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Bastien

Chapitre 3

Inceste
III. – Pêché –
Quand il pénétra dans le salon, son fils était rhabillé et s’apprêtait à aller aider Isabelle dans la cuisine. Il se rendit compte que rien que de le voir, il ressentait à nouveau un désir interdit alors il annonça seulement qu’il allait prendre une douche avec le secret espoir de se laver l’esprit de ses pensées incestueuses.
— Alors, comment ça s’est passé ? Demanda Isabelle curieuse.— Et bien ça a été plutôt chaud, mais il a bien vu que je n’avais rien…— C’n’est pas important ça, raconte-moi.
Bastien raconta toute la séance en commençant par la chute de la serviette assez rapidement et son exhibition forcée. Isabelle trouva ça très amusant et lui posa des questions sur l’attitude d’Armand.
— Mis à part le fait qu’il bandait comme un âne et qu’il était tout rouge, il est resté très professionnel. Il m’a juste écarté un peu les fesses en les massant et un doigt m’a effleuré l’anus, mais ça aurait très bien pu être accidentel. Par contre, avant de me masser, il a prétexté ne plus avoir d’huile dans la pièce alors qu’il y avait une bouteille à peine entamée sur la desserte. En fait, je crois qu’il est allé se branler, mais c’est curieux parce qu’il bandait toujours autant en revenant.— Ça lui arrive quand il est très excité… Vu la tête qu’il avait en partant vers la salle de bain, je pense que tu lui poses un sacré cas de conscience et qu’il est capable de remettre ça sous la douche— En tout cas, il y a un truc qui n’est pas juste, c’est que lui il a vu ma bite et mon trou du cul et que moi je n’ai encore rien vu… Visiblement, il a l’air d’avoir un gros machin et c’est aussi ce que m’a dit Éric, mais bon…— Ton père a effectivement un bel organe, mais pas aussi imposant que ton joujou en latex.— Mon… ?! Merde, le gode ! Je l’ai planqué dans la salle de bain, mais je ne suis pas allé le reprendre. J’espère qu’il ne va pas tomber dessus.— Tu l’as mis où ?— Derrière les serviettes…— Ne t’inquiète pas, ça m’étonnerai qu’il démonte la pile pour prendre une serviette et même s’il le découvrait, il ne pensera pas à toi d’abord et ce sera l’occasion de clarifier ton orientation sexuelle.
Isabelle et Bastien continuèrent leur discussion en évoquant quelques stratégies possibles pour faire craquer Armand et enchainèrent sur des sujets plus annexes. Bastien parla de la relation exacte qu’il entretenait avec son ami Éric et aussi des difficultés qu’il rencontrait, du fait de son homosexualité, dans ses relations sociales. Quand Armand les retrouva, ils en étaient rendus à parler vêtements et dessous masculins sexy, en projetant d’aller passer un week-end à Montpellier pour trouver exactement ce que le garçon voulait.
— Ouf, ça va mieux, déclara Armand en entrant dans la pièce. J’avais vraiment besoin de ça. Vous parlez de quoi ?— Nous parlions de mode et ton fils n’a plus rien à se mettre. On pourrait peut-être descendre tous les trois à Montpellier le week-end prochain ? Qu’en penses-tu ?— A priori, je n’ai pas d’objection, mais Laura voudra sans doute venir aussi.— On lui proposera si on la voit demain, mais, maintenant qu’elle a sa voiture, elle n’a plus besoin de nous pour ça et elle ne s’en prive pas.
— C’est clair que pour faire la fête, c’est mieux, déclara Bastien très honnêtement, et quand j’aurais mon permis, je ne m’en priverai pas, moi non plus.— Inscris-toi d’abord, lui répondit Armand, ça fait six mois que je te dis de le faire. Toi tu t’inscris et moi je paye ; ce n’est pas trop compliqué, non ?— Je sais Papa, il faut que je le fasse, mais si après je pars faire des études à Paris, Lyon, Marseille où Montpellier, je n’aurai pas besoin de voiture et ce serait du gâchis.— Non, Chéri, lui dit sa mère, avoir le permis, c’est toujours utile même si tu n’as pas de voiture tout de suite.
