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La Balade d?une femme sans Limite

Chapitre 1

Hétéro
Ils sont partis en vacances au boud d?un bateau. La traversée de la manche avait été un véritable calvaire. Le bateau était toujour immobilisé.
— Nous sommes enfin arrivés ! Ouf ! Nous devrions être ici depuis de heures, sans cette bande d?idiots indécrottables ! Dit le époux de Simone
Il jeta un regard meprisant aux hommes, rassemblés sur le pont avant d?offrir à Simone pour l?aider à traverser la planche jetée en guise de passarelle entre le quai et le voilier. La jaune épouse résussit à se déplacer assez rapidement pour pouvoir lui donner la main droite, qu?elle ne pouvait éviter d?accepter l?aide d?un matelot pour descendre du bateau. Le lieu était un port beaucoup important que ne le croyait la jeune femme. Elle fut surprise par la quantité des maisons solidement bâties en pierre et peintes en blanc, avec des toitures rn ardoise dans lesquelles elle reconnut le type d?habitations caracteristique de la Bretagne. Simone remarqua les grands entrepôts sur le quoi, sortant des entrepôts avec ballots et des tonneaux de toute sortes. Il y avait une bonne demi-douzaine de bateaux amarrés le long de la jetée que l?on était en train de charger, Simone marchait en silence à côté de son mari James Green.
— Un ami m?a promis de me prêter sa maison pour le wek-end, malheureusement je ne peux pas vous y mener maintenant, car il y loge une femme qui n?est pas de votre classe sociale. Expliqua Tim Rogers l?ami du couple et responsable pour l?invite.
Il, pas mal de sa personne, devait avoir la quarentaine, très brun, au regard perçant, plutôt musclé et possédant un charme certain, couvert de biloux en or, très ostentatoires. Il la fait remarquer qu?elle devait être au gout de ses désirs, vu les regards qu?il la jetait. Il avait suspendu sa phrase, s?attendant à des protestations de la parte de la jeune femme comme d?habitude. Mais Simone avait decidé de ne pas répondre. Elle se mordait les lèvres pour être certaine de ne pas se laisser aller à son impulsion, et se garda de l?invectiver comme elle en avait envie. Comme elle ne disait rien, il reprit :
— Il va falloir que vous vous contentiez pour l?instant d?une chambre à l`hauberge. Ce n?est pas idéal. Mais vous pourrez quand même y dormir tranquillement, et je suis certain que c?est ce que vous avez envie de faire pour le moment !
Ils remontèrent ensuite une petite rue étroite qui était bordée de maison de pêcheurs et ils arriverent rapidement devant une petite auberge rustique comme on en trouve dams tous les villages de France. La porte était ouverte, en dépit de l?heure matinale. Une vielle femme balayait la grande salle dans laquelle ils pénétrèrent.
— Nous voici, Madame ! S?écria d?une voix forte Christian dans un français défectureux, avec une prononciation abominable. ( il ajouta aussitôt ) j?ai amené mes amis avec moi, comme je vous l?avais annoncé......
La vieille femme remarqua :
— Je proppose que vous devez avoir soif, naturelement ? Je vais appeler le serveur.........mais Dieu seul sait où il a pu aller.........et c?est lui qui a les clés de la cave.
— Ne vous faites pas de souci pour la boisson. Ce dont m?épouse a besoin, c?est de nourritude et café fort. Nous avons passé une journée et demie en mer sans rien manger ! Dit l?époux James.
— Mon Dieu ! Est- il possible ! Se cria la vieille femme.
Simone intervint alors et lui dit dans un français impeccable à l?accent parfait :
— Nous aimerons bien manger quelque chose, s?il vous plait Madame ! Mais nous voudrions que vous nous conduisiez à nos chambre. Nous sommes mon époux et moi, horriblement fatigués et nous aimerons pouvoir nos laver un peu avant toute chose.
La patronne de l?auberge était visiblement très impressionnéen par la manière dont lui avait parlé Simone et par ça connaissance parfaite du français.
— Certainement Madame ! Suivi-moi. J?ai heureusement une chambre libre où vous pourrez installer confortablement.
Le chambre qui l?aubergiste les avait introduits étaient pauvrement meublées, mais très propres, Simone se sentaitm brusquement, si fatiguée qu?elle n?avait plus qu?un désir: se mettre au lit et dormir.
