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Bastien

Chapitre 6

Inceste
VI. – Première semaine –
La lundi fut beaucoup moins mouvementé que ce dimanche et Armand dont l’esprit était totalement occupé par les culs de ses deux éphèbes, et plus particulièrement par celui de son fils, reprit son rythme masturbatoire pour atténuer ses besoins sexuels permanents.Armand avait commencé sa journée en allant baiser Bastien au réveil et ils prirent leur douche ensemble. Le garçon en profita pour faire une fellation à son père et ne se releva pas quand celui-ci vida sa vessie juste après. Ils reproduisaient leur expérience de la veille à ceci près que Bastien se pissa dessus en même temps et qu’il avala plusieurs gorgées de la miction de son père.
— Oh oui… Fit Armand enjoué. Tu es vraiment mon petit cochon d’amour.— Et tu aimes ça, mon Papa chéri, quand je suis cochon.— Oh oui, j’adore ça ; quand tu fais ça, j’ai l’impression de te posséder totalement.— Tu vas voir Éric aujourd’hui ? Demanda Bastien en se rinçant.— Oui, il doit passer à midi. Tu viendras aussi ?— Non, ça m’obligerait à sécher un cours, mais tu lui diras pour nous ?— Si tu veux, mais j’espère qu’il ne sera pas jaloux. Répondit Armand en sortant de la douche.— Non, comme je le connais, il sera plutôt choqué qu’on ose faire ça entre père et fils, mais il sera aussi content pour moi ; je le sais.— Vous êtes vraiment deux petites salopes, tous les deux, et j’espère qu’on pourra se faire une petite partie à trois.— Un soir, ce serait mieux… Oh, ça te fait bander rien que d’y penser. Tu veux que je te suce encore ?— Non, je vais te la remettre.
Bastien arriva en retard en cours ce jour-là et ça l’aurait contrarié d’habitude, mais sa journée avait trop bien commencée pour qu’il s’en inquiète. La seule chose qu’il avait en tête était de retrouver son père le soir mais, comme celui-ci avait encore un patient quand il arriva chez lui, il dut se satisfaire avec son gode en l’attendant.Armand ne perdit pas de temps pour fermer son cabinet et se précipita directement dans la chambre de son fils pour lui faire l’amour. Ce n’est qu’après avoir soulagé son excitation qu’il put satisfaire la curiosité de Bastien.
— Alors ? Tu lui as dit ?— Oui, bien sûr et ça ne l’a même pas choqué ; il était certain que ça arriverait un jour et il est content pour nous. Il a hâte de tout entendre de toi, d’ailleurs.— Je vais l’appeler ; de toute façon, il faudrait que je revoie mon épilation.— Vous êtes bien pareil, tous les deux ; il m’a dit la même chose.— C’est normal ; c’est ce qu’on fait quand on a des tas de trucs à se raconter.

