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Banquière perverse

Chapitre 5

Au service de Madame.

Hétéro
Satisfait de cette situation, le plateau de Madame en mains ; je sors de la pièce et me dirige vers la cuisine. Je vais baiser sa salope de fille comme dit la banquière ; mon fantasme va-t-il se réaliser ? Par contre je ne comprends toujours pas pourquoi elle traite sa fille de salope. Tout en me rendant à la cuisine, je réfléchis à ce que je vais bien pouvoir lui faire.
La queue toujours tournée vers le ciel, j’entre dans la cuisine et découvre la belle Gladice fouillant dans un placard le corps plié en deux, la croupe bien en arrière. Elle m’expose sans complexe sa chatte et son trou du cul. Une brutale pulsion me projette vers se cul si attirant. Alors, je la saisis par la taille et l’encule sans autre forme de procès.— Holà ! Espèce de mal élevé, tu pourrais frapper avant d’entrer. C’n’est pas marqué entré libre sur mon cul, que je sache. M’interpelle-t-elle.— Oh, pardon, je suis désolé mais c’était trop tentant.— Hein c’est vrai que j’ai un beau cul ?— Beau et bon tu veux dire ; bon je vais te laisser tranquille, mais tu ne perds rien pour attendre.— Attendre quoi ? Tu ne crois pas que je vais ramasser les miettes et passer après le blondasse. Maintenant que tu as commencé le travail, tu continues ; fais moi jouir par le cul.— C’est vrai ? Je peux, et après tu me suces ?— Si tu veux.
Encore un de mes fantasme ; me faire sucer après la sodomie : un régal !
Alors j’y retourne et la pilonne comme une bête ; de toute façon, nous ne sommes que des bêtes de sexe. Nous sommes tous les deux fait du même bois ou plutôt nous avons tous les deux une bite à a place du cerveau.
Elle ondule, râle et moi je lime. Si elle se met à crier comme l’autre fois, on va se faire piquer ; Madame n’aime pas ce genre de chose car c’est elle qui décide et donne les ordres. Après tout, je ne vais pas la laisser décider tout le temps ; je suis un mec… merde alors !
— Tu ne vas pas crier et puis tu ne vas pas jouir non plus, puisqu’il faut que le partenaire soit fouetter pur que tu arrives au bout.— Ah, oui … ? Ça, c’est du cinéma ; c’est pour faire plaisir à Madame. Moi, j’aime quand on le fait normalement ; alors vas-y défonce moi le cul.
Le haut de mes cuisses claque contre ses fesses ; ses seins battent la mesure. Elle ne dit mot mais respire comme une vache et moi comme un bœuf. Elle vient de passer sa main entre ses cuisses et s’astique l’abricot. Elle insiste et se caresse de plus en plus fort, elle vibre, glousse, couine et enfin arrive à l’orgasme. Elle m’attrape les couilles et tire dessus : « Oh putain, elle est folle ; elle va me les arracher ! »
Tout en me tenant par les couilles, elle se dégage, se retourne, attrape mon vit d’une main, le décalotte et tirant la peau vers le bas et l’étrangle à sa base. Je le sens se gonfler et il devient presque mauve ; la bouche grande ouverte, elle l’enfourne et me suce. « Que s’est bon de se faire sucer après cette belle enculade ! »
Cette fellation est une pure merveille, elle s’occupe de mon gland avec douceur. Si elle continue ainsi je vais venir sans tarder, mais je me retiens et ça, c’est encore meilleur. Elle insiste sur mon gland encore et encore, me tire les testicules. C’est alors que l’expression « Tenir quelqu’un par les couilles » prend tout son sens. La peau de mes bourses est tellement distendue qu’elles m’arrivent à mi-cuisse. Mon gland butte contre le fond de sa gorge ; tenterait-elle de faire une gorge profonde ? Je ne sais pas si elle va y arriver car je suis gros.

C’est l’extase, tout à coup je lui envoie une belle quantité de mon jus dans la bouche. Elle lève les yeux vers moi et me fixe avec un regard de défiance. Tout en me tenant toujours l’engin et les bourses, elle se relève, approche ses lèvres de ma bouche et l’ouvre en grand.
Je vois sa langue qui délaye mon sperme et sa salive, elle tourne dans sa bouche. Elle bave… Le mélange sort de sa bouche et l’aspire aussitôt, puis recommence avec toujours son regard et un sourire de défiance. « Elle n’a pas l’attention de me faire bouffer ça ? »
Cette fois, elle me distend la peau des bourses, tire sur mon sexe, et la bouche grande ouverte, elle se gargarise et l’avale d’un coup, puis elle me lâche.
