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La ballade en foret

Chapitre 4

Zoophilie
-Qu’es ce que tu bois ?-Un whisky avec du Perrier et des glaçons si tu as.-J’en ai, je t’amène tout ça.Elle se lève et se dirige vers la cuisine. Elle revient avec tout ce qu’il faut accompagnée d’Andrée qui s’est mise au diapason. Nue, elle parait encore plus grande. Je remarque qu’elle n’a pas de trace de maillot sur les seins et que son sexe est entièrement épilé avec un tout petit triangle blanc juste au niveau du sexe. Je la regarde avancer vers moi et je ne peux m’empêcher de faire une remarque.-Ton maillot ne doit pas peser lourd.-Il tient dans un dé à coudre.Tout le monde rit et Josette sert l’apéro. Nous buvons un coup en plaisantant de tout et de rien, mais comme il fallait s’y attendre, la conversation arrive vite sur le sexe. Andrée se touche la vulve, fait glisser son doigt de bas en haut le long de sa fente et se titille le clitoris. Il est évident que ça lui fait quelque chose. Josette se lève et se dirige vers les toilettes. Andrée se tourne vers moi.-Comment as-tu trouvé cette première journée de zoophilie ?-Je suis émerveillé par les sensations que j’ai éprouvé, je ne m’attendais pas à une telle puissance de jouissance.-Tu as été vite en besogne, en un jour chien et âne, ce n’est pas commun. -Non, mais c’est l’occasion qui fait le larron, tu as mis combien de temps toi ?-Cela fait deux ans que je pratique avec Josette, mais j’en suis encore restée au chien, j’hésite un peu tellement le sexe de Jules est gros.-Il est rentré dans mon cul, je ne pense pas que ce soit un problème de le faire rentrer dans ton sexe.-Pour rentrer, pas de problème, c’est sa longueur qui m’effraye un peu. J’ai peur qu’il me défonce complètement s’il perd les pédales.-Il faut faire confiance à Josette, j’ai vu qu’elle maitrisait très bien Jules. J’ai l’impression que c’est sa mère.-Tu ne crois pas si bien dire, à sa naissance sa mère n’a survécu que deux jours, c’est Josette qui lui a donné le biberon jusqu’à qu’il puisse brouter tout seul.-Je comprends mieux.Elle se caresse toujours avec son majeur. Elle penche sa tête en arrière sur le dossier du divan, écarte ses jambes en grand et enfonce son doigt entièrement dans son sexe. Elle ressort son doigt et me fait signe avec son index de venir la rejoindre. Je me lève pour venir m’agenouiller entre ses jambes. Je plonge ma tête entre ses cuisses et m’empare de son clitoris qui pointe entre les petites lèvres. Je titille le sexe d’Andrée quand Josette réapparait.-Je vois que vous faites connaissance.-Oui, il me broute le minou et j’adore.-Je sais, il fait ça très très bien.J’ai la tête entre les jambes d’Andrée, je ne vois donc pas ce que fait Josette. Je sens tout à coup un doigt qui me lubrifie le cul. Juste après, deux mains se posent sur mes hanches, un mandrin dur prend la place du doigt et s’enfonce sans coup férir dans mon fion.-Je savais que tu allais t’occuper d’Andrée, comme je ne veux pas rester inactive, je m’occupe de ton cul. Je sens ses cuisses toucher mes fesses, c’est une drôle de sensation, j’en tremble. Andrée, elle, se laisse porter par son plaisir, son corps ondule doucement pendant que je m’occupe de son clitoris. Elle pose ses mains sur ma tête, sans appuyer, pour mieux ressentir ce que je lui fais. Josette se déchaine dans mon cul, elle commence à gémir elle-même, je pense qu’elle doit avoir un gode ceinture double qui la pénètre en même temps. Pour ma part, je suis trop fatigué pour avoir une nouvelle jouissance maintenant, il me faut encore un peu de temps, mais je m’applique à donner le maximum de plaisir à Andrée et Josette. Elles commencent à s’exprimer par onomatopées, la tension monte de plus en plus, Andrée appuys plus fort sur ma tête et est secoué de spasmes, elle jouit en criant.-Oui, oui, continu, oui, AAAAAAAAHHHHHHH.