— Vous dormirez bien, Madame ; vous verrez c?est une couette de plumes d?oie, dit-elle gentiment.— Mais moi ! J?ai très faim, parle James, l?aubergiste lui sourit :— Je vais aller vous préparer une bonne omelette, Monsieur. Voudrez-vous également du café ? Ou bien préférez-vous quelque chose de plus fort ?
Simone intervint aussitôt :
— C?est du café très fort que nous voudrions boire, l?un comme l?autre ! Je vous remercie beaucoup, pour tout Madame.
Alors Simone déposa un baiser sur front de James lui disant :
— Je suis heureux que tu sois auprès de moi. Tu m?es d?un grand réconfort.
Elle sait qu?il est un cocu assumé........Simone avait la certitude d?être d?autant plus libidineuse, elle n?était qu?une enfant, que le désir brûlait en elle sans limite. Simone se déshabilla du milieu de la chambre jetant ses vêtements en désordre autour d?elle. Elle se retrouva bientôt nue. Il faut dire qu?elle était splendide dans toute plenitude de son âge de femme. Elle répondait à tous les canons de l?esthétique, les fesses dures, le ventre plat, les muscles longs et un minou abondamment fourni d?une toison argentée.
Plus tard, dans la chambre, des qu?ils sont retrouves seuls, Simone a tout raconte à son époux et tout en faisant l?amour, mêlant Tim a vos jeux les plus coquins. James lui dit d?aller de l?avant, et comme elle en avait très envie, il fallait que elle le seduise, James comme d?habitude, l?avait glisse au creux de l?oreille en portant :
— Tu peux commencer à le dévergonder, ça serait ausant non faire l?amour à trois , il est mignon, j?aimerais beaucoup le voir te prendre et nous amuser avec lui; donc sois bien salope, ma chèrie, ça me plait tu le sais et tu me raconteras tout en détails qu?en je rentrerais.....
Tim Rogers est très attirés par cette femme, elle s?appelle Simone. Ils se sont rencontrés par hasard, sans chercher à savoir d?ou ils venaient ni ce qu?ils voulaient vraiment. Les choses se sont passées simplement, comme ça, au fil des mots et de sa voix, au détour d?une rencontre et d?un échange de regards silencieux. Elle ne savait pas ou elle en était, ce qu?elle voulait vraiment, et surtout comment elle pouvait concilier ses désirs et ses rêves.......
Le ledemain, fin d? aprè-midi, les choses allaient évoluer très rapidement. Tin Rogers arriva avec un superbe bouquet de fleur pour elle. Il était extrêmement élegant dans un costume noir. Simone était très impressionnée et ravie par le bouquet. Vers 22 heures, Tim Rogers proposa d’aller continuer la soirée en discothèque. Ensuite, ils vont tous les trois au soir en discothèque. La chaleur était de plus en plus lourde et le samedi soir, Simone arriva avec des sandales à talons hauts, habillée avec une mini robe rouge dos nu qui s’arrivait aux fesses. Elle ne portait pas de soutiens-gorges car la robe était toute décolletée. Sur le devant, elle avait deux bandes de tissus qui allaient de bas en haut, en passant sur ses seins, pour finir se nouer autour de son cou. Avec la poitrine qu?elle avait déjà à l’époque, cette robe avait du mal à tout cacher et une bonne partie de son anatomie s’exhibait en dehors du tissu. Chez d’autres filles elle aurait presque pu passer inaperçue mais sur Simone, elle était plutôt audacieuse.
Les salles de danse étaient en sous-sol. Tim commanda une bouteille de whisky. L’ambiance dans la discothèque était plus chaude qu’au stand de la foire. Les hommes présents regardaient tous vers son décolleté pour voir ses seins. Simone adora danser et pendant des funks très hots ! Au bout de deux heures, ils étaient, Simone et son mari, un peu ivres. Tim profita de la pane d? époux de Simone pour l?entraîner sur la piste. Il la prit les mains et tout en la regardant dans les yeux, il la fit danser un Rock. Il la faisant tourner, collait son buste contre ses seins, la pernait par la taille faisant glisser ses mains de long de ses bras. Ils se regardaient dans les yeux. Quelque fois elle surprenait son regard entre ses seins. Il lui disait qu?elle était très belle, très attirante, Simone était très bien avec lui.