— Alors mec, tu as aimé ? J’aurais bien remis ça, mais ne t’inquiète j’en laisse un peu pour la blondasse, et j’espère que tu vas la défoncer, cette salope.— Et bien toi ! — Quoi, moi ? Ça, c’est moi ; j’aime le sexe, me faire sodomiser, me faire prendre par tous les trous, bouffer du sperme et plein de choses encore. Tu vois entre moi et cette gonzesse il y a une différence.— Ah oui et laquelle ?— Moi, je suis bi et j’ai un principe : j’ai le cul toujours propre (au cas où) ; c’est pour cela que je peux sucer après m’être faite enculer. Mais elle je sais qu’elle ne fait jamais de lavements, alors tout à l’heure, tu vas l’obliger à te sucer après l’avoir enculée.— Ça, c’est dégueu, mais dis-moi ; la fille de la patronne, tu n’as pas l’air de trop l’aimer.— Non, comme le dit si bien sa mère, c’est une salope. Profiteuse de tout et des autres, elle ne sait rien foutre de ses dix doigts. Elle ne sert que de son cul, mais le pire c’est qu’elle est lesbienne et se joue des filles incrédule. Elle leur promet monts et merveilles sous prétexte que sa mère est banquière, et ça, sa mère ne le supporte pas. Alors comme c’est la vieille qui te l’a demandé, profites-en. Ne le lui laisse pas le temps de demander quoi que ce soit, agit, prends le dessus sur elle ; domine-la ! — Tu en es sur ?— Avec elle, certaine ; par contre avec la patronne soit docile et fait tout ce qu’elle demande. Soit avenant et prévoyant, même si elle te demande de faire des choses complètement farfelues que te refuserai en temps normal ; fait les.— Elles sont compliquées, non ?— Oui très, mais soit certain d’une chose ; si tu arrives à te mettre la patronne dans la poche, tu auras tout gagné. Enfin si on peu dire car pour le moment tu n’as plus rien à te foutre sur le cul. Cela dit, j’aime bien te voir tout le temps à poil… Je ne t’en dis pas plus, à toi de voir.— Merci, je te revaudrai ça, je ne sais pas comment ; mais je te le revaudrai.— Comment ? En me faisant l’amour en vrai avec des sentiments et de la douceur.
Elle aussi me laisse perplexe, que fait cette fille aussi jolie avec ces deux folles ? Une idée aussi folle qu’idiote me traverse l’esprit : « Et si je devenais son amant et pourquoi pas son mari ?…Oui c’est ça je vais lui faire la cour »
— Bon ce n’est pas le tout, mec ; mais tu as une mission très importante à accomplir. Tiens, bois ceci, ça va te donner de la force pour baiser la blonde.— Merci, c’est quoi ?— T’inquiète, c’est naturel et utilisé par les hommes dans des tribus lointaine ; bois.
Je bois une sorte de tisane au gout indescriptible, elle est ni bonne ni mauvaise. Je n’en connais pas les effets mais on verra bien, je lui fais confiance.
Une sonnerie retentit.
— C’est l’heure, Madame nous attends. Tu es prêt ?— Il le faut bien, pour faire plaisir à Madame, je suis prêt à tout maintenant.— Alors en route.
Nous arrivons dans une pièce où Lacksimy (la fille de Madame) attend, nue sur une espèce de canapé aussi vaste qu’un terrain de foot. Dans la pièce il y aussi ma banquière. Elle git sur un fauteuil en velours, elle ressemble à une guimauve fondant au soleil. Elle n’est pas nue mais porte juste un peignoir grand ouvert sur son corps gélatineux. Les cuisses grandes ouvertes, elle dévoile un pubis et une grosse moule parfaitement vierge de tout poil. Serait-elle prête à se faire sauter aussi comme elle le dit si bien, ou est-ce pour m’exciter ? Pour m’exciter je dis oui, les femmes pulpeuses voire un peu grosses me font de l’effet. Quoique le petit cul de Gladice ne me laisse pas du tout indifférent, pour preuve, vu ce que je viens de lui mettre. Mais pour l’heure, je dois m’occuper de la demoiselle.
— Me voici Madame, que désirez-vous que je fasse ?— Issam, tu vas me prouver que tu es un homme, un vrai ; alors tu as carte blanche, elle est à toi.— Maman, je ne veux pas qu’il me touche, tu n’as qu’à mettre Gladice à ma place.— C’est moi qui commande ici, alors tu fais ce que je dis ; je veux te faire passer tes envies de gouine. Je veux que ma fille ai un jour un enfant alors tu vas voir comment une bonne queue, bien mise, là où il faut ; ne peut faire que du bien.— Bien Maman, comme tu veux ; mais je ne lui …— Allez, Issam, action. Je veux du sexe et ne la ménage pas, montre lui ce qu’est un vrai homme.— Bien Madame.
Je sais comment je vais procéder : tout d’abord en douceur pour ne pas l’effaroucher et après je vais augmenter.
Je m’approche de l’espèce de lit, c’est une estrade recouverte d’une épaisse moquette que je juge au toucher ; c’est de la laine. Lacksimy attend étendue un peu sur le côté, semble hypnotisée par ma bite qui même au repos en impose. Je me glisse à côté d’elle, effleure sa hanche ; elle recule un peu.
