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Bastien

Chapitre 5

Inceste
V. – Perversion –
Une fois calmées de leurs désirs et comblées d’amour, elles retournèrent à leur repas qu’elles finirent de préparer en discutant de choses frivoles.
— Oh, ton frère voudrait remplacer ses caleçons par des strings et des jockstraps et il aimerait aussi remplacer une partie de ses pantalons et de ses t-shirts. Mais tout ce qu’il veut est introuvable ici. Du coup, on pensait aller passer le week-end prochain à Montpellier. Ça te dirait de venir avec nous ?— Pourquoi pas, vous logerez où ?— Dans l’appartement de ton oncle au Grau-du-Roi ; je ne l’ai pas encore appelé mais ça m’étonnerai qu’il soit loué.— Il n’y a qu’une chambre, on va se tasser comment ?— Oh, pour une nuit ou deux, ça ira. Il y a le convertible du salon ; c’est un deux places très confortable qui conviendra très biens aux hommes et nous on prendra la chambre. Qu’est-ce que t’en dit ?— Oui, ça peut être sympa. Ça fait longtemps qu’on n’a pas bougé en famille ; on pourrait partir le vendredi soir et revenir le dimanche. Déclara Laura enthousiaste. En plus, s’il fait beau on pourrait aller bronzer tout nu à l’Espiguette.— Parce que tu veux nous mettre au naturisme ?— Pourquoi pas, c’est agréable d’être tout nu et puis, si on partouze en famille, Papa avec Bastien et toi avec moi, il y a fort à parier que, d’ici la fin de la semaine, on aura vu tout ce qu’il y a à voir de nos anatomies.— Tu as raison, ma Chérie, surtout que ton père ne peut pas se retenir… Et puis comme ça, on pourra faire nos emplettes le matin et, après, on sera libre. Dit Isabelle en approchant ses lèvres de la bouche de sa fille.
Isabelle était très impressionnée par la nudité totale du corps de sa fille. Elle trouvait très agréable de lécher sa vulve imberbe et elle se demandait si sa forêt mal entretenue ne la gênait pas.
— Tu dois me trouver bien sauvage avec ma chatte poilue, non ?— Un peu… C’est vrai que c’est mieux quand on ne se coince pas tout le temps des poils dans les dents… Pourquoi tu ne la tailles pas au moins ?— Je la taille un peu ; j’enlève tout ce qui dépasse de mes culottes ou du maillot de bain… Mais je n’en fais pas plus. Je n’y pense pas, ton père ne me l’a jamais demandé et je suis habituée comme ça. Par contre, c’est vrai que, quand je vous vois, ton frère et toi, je me dis que je devrais sans doute faire quelque chose à ce niveau.— Je peux t’aider, si tu veux ; c’est toujours moi qui le fait à mes copines alors j’ai l’habitude.— Maintenant ?— Pourquoi pas !— D’accord, mais avant, j’appelle ton oncle pour savoir si on peut profiter de son appartement le week-end prochain et, ensuite, tu t’occuperas de mes poils !
Une heure plus tard, Isabelle n’avait plus qu’un petit cœur bien taillé sur le mont de vénus et elle testait la nouvelle sensibilité de sa vulve fraichement épilée en la frottant sur celle de sa fille. Elle avait découvert l’amour saphique et prenait un plaisir intense à donner et recevoir les douces caresses qui l’accompagnait.

Armand avait embarqué son fils vers une jolie petite cité médiévale de leur département, très proche de l’autoroute et d’une aire de repos où se trouvait un motel. Il préférait cette solution assez discrète qui permettait de retirer une clé à un distributeur sans passer devant quelqu’un. En chemin, il posait régulièrement sa main sur la cuisse de Bastien quand la route le permettait et son fils lui caressait le devant de son pantalon.
— Si tu bandes trop, tu ne vas pas pouvoir conduire, Papa. Tu ne veux pas qu’on s’arrête sur un parking ?— Ça serait peut-être plus prudent, mais ce n’est pas très discret ; si on fait des choses dans la voiture, n’importe qui pourrait nous voir.— Regarde, il y en a un dans deux kilomètres. On n’est pas obligé de rester dans la voiture ; on pourra aller se planquer en forêt.