Pendant tout le repas, Armand avait du mal à ne pas détacher ses yeux de son fils et Isabelle trouvait ça très amusant. Bastien en rajoutait un peu discrètement, en profitant de l’atout que lui procurait sa tenue. Il avait mis son jean le plus serré, un t-shirt un peu moulant et se savait assez sexy pour qui serait intéressé par les garçons. Par ailleurs, il appliquait une stratégie mise au point avec sa mère qui avait fait exprès de laisser la plupart des plats dans la cuisine. À chaque fois qu’il fallait aller chercher quelque chose, il s’en chargeait en forçant très légèrement sur son déhanché naturel et son petit jeu faisait son effet. Son père bandait de nouveau comme un âne et le pantalon de jogging qu’il avait passé après sa douche, avait pris sur le devant la forme d’un tepee. Il se retrouvait donc coincé sur sa chaise au risque de dévoiler ouvertement son excitation. Il ne se rendait même pas compte qu’il ne quittait plus Bastien des yeux et que ses désirs inavouables n’échappaient à personne. À la fin du repas, Bastien débarrassa la table avec sa mère et souhaita bonne nuit à ses parents qui restèrent un moment dans la salle à manger.
— Et bien mon Chéri, t’as l’air bien excité, fait voir ? Demanda Isabelle en tirant sur la ceinture élastique du jogging.— Excuse-moi, je ne sais pas ce que j’ai…— Oh, je crois au contraire que tu sais parfaitement ce que tu as. Tu bandes pour Bastien, c’est ça ?— C’est terrible… ça m’a pris dans le couloir en allant avec lui dans mon cabinet.— C’est vrai qu’il était plutôt sexy enveloppé dans sa serviette. Et tu as vu son cul ?— Mon dieu, j’ai tout vu, il a perdu sa serviette pendant que je regardais son dos et je me suis retrouvé avec son cul sous le nez.— Mmm, ça a dû te plaire, un joli petit cul de minet à portée de mains…— C’n’est pas drôle, Isabelle, c’est Bastien, pas Éric. OK, ils sont épilés tous les deux et ils ont le même âge, mais la comparaison s’arrête là.— Oh non, la comparaison ne s’arrête pas là et tu le sais très bien même si tu ne veux pas faire le rapprochement. Bastien est homosexuel, passif, et Éric est son ami et son confident. C’est ensemble qu’ils s’épilent et se donnent mutuellement du plaisir comme ils peuvent. Ils ont les même goûts et sont attirés par le même homme.— C’est pour ça qu’Éric ne voulait pas me présenter son copain… Mais comment tu sais tout ça ?— Parce que notre fils me parle et, aussi, parce que je l’ai vu en train de se donner du plaisir avec un gode de belle taille, en suçant un de tes mouchoirs et en reniflant un de tes caleçons. Je peux te dire qu’en faisant ça il s’exprime aussi et que tu es le seul objet de ses fantasmes.— C’est une blague ?!— Oh, non, c’est très sérieux, au contraire et comme Éric te laisse plus de temps, maintenant, tu pourrais peut-être t’occuper de ton fils.— Non ! Isabelle, ne me pousse pas à ça, c’est… C’est un crime.— Oublie le crime et pense à son petit cul, lui répondit sa femme en glissant sa main droite dans son Jogging. Tu bandes pour lui, tu t’es branlés ?— Trois fois… Avant de le masser, j’avais besoin d’évacuer la tension, mais ça n’a pas marché alors j’ai recommencé après quand il a quitté mon cabinet et sous la douche.— Et tu bandes encore pour lui… Tu ne crois pas qu’il serait mieux de passer à l’acte ?— Isabelle… non, s’il te plait.— Tu en rêves, Chéri, ça crève les yeux et je me demande même si ta petite aventure avec Éric ne trahit pas un désir incestueux plus ancien et refoulé.— Isabelle, arrête…— Je t’ai dit que tu ne te limiterais pas à un seul amant, mais reconnais que Bastien, c’est l’idéal. Il t’aime et il est prêt à se donner à toi totalement. Tu l’as vu nu, tu l’as vu bander pour toi, tu as vu son cul, tu l’as touché, caressé…— Isabelle, c’est mal…— On s’en fout, il n’y a que nous pour le savoir. Vas le retrouver dans sa chambre, fais lui l’amour ; tu en meurs d’envie et lui aussi. Il me l’a dit, je l’ai vu jouir en pensant à toi et je lui ai promis de l’aider à ce que ça se produise vraiment.— Tu veux dire que depuis le début de la soirée, tu…— Oui, depuis le début de la soirée, j’aide Bastien à satisfaire son désir incestueux et je t’aide aussi, par la même occasion à reconnaitre et assumer le tien. Tu veux que je t’accompagne jusqu’à lui ? Ou préfères-tu que je te l’amène dans notre lit ?— S’il vient dans notre lit ce soir, je risque de ne pas pouvoir m’occuper d’autre chose que de son cul…— Moi, ça me va. J’aurai beaucoup de plaisir à vous regarder et je me contenterai largement d’un câlin après, tu sais. J’en rêve depuis des années… Va dans la chambre, je vais chercher Bastien.— Je…— Chut ! Oublie tes scrupules, ce soir tu vas prendre du plaisir avec ton fils, tu vas lui en donner et je suis certaine que tu me remercieras après.
