Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 76 J'aime
  • 8 Commentaires

Banquière perverse

Chapitre 8

L'épilation

Avec plusieurs femmes
La brasserie de la gare de Lyon s’ouvre à nous, le serveur nous propose une table ; nous nous y installons, Ça fait du bien d’être dehors, seul à cette table avec Gladice ; plus je la regarde et plus je la trouve belle. Nous commandons deux steaks-frittes et de l’eau ; le serveur nous les apporte, ils ont l’air appétissant. Ils sont d’ailleurs très bons, ça fait longtemps que je n’avais mangé une aussi bonne viande. Nous nous faisons face et tout en discutant ; la vue de la main de Gladice posée à plat sur la table m’appelle. Je me risque à la saisir et à l’envelopper de ma main ; son contact m’électrise, mon cœur s’emballe, nos regards se croisent. Je voudrais lui dire un truc mais rien ne sort, habituellement je ne suis pas si timide ; mais là, je bloque. Elle me regarde fixement dans les yeux, je suis comme paralysé par son regard noir et profond qui semble vouloir entrer en moi. Elle glisse sa main en arrière et la pose délicatement sur la mienne puis elle me la serre fort… très fort.
— Issam…c’est terrible !…je…je crois que je suis en train de tomber amoureuse de toi…
Mon cœur fait un grand « boom » dans ma poitrine, tout mon corps est parcouru par une sorte de courant électrique ; j’ai des fourmis partout et ma gorge se serre d’émotion. Elle ne lâche la main sans baisser son regard, qu’attend-elle ?… un geste, une parole ; je suis dans un état second. C’est donc ça de tomber amoureux ? C’est ça qui me fait perdre tous mes moyens et me paralyser au point d’être incapable de sortir un mot ? Dans le brouhaha de la brasserie, je décolle vers le bonheur ; sa main me serre encore plus fort et enfin, ma gorge se desserre.
— Gladice…je crois que… que moi aussi…
Nous restons ainsi, le temps suspend son vol, je suis heureux ; nos mains s’enlacent, se touchent, se caressent. Une larme coule le long de sa joue et de la mienne aussi, que s’est bon. Une bouffée de chaleur m’envahit d’un coup. J’ai envie de sauter par-dessus la table, de la prendre dans mes bras, de l’embrasser de la cajoler, de lui faire l’amour. Quel dommage cela aurait été, si elle s’était jetée sous ce camion ! Quel bonheur d’avoir été à découvert à la banque et de croiser cette banquière aussi perverse.
« Ô ! Merci Madame Shirine de m’avoir fait rencontrer cette déesse ! Madame, je vous adore !»
La banquette de la brasserie nous accueille tous les deux, côte à côte, bouche contre bouche ; ma main se glisse sous sa mini robe de Gladice qui remonte jusqu’en haut de ses cuisses. Son intimité est trempée de désir, sa main passe sur ma cuisse. D’un coup, elle se lève, me prend par la main et m’entraine au travers de la salle sous l’œil inquisiteur des certains clients et le regard interrogateur du serveur.
— Viens, viens vite ; j’ai envie de toi.
Je la suis jusque dans les toilettes. Elle entre, ouvre une porte au hasard ; elle ne ferme pas à clé ! Sa robe vole au dessus de sa tête, elle est nue ; elle baisse mon short, se pend à mon cou et m’embrasse, puis. Elle se soulève, je l’aide et elle s’empale sur mon sexe gonflé de désir. « Et si quelqu’un entrait ? On s’en fout ! » Nous basculons, elle a le dos contre le mur, aves ses jambes nouées autour de ma taille, elle gigote ; je l’attrape sous ses fesses et la porte pour lui imprimer le bon mouvement. Je vais et je viens entre ses reins, elle souffle au travers de ces dent, ferme les yeux. Rapidement notre orgasme est violent, rapide comme l’éclair, puissant comme un ouragan, brillant comme le diamant ; merveilleux comme les étoiles dans les cieux.
Moi encore essoufflés et elle toute ébouriffée, nous traversons la salle de la brasserie, j’ai envie de crier mon bonheur à ces gens au regard réprobateur et accusateur. Le serveur, le sourire au coin des lèvres nous suit du regard ; Gladice lui envoie un petit haussement d’épaule et de mains signifiant : « Désolé, il y avait urgence ! »
Il vient de nous rejoindre à notre table avec toujours le même sourire.
— Vous désirez autre chose…un café ?— Deux, s’il vous plait et l’addition, répond Gladice
Le serveur revient, nous avons une heure devant nous trajet compris. Je n’ai plus envie de baiser Madame ; je voudrais partir loin avec Gladice.
