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Banquière perverse

Chapitre 9

Et là, c’est moi qui régale !

Avec plusieurs femmes
La pendule de la salle de « torture » m’indique que cela fait plus de trois heures que je suis allongé sur cette table, un coup sur le ventre et un coup sur le dos ; cette séance d’épilation à la cire m’a bien échauffé la peau. J’espère qu’elles vont me mettre une pommade de façon à calmer le feu qui m’envahit tout le corps comme l’aurait fait un feu de forêt. J’ai du le rêver si fort que : 

— Eh les filles ! On lui fait un joli massage pour calmer les échauffements ? propose Gladice.
La crème apaisante étalée à six mains est un vrai délice ; je ne veux rien voir mais juste savourer ce moment. Petit à petit, le feu s’éteint et je peux apprécier la délicatesse de ces mains féminines qui passent partout, sur mon dos, mes épaules, le creux de mes reins sans oublier mes fesses -j’adore me faire masser les fesses- et elles terminent leur course sur l’arrière de mes cuisses jusqu’à la plante de mes pieds. C’est maintenant au tour de mon côté face d’apprécier le massage de mon torse à la pointe de mes orteils.
Les yeux fermés, j’essaie de deviner à qui appartiennent ces mains qui massent tout mon corps lisse et doux. Sur mon torse, deux mains, peut être celles de Gladice, glissent sur mes pectoraux et jouent avec mes tétons sortis de la forêt vierge qui recouvrait tout mon poitrail. Je suis certain que les petites mains agiles qui appliquent la crème avec délicatesse sur toute la longueur de mon membre et aussi sur mon gland qui n’avait pourtant pas besoin d’être épilé, appartiennent à Sophie. Malgré tous les efforts que je fais pour éviter l’érection ; mon membre grossit inexorablement. Deux autres me massent les cuisses et ont une agréable tendance à venir se perdre sur mes baloches qu’elles pressent et font rouler entre leurs doigts. Nul besoin de dire que la combinaison de toutes ces belles attentions donne de plus en plus de vigueur à mon engin qui atteint sa taille de compétition ; je suis, comme on dit, monté comme un âne et mon engin impressionne souvent.
Je suis quand même un peu gêné de la situation quand la douce voix presque suppliante de Sophie me fait ouvrir les yeux.
— Euh… sauf que là, je ne vais jamais tenir le coup, moi ! maugrée Sophie.
À voir l’expression de son visage, la pauvre Sophie crève d’envie devant mon phallus qu’elle tient fermement à deux mains. Sans compter toutes les autres qui prennent un malin plaisir à me malaxer les bourses, me triturer le gland et appliquer un mouvement lent et régulier à ma tige qui n’est pas de coton. En gros elles viennent de me donner une terrible érection, j’ai le sexe hyper gonflé ; si gonflé qu’il me fait mal.
— Vas-y Sophie, profite…— Mais Gladice, je ne peux pas, pas ici !— Quoi, ça ne te dirais pas de faire ça devant nous et qu’on s’occupe de toi en même temps ? Essaie, tu vas adorer, je te le promets.— Euh… j’sais pas… j’ai jamais fait ça devant tout le monde…— Tu as tort, si tu n’y vas pas…moi j’y vais, je vais te montrer ; t’es d’accord mon chéri ?— Ah oui …et même toutes les trois, si vous voulez ; moi cela ne me dérange pas du tout.— Le contraire eut été étonnant ! Parce que vous les mecs, dès qu’il s’agit de fourrer votre bite dans un trou ; vous êtes toujours partant, pas vrai ? confirme Gladice.— D’accord ! Alors j’y vais, mais tu y vas doucement ; tu es gros pour moi, me dit Sophie.— Je te laisse gérer, ça te vas ?— Cool…

Pour moi, c’est la première fois que je fais ça avec une fille aussi petite, avec son air de gamine, j’ai l’impression d’avoir chopé une collégienne. J’avoue que c’est une sensation très étrange mais très excitante. Autant baiser ma grosse banquière m’excitais terriblement que là, je suis au paroxysme de ma libido. Tout en caressant Sophie, Anne ôte avec une extrême sensualité la blouse de son assistante ; dessous elle est toute nue, je m’en doutais. Son petit corps, ses minuscules seins tout pointus, ses fesses creusées sur les côtés et son minou tout lisse ; donnent vraiment l’image d’une ado d’à peine treize ou quatorze ans, limite pubère. Le plaisir est vraiment étrange avec ce sentiment de faire quelque chose d’interdit ; j’avoue que c’est une des plus belles choses que je n’ai jamais vécue de ma vie.