Je sens les ongles de Josette me rentrer dans la peau.-Moi aussi, oui, oui.Elle se penche pour embrasser André. J’ai la tête écrasée entre les cuisses d’Andrée et le ventre de Josette, la bouche sur le sexe d’Andrée, ce n’est tout de même pas très désagréable, bien au contraire. Les filles se calment, Josette me libère le cul et je me redresse pour aller m’assoir sur le divan à côté d’Andrée. Josette défait sa ceinture, effectivement il y a un gros gode vaginal à l’intérieur.-C’est celui que nous utilisons quand nous sommes ensemble. On le met chacune notre tour. C’est très efficace, j’en ai été très étonnée.-C’est vrai, mais il n’est efficace que depuis que l’on a changé le gode interne, celui qui nous a été livré était vraiment minuscule. -Tu as raison. Bon ce n’est pas tout ça, il faut manger un peu.Nous passons à table, mangeons avec beaucoup de plaisir le plat préparé par Andrée, en fait un civet réchauffé, et finissons sur une glace et un café.-Andrée, tu ne veux pas essayer Jules ?-Tu sais bien que j’ai peur de ses réactions s’il s’emballe.-Oui, je sais, mais il y a Jean qui peut m’aider à le contrôler.Andrée réfléchit un petit moment.-Ok, je veux bien essayer, mais si je panique, on arrête tout.-Evidemment.Nous partons tous les trois dans la grange. Josette allume les lumières et ferme la porte et les fenêtres sur les côtés.-Comme ça, nous sommes absolument tranquilles. Personne ne peut voir la lumière.Jules doit comprendre ce que nous attendons de lui, il vient vers Josette et je vois que sa queue sort un peu. Josette lui caresse le sexe ce qui a pour effet de le faire bander jusqu’à ce que sa queue soit entièrement sortie. Elle pend sous son ventre. J’installe le banc et positionne Andrée sur le dos.-Tu me promets que tout se passera bien ?-Oui, ne t’en fait pas.Josette fait avancer Jules qui au contact d’Andrée relève sa queue à l’horizontale. Andrée est très excitée, je vois sa vulve briller de sa cyprine. Je saisi la bite de Jules et vient la positionner devant la chatte d’Andrée. Un violent coup de rein de Jules expédie sa bite dans le vagin d’Andrée. Je positionne ma main à mi longueur de la bite de Jules pour limiter la pénétration. Ses mouvements sont rapides et violents, mais je n’ai pas l’impression de le gêner.-Oui, je sens ta main frapper mon clitoris, c’est bon cette énorme bite, comment ai-je pu hésiter si longtemps. Vas-y mon Jules, défonce moi la grotte, fait moi jouir.Les mouvements de Jules sont de plus en plus frénétiques, j’ai de plus en plus de mal à maintenir ma main en place au moment où Andrée explose dans un orgasme dément. Elle tremble, se soulève, raide comme un bout de bois. Jules se démène de plus en plus, mais Andrée, en retombant sur le banc, perd l’équilibre et tombe par terre se libérant d’un seul coup de Jules. Elle a tellement jouit qu’elle ne peut pas se relever. Jules est frustré, il henni et donne des coups de sabot par terre. Je me badigeonne le fion de graisse, relève Andrée et me met à plat ventre sur le banc. Jules donne des grands coups de rein, je sens sa bite cogner contre mes fesses jusqu’au moment où il trouve le chemin et me transperce le fion d’un seul coup. Je ressens une violente douleur, qui s’apaise assez vite. Jules me bourre le cul de son énorme bite. Il pénètre plus profond que cette après-midi, mon cul est dilaté à l’extrême et ses mouvements plus amples et plus profonds me font décoller petit à petit. Je suis sur le point de jouir quand je sens un flot de liquide se répandre dans mon tube. Cela déclenche immédiatement ma jouissance. Je ne sens plus mon corps, seul mon cul m’envoie des signaux de plaisir. J’ai joui sans me toucher comme cet après-midi, cela devient une habitude, je me demande comment je vais pouvoir me passer de ces jouissances extrêmes. Jules se calme et Josette le fait reculer pour me libérer le cul. Je sens sa bite tomber le long de mes jambes. Je reste en position, je suis incapable de bouger, c’est alors qu’une main vient se planter dans mon cul qui ne s’est pas encore entièrement refermé. Les doigts se positionnent en pointe et la main finie par complètement disparaitre dans mon fion.-Regarde Josette, ma main est dans son cul, décidemment Jean est un mec étonnant. Il a un cul spécial.-Oui, je sais, je m’en suis rendu compte.J’essaye de me redresser, mais j’en suis incapable et Andrée commence des va et vient que je ne sens que modérément.-Je crois que je suis complètement cuit.-Tu as raison, ça suffit pour aujourd’hui.Andrée retire sa main et vient me lécher la rondelle pour me calmer.-Oui, ça fait du bien, continu.Elle me lèche pendant quelques minutes, jusqu’à ce que je sois capable de me relever. Josette referme le box de Jules et nous retournons à la maison. -Tous à la douche.Nous nous lavons mutuellement, je frotte les deux filles, mais Andrée a envie d’autre chose, elle appuie sur mes épaules pour me faire accroupir jusqu’au niveau de sa vulve. Je sors la langue et lui titille très rapidement le clitoris. Elle est tellement excitée qu’elle jouit en quelques secondes.