— Gladice, que va-t-on faire, je veux partir avec toi, loin d’ici.— On ne peut pas, ni toi ni moi n’avons d’argent, alors nous allons continue à servir Madame et sa fille et puis on leur doit bien ça, non ?— Oui c’est vrai, mais je ne veux faire l’amour qu’avec toi. — Tu sais, ça ne me dérange pas que tu …les baises, on va dire ça comme ça ; au contraire ça m’excite de te regarder les défoncer.— Oui mais là, maintenant ça me gêne, voilà tout.— Écoute, j’ai une idée. Si tu veux, tu pourrais mettre une capote pour les « sauter » et quand nous ferons l’amour ce sera sans rien ; ça te va ? — Mouai…c’est une bonne idée, et pour toi ce sera pareil ?— Évidemment, écoute-moi : nous avons le gîte et le couvert, un salaire et le cul, et moi, le cul, j’adore ça ! Et puis tu n’as pas encore tout vu, je pense que tu vas découvrir des choses qui vont te plaire…— Tu as raison, mêler l’utile à l’agréable je trouve ça génial, alors on y va à cette tonte ?
Le trajet en métro où l’on peut maintenant s’assoir nous berce ; seul le crissement des pneus et les annonces perturbent mes pensées. Nous nous tenons la main, son image dans le reflet de la vitre m’emporte loin ; je suis dans du coton, loin, à mille lieux d’ici et aussi perdu dans un baiser interminable. C’est Gladice qui je me secoue et me sort de ma torpeur.
— C’est là, nous sommes arrivés ; on y va !
Le salon de l’esthéticienne est à de pas, je ne sais même pas où je suis. Le salon est fermé, Gladice sonne à la porte de l’immeuble d’à côté, le « bzz » de la serrure se faite entendre et la porte s’ouvre. Au bout du couloir une autre porte est grande ouverte, nous entrons ; une belle dame blonde en blouse blanche, ouverte jusqu’à mi-cuisse nous accueille.
— Bonjour Gladice, comment vas-tu ma belle ? — Bien et toi Anne ? Je te présente Issam.— Ah, c’est vous l’objet du délie, enchanté.
On se claque la bise :
— Euh, Issam, on se dit « tu » c’est plus sympa ?— Oui, bien sur.— Alors comme ça tu es le dernier délire de Madame Shirine ; elle est un peu bizarre, non ? Bon si j’ai bien compris elle veut un mec sans poils, c’est cela ?— Tu as tout compris, reprend Gladice— Bien et on enlève quoi exactement ?— Tout, dis-je, tout en me déshabillant.— Ah, oui … il y a du boulot !… Bon je vais appeler mon assistante et en attendant Gladice tu vas me donner un coup de main. Nous allons commencer par le tondre comme un mouton, repris Anne avec un grand sourire de satisfaction.— Allez, c’est parti ; Issam en position ; il se met sur cette table ?— Parfait.
Allongé sur le dos, les tondeuses vibrent, les poils tombent ; allongé sur le ventre, c’est la même chose. Je peux observer la chute inexorable de mon pelage et de mes cheveux, je les contemple tapisser petit à petit le sol du salon. La discussion entre les deux femmes est cordiale et animée, à les entendre j’ai le sentiment qu’elles se connaissent bien.
— Dis-moi Gladice, tes d’idées noires ont-elles disparues ?— Rassure-toi Anne, complètement et je vais très bien et même parfaitement bien.— À la bonne heure, et quel en est la cause ?— Lui !
Elle vient de me mettre un claque sur le cul ! J’adore !
— Waouh… ! Dommage pour moi…— Ah, bon ! Et pourquoi ?— Vu comment il est gaulé, je m’en serais bien fait un petit casse croute… tampis.— Ah, mais si ça peut te faire plaisir, je te le prête ; pas vrai mon chéri ?
« Pas vrai mon chéri ! » Je rêve, elle m’a appelé mon chéri ! Ce jour est merveilleux !
— Tu plaisantes, je ne vais pas me taper ton mec ! — Si ! Si ! Écoute-moi, tu sais que j’aime le cul, lui aussi, alors on a une sorte de pacte.— Qui est ?— Tous les deux ensemble, on fait l’amour avec un grand A à nu ; avec les autres, on baise et on se protège, c’est aussi simple que ça.— Et bien toi ! Dans ce cas je marche, il faudra qu’on s’organise un truc un jour ; enfin si Madame vous libère.— T’inquiète pas pour nous, et puis on pourra s’amuser toutes les deux, tu te rappelles ?— Oh, que oui !— Alors tu vois et puis nous auront un spectateur ; il adore, comme tous les mecs, regarder deux gonzesses se gouiner. Pas vrai mon chéri ? — Alors c’est vendu, et toi je te fais quoi, une épilation ?