Sophie, portée par ses deux comparses se retrouve assise sur mes cuisses, mon phallus bien placé à la verticale attend entre ses jambes. Elle le regarde avec gourmandise, le touche du bout des doigts et l’embouche goulument comme si elle voulait l’engloutir en entier. Mon gland est inondé de salive, alors, elle se soulève sur ses genoux et se place juste au dessus de mon dard. Gladice a déjà saisi mon engin et le dirige vers l’entrée du vagin dégoulinant de désir de la petite Sophie. Elle se pose dessus, force doucement ; elle est serrée, mais j’entre doucement en elle. Pour l’encourager, Anne lui masse le dos, le ventre, les fesses ; Gladice a pris sa bouche et l’entraine dans une galoche qui, dans son esprit, restera marqué à jamais. Une main s’insinue entre mes cuisses et le cul de Sophie les doigts bougent ; à ce que je sens, Sophie subit aussi un doigté rectal. Elle se cambre, souffle, gémit et s’enfonce encore ; je touche le fond de son antre. Elle monte et redescend, mon mandrin coulisse en elle ; à chaque descente, elle tente d’aller plus loin, plus bas encore. Ses doigts se crispent en formant comme des serres, une main attrape un des seins de Gladice et plante ses ongles dans la peau comme un rapace voulant emporter sa proie. L’autre main lacère le dos de ma chérie, qui maintient prisonnier le sein disponible de Sophie, pire encore le petit téton de la belle ainsi offert se retrouve tordu dans tous les sens par deux doigts vicieux. Sophie crie, souffle, gémit, geint encore, elle se tord comme une anguille. Elle va bientôt arriver à l’orgasme, j’en suis persuadé, alors je place mes mains sous ses fesses et la soulève. À grand coups de reins, je la pilonne ; il faut que j’aille vite, très vite et elle crie son bonheur :
— Ah, ouii… ! oui, oui, oui oui ouiiii….Oh putain que s’est bon ! Ah ouieee… ! OUIiiieee…. ! Je jouieee… !
 Je sens son étuis se resserrer sur moi, se contracter et sa cyprine couler. Elle est secouée, dans tous les sens, pleure de bonheur, crie encore de joie et s’écroule sur moi encore secouée par les spasmes du bonheur. Je peux toucher, caresser son dos, ses fesses toutes fines ; qu’elles sont petites ! Je ne suis pas arrivé au bout et c’est tant mieux car j’espère bien me faire les deux autres.
— Gladice, viens je vais t’épiler le temps qu’elle récupère, tu n’as pas grand-chose ; ça va aller vite. On vous laisse, et pas de bêtises ! nous-dit Anne en riant.
Toujours allongée sur moi Sophie récupère doucement.
Elle vient de récupérer et relève la tête, toute ébouriffée, elle m’offre un regard coquin et un joli sourire plein de malice.
— Merci, c’était génial… mais elles sont où ? — Parti épiler Gladice.— On fait quoi alors ?— Ce que tu veux, on est bien comme ça, non ?— …
Je suis toujours en elle, mais mon grand ami s’endort tranquillement. Alors elle bouge un peu, à gauche, à droite, en haut, en bas, frétille du popotin ; ça y est, mon vit se réveille et elle se dégage. Assise sur mes pieds elle attrape ma bite, l’engloutie dans ma bouche et me pompe ; aspire mord mon gland, le suce, le lèche et me masturbe à deux mains. Elle est efficace car mon grand ami vient de reprendre sa taille de combat ; elle aspire mon gland et l’entre au plus profond de sa gorge. Elle est à la limite de l’étouffement mais elle pompe, bave, suffoque et en pleure aussi. Dans un râle, elle tente de me faire une gorge profonde, mais des haut- le-cœur ont raison d’elle ; ce ne sera pas pour aujourd’hui.