Armand quitta la salle à manger avec un sentiment étrange mêlé de gêne et d’excitation. Encore une fois, Isabelle l’incitait à commettre un adultère, mais en plus, cette fois ci, elle se montrait active et complice. Il retira son t-shirt et son pantalon de jogging ; il bandait un peu moins fort, mais quand Isabelle arriva en tenant Bastien par la main, son sexe se redressa fièrement.
— Regarde, mon Chéri, Papa t’attend. Va le rejoindre.— Tu vas rester ? Demanda timidement Bastien en lâchant la main de sa mère.— Oui, Chéri, je ne vais pas attendre toute seule au salon et j’ai envie de te voir heureux.— Viens, Chaton, lui dit doucement Armand en prenant sa main comme il montait sur le lit.— Je suis à toi, Papa…
Leur premier acte fut de souder leurs bouches dans une étreinte fébrile. Les doigts de Bastien s’enfonçaient dans la fourrure de son père tandis que les mains de celui-ci caressaient son dos et ses fesses lisses et bien ronde. Timidement, Isabelle retira ses vêtements et s’installa auprès du couple incestueux. Elle les trouvait beaux et se sentait fière d’eux.Bastien voulait connaitre son père alors il quitta la bouche d’Armand pour embrasser son poitrail velu. Il y retrouvait son odeur et celle-ci s’amplifia lorsque sa bouche descendit sur le ventre vers le pubis. Il déposa quelques bisous sur le gland et la verge tendue puis il embrassa chaque couille en s’enivrant de leur parfum avant de remonter jusqu’au sommet de la verge et de l’avaler. Depuis le temps qu’ils se suçaient mutuellement avec Éric, il avait une certaine habitude. Il s’entrainait aussi avec son gode et était même capable de l’avaler malgré sa taille et sa texture peu propice pour ce genre de pratique. Le sexe d’Armand était long et épais, mais ce n’était rien à côté de son jouet aux dimensions exagérées, alors Bastien se dit que ce serait beaucoup plus facile. Il se mit tête-bêche, au-dessus de son père, pour être bien orienté et enfonça la bite au plus profond de sa gorge jusqu’à ce que son nez rentre en contact avec les couilles d’Armand.
— Oooh, Bastien… Mmm, c’est trop bon. Dit Armand en sentant sa bite s’enfoncer dans la gorge de son fils.
Bastien se sentit flatté par cette remarque et il se mit à branler doucement le sexe de son père avec sa bouche. Armand, dans cette position, avait le cul de son fils sous le nez et il ne mit pas longtemps avant de lui lécher le trou de balle en lui écartant les fesses. L’endroit était nature et méritait son nom de boite à caca, mais il ne s’en formalisa pas. Armand n’avait pas eu beaucoup de partenaires dans sa vie et seul Éric se faisait des lavements avant chacune de leurs rencontres. Isabelle n’avait jamais fait ça et les quelques petites amies qu’il avait eues avant, non-plus. Il n’eut donc aucune réticence pour y mettre la langue et les doigts afin de préparer l’anus à la pénétration.
