire retomber la pression, avant de recommencer. Patrick m’encourageait avec des « ma chérie, continue » ou des « mon amour, tu suces comme une déesse ». Mon petit trou frémissait. Je n’en pouvais plus. Je le voulais en moi. — Fais-moi l’amour, implorai-je— Tes désirs sont des ordres ma chérie.
Je quittai le salon pour me préparer dans la salle de bain. Je retrouvai mon mari dans la chambre conjugale. A sa demande, je n’avais gardé que mes dessous et mes escarpins. Patrick était allongé sur le lit, nu comme un ver, son sexe flasque posé sur sa cuisse. — Tu es belle mon cœur, me dit-il. Un léger bruit me fit me retourner. Joëlle, que j’avais totalement oubliée, s’était assise sur une chaise, dans un coin sombre de la chambre. Je remarquai aussi sa nudité.
Je repris son sexe en bouche où il reprit rapidement de la vigueur. Puis Patrick me retourna pour venir me lécher mon petit trou. Je fondis de plaisir. Il me suça aussi. Puis il glissa sur moi, posa ses lèvres sur les miennes. Je sentis sa queue chercher l’entrée. Je ramenai mes genoux sur mon buste. Son sexe s’enfonça en moi comme dans du beurre. Nous fîmes l’amour une première fois, juste dans cette position du missionnaire. La position classique du couple. On se regardait dans les yeux, quand j’arrivai à les garder ouverts, toute entière au plaisir que me donnait mon époux.Je gémissais, l’encourageais. Patrick était un dieu, une bête de sexe. Driss, même s’il se débrouillait très bien et avait des dimensions hors norme, ne lui arrivait plus à la cheville. Je criai de plus en plus fort au fur et à mesure de la montée de mon orgasme. Patrick râla et se vida en moi. J’eus l’impression de perdre connaissance. Dans un coin de la pièce, Joëlle ne put contenir un cri de plaisir.
Patrick se retira doucement. — Tu es merveilleuse ma chérie. Merveilleuse. — Merci mon cœur. Mais tu n’es pas mal non plus.
Je vis un rai de lumière dans le couloir. Joëlle nous avait quittés. Nous refîmes l’amour une fois, plus bestialement cette fois. Patrick me prit en levrette, me ramonant le cul sans ménagement, graissé par l’éjaculation précédente. Il crachait parfois des mots crus et salaces, claquait mes fesse. Mais sitôt la jouissance passé, il se montra tendre et prévenant. Amoureux.
Nous passâmes la nuit ensemble. Comme un couple. Je le réveillai par une fellation douce et longue avant de me délecter de son nectar.
Je passai le peignoir de Joëlle et retrouvai le couple dans la cuisine. Joëlle me prit dans ces bras, m’embrassa et me remercia chaleureusement. — Merci pour cette soirée. Merci. Grâce à toi j’ai pris un pied d’enfer — Il faut qu’on t’explique. Si Joëlle aime se faire baiser, elle adore peut-être plus encore me voir faire l’amour avec une autre personne. J’ai une maîtresse, Carole, qui croit que je trompe ma femme avec elle. Or Joëlle est parfaitement au courant mais en plus elle n’est jamais loin lorsque je sors avec Carole. Discrètement, Jo nous observe et jouit autant, sinon plus, en me regardant baiser mon amante. Hier soir, c’était toi mon amante. Enfin ma femme. — Patrick s’est comporté avec toi de la même façon qu’avec moi. Et le pire, c’est que tu fais tout presque pareil que moi aussi.— Oui. Et mieux encore, continua Patrick, tu gémis et tu jouis comme ma Jo. — C’est vrai, repris Joëlle. J’avais remarqué aussi. C’était complètement fou, j’avais l’impression d’être sortie de mon corps et de me regarder baiser. — Je ne sais pas quoi dire. Hier soir, je me suis vraiment sentie comme l’épouse de Patrick. Ne m’en veut pas Joëlle, mais j’ai fini par oublier ta présence. — Je ne t’en veux pas. Au contraire même. Ça a ajouté du piment.