-A moi maintenant.Je me retourne vers Josette et lui fait la même chose. Elle résiste un peu plus, mais il ne faut guère plus d’une minute pour la faire jouir. Je me redresse, Andrée se saisie de ma bite mais je l’arrête.-Non, ce n’est pas la peine, j’ai trop joui aujourd’hui, je ne me savais pas capable de ça. La journée a été excellente, je ne suis pas près d’oublier mes retrouvailles avec Josette.-Moi non plus.Après nous être séchés, nous retournons au salon pour boire un verre. Nous discutons un peu, mais nous tombons tous de fatigue. -Au lit. Evidemment, Andrée, tu dors ici.-Tu sais que j’ai horreur de dormir seule quand je suis ici.-Qui te parle de dormir seules, mon lit est assez grand pour tous les trois.Nous montons dans sa chambre, nous allongeons, moi au milieu des deux filles, et tombons presque instantanément dans les bras de Morphée. Le lendemain matin, je me réveille seul dans le lit. Je regarde l’heure, il est plus de neuf heures. Je me lève, descends au rez-de-chaussée, personne. Il y a du café chaud et je me sers une tasse que je bois bien chaude. En regardant par la fenêtre, je vois la porte de la grange ouverte. Josette l’avait fermée hier, donc elles sont là-bas. Je me rends à la grange pour tomber sur Andrée, sur le banc en train de se faire baiser par Jules. Elle tient le sexe de Jules avec ses deux mains et se l’enfonce le plus loin possible Jules est étrangement calme, rien à voir avec son comportement d’hier. Josette est à quatre pattes, elle lèche les seins d’Andrée pendant que Flic la pistonne. Andrée est dans un autre monde, ses yeux sont révulsés, elle est dans un autre monde. Josette m’aperçoit est me fait signe d’approcher. J’avance doucement, j’ai toujours une petite appréhension au contact de Flic, surtout quand il baise sa maîtresse.-Lubrifie toi le cul et met toi à quatre pattes, je vais libérer Flic pour toi.Je m’exécute, et me met à quatre pattes. Josette se redresse et se libère de Flic qui s’énerve un peu. -Calmes toi Flic, au pied.Flic vient docilement vers elle, elle plonge sa main entre ses cuisses et vient me badigeonner le cul de son odeur. Flic vient vers moi, me monte dessus et en un seul coup trouve l’ouverture. Sa bite me transperce le fion, mais, tout en étant relativement grosse, elle n’est pas non plus monstrueuse. Seulement, Flic avait prit de l’avance et très vite il veut jouir, il donne de grand coup de reins et fini par me planter son bulbe dans le cul. Cette fois, je le sens passer. La douleur est intense mais brève. Très vite le plaisir prend le dessus et Flic se vide dans mes tripes. Josette s’occupe de ma bite avec sa bouche et en entendant Andrée jouir comme une folle, je fini par me vider en elle. Josette reste à quatre pattes sous moi et me lèche les cuisses mouillées par le sperme de Flic qui déborde de mon cul. Elle finit par se redresses, Flic s’est retourné mais ne tire pas pour se libérer, il reste immobile. Andrée se dégage de Jules, remet de l’ordre dans ses cheveux et les rabat devant elle. Ils lui arrivent en dessous du sexe et l cache en même temps que ses seins.-Voilà, comme ça je suis présentable.Tout le monde rigole, mais moi je reste toujours pris par Flic qui ne bouge toujours pas. Au bout de dix bonnes minutes, je sens le bulbe de Flic glisser e sortir de mon cul. Je veux me redresser, mais une main sur entre mes omoplates me maintient en position tandis qu’une autre, les doigts en pointe, entre dans mon cul. Il est tellement distendu par le bulbe de Flic, qu’elle entre sans problème. Andrée pousse jusqu’à avoir son avant-bras presque entièrement entré. Elle fait des va et vient, d’abord lentement et peu amples, puis, progressivement, elle augmente l’amplitude et la cadence. Je ne peux résister longtemps et je joui, toujours dans la bouche de Josette.Il nous faut une bonne dizaine de minutes pour récupérer complètement.-Pas mal comme petit déjeuner.-C’est fou que j’ai pu rester si longtemps sans me faire biser par Jules, quelle conne. Dorénavant, ma chérie, ce sera toutes les fois où je viens te voir.-Pas de problème. Allez, rentrons, il faut que j’aille en ville tout à l’heure.Nous rentrons à la maison, nous faisons une toilette approfondie et redescendons au salon. -Je dois vous quitter les filles, mais je sais que vous allez dans le sud-ouest dans une semaine, alors il est hors de question que vous ne passiez pas chez moi. Je vous attends, j’ai quelques idées pour bien s’amuser.Je les ai quitté un peu triste de devoir abandonner cette ambiance de fou. Elles sont venues me voir, ça a été deux jours de folie, mais ceci es une autre histoire.zooph34@gmail.com
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