La robe de Gladice vole une fois de plus et elle lui montre ses aisselles, son pubis et sa minette.
— Définitive, là, là et là !— OK !
L’assistante arrive enfin, elle est toute mimi ! Petite, fine, peu de poitrine ; c’est une ado ? Elle est pétillante, une jolie frimousse, des cheveux roux, mi-long ; une véritable poupée.
— Bonjour tout le monde ! clame-t-elle.— Bonjour Sophie, tu vas bien ? Désoler de t’ennuyer sur ton jour de repos, mais j’ai un peu de boulot… Elle est mignonne, mon assistante ; vous ne trouvez-pas ?— Si elle est mignonne ? Complètement, mais elle n’est pas un peu jeune ?— Ça y est, ça recommence ! Bon puisque c’est ainsi, alors je me présente. Je m’appelle Sophie, je sais que je ne fais pas mon âge et contrairement à ce que vous pensez, j’ai vingt ans ; bien que je m’habille en douze / quatorze ans. J’ai un BAC pro d’esthéticienne et j’aime mon corps. Je suis célibataire car aucun mec ne veut de moi, il parait que je fais trop gamine mais je suis désolé ; je suis née comme ça. Ça vous va, une carte d’identité, un café ?— Un café, je veux bien. Dis-moi, au moins toi, tu ne te laisses pas faire ; c’est top ça ! lui dit Gladice.— Bon va pour les cafés, qui ? Tout le monde…parfait.
Le café coule, Sophie se change ; impudique elle se déshabille, elle est nue sous ses vêtements, elle enfile une blouse puis nous rejoint :
— Anne, c’est quoi le boulot…Urgent ?— Il faut épiler totalement Issam, tu comprends pourquoi je t’ai appelé ? Et nous avons déjà bien dégrossi !— Okééé… ! Mais épilé, partout ?— Bah, oui ; partout, c’est partout, lui répond Anne.— Ah, mais je ne vais pas pouvoir…J’ai jamais fais ça à un garçon…je…
Je me retourne pour mieux voir cette petite merveille et elle découvre mon vit en demi-érection.
— Ah, mais non ! je ne vais vraiment pas pouvoir, d’abord …je…je n’ai jamais fait ça sur des hommes ! Et puis ça ne va pas être possible ; non ! non ! Je ne vais jamais tenir le coup. C’est une vraie torture cette histoire !— Mais c’est quoi le souci ? lui demande Anne.— Ça ! reprend-elle en fixant mon vit.— Ah, mais ce n’est pas grave, si tu as besoin, tu te sers ; tu sais c’est un mec et comme tous les mecs, s’il peut fourrer sa bite dans un trou, enfin je ne te fais pas un dessin.— Sur ?— Sur ! confirme Gladice. Anne et Sophie se jettent sur les appareils à lumière pulsée qui sont sensés, selon les dires d’Anne, faire disparaitre définitivement tous les poils même les plus rebelles. Pour mon cas, il semblerait qu’il faille plusieurs séances avant d’arriver à bout de ma forêt vierge.
La tonte terminée, nous passons à la phase lumière pulsée. Gladice étale le gel et les deux esthéticiennes habillées en cosmonaute avec gants et lunette de protections, elles mettent en marches les deux appareils. L’opération est minutieusement orchestrée au millimètre près, les appareils crépitent ; l’opération débute par mes pieds et au fur et à mesure qu’elles montent le long de mon corps, une douce chaleur m’envahie.
Rassuré qu’il n’y ait pas de risques pour mes valseuses ; j’autorise d’être caressé par l’engin. L’appareil à lumière pulsé ayant soit disant détruit la racine des mes vilains poils rebelles ; une douche afin d’éliminer le gel, s’impose.
Douché et soigneusement séché par ces dames me revoici sur la table de torture. Je dis de torture car, si les racines de mes poils sont détruites elles n’en restent pas moins accrochées à mon épiderme. L’arrachage de mon système pileux est malgré tout assez douloureux. Cette opération semble amuser ces dames qui en rient beaucoup.
J’ai chaud, j’ai mal aux poils disparus et l’heure tourne au ralenti…
[À suivre]
Diffuse en direct !
Regarder son live