— Aaah… Mmm… Papa…— Tu aimes quand on te touche le cul ?— Ooh… Oh oui… Mmm… c’est bon…— Putain, Bastien, t’es super large, tu sais ? J’ai déjà trois doigts dans ton cul et je t’ai à peine préparé.— Aaaaah… Tu… Aaaah… tu m’écartes bien. Mmm…
Armand avait enfoncé ses deux index et ses deux majeurs dans le cul de Bastien pour bien l’écarter et mieux le lécher. Isabelle regardait ça avec une légère inquiétude et beaucoup d’excitation aussi. Elle n’osa pas dire à son mari qu’il risquait de faire mal à leur fils et se retint de tout commentaire quand les annulaires suivirent le même chemin. Son fils avait six doigts qui lui écartaient le cul et il semblait qu’on aurait pu y rentrer n’importe quoi. Bastien gémissait et en réclamait davantage alors Armand décida de le prendre enfin.Le garçon se retrouva à quatre pattes, la tête posée sur les cuisses de sa mère qui lui caressait affectueusement les cheveux, et son père l’embrocha en douceur. Armand n’en croyait pas ses yeux ; il avait, entre ses mains, le cul bien blanc, bien rond et bien écarté de Bastien et son sexe tendu comme jamais s’enfonçait inexorablement dans son trou du cul. Il ne pouvait s’empêcher de comparer mentalement avec celui d’Éric, beaucoup moins profond, et gémit de contentement lorsque ses couilles s’écrasèrent sur le périnée de Bastien.
— Ooh, mon Dieu, Chaton, qu’il est bon ton cul…— Aaah… Aaah oui, Papa, baise-moi… Défonce moi l’cul… Aaaah ! Aaah oui ! Aaah !
Armand encouragé par son fils ne retenait pas son ramonage. Il avait déjà suffisamment éjaculé dans sa journée pour tenir la distance et Bastien jouissait en s’agrippant à sa mère. Il avait le nez sur son pubis poilu et sa bouche ouverte rentrait en contact avec son clitoris à chaque poussée d’Armand. Isabelle qui mouillait déjà comme une malade écarta légèrement les cuisses et la bouche et le nez de son fils firent la connaissance de sa vulve.
Bastien avait eu deux aventures hétérosexuelles quand il était jeune adolescent qui s’étaient soldées par des échecs cuisants. Les chattes de ses copines l’avaient dégoûté et il avait été incapable de leur donner du plaisir même avec ses doigts. Mais là, sans doute parce qu’il était trop pris par le plaisir que lui procurait son père, et, peut-être un peu parce qu’il s’agissait de sa mère, il se mit à lui bouffer la chatte. Isabelle était au paradis, son mari la trompait enfin avec leur fils qui lui procurait juste le plaisir dont elle avait besoin. Elle n’en pouvait plus des pénétrations interminables d’Armand ; elle avait véritablement besoin qu’il se soulage dans d’autres trous que les siens. Par contre, elle était tellement excitée que la langue de son fils lui convenait parfaitement ; elle s’accordait avec ses désirs de sexe soft dont son mari était incapable. Elle écarta plus largement les jambes et les releva bien hautes ; la langue de Bastien avait maintenant accès au trou du cul de sa mère et son nez s’enfonçait dans sa chatte humide et ouverte. L’orifice anal lui était plus familier et il le léchait avec gourmandise en y ajoutant un doigt. Isabelle gémissait et jouissait en maintenant d’une main la tête de Bastien et en se branlant le clitoris de l’autre.Plus ça allait et plus Armand s’activait ; il était survolté par la situation. Reposant sur ses pieds, les genoux fléchis, il baisait le cul relevé de Bastien avec un rythme diabolique. En passant une main sous le ventre de son fils, il trouva sa queue bien raide et l’agrippa fermement.