En s’arrêtant sur le parking, ils se garèrent au plus loin sans se soucier de deux voitures vides stationnées à l’entrée d’un chemin. Ils sortirent de la voiture en prenant une couverture avec eux, Armand était impatient de se vider les couilles et Bastien était excité à l’idée de faire l’amour dans la nature. Ils prirent le chemin qui grimpait dans le sous-bois et, en s’éloignant du sentier, ils trouvèrent un replat où s’installer. Ils étaient à l’abri des regards indiscrets de la route et du chemin et se sentaient en sécurité. Ils retirèrent leurs chaussures pour monter sur la couverture étalée au sol et s’embrassèrent avec passion en se déshabillant mutuellement. Ils étaient nus l’un contre l’autre et Bastien s’apprêtait à se pencher en avant pour sucer son père quand un craquement attira leur attention. Deux hommes de cinquante ou soixante ans se tenaient à quatre ou cinq mètre d’eux ; ils s’étaient approchés sans gêne, la braguette ouverte et la bite entre les mains.
— Merde ! S’exclama Armand surpris.— Ça doit être un lieu de rencontre, expliqua Bastien à moitié rassuré. Peut-être qu’ils veulent juste mater, mais c’est aussi possible qu’ils veuillent participer…— Tu veux qu’on se rhabille ou tu t’en fous s’ils nous matent ?— J’ai surtout l’impression que toi ça t’excite et tant qu’ils se branlent, ça ne craint rien… Après, si tu veux que je leur fasse des trucs aussi, c’est à toi de voir, répondit Bastien en se penchant vers le sexe de son père. Je me soumets à tous tes désirs.
La dernière phrase de Bastien avait eu l’effet d’un coup de fouet sur Armand. Sa bite, qui avait perdu de sa superbe quand ils avaient découvert les voyeurs, retrouvait son développement maximum. En regardant un peu autour de lui, il s’aperçut que le sol était jonché, çà et là, de capotes usagées et de mouchoirs en papier souillés. Ils avaient atterri, sans le savoir, dans un lieu de baise sauvage et il imaginait déjà les deux types un peu crades venir, tels des vautours, s’inviter dans leur partie de jambes en l’air. Il était à poil, debout, face au deux voyeurs qui avaient une vue imprenable sur le cul de Bastien. Les deux salops se branlaient doucement en lui adressant des sourires et en faisant des signes de la tête pour savoir s’ils pouvaient s’approcher encore.
— Mmm… petit cochon, tu te montres en spectacle et tes admirateurs voudraient bien venir plus prêt, j’ai l’impression. Ça te dirait ?— C’est toi qui décide, Papa, répondit Bastien en abandonnant un instant la bite de son père. Si tu veux qu’ils approchent plus, qu’ils me touchent et plus encore, c’est toi qui vois, mais, s’ils doivent m’enculer, faut qu’ils aient des capotes.— Mmm… petit salop, tu veux te faire enculer par des inconnus, répondit Armand en appuyant sur la tête de son fils pour qu’il le reprenne. Mmm… oui, c’est bon. Vous pouvez approcher, messieurs…— Bonjour, dit le premier en restant à la limite de la couverture. C’est la première fois que vous venez ici ?— Oui, on s’est juste arrêté en passant pour satisfaire un petit besoin urgent.— À voir comment il bouffe ta queue, ça a plutôt l’air d’un gros besoin… ironisa le second. Vous permettez qu’on s’approche plus ?— Si vous enlevez vos chaussures, répondit simplement Armand.— Putain, ça a l’air d’être une bonne petite salope, reprit le premier déchaussé en caressant la croupe de Bastien. Il te suce bien, j’ai l’impression.— Oui, il est très doué, Mmm…
Le second bonhomme enleva aussi ses chaussures pour venir apprécier la douceur du corps de Bastien dont il palpa tout de suite le cul qu’il doigta, la bite qu’il trouva bien raide et les tétons qu’il caressa et pinça sans vergogne.
— Mmm… oui, c’est une belle petite salope… et je me ferais bien sucer la queue aussi.— Bastien, ces messieurs aimeraient une petite gâterie, tu veux leur donner ?— Mmm… je veux bien, dit-il en abandonnant la queue de son père pour prendre celle de l’homme qui se tenait à sa gauche.
