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Banquière perverse

Chapitre 7

Un nouvel homme, une nouvelle vie.

Avec plusieurs femmes
Je viens de me réveiller, la douce Gladice dort paisiblement dans le creux de mon bras ; elle est belle comme un cœur. Je ne peux m’empêcher de la caresser sous le drap, son corps si tentant m’attire. Sur sa peau si douce et si fraiche, mes doigts courent vers l’endroit que je préfère chez elle, en faisant une halte sur ses seins, ses tétons s’émoustillent sous la légère pression de mes doigts que je leurs inflige.
Son pubis commence à piquer un peu ! Elle se rase et ne s’épile pas ? Ses jambes s’ouvrent un peu ; c’est un appel !
Alors mes doigt passent et repasse sur ce petit passage humide où son bouton durcit en même temps que mon plus grand ami. Ses cuisses s’ouvrent en grand, elles confirment que je dois y aller ; alors j’y vais. Je viens sur elle et entre avec délicatesse dans son écrin si doux, si secret ; elle ouvre un œil, puis l’autre et me sourit. Sa bouche attire la mienne, nos langues se disent bonjour ; mon cœur bat fort. Je suis rempli de bonheur, je n’ai pas envie de sortir de là où je suis, je suis si bien là ; je vais l’aimer comme hier soir…
La porte s’ouvre à grands bruits, suivit de hurlements ; je, nous sursautons, Madame est là ! Hirsute, plantée devant la porte de la chambre, les poings sur les hanches ; elle hurle :
— Gladice ! Mais qu’est-ce que tu fais, j’attends mon… ! Mais qu’est ce qu’il fait là celui-là ? Je ne vous ai pas autorisé ! Issam ! Sort de cette chambre ! hurle-t-elle en arrachant le drap qui nous recouvre
Je suis exposé à son regard, les fesses à l’air et mon sexe en Gladice. Elle commence à me gonfler sérieusement cette bonne femme ! Alors, moi aussi je hurle.
— D’abord, bonjour ! Et ensuite c’est quoi le souci, t’es jalouse ? Tu veux que je te baise ton gros cul ? Vu ta tenue, c’est ce que tu veux ; hein !
— Mais…
Sa tenue ? Parlons-en, elle est à poil sous son kimono grand ouvert. Ses gros seins lui tombent sur le ventre et son ventre recouvre presque toute sa chatte épilée.
— Vas-y Heubi, baise-là ! me-crie Gladice.
Surpris, je la regarde… et me jette un énorme clin d’œil.
Heubi, c’est mon deuxième prénom ; mais comment a-t-elle fait pour le trouver ? Bref !
C’est un ordre, qu’elle vient de me donner ? Je lui rends son clin d’œil et je culbute Madame sur le lit. Je lui attrape les deux seins au niveau des mamelons et je tire vers moi. Mon excitation est telle que j’entre d’un coup toute la longueur de ma queue et je lime, et je lime, et je lime encore.