— Aaah ! Salop ! Tu bandes quand je t’encule !— Ah oui ! S’écria Isabelle en transe. Baise le bien fort ! Aaaah ! Aaaaah ouiii ! Aaaaah !— Oooh, putain, Isabelle, tu jouis ! Tu jouis parce que je baise Bastien ?! Aaah !— Aaaah ! Aaah ouiiii ! Aaaah ! Encore ! Je jouiiiiiiih !
Isabelle vivait un de ces orgasmes rares qui lui déclencha une éjaculation féminine monstrueuse. Le liquide trempa le visage de Bastien dont la tête se retrouva un bref instant emprisonnée entre les cuisses de sa mère. Il se retrouva ensuite libéré de son étau de chair et il put enfin exprimer son plaisir.
— Aaaah ! Aaah oui, Papa ! Aaah ! Tu m’fais jouir ! Aaah ! Aaaah ! Aaaah oui ! Cria-t-il en éjaculant sur les draps.— Ah oui, Chéri ! Moi… Aaah ! Moi aussi je vais jouir ! Ça vient, aaah !— Dans ma bouche, Papa ! Jouis dans ma bouche ! Dit Bastien en se retournant très vite.
Armand tenait sa queue frémissante en main, il se sentait partir et au moment où la première giclée sortit, Bastien prenait son gland en bouche.
— Ooh, petit cochon… Mmm ! Oui… Oh putain ! Aaah oui, prend encore ça… Tu as avalé ou tu as la bouche pleine.
Bastien regarda son père avec des yeux coquins et il ouvrit bien grand sa bouche pleine de foutre. Il se gargarisa avec, referma la bouche et avala la semence d’Armand.
— Voilà, maintenant elle est vide. Dit-il en se redressant pour embrasser son père.— T’es vraiment un petit gourmand…
Ils échangèrent un long baiser langoureux, puis Isabelle se rapprocha pour les enlacer dans ses bras et leurs bouches passèrent alternativement de l’une à l’autre. Les mains se remirent en mouvement pour de douces caresses et Bastien constata que son père n’avait pas débandé.
— Tu bandes encore, Papa, il faut que je fasse quelque chose pour toi.— Mmm… cochon, c’est tout sale. Dit Armand en voyant son fils avaler de nouveau sa bite.— Laisse toi faire, Chéri, ça fait si longtemps qu’il rêve de toi…— Et puis ce n’est pas si sale ; ça sort juste de mon cul... et ça va y retourner. Ajouta-t-il en reprenant sa fellation.— Mmm… Oui, Chaton, je vais te la remettre, mais je veux voir ton visage.
Une fois que la queue d’Armand fut bien propre et bien baveuse, et que Bastien se sentit prêt à la reprendre dans le cul, Isabelle l’allongea sur elle, entre ses cuisses, avec sa grosse poitrine en guise d’oreiller. Bastien releva les jambes, Isabelle les attrapa pour les tenir bien hautes et écartées et Armand n’avait plus qu’à le pénétrer. Il guida sa grosse bite vers le trou déjà entrouvert et, pour la deuxième fois de sa vie, il encula son fils. Il prit le relais d’Isabelle en attrapant les mollets de Bastien et elle put caresser tendrement les cheveux et le corps de son fils pendant qu’Armand le baisait.
Bastien, enlacé par ses deux parents, se tenait les couilles pour qu’elles ne soient pas écrasées par le pubis d’Armand et branlait sa bite encore un peu molle. Il jouissait et fermait les yeux en savourant le doux contact de la généreuse poitrine de sa mère dans sa nuque. Il affichait un sourire béat tandis qu’Isabelle lui susurrait des mots tendres et que son père vantait les mérites de son cul en le baisant de plus en plus fort. Il avait déjà tellement joui dans sa journée, entre son coït matinal quotidien avec Isabelle, son après-midi avec Éric, toutes ses branlettes et l’orgasme précédent avec Bastien, qu’il se montra particulièrement performant et endurant. Bastien qui jouissait réellement du cul, connut deux orgasmes anaux avant que son père le rejoigne en lui remplissant enfin le cul de son foutre abondant.
Bastien était épuisé par ces deux baises successives et sublimes, si bien qu’il s’endormit dans le lit de ses parents et qu’Armand se retrouva tendrement entouré par sa femme et son fils.
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