Il avait un sexe épais, sale et malodorant que sa langue nettoya assez vite. Le gars ne devait pas se doucher souvent, mais Bastien trouva ça encore plus excitant. L’homme était quand même moins bien monté que son père et il n’eut pas trop de difficulté pour l’avaler complètement. Le deuxième type était passé derrière son cul qu’il entreprit d’écarter et de lécher sous le regard approbateur d’Armand.
— Si vous avez des capotes, vous pourrez lui prendre le cul, il adore ça.— Je sors toujours équipé, précisa le lécheur, et son trou du cul à l’air bien accueillant.— Je confirme, dit Armand en s’approchant la bite en avant. Je vais vous montrer.— Mmmff ! Fit Bastien quand le gros gourdin de son Papa s’enfonça en lui jusqu’à la garde.
Armand était bien excité par la situation et il savait déjà qu’il ne débanderait pas avant d’avoir joui deux fois. Il baisa donc son fils avec entrain, tandis qu’il suçait tant bien que mal leurs deux partenaires de jeu, et laissa sa place avant d’avoir balancé sa sauce. Il sortit sa bite crasseuse et celui qui avait des capotes le remplaça dans le cul de Bastien. L’homme était vigoureux, mais moins endurant qu’Armand, et après quelques minutes, il ressortit sa queue, retira sa capote et éjacula sur le dos et les fesses du garçon alors que le premier lui remplissait la bouche en jurant. Aussitôt après avoir joui, les deux gars remontèrent leurs caleçons et leurs pantalons, et repartirent vers leurs voitures. Armand et son fils entendirent les véhicules s’en aller ; ils étaient enfin seuls et, après on long baiser, Bastien se coucha sur la couverture pour recevoir à nouveau son père en lui.
— Si on m’avait dit qu’il existait de tels lieux, dit Armand en remettant la couverture dans le coffre. Tu ne m’en veux pas ?— Pour m’avoir livré à ces deux salops ? Non, pas du tout ; c’est ce que tu voulais, non ?— Oui, surtout quand tu m’as dit que je décidais de ce qu’ils pouvaient te faire ; ça m’a sacrément excité mais, maintenant, j’ai un peu honte de moi.— Faut pas, Papa, moi je n’ai pas honte et je suis content de m’en être pris plein le cul.— Et la journée n’est pas finie…— J’espère que Maman nous donnera une bonne nouvelle avant qu’on rentre.— Moi aussi, Chaton, mais, d’ici là, on a le temps. Elle sait où je vais t’emmener et elle ne va pas nous faire revenir avant qu’on ait eu le temps d’en profiter.— Tu vas coucher aussi avec Laura si elle en a envie ?— Non, je n’en ai pas envie. Ta sœur est jolie, là n’est pas la question, mais, quitte à changer de crèmerie, autant que ce soit pour vivre quelque chose de vraiment nouveau. En plus… ça ne se commande pas, mais c’est ton cul qui me fait bander.— Mon cul et celui d’Éric…— Oui, celui d’Éric aussi, mais, si tu veux, je peux arrêter de le voir.— Non, pourquoi ? Ça ne serait pas sympa et puis… on pourrait se faire des plans à trois de temps en temps, puisque t’as l’air d’aimer les trucs à plusieurs.— Tu n’as pas eu l’air d’être trop contraint non plus. Je me trompe ?— Non, t’as raison, je n’ai pas beaucoup d’expérience et j’ai envie de goûter à plein de bites, mais c’est la tienne que je préfère.
Armand emmena Bastien manger dans un restaurant gastronomique et après leur repas, il roula assez vite vers le motel de l’aire d’autoroute. À cette heure de la journée et, en dehors des grandes périodes de congés, il y avait toujours des chambres de libres. Ils ne perdirent pas trop de temps en préliminaires et le cul de Bastien qui s’était déjà fait ramoné cinq fois dans la matinée s’ouvrit tout seul et sans préparation, dès la première poussée. Ils avaient pris leur chambre en tout début d’après-midi et quittèrent le lit vers seize heures lorsqu’ils reçurent un sms leur annonçant qu’ils pourraient vivre leur relation incestueuse en présence de Laura.