— NON… ! non… Ohhh…Ahhh …Ahhh…oui…Ouiiii…continue …encoreee… !J’accélère encore et encore, je suis une machine ; mes cuisses tapent sur ses fesses et mes couilles contre son cul. On croirait une machine à vapeur : et Pan ! et Pan ! et Pan ! je la pistonne à un rythme soutenu et régulier.
— J’arriveee… ! Ah, ouiiii… ! Putain… ! Ah, je vais…joui…jouir… ! Je jou…ouie… Oh oui…! Je jouieee… ! Ouieee…. !— Quoi ! C’est quoi ce bordel ? Maman… ! Mais qu’est ce que tu fais ?...MAMANnnn… ! — Lac…Lac… !— T’es qu’une salope…tu m’as trahi …je te hais ! hurle Lacksimy.
C’est sa fille Lacksimy qui vient de nous découvrir, elle est folle de rage, complètement hystérique ; elle éclate en sanglot et sort de la chambre en claquant la porte.
Moi, je suis aux anges. Je viens de baiser ma banquière et fais chialer sa fille !
Madame se relève, se rajuste maladroitement ; ses seins ne rentrent pas dans son kimono et, comme si rien ne s’était passé ; elle dit d’un ton sec :
— Issam tu vas débarrasser ton appartement et tu habiteras ici, à moins que tu veuilles partir ; tu en as le droit mais je te le conseille pas.
Partir ? Moi, mais elle plaisante ! Je partirai sans doute un jour, mais pas avant de l’avoir ressautée !
— Non Madame, je reste.— À la bonne heure ! Je n’en attendais pas moins de toi. Dans ce cas je m’occuperai de tes problèmes de banque dès aujourd’hui. — Merci Madame.— Ne me remercie pas et n’oublie pas que tu as un contrat. Aujourd’hui tu vas aller débarrasser ton appartement, rendre les clefs à l’agence de location et ramener tes affaires ici. Je vais leur téléphoner pour régler ça. — Merci Madame.— Ne m’interrompt pas sans cesse. Ensuite tu vas allez chez l’esthéticienne ; Gladice tu as bien pris rendez-vous ?— Oui Madame, elle nous attend pour quatorze heures.— Parfait, tu l’accompagneras et tu en profiteras pour te faire épiler partout ; je vois que ta chatte n’est pas épilée, montre moi tes aisselles ! Je te veux parfaitement épilées partout. Je ne devrais pas avoir besoin de te dire de prendre rendez-vous pour toi et à partir d’aujourd’hui pour Issam.— Excusez-moi, Madame, je ne savais pas que je pouvais le faire sans votre accord, dit Gladice.— Pardonnez-moi, Madame, mais je n’ai rien à me mettre ; je ne peux pas sortir ainsi, dis-je.— Personnellement cela ne me dérangerai pas, mais passons. Gladice tu lui donneras de quoi s’habiller et pas de sous-vêtement, idem pour toi. Issam ! Sache que le port des sous-vêtements est strictement interdit à tous ici, sauf si je le demande.— Bien, Madame.— Vous avez la journée pour tout faire, je serai absente ce soir. Demain mon agence sera fermée et vous irez tous les deux y faire le ménage ; Issam, tu as la consigne pour la tenue, c’est marqué dans ton contrat.— Oui Madame.— Gladice, j’aurais deux mots à te dire, suis moi. Et toi Issam, merci !— Bonne journée Madame ! je dis.
Elles partent, me laissant seul ; j’en profite pour retaper le lit et Gladice réapparait, elle fait la moue.
— Que se passe-t-il ? — J’ai eu chaud à mon cul, si tu ne l’avais pas faite monter au ciel ; j’avais droit au fouet.— Merde !— Putain, qu’est-ce que tu lui as mise ! Et moi maintenant, j’ai le droit à un petit encas ?— Plus tard, quand je serai épilé, tu en auras la primeur ; ça te va ? Au fait, dis-moi : comment connais-tu mon deuxième prénom ?— Secret ! Tu es vraiment trop naïf, je t’adore. Pour la primeur, ça me va. Bien on se prépare ? Allez, à la douche !
Dès fois, je suis vraiment con ; elle a du lire mon contrat, tout y est marqué.
Cette douche, nous la prenons ensemble simplement, sans câlins, chacun pour soi. Je me satisfais largement du spectacle que m’offre Gladice. Ses courbes, ses formes harmonieuses et désirables me donnent envie de la toucher et de palper sa peau légèrement hâlée. Elle me fait la démonstration d’une toilette méthodique, chaque produit est utilisé juste au bon moment. La fleur de douche tourne, frotte partout et caresses aussi les endroits sensibles ; sans se soucier qu’en face une paire d’yeux observe et détaille chaque mouvement, chaque geste. D’un naturel impudique une jambe se lève, dévoilant une vulve fine et légèrement étirer. Le pied, en appui sur le rebord de la baignoire, ouvre encore plus son entrejambe et laisse passer les doigts agiles de cette main savonnée. Ils fouillent cet endroit si intime, frottent, palpes et disparaissent dans la cavité. L’eau s’écoule doucement du ciel de douche sur ses cheveux et ruisselle en un doux torrent qui, passant entre ses seins alimente en eau sa jolie cavité. Elle ferme les yeux, fort ; la main qui tient la fleur de douche se crispe et en fait sortir toute l’eau qu’elle contient. La main ne bouge plus, les doigts non plus ; elle se mord les lèvres, son visage se fige et ces sourcils se froncent. Son ventre la trahi, l’orgasme est là, bien présent ; elle jouit en silence.