Je rendis l’alliance à sa propriétaire. — Ne t’en fais, dit Joëlle maternelle en voyant ma mine triste. Je suis sure que bientôt tu en auras une aussi jolie.
Nous restâmes tranquilles le matin. Mais l’après-midi fut consacré au plaisir de Joëlle que j’eus l’honneur de pénétrer à ma guise. 

24-— Avant de te ramener, dit Joëlle, j’aurai un service à te demander. — Tout ce que tu veux. — Ne t’emballe pas. Voilà, j’aimerai que tu prennes en main ma fille. Elle va avoir dix-neuf ans et je suis sure qu’elle est vierge. Pas étonnant car elle passe tout son temps le nez plongé dans ses bouquins. Elle veut être pharmacienne et consacre sa vie à ses études. C’est très bien mais y a pas que ça dans la vie. A son âge, j’avais déjà rempli un carnet de conquêtes. J’étais sur le cul.— Je ne suis pas sure d’être la bonne personne pour ça. — Mais si, tu es parfaite au lit. — Merci, répondis-je flattée. Mais ce n’est pas à ça que je pensais. J’ai beau m’habiller en fille et être assez féminine, ne n’en reste pas moins un travesti. Ni homme, ni femme. J’ai peur que ça la braque encore plus. Tu penses qu’elle est lesbienne ? — J’avoue que je me pose la question. Elle ne nous jamais parlé et encore moins présenté ne serait-ce qu’un copain de classe. Mais je ne te demande pas de coucher avec elle dès le premier soir. Juste savoir son orientation sexuelle. — Ça te travaille tant que ça ? Après tout, libre à elle de faire ses choix. Et si le sexe ne l’intéresse pas, pourquoi pas. — Oui, ça me travaille. Comment on ne peut pas aimer le sexe. Regarde-toi. Depuis que tu y as goûté, tu ne peux plus t’en passer. — Peut-être qu’elle attend la fin de ses études pour batifoler. — Oui et après que son boulot marche bien pour faire des gosses. Et un jour, elle va se réveiller, elle se dira qu’elle a plus de quarante ans et qu’elle sera passé à côté de tout. — Bon, bon, d’accord. Je vais voir ce que je peux faire.
Anaïs était la fille de Joëlle. Elle était donc née dix-neuf ans plus tôt de sa relation avec un garçon qui l’avait quitté à l’annonce de sa grossesse, mais aussi parce qu’il supportait de moins en moins le côté libertin de Joëlle. Il l’avait recontacté quelques années plus tard pour s’excuser et s’expliquer. Joëlle qui, entre-temps avait rencontré Patrick, ne l’avait pas rejeté et l’avait pardonné, reconnaissant que c’était de sa faute à elle. Elle renoua avec Jérôme, son ex. Il fit les démarches de reconnaissance de paternité et Joëlle accepta la garde partagée de leur fille qui, même à cinq ans, eut du mal à intégrer dans sa vie ce deuxième papa.
Je revins donc chez le couple le week-end suivant. Mais cette fois dans une tenue plus sage, comme me l’avait demandé Joëlle. Malgré quelques réticences, Anaïs accepta de sortir avec moi. Pizza, ciné. On fit connaissance doucement. Je renouai avec Anaïs quinze jours plus tard. On apprenait à se connaitre. On commença à s’échanger des sms.
Sans être les meilleures amies du monde, on s’appréciait. On parlait de nos études, un peu de ses parents. Bien évidemment, je restai silencieuse sur nos parties de jambes en l’air. Joëlle et Patrick étaient partis voir mes parents. Aussi décidai de mettre les pieds dans le plat. Et puis, j’en avais un peu marre de cette comédie. Certes Anaïs n’était pas moche et plutôt d’agréable compagnie mais elle ne m’attirait pas plus que ça.