— Tu crois qu’ils vont mettre longtemps pour revenir, on devrait peut-être s’habiller, non ?— Ils en ont pour trois bons quarts d’heure, et je crois que je vais rester comme ça. Je commence à apprécier le fait d’être à poil et puis, ce n’est pas toi qui voulais nous emmener faire du naturisme en famille ?— Si, c’est vrai, hi hi ! Mais je ne sais pas trop ce que va penser Papa s’il nous trouve à poil toutes les deux.— De toute façon, je n’ai pas l’intention de lui cacher qu’on a fait l’amour et j’aimerai bien savoir ce qu’il va penser de ma nouvelle coupe. Dit Isabelle en se passant une main sur la chatte.— S’il t’a promis de ne pas te pénétrer pendant quelques temps, il va être un peu vert.— Il pourra me lécher, ça, c’est permis… et puis ça lui fera du bien de faire l’amour autrement qu’en me labourant la moule.— T’es vraiment saturée, alors… Je n’en reviens pas ; pourtant, il te fait jouir tous les soirs, ça s’entend.— Oui, il me fait jouir, mais ta langue et ta chatte aussi m’ont faite jouir aujourd’hui et, de cette façon, ça me fait du bien. Je ne veux plus être pénétrée, mais peut-être qu’après quelques jours j’aurais à nouveau envie de sa verge. Je lui ai juste demandé quelques temps de repos et j’ai l’impression que ton frère supportera très bien de vider les grosses couilles de son Papa. Si tu voyais la taille du gode qu’il se met dans le cul !— Bastien se gode le cul ? Comment tu sais ça ?— Parce qu’il a accepté de me montrer comment il se donnait du plaisir en pensant à son Papa. Son gode doit toujours être dans la salle de bain, attends ! Je vais le chercher.
Laura resta allongée sur le lit tandis que sa mère allait chercher l’engin. Elle se sentait heureuse et bénissait l’audace de sa mère quand elle lui avait donné du plaisir dans le bain. Elle se demandait, aussi comment allaient évoluer leurs relations familiales. Elle fantasmait encore sur son père et rêvait de convertir son frère à l’hétérosexualité. Elle fut sortie de sa rêverie lorsque sa mère revint près d’elle avec, en main, le gode de Bastien.
— Oh, la vache ! Mais il est énorme ! Fait voir…— Tiens, c’est effectivement un beau morceau.— Mais il ne peut pas se mettre un truc comme ça dans le cul, quand même ! T’as vu le diamètre qu’il a.— Je peux te garantir qu’il se l’enfonce jusqu’aux couilles.— J’hallucine ! En plus c’est un gode pour harnais vuc-O-lack !— C’est quoi un harnais vuc-O-lack ?— C’est un harnais sur lesquels on fixe des jouets comme celui-là, sur un petit plug qui rentre dans ce trou. J’ai découvert ça hier avec Brigitte, mais les dildos qu’elle a ne sont pas aussi gros. Putain, tu te rends compte ? Et il se le met complètement ?— Bien sûr, c’est très impressionnant.— Attends, faut que j’essaye. Dit Laura en se caressant la chatte avec l’objet. Mmm… putain, c’est gros… Oooh… et là, je n’l’ai pas dans le cul.— Si tu veux, je peux le manipuler pour toi, suggéra Isabelle en posant une main sur la base du gode.— Mmm… oui, si tu veux… Oooh… doucement, Maman, ça va vraiment jusqu’au fond… Aaaaah… Aah oui, comme ça… Aah… j’n’ai jamais rien pris d’aussi gros.— Tu aimes ? Tu voudrais qu’on s’achète un harnais et des jouets pour toi ?— Aaah… Aaah oui… Aaah, Maman… Aaah… Tu… Tu veux bien me le mettre dans le cul ?— Attends, je vais te préparer d’abord, tourne-toi que je te lèche un peu.— Mmm… j’adore ça, remarqua Laura tandis que la langue de sa mère humidifiait son petit trou.
La tentative de Laura de prendre le gode de son frère dans le cul se solda par un échec cuisant, ses six centimètres de diamètre ne passaient pas et elle regretta d’avoir insisté. Isabelle lui fit oublier sa douleur en reprenant une pénétration plus conventionnelle et la fit quand même jouir avec ce sexe artificiel hors norme. Elles étaient encore au lit lorsque Bastien et Armand rentrèrent et elles se levèrent pour aller les voir en entendant la porte d’entrée se refermer. Les deux hommes furent étonnés de les voir descendre l’escalier simplement vêtues de leurs peignoirs de bain.