Elle avait alors senti contre son ventre et ses fesses qu?il ne lui était pas du tout indifférent, il en était d?ailleurs, apparemment très gêné et elle très moillée ! Alors coquinement elle decidait en dansant de se coller et de sentir encore plus contre elle son désir. Simone était sûrement folle et sûrement très salope de jouer avec lui, mais il la plaisait terriblement. Pendant qu?il la regardait et admirait son corps, Simone s?est retournée et l?a regardé dans les yeux. Ils sont reste fixé quelques secondes, ils avaient bien vu qu?ils avaient envie l?un de l?autre....
Tout cela lui plaisait bien et l’excitait beaucoup, mais en même temps, elle avait très envie de partir pour faire l’amour avec Tim Rogers. Revenus près de notre table, Simone s’aperçue de l’absence de son époux. Un homme l’informa qu’il avait vomi dans les toilettes et que son collègue le ramenait chez ses parents. Elle fut très ennuyée par son départ et Simone pensait que la fête était terminée. Tim, tout sourire, lui dit qu’il n’avait pas de chance et lui proposa de rester avec elle. Il la ramènerait ensuite au chambre. En remontant les escaliers, l’air c’était un peu rafraîchi et son homme l’entoura de ses bras. Arrivée à la voiture, il l’ouvrit la porte passager pour l’inviter à s’asseoir et s’installa lui-même devant le volant. Ils étaient seuls pour la première fois de la soirée. Elle ne savait pas trop où mettre ses mains. Simone croisa les jambes. Tim les regarda. Il posa une main sur sa peau bronzée et la caressa les cuisses. Il lui dit que sa peau était douce et chaude. Sa main se glissait de plus en plus loin sous le tissu de sa robe.
Les yeux de Tim rencontrèrent les siens. Ses pupilles étaient brillantes. L’envie qu’il avait d?elle devait être immense. Il glissa son regard sur les deux pans de sa robe. De sa place, il voyait une bonne partie de ma lourde poitrine qui bougeait au rythme de ses mouvements. Comme tous les hommes qui croisaient son chemin, cet endroit le fascinait. Son buste les rendait fou. Son autre main se glissa sous son aisselle et descendit le long de son côté gauche vers sa taille frôlant au passage le galbe de son sein qui dépassait de sa robe. Il lui déposa un premier baiser sur les lèvres. Elle croit que leurs lèvres se sont ouvertes ensembles pour les embrasser à pleines bouches. Leur premier baiser fut passionné.Il conduisait avec sa main droite glissée entre ses jambes tout contre son sexe. Il gara la voiture dans le parking de l’ hauberge.
Son cour battait à cent à l’heure. Tim l’embrassa de nouveau dans le couloir. Il ouvrit la porte de la chambre. Elle était grande avec un seul lit. Son amant la laissa passer devant lui, entra et referma la porte à clé. Il se colla à son dos, l’embrassa dans le cou en lui caressant avec douceur. Il dénoua le noud qui attachait le haut de sa robe et celle-ci tomba à ses pieds lui dévoilant son corps complètement dénudé à l’exception de ses chaussures.
— Tu te fais bronzer en string ?— Oui.— Tu as la marque du triangle. Tu te fais bronzer où ?— En institut.
Il me caressa les fesses avec douceur.
— Tes fesses sont belles ! bien droites et bien fermes.
Le ventre plat, les muscles longs et un minou abondamment fourni d?une toison argentée, elle se rendit dans sa salle de bain, alluma la lumière et lança la porte entre ouverte, sans se douter qu?ainsi, elle était dans la ligne de vue de son amant. Simone fit un long pipi très bruyant dans le WC, puis, devant le lavabo, jambes ouvertes elle nettoya son intimité. Elle avait défait la lourde torsade de ses cheveux et ceux-ci tombaient harminieusement sur ses épaules la rendant encore plus attirante. Elle éteignit la lumière de la salle de bains et, venant dans la chambre, elle fut surprise par la penumbre, et elle s?approcherait lentement faisant onduler ses hanches proéminentes, et frémir la fôret argentée qui protege sa vulve; ?rovocante elle projetait haut ses seins dans sa direction, puis elle glisserait lentement sur son corps nu comme elle a su sans doute de faire.
Il l?attire contre lui et l?embrasse voluptueusement, sa main passa sur son minou et constate l?enthousiasme de son entre-jambe. Il la retourne et l?accroupie entre ses cuisses ouvertes, sa langue écarte les lèvres intimes et pénètre doucement son conduit étroit et brûlant, la langue entre et sort très vite de sa chatte furieuse, pendant que son doigt titille son petit bourgeon rose.