— Ça y est, tu as fini, me dit-elle.
J’ai le sourire aux lèvres.
— Et toi ? C’avait l’air super… ?— Ah, tu as vu ? Et bien oui, puisque je suis obligée de me débrouiller seule. Dépêche-toi, nous avons du boulot.
J’ai une subite envie de l’embrasser, de la câliner encore une fois ; j’approche mes lèvres, hélas je n’ai le droit qu’à un tout petit bisou et une petite claque sur la fesse.
— Plus tard, allez ; bouge !
Alors je me bouge, pour sortir j’ai droit à un short trop serré, un tee-shirt trop court et mes claquettes à la bonne taille, ma tenue l’amuse ; le soleil de printemps me réchauffera bien ! Pour elle, une mini robe et des mules sans talon ; un minuscule sac en bandoulière termine sa tenue.
— Nous prendrons le métro, on y va ?— C’est parti, tu n’as pas peur de te faire toucher les fesses dans le métro, avec cette robe ?— Je m’en fous, j’aime ça.
Son regard est suffisamment explicite pour que je sente que ce trajet, cette journée, va être une pure merveille. Dans le métro bondé, l’air est quasiment irrespirable, ballottés dans tous les sens nous sommes collés les uns aux autres. Gladice appuie ses fesses contre mon sexe et elle amplifie chaque mouvement du wagon ; je commence à bander. Mon short trop étroit a du mal à contenir mon érection ; Gladice bascule sa tête en arrière, avec un regard coquin et satisfait de ce qu’elle en train de faire, elle me chuchote :
— C’est cool le métro, non ?
Je n’ose répondre car j’essaye de me concentrer sur autre chose pour oublier ce cul qui me frotte le sexe ; si elle continue je vais finir par éjaculer ! S’il n’y avait pas tout ce monde, je pourrais baisser un peu mon short et la prendre comme ça sous sa robe, par derrière, mais voilà… Ce trajet est un véritable calvaire, heureusement nous sommes arrivés à la station « République » et je la guide vers mon appartement en tentant de cacher le devant de mon short tant bien que mal.
Deux tours de clé, rendues par Madame, ouvrent la porte de mon minuscule appartement. Du regard, elle fait le tour de l’unique pièce.
— Comment on fait pour les meubles ?— J’en ai pas, c’est un meublé ; moi, j’ai juste ça.
Gladice découvre les seules choses qui m’appartiennent : une valise, quelques fringues démodées, mon téléphone et son abonnement suspendu par l’opérateur, mon portefeuille avec mes papiers, une photo de ma famille restée au bled et un billet de dix euros ; voilà toute ma fortune.
Pendant que je boucle ma valise, Gladice donne un coup de propre puis nous partons en direction de l’agence de location toute proche ; nous entrons.
Au comptoir une dame toute ridée malgré l’épais maquillage, l’air acariâtre, nous regarde avec un air qui donne plus envie de partir en courant que d’engager la conversation.
— Bonjour madame, je viens vous rapporter les clefs de mon appartement.— Vous êtes ?— M Dilachaud…— Ah, oui c’est vous qui ne payez pas votre loyer ! Je vais regarder votre compte. Michelle ! Apporte-moi le compte de Monsieur Dilachau… j’sais pas quoi !
Une voix répond :
— Tout est en ordre, j’ai eu sa banque au téléphone et nous venons de recevoir le virement.— Ah, quand même ! Ça été laborieux, si tout le client étaient comme vous…— Bon ! Vous avez votre fric ; alors arrêter de nous casser les couilles ! Allez, viens on se casse !
Le coup de gueule de Gladice me laisse sur le cul. Nous repartons, direction le métro et le salon de l’esthéticienne. Je suis tellement surpris par la réaction de Gladice que je ne sais que dire, en chemin :
— Oh ! Tu as vu cette vieille rombière, de quoi elle se mêle ?— Tu sais, elle n’avait pas vraiment tort.— C’n’est pas une raison pour nous casser les couilles ! T’es pas d’accord ? — …— On va déposer ta valise dans une consigne à la gare de Lyon et on la récupérera tout à l’heure, au retour.— On va où maintenant ? Il est midi et on rendez-vous à quatorze heures.— Tu as faim ? Moi oui, alors direction la brasserie de la gare.

[À suivre]
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