— Alors frangin, t’as eu une journée bien remplie ? Ce n’est pas vraiment une tenue pour aller à la pêche. Dit Laura en allant les embrasser. Maman m’a tout expliqué…— Et Laura et moi, on s’est arrangées entre nous. Ajouta Isabelle en prenant sa fille par la taille.— Oh, et c’était bien ? Demanda Armand en embrassant sa femme. Vingt ans de mariage pour en arriver là !— Comment ça ? Pour en arriver là, s’étonna Isabelle.— Et bien, moi, pédé, et toi, goudou…— T’es bête, Chéri, mais c’est vrai qu’il y a un peu de ça. N’est-ce pas ma Chérie ?— Oh, mais je ne me sens pas concernée, Maman. Moi je suis bi et heureuse de l’être ; c’est toi qu’est une vraie gouine… Tu ne veux plus que de la foufoune et du broute minou.— Non ! Je ne suis pas gouine, j’ai juste envie de ne plus être pénétrée par une bite pendant quelque temps, qu’elle soit naturelle ou artificielle. Ma chatte se met à la diète, mais ça n’a rien de définitif.— Parce que vous avez utilisé une bite artificielle ? Demanda Armand curieux et légèrement excité.— Euh, oui, reconnut Isabelle gênée, j’ai montré à Laura le gode de Bastien qui était encore caché derrière les serviettes.— Quoi ?! Vous vous êtes enfilé mon gode dans la chatte ?! S’écria Bastien fâché.— Non, juste moi, lui répondit Laura, j’avais envie de voir ce que ça faisait, mais je me suis cassé le cul et j’ai préféré m’en tenir à ma chatte.— Putain ! Ça n’se fait pas ! J’espère que vous l’avez lavé ! Pouarrkk ! C’est dégueulasse, t’as mis ton jus de chatte dessus ! J’n’y crois pas !— T’aurais préféré ma merde ?— Carrément ! Du jus de moule, putain, ça me dégoûte… garde le ; je te le donne !— Calme-toi, mon Chaton, lui dit Isabelle en le serrant contre sa poitrine. C’est de ma faute et je vais le laver très méticuleusement.— Et le jus de chatte, comme tu dis, il ne t’a pas tant dégoûté hier soir. Rajouta Armand en l’embrassant avec tendresse.— Oui, mais c’était celui de Maman et c’était pour lui faire plaisir, mais celui de Laura…— Ah ben, merci ! Je pue de la moule peut-être ?! Demanda Laura fâchée à son tour en écartant les cuisses et en se l’ouvrant avec les doigts. Moi j’avais juste envie que tu me montres ! J’n’arrive pas à croire que tu peux te mettre ce truc dans le cul ! Ajouta-t-elle en se mettant à pleurer. Évidemment que je ne l’aurai pas utilisé si j’avais su que tu le prendrais comme ça !— Allons, Laura… Dit Isabelle peinée de voir ses enfants se disputer.— Ne pleure pas, Sœurette, c’est moi qui suis idiot… Dit Bastien honteux en la prenant dans ses bras. Je te demande pardon et je n’aurais pas dû te dire tout ça. Ce n’est pas si grave, en fait… J’ai mal réagi parce que j’avais promis à Papa de lui montrer et ça m’a énervé que tu l’aies utilisé avant, mais ce n’est pas juste car c’est qu’un jouet.— J’en ai, moi aussi, tu sais ? Ils ne sont pas aussi gros, mais je les aime bien…— Tu veux qu’on se prête nos godes ? Hi hi ! Mais je n’en ai qu’un seul, tu sais…— Mmm… Si ça se trouve t’en voudrais bien d’autres, non ?— Pff… celui-là me va bien, mais c’est vrai que si j’en trouvais un ou deux plus larges et plus funs, ce ne serait pas mal, mais bon !... Ce n’est pas donné quand même, surtout quand on prend de la qualité.— C’est vrai que le tien a vraiment une texture super… Tu veux bien me montrer comment tu fais alors ?— Oui, et ce n’est pas la peine de le laver… Je ne crois pas que mon cul sera capable de sentir le jus de chatte, mais à une condition !— Ah oui ! Laquelle ?— Tu le suces ou le lèches à fond avant, parce que, pour que ça marche bien, il faut de la salive et…— Et tu n’as pas envie de goûter à mon jus de chatte, j’ai compris. Papa ne bande ni pour ma chatte ni pour mon cul et toi, dès qu’on parle de moule t’es prêt à vomir !— Non, ce n’est pas si vrai ; j’ai dit à Maman que je ferai l’effort pour elle et je goûterai peut-être à la tienne si tu veux, mais pas maintenant !— T’as espoir, frérot, sauf si tu veux me la mettre aussi, parce que chez moi, l’un ne va pas sans l’autre.— J’n’ai pas dit que je voulais, ce sera pour toi, si je le fais un jour. Je suis totalement passif, Laura. La seule fois où j’ai essayé de pénétrer une fille, c’était avec Kristelle, et à peine entré dans sa chatte, j’ai débandé et je suis parti. Et puis, avec Éric, j’éjacule dès que je rentre et lui il bande mou…— Tu n’as vraiment pas de chance, lui dit Laura en lui posant un baiser sur la joue. Peut-être qu’après tout, tu pourras goûter à ma chatte aussi si tu as envie de me faire du bien, et tant pis si tu n’peux pas me la mettre. Bon, tu nous montres ?!— Oui, si vous voulez… Papa, tu voudras bien me lécher le cul ?— Avec plaisir, mon amour.