— N’ai pas peur, tu vas voir comme c’est bien, je lui chuchote.— Je n’ai jamais fais ça avec un homme, telle est sa réponse.— …
Je glisse ma main le long de sa cuisse droite avec toute la douceur dont je suis capable, puis mes doigts courent sur son ventre, du nombril au pubis mais sans aller plus loin. Je veux l’amener doucement vers le plaisir comme je le fais habituellement. Petit à petit elle se détend et ose même poser sa main sur le côté de ma fesse. Mes mains englobent facilement sa poitrine. Bien loin d’avoir la taille des nichons gigantesques de sa mère, ils ont un certain charme ; doux et fermes à la fois. Un doigt pour réveiller ces tétons qui attendent que je les titille, puis deux doigts en pinçant légèrement pour les faire pointer. Ma langue les lèche, pour faire monter son excitation, et la belle ondule doucement. Elle ferme les yeux, respire doucement ; je la tiens, elle est à moi !
Sa bouche doit être une merveille, je doute qu’elle accepte ma langue mais j’essaye. Une main de chaque côté de son visage, mes pouces caressent ses tempes ; j’approche mes lèvres. Le contact avec cette bouche est doux, humide. Avec toute la délicatesse donc je peux faire preuve je lui propose ma langue ; elle résiste à peine. Sa bouche s’entrouvre, j’en profite pour y entrer ma langue, et là, surprise ; sa langue vient chercher la mienne avec ferveur. Quelle belle aubaine, elle est donc d’accord.
« Pour une lesbienne, c’est pas mal du tout ; je vais te posséder !»
Ses tétons pointent sous mes pincements, son ventre ondule sous mes caresses, son sexe s’humidifie sous mon doigté. Elle ondule encore un peu plus et me dévore littéralement la langue.
Un coup d’œil à gauche un autre à droite. Madame, vautrée dans son fauteuil, le peignoir grand ouvert, a le regard planté sur nous, elle se touche l’abricot. Sans un mot elle bave de désir, sa moule ruisselle d’envie. « Tu en veux du cul, tu vas en avoir ! » cette pensée me donne de l’ardeur.
Gladice, assise sur une chaise nous dévore du regard, impassible. À en voir sa tête, elle jubile devant cette scène torride.
— Oh ouiii… ! Que c’est bon…continue.
Lacksimy commencerait-elle à apprécier les hommes où est-ce de la simulation ? Pour en avoir le cœur net, j’entreprends une nouvelle exploration. Sa minette c’est elle que je lèche maintenant, sa cyprine au gout suave me fait plaisir ; je titille ses grandes et petites lèvres. Cette fois, elle gémit, je touche au but. Je vais la prendre maintenant !
— Tu veux savoir ce que c’est qu’un vrai mec ?— Oh oui, vas y prends moi !
Je fais volte face, me couche sur elle, elle écarte les cuisses au maximum. Devant cette invitation je l’empale avec force ; elle crie.
— Ah…Ah oui…Défonce-moi… !
Je ne sais pas ce que m’a fait boire Gladice mais j’ai la bite en feu. Elle est si dilatée qu’elle me fait mal et moi je me sens presque surhumain. Oh, que c’est bon de se sentir fort ; alors je la baise comme a dit sa mère ; je suis une bête en furie. Plus elle crie et plus je pilonne, mes couilles battent ses fesses et ses seins suivent la cadence, et elle crie encore.
— Oh oui, encore…— Tu veux que je te baise, salope ? dit que tu es une salope, une cochonne !— Oui, oui, je suis une salope, baise, moi encore, vite… !
Je sors de sa chatte dégoulinante, d’un geste je retourne ma partenaire en lui soulevant le cul. Elle a compris et se met à quatre pattes, les fesses bien en l’air et l’anus déjà ouvert. Une main de chaque côté de ses hanches je l’attire à moi et l’encule d’un coup sec. Mon vit entre avec un peu de difficulté mais il entre et je pistonne très vite et très fort. Elle crie toujours :
— Oh, oui…je…je…vais arriver ! Oh ouiiii… !
Cette fois elle vibre, je sens sous mes doigts son ventre se contracter ; je suis certain qu’elle est ravagée par un orgasme terrible. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, je sors de son cul, la retourne d’un coup sec, l’attrape par les cheveux et lui enfourne ma bite dans la bouche.
— Suce-moi, salope !
« C’est bon ! Putain de fantasme, oh que c’est bon ! »
Un coup d’œil vers Gladice, elle jubile ; elle se branle la chatte et m’envoie un large sourire et un clin d’œil complice.
Madame aussi jubile, l’intérieure de ses cuisses brille à cause de son jus qui dégouline.
La belle blonde devenue bi m’astique le dard avec gourmandise. Mademoiselle est servie ! Je viens de lui envoyer tout ce que j’ai pu produire de sperme. Elle en a plein la bouche, et mon liquide sort par les côté et coule sur ses seins qu’elle récupère du bout des doigts et avale avec gourmandise.
« Clap ! Clap ! Clap ! »
— Bravo Issam, voila ce que j’appelle un homme, beau travail.— Merci Madame.— Bien encore un ou deux détails à régler et peut-être que je te ferai l’honneur de me toucher. Aller vous laver !
Je sors de la pièce, Gladice m’emboite le pas.
[À suivre]
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