— Tu as quelqu’un dans ta vie ? — Non, pas pour le moment. — Une copine peut-être ? Elle me regarda bizarrement. — Désolée. Je ne suis pas gouine. Alors si tu as des vues sur moi, tu oublies. De toute façon, je n’ai pas le temps de penser à ça.A son ton, je sentis que je m’engageai sur une pente savonneuse. — Je ne suis pas homo non plus, dis-je, espérant la rassurer. — C’est ton problème, répliqua-t-elle sèchement.— Tu sais rien n’empêche de lier étude et plaisir. Je le fais bien. — Tant mieux. Son agacement montait en puissance. — C’est quoi ton style de garçon. Car même si tu n’as pas le temps, cela ne t’empêche pas de les regarder. — Pour ça non plus, je n’ai pas le temps— Ah quand même ! Et tu vas le prendre quand ? — Tu commences à m’agacer ! Occupe-toi de tes fesses ! — Ne le prends pas mal ! Je voulais juste parler. Ça te gêne tant que ça de parler de sexe ? — Non, mais je n’ai pas envie d’en parler avec toi. — Oui, manière polie pour dire que ça te gêne. Tu n’as à avoir honte d’être vierge tu sais.
Elle se leva d’un bond, furieuse. Elle m’engueula copieusement. Je me levai à mon tour pour la calmer. Et lorsque je tendis la main, elle me gifla avec une violence inouïe. Elle fila dans sa chambre, fit son sac et partit en claquant la porte.
Joëlle et Patrick arrivèrent une heure plus tard. Je racontai l’altercation et la gifle magistrale que j’avais reçue. Joëlle me prit dans ses bras et me fit un bisou magique sur ma joue encore endolorie. — Bon, ma fille est perdue pour de bon, conclut-elle. C’est triste. — Ne t’en fais pas ma chérie, dit Patrick compatissant. Le jour où elle se décidera, elle rattrapera le temps perdu. — Croisons les doigts. Elle prépara du thé. Malgré tout, Joëlle restait dépitée par le comportement de sa fille. Comment pouvait-on ne pas s’intéresser au sexe ? — Heureusement que tu n’es pas comme elle, me dit Joëlle. — C’est vrai que grâce à vous j’ai découvert beaucoup de chose. Cela dit, je regardais pas mal de porno sur le net. Sans parler des filles que je matais avec plus ou moins de discrétion.— Et les garçons aussi ? — Non, pas du tout. Et avant de vous connaitre, même en étant habillée en fille, je n’aurai imaginé coucher avec un homme. Mais essayer, c’est adopter. — Tu veux faire l’amour ? me demanda Patrick. — Je ne voudrais pas abuser. — T’inquiète ! On est encore chaud.Je rougis en imaginant Papa et Maman faisant l’amour avec mes amis. Et l’idée de repasser derrière mon père dans la chatte de Joëlle m’excita. Je roulais une pelle à l’esthéticienne. Il me sembla reconnaître le parfum de Maman. Je fermai les yeux et m’imaginai embrasser ma génitrice. — Tu bandes comme un âne, remarqua Joëlle.— Tu as encore le parfum de Maman sur toi et l’espace d’un instant, j’ai eu l’impression que c’est elle que j’embrassais. — Tu rêves de coucher avec elle ? — Ça m’arrive. Mais ça ne restera qu’un rêve. Ah, Œdipe, quand tu nous tiens.
Je repris mon baiser. L’image maternelle disparue. Je lui bouffai la chatte pendant que Patrick s’occupait de mon cul. Je pénétrai Joëlle et Patrick m’encula. Tantôt c’était lui qui menait la danse, tantôt, c’était moi. Mes mouvements de hanches me faisaient aller et venir dans Joëlle tandis je m’empalais sur la queue de Patrick. Nous terminâmes en éjaculant sur le visage de Joëlle qu’on s’empressa de lécher.
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