— Désolé, j’n’y arrive pas, me dit-elle toute penaude.— C’n’est pas grave, tu n’es pas obligée.— J’aurais tellement aimé te le faire…
Alors elle se met à me sucer et à me branler avec force. Hum… que c’est bon ! Ça vient, je sens que ça vient ; je la préviens ? Non, trop tard … Ça part d’un coup, elle recule et reviens, et avale…tout ou presque.
— Et alors, comment ça va Sophie ?
Elle en a encore plein la bouche, ouvre de grand yeux étonnée et cette fois avale tout.
— Mais ! Elle t’a sucé ? Et avec quelle permission ?— Je…Euh…Bah…— Toi alors, on te donne le petit doigt et tu prends la main ! Tu mérite une bonne fessée.
La pauvre, elle n’a même pas le temps de dire un mot de plus que Gladice l’arrache de dessus moi et la couche à plat ventre sur ses genoux ; les fesses en l’air, et Pan ! Et, Pan ! Les claques tombes, les fesses rosissent, Sophie crie, bat de pieds, les fesses rougissent et moi je bande comme un turc.
Pauvre Sophie, elle a bien des malheurs ! Je me lève de la table pour voler à sa rescousse. Mais par chance, les claques s’arrêtent ; Gladice la saisit par le bras et l’entraine vers moi. Que fait-elle ? Elle la jette quasiment sur moi en disant :
— Saute ! lui ordonne Gladice.
Elle me saute dans les bras, je l’attrape, elle m’enlace le coup, me serre la ceinture avec ses jambe et glisse doucement sur ma queue qui entre à nouveau en elle.
— Heubi ! Baise-la ! crie Gladice.
C’est un ordre ? Ok ! J’allonge la petite Sophie sur le dos et sur la table de massage ; et cette fois c’est moi que gère ! Ses jambes placées contre mon torse, la position idéale avec ses fesses juste au bord de la table et son abricot à bonne hauteur ; parfaitement installé, je vais emmener cette petite au septième ciel. À chaque coup de rein, elle remonte un peu sur la table, alors je l’attrape par la taille pour la maintenir et je la lime encore, à grand coups. Oh ! Ça ne dure pas bien longtemps ; un nouvel orgasme l’envahie, elle se cambre, se crispe m’attrape les poignets, tire, pousse dans tous les sens et crie une fois de plus son bonheur.
Le temps de prendre une douche et Sophie est remise de ses émotions.
— Merci Issam, merci Gladice, quel pied ! Vous êtes des champions. Putain, toi Issam t’es un sacré bon coup ; Gladice tu as vraiment de la chance d’avoir un mec comme ça. Et merci pour la fessée, j’ai A.D.O.R.É …! Euh…et on recommence quand vous voulez !— Bon à qui le tour ? dis-je.— Issam, te ne veux pas te taper les trois ? me dit Gladice.— C’est juste pour rendre service, moi, après…— Anne ?— Non c’est bon j’ai eu ce qu’il me fallait.
Elle et Gladice s’échange un regard et un clin d’œil complice et suffisamment évocateur pour comprendre qu’elles n’avaient pas fait que de s’épiler.
— Alors, Sophie, ça fait du bien, n’est-ce-pas ? demande Anne.— C’était terrible, des coups comme ça, j’en veux bien tous les jours.— Et la fessée ?— J’ADORRE… ! Je n’avais jamais essayé, et puis avec qui de tout façon ? Ça fait un peu mal, mais alors quel orgasme et je crois même en avoir eu un petit pendant la fessée.— Hum ! C’est cool, ça ! Vous n’savez pas, mais j’ai pensé à un truc où vous pourriez vous faire un fric monstre, dit Anne.— Ah, bon ? Et avec quoi, demande Gladice.— J’y ai pensé en vous regardant tout à l’heure.— Bon accouche alors ! s’impatiente Gladice.— Et bien voila, comme tous les deux vous aimer le cul…ça crève les yeux.— Moi, aussi ; j’aime beaucoup ça, reprend Sophie.— Ah bon ? Ça ne se voit pas du tout non plus ! Bref. Vous savez que je ne m’occupe que de gens friqués et j’ai assez souvent des demandes assez olé, olé.— Du genre ?— Bon, Gladice tu connais ta patronne ? Je ne te fais pas un dessin ? — Ah, oui… tu veux parler des petites fêtes ?