Bastien se dirigea vers la chambre de ses parents et, jugeant que ça sentait trop la femelle, il prit le gode et se rendit dans la sienne. Ça le gênait un peu de se montrer en spectacle devant sa sœur, mais il le faisait surtout pour son père qui, après lui avoir bien léché l’anus, le regarda enfoncer son gros chibre de plastique au fond de son cul accueillant.
— Ce n’est pas possible ! Chuchota Laura à sa mère. Il a tout mis d’un coup ! Directement, comme ça.— Je t’avais dit que c’était impressionnant… et tu vois, il jouit vraiment du cul.— C’est hallucinant…
Isabelle et Laura restèrent plutôt en retrait, mais elles regardèrent Bastien se procurer un orgasme anal avec beaucoup d’intérêt et restèrent encore comme spectatrices lorsque Armand, excité comme s’il n’avait pas baisé de la journée, remplaça le sexe factice par sa bite tendue. Laura, comme sa mère, les trouva beau et ne put s’empêcher de se toucher doucement en admirant le spectacle. Bastien était sur le dos, il avait les genoux relevés jusqu’aux épaules et il gémissait de plaisir sous les coups de reins virils d’Armand. Leur accouplement était vraiment sauvage et son père y allait de bon cœur.
— Tu m’étonnes que Papa aime son cul… Avec la préparation qu’il s’est faite, il peut y aller franco.— Oui, c’est sûr que sa bite ne va pas faire de mal à Bastien.— Pourtant il est sacrément bien monté aussi… Mais t’es sûre qu’ils ont baisé cet après-midi ?— Oh oui, et ce matin aussi ! Tu me crois maintenant quand je te dis que ton père est un phénomène.— C’est clair, mais s’il n’est pas épuisé après ça…— Et bien moi, je te parie qu’ils seront capables de remettre ça juste après et encore après le diner.
Sur le lit, Armand et son fils ne s’arrêtaient pas mais, après un moment, Bastien eut envie de changer de position. Armand se retira et son fils, avant de se mettre à quatre pattes, lui suça un peu la bite. Qu’elle sorte de son cul ne le dégoûtait pas et il la lécha sur toutes les coutures avant de l’enfoncer entièrement dans sa bouche. Armand adorait quand son fils lui faisait ça et de voir son visage s’écraser sur son pubis et ses couilles l’excitait au plus haut point. Il encourageait Bastien à tenir un peu avec sa bite enfoncée dans la gorge en plaçant ses mains derrière sa nuque, mais il ne le forçait pas et le laissait reculer dès qu’il avait besoin de respirer.Laura fit la moue en voyant son frère sucer la queue souillée de son père, mais elle fut surtout très impressionnée par la capacité de Bastien à l’avaler entièrement. Elle avait déjà essayé de faire des gorges profondes, mais elle n’y arrivait pas bien et ne comprenait vraiment pas comment une telle chose était possible. Elle se garda de tout commentaires et continua à regarder en se caressant avec sa mère. Ni l’une ni l’autre n’avait vraiment l’intention de faire autre chose que de s’occuper les mains et entretenir un petit plaisir discret. Elles s’étaient faites jouir déjà suffisamment et préféraient se réserver un peu pour la soirée.Bastien cessa sa fellation et se positionna pour recevoir de nouveau en lui la grosse bite de son père. Armand attrapa ses globes fessiers et l’anus apparut encore légèrement ouvert. Bastien s’en était tellement pris dans le cul durant la journée que son anus semblait ne plus vouloir se fermer.