— Oui...........prend-moi. Je veux te sentir au fond de la chatte............mets-moi............Comme invite suprême, Simone ouvre grand ses cuisses, elle se relève et se positionne, une jambe dans chaque bras, obligeant la nymphe à releveer ses fesses. Tim admire un instant son clitoris dur et son orifice rose, offert et ruisselant d?envie.
Maintenant Simone avait guidé sa sa petite main craintive jusque sous son pantalon, périlleuse aventure à la découverte des mystérieuses pulsions qui avaient démesurément gonflé son pénis. Ella avait appuyé sa petite main sur son pénis chargé de sang, elle gémissait, et se cramponait à lui et ses doigts s?étaient resserrés sur son pénis en fusion, Elle ne savait plus quoi faire, elle trituré son pénis, le violentait, le tordait; elle manipulait de façon malhabile ses boules, ne sachant quoi faire pour assouvir cette soudaine pulsion qui enflamait tout son corps, son corps de petite bête piégée et qui semblait exploiter avec anxieté les dernières d?une longue et douloureuse agonie.
Puis Simone avait soudainement trouvé la façon, le mode d?emploi ses doigts s? étaient refermés sur son pénis, ils l?entourarient, le serraient fortement et le manipulaient dans un mouvement saccadé de haut en bas, dégageant ainsi les chairs fragiles gonflées se sang de l?enveloppe mobile qui le recouvrait. Simone s?agitait, se tortillait sous l?effet de la transe, des plaintes sortaient de sa gorge, elle le mordait légèrement, avalait gloutonnement sa langue, elle ne cessait d?activer son pénis de ce mouvement saccadé de haut en bas, impatiente, fébrile, anxieuse comme si elle charchait les secrets enfouis derrière ce chaud appendice, frêle petite biche, innocente femme, fragile poupée lancée dans une quête sublime, une quête aventureuse et qui merrait à nu toute l?énergie sexuelle endormie dans ses rêves. son pénis avait explosé soudainement son sperme chaud s?échappait de son enveloppe charnelle; sa main chaude et nerveuse necessait de activer comme pour en sortir tout la manière vitale. Ses deux corps imbriqués s?activaient en une transe insolite durant tout le temps du tranfert de son sperme de l?étroit fuseau de son pénis en fusion vers sa petite main chaude et caressante........
Alors, son amant frotte son batôn sur sa chatte en folie, et presente son dard l?entré de ce corridor doux, avec précaution, son gland entre lentement en elle. Il s?arrête, il sent les petites tentacules de son vagin aspirer sa verge. Le visage serein, les yeux clos, les narines dilatées de plaisir et la bouche entre-ouverte, elle gémit doucement, il pousse ses reins et, en douceur, rentre lamoitié de sa hampe dans son ventre, les parois de sa grotte frémissent et tressautent, massant délicieusement sa verge, comprimée dans ce conduit étroit, les soupirs de la femme se transforment en ’ Oh ’ de jouissance. Un tourrent chaud coule le long de son membre dur, profitant de son extase, il s?enfonce en elle, son ventre contre son pubis, dans un mouvement rapide elle s?attrape la nuque à deux mains et plonge ses yeux écarquillées dans les siens, sa bouche s?ouvre et elle crie :
— Ouuiii..........Je te sens bien..............C?est bon.........lentement son sexe entre et sort, explorand son ventre, son gland heurte doucement le fond de ce volcan, arrachant des ’ Oui ’ de joie à sa compagne.
Il varie les angles de pénétration et son corps vibre et se tord d?allégresse, sa gorge chante sa jouissance et elle enchaîne les orgasmes, arrosant la queue de son lait chaud. Il l?enfonce toujours en son ventre, toujours plus profond, sous lui, abandonée, ivre de passion, la femme était épuisée et réalizée.....
Remise de ses émotions, elle a une cruelle sensation de mal être. Elle a l’impression que son époux l’a manipulé. Pour la première fois, elle regrette l’expérience que son mari lui a fait vivre. Cette nuit malgré le bonheur qu’elle a eu, elle a l’impression que quelque chose s’est brisée entre elle et son époux. Rien ne sera comme avant maintenant. Leur relation survivra t elle à cela. Elle préfère s’endormir et attendre les réactions de son mari demain...

Ce fut une expérience inoubliable surtout cette première nuit. Tim Roges était fou d?elle.
Fin
Ici, S?o Paulo - Brésil?crivez-moi sur irl70@hotmail.com
Ivan Ribeiro Lagos
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