— Voilà, tu as tout compris, alors j’explique : certains font des fête et cherchent des stripteaseurs et stripteaseuses pour animer leurs soirées. Mais il y a aussi des demandes avec des trucs très chauds…— Comment ça très chauds, des trucs où on baise devant eux ? demande Sophie.— Elle comprend vite, cette petite, vous ne trouvez pas ?— Oui, et alors ?— Bien ! Alors, je me disais que vous auriez pu monter une sorte de spectacle avec Sophie. Un truc où elle, avec sa tronche de gamine jouerait le rôle de la parfaite écolière avec les couettes, la mini jupe à carreaux, les socquettes et la culotte en coton. Un scénario genre, mauvais carnet de notes, fessée avec en sans culotte et aussi inceste père/fille, mère/fille ou les trois. Et vous allez cartonner.— C’est cool, ça, moi je prends ! s’exclame Sophie.— Et comment fait-on pour trouver ce genre de plan ?— Pour les plans, je m’en charge et il y a aussi votre patronne, elle connait du monde, vous pigez ? Et vous savez, le gens friqués croient pouvoir tout se payer alors offrez leur ce qu’ils veulent et vous, vous compterez les billets. C’est aussi simple que ça !— C’est vrai tu as raison, Issam, tu ne connais pas encore tout de ce qu’il s’y passe, mais je t’assure qu’il y a des jours où c’est vraiment chaud chez la patronne. Dit-Gladice— Bien, mais au niveau légalité, ça se passe comment, car je ne tiens pas à être expulsé pour une histoire de proxénétisme ! — Il n’y a pas de soucis, Issam, vous donnez des spectacles, de cul certes ; vous vous inscrivez comme intermittent du spectacle et le tour est joué. Je suis certaine que votre banquière de patronne vous aidera, termine Anne.— Avec deux où trois coups de queue, je pense qu’elle sera d’accord de nous aider et peut-être qu’elle nous trouvera du taff, dit Gladice.— Bon, on y réfléchit et on s’appelle. Issam ! On va y aller.— Gladice, Issam ! un de ces quatre ; on se fait un truc, une bouffe, chez moi ?— D’accord, on apportera le dessert… ?— Ou vous tout simplement…— Eh ! Ho ! Vous n’allez pas faire ménage à trois ? dit Anne.— Pourquoi pas ! L’air malicieux de Sophie en dit long.— Je vois…on s’appelle, allez ciao ! conclut Gladice.
Le contact avec l’air extérieur est surprenant, malgré mon short et mon teeshirt j’ai le sentiment d’être tout nu. Mes poils laissés sur le sol du salon me manquent un peu, j’ai une sensation de froid mais je vais m’habituer à ce nouvel état.
En chemin vers le métro :
— Alors, mon chéri, comment te sens-tu ? Elles se sont super les deux et Sophie ; tu aimes.— Franchement, elles sont adorables ; honnêtement, si je l’avais rencontrée avant, je pense que j’aurais dragué Sophie.— Pour son cul ? — Oui et Non ! Pour tout, elle, ce qu’elle dégage, sont caractère si pétillant et le reste que je ne connais pas.— En gros j’ai du bol de t’avoir trouvé avant !— On va dire ça comme ça…au fait, c’est quoi cette nouvelle lubie de m’appeler Heubi ?— C’est nouveau, je me suis dit que cela pourrait être une sorte de code.— J’n’y comprends rien à ton histoire !— Mais si ! Viens avec moi.
Elle me prend par la main et m’entraine vers les toilettes du métro, elle ouvre une porte ;
— Ça pu là dedans ! On fait quoi, maintenant ?— Heubi ! Branle-toi ! Allez, branle toi ; je te dis !— Et ?— Et là tu te branles, bon vas-y !— Okééé… !— Allez…Heubi t’attends quoi ? J’ai soif…j’ai faim… !
Elle me donne un terrible envie, je sors ma bite, je bande, je me branle. Elle s’agenouille devant moi, ouvre grand la bouche et me dit :
— Donne-moi ta semence !
En peu de temps je lui sers une belle rasade de liqueur d’homme qu’elle avale avec délectation.
L’heure de la sortie du boulot fait que le métro est encore plus bondé que ce matin et pour le plus grand plaisir de Gladice nous sommes encore plus tassés. Métro, puis valise récupérée à la gare de Lyon, métro et nous sommes arrivés chez Madame. Comme promis, ce soir je vais combler Gladice…

[À suivre]
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