— Mmm… Bastien, ton cul est vraiment trop bon. Dit Armand en y replongeant sa bite.— Aaaah… Aaah oui, Papa, rempli moi bien. Oooh… Défonce-moi, Papa… Aaah ! Aah oui !— Comme ça ?— Aaah oui ! Aaah ! Aaah !— Ooh ! Putain, Bastien. Aah ! Je… Je vais jouir, Chéri ! Annonça Armand après quelques minutes.— Viens sur moi, Papa !
Bastien s’allongea sur le dos et attrapa sa queue raide tandis que son père se branlait au-dessus de son visage. Il fit, comme Armand quelques mouvements de poignet rapides et ils éjaculèrent en même temps, lui sur son ventre et son père sur sa figure et dans ses cheveux. Laura avait vu ce qu’elle voulait et proposa à sa mère d’aller faire à manger.
— Dis donc, petit frère, dit Laura pendant le repas, on ne t’a jamais dit que tu avais une jolie bite ?— Si, mais tu vois, trois coups de poignet et elle part.— Ça, c’est parce que t’es déjà en train de jouir par ailleurs. Tu sais que c’est rare les mecs qui bandent quand on les encule.— Parce que tu vois souvent des mecs se faire enculer ?— Non, mais ça m’est quand même arrivé quelques fois. Par contre, ce n’était pas aussi excitant que ce que j’ai vu ce soir.— Ça, c’est parce que c’était nous, déclara Armand en souriant. J’espère bien que tu ne connais personne de plus beau que nous…— Ça va les chevilles ? OK, vous êtes bien foutus tous les deux, mais pour l’instant, tout ce que je vois c’est que vous êtes une perte sèche pour la gent féminine. On peut admirer, mais pas toucher…— Ton père n’est pas une perte sèche pour les femmes, voyons ! Il s’est toujours bien occupé de ma minette ! Déclara Isabelle en léger désaccord. Et ton frère m’a merveilleusement fait jouir avec sa langue hier soir.— Oui, et bien ça, c’est ce que vous avez dit, mais je demande à voir…— Tu tiens vraiment à ce que je te lèche la chatte, ma parole ?!— Ça va, j’ai bien compris que tu n’aimais pas ça et que moi, tout particulièrement, je te dégoûtais.— Vous n’allez pas remettre ça ! Se fâcha vraiment Isabelle. On est tous ensemble, on a tous passé une bonne journée, alors profitons en un peu, non ?
Les enfants reconnurent que leur mère avait raison et firent la paix en s’embrassant tendrement. Bastien n’avait jamais serré sa sœur nue contre lui auparavant et il fut troublé par le contact de sa poitrine contre son torse et de son pubis lisse contre sa verge molle.
Après le diner, ils tentèrent de faire comme si rien n’avait changé dans leur famille en se retrouvant tous les quatre sur le canapé pour regarder un film en prime time, mais après quelques minutes tout avait basculé et les deux couples homosexuels se livraient côte à côte à des joutes érotiques. Bastien et Armand s’arrêtèrent même quelques instants pour jouer les voyeurs également et le garçon avoua à son père qu’il trouvait quand même ça assez excitant. Il bandait fièrement et se caressait doucement la verge en regardant les deux femmes s’aimer, mais Armand se branlait plus franchement. Son besoin de baiser redevint impérieux et il reprit son fils en levrette juste à côté des femmes en soixante-neuf. La mère et la fille eurent un orgasme en même temps que le père et le fils. Le salon retentit de leurs quatre cris entremêlés et Laura fut, une nouvelle fois, témoin de l’anomalie d’Armand.Son Père, bien que visiblement béat de plaisir ne débandait pas et Bastien eut droit à une nouvelle sodomie bestiale. Il était visiblement épuisé et se laissait faire, mais Armand était infatigable et mit encore une demi-heure avant de se vider les couilles dans le fondement de son fils. Tout le monde alla ensuite se coucher et, pour la première fois de sa vie, Armant se glissa sous les draps sans avoir envie de baiser. Il prit Isabelle dans ses bras, l’embrassa avec amour et ils s’endormirent juste après avoir éteint les lumières.
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