Armand avait beau avoir bien baisé le matin, bien baisé à midi et s’être abondamment masturbé, il restait terriblement excité. Il refit l’amour à son fils avant le diner puis encore après, mais son besoin ne tarissait pas et Isabelle trouva préférable qu’il dorme désormais dans la chambre de Bastien. Elle avait compris qu’il ne se satisferait plus de masturbations nocturnes et utilisa ce prétexte pour pouvoir s’offrir des nuits plus douces avec Laura.
Armand se réveilla deux fois dans la nuit et à chaque fois, il prit Bastien pour leur plus grand plaisir. Par ailleurs, le garçon avait avancé l’heure de son réveil pour ne plus être en retard en cours et cela fonctionna comme il l’avait prévu. Son père lui fit l’amour au réveil, il lui fit une fellation sous la douche et lui redonna son cul ensuite. Ni l’un ni l’autre ne pouvait être assouvi à moins et Laura commença à vraiment comprendre pourquoi sa mère, après plus de vingt ans de mariage, n’en pouvait plus.
Bastien vit Éric après leurs cours et ils se dirigèrent ensemble chez son ami pour papoter, s’épiler et se donner du plaisir.
— Je suis content que ça soit enfin arrivé. Dit Éric après avoir entendu toute l’histoire. Ta mère a vraiment les idées larges…— Oh, elle y trouve aussi un intérêt ; l’hypersexualité de Papa la fatiguait et elle a besoin de douceur.— Et de chaleur féminine, si j’ai bien compris. Comment tu vois les choses, pour demain soir ?— Et bien, ça dépend de toi, mais je me disais que tu pourrais peut-être diner et dormir à la maison.— Il va être dingue, s’il a nos deux culs à porté de main…— Ça c’est sûr et s’il nous voit nous donner du plaisir, il ne va pas en débander.— Mmm… Ça m’excite ; on va se faire enculer par ton satyre de père toute la soirée.— Et toute la nuit… Tu ne m’as jamais dit pourquoi vous aviez ralenti le rythme de vos rendez-vous.— Oui, c’est vrai… C’est seulement parce que j’ai rencontré quelqu’un.— Non ? Et tu ne me l’as pas dit ! C’est qui ? Je le connais ?— C’est mon prof d’histoire, je lui ai juré de n’en parler à personne, mais à toi je peux le dire ; je sais que tu ne le répèteras pas.— Monsieur Malfoix… Il n’est pas marié ? Je n’aurais jamais cru qu’il était gay.— Il a divorcé à cause de ça. Je lui ai raconté pour nous et pour ton père, mais il est un peu possessif… Ou pas encore prêt au partage ; je ne sais pas.— Donc, j’imagine que tu ne lui dis pas que tu le vois encore.— Non, il croit que c’est fini… C’est pour ça que je suis content que vous vous soyez enfin trouvés, Armand et toi. Je vais pouvoir cesser de lui mentir.— Tu l’aimes vraiment ?— Je crois bien, avoua Éric en rougissant, et lui, il est raide dingue de moi, mais, ce qui est chiant, c’est qu’il a ses gosses une semaine sur deux. Du coup, je ne peux pas rester chez lui pendant ce temps là, ce qui est le cas cette semaine…— Parce que tu dors chez lui ? Mais ta mère, elle sait ?— Oui, j’ai réussi à lui dire que je suis gay. Elle n’a pas été étonnée et elle accepte même ma relation avec Lucien. Demain ce sera un peu une soirée d’adieu avec ton papa…— J’imagine que tu ne lui as rien dit, à lui non plus.— Non, je ne voulais pas trahir Lucien et puis, Armand est tellement content quand je viens ; je ne voulais pas lui faire de peine.
En accord avec son ami, Bastien se chargea d’expliquer à son père la situation dans laquelle se trouvait Éric. Il en fut moins touché que ce que le garçon aurait pu penser et décida de se consoler aussitôt avec son fils. Par ailleurs, la perspective d’une soirée de triolisme gay le lendemain suffisait à le maintenir de bonne humeur et en forme. Isabelle fut un peu moins ravie de ces nouvelles car elle ne savait pas si Bastien pourrait, à lui seul, satisfaire les besoins d’Armand. Cependant, la fréquence des ébats incestueux de son mari et de leur fils laissait supposer que la chose était envisageable.Armand fit l’amour à Bastien deux fois après le diner et trois fois durant la nuit. Leur réveil se passa comme les précédents et il ne débanda pas de la journée en pensant à la soirée qu’ils allaient passer en compagnie d’Éric.
Les deux garçons rentrèrent ensemble de leurs cours et trouvèrent Laura et Isabelle en pleine action dans le salon. Éric fut un peu troublé par ce manque de pudeur, mais Bastien lui expliqua qu’ils n’en avaient aucune, non plus, avec son père.
— Il me prend où il veut et quand il veut : cuisine, salon, salle à manger et escaliers ; je crois qu’on a déjà baisé partout dans cette maison, sauf dans la chambre de ma sœur et dans les toilettes, évidemment.— Vous êtes une vraie famille d’obsédés sexuels.— Et ça te gêne ? Tu peux repartir si tu veux.— Oh non, je vais en profiter ce soir ; après tout, comme ça il n’y aura pas de faux-semblant.— Viens, allons dans ma chambre ; Papa sera là dans un quart d’heure.— Tu ne crois pas qu’on ferait mieux d’aller nous laver ?— Tu sais bien que je ne le fais jamais. En plus, si je devais faire un lavement à chaque fois que mon père veut m’enculer, je passerai ma vie à ça.— C’est toi qui suceras sa queue, alors.— Pas de problème, j’adore ça ! Déshabillons-nous, il sera bientôt là et je suis sûr et certain qu’il serait ravi de nous trouver en train de nous lécher le cul en soixante-neuf.
Quand Armand arriva dans la chambre de son fils, Éric et Bastien étaient l’un au-dessus de l’autre et très occupés à se lécher mutuellement l’anus. Son fils était en dessous de son ami qui gémissait déjà sous l’action de ses doigts et de sa langue. Il se déshabilla très vite en admirant le spectacle et monta sur le lit derrière le cul d’Éric qu’il pénétra après s’être fait sucé le gland par Bastien.
— Aaaah… Aah, oui, Armand… Baise moi fort !— Mmm… Oui, mon petit Chéri, je vais ramoner ton petit trou serré. Ah oui…
Armand baisa Éric en levrette pendant un moment puis il voulut pouvoir changer de trou du cul. Bastien se dégagea et suça la bite de son père à la sortie du cul de son ami avant de prendre place à quatre pattes, à côté lui. Armand le pénétra d’un coup, sans pour autant abandonner le cul d’Éric qu’il doigtait en même temps. Après quelques temps, il changea de nouveau de trou et ce lança dans la baise alternée des deux jeunes qui s’embrassaient à pleine bouche. Il finit par éjaculer sur leurs visages en leur demandant de rester nus et souillés pour le reste de la soirée.
— Vous m’excitez, comme ça, mes petites salopes. Et toi, mon petit Chéri, tu m’as surpris. Tu n’as pas fait de lavement aujourd’hui, c’est Bastien qui t’en a dissuadé ?— Oui… Mais c’est quand même un peu gênant ; j’espère que tu ne me demanderas pas de te la sucer maintenant.— T’inquiètes ! J’ai dit que je m’en chargerai. Mais tu veux vraiment qu’on reste tout nu avec ton foutre sur la figure, Papa ?— Oui, mon petit cochon… Sauf, bien sûr, si vous souhaitez que je vous douche.— Sans eau ni savon, c’est ça ? Demanda Bastien qui avait compris.— Comment ça ? Sans eau ni savon ? S’étonna Éric.— Papa me fait pipi dessus et dans la bouche tous les matins, mais je crois qu’il aimerait le faire plus souvent.— Je préfère encore garder son foutre sur la figure.— Mais si t’as envie de faire pipi, tu peux t’associer à Papa, si tu veux.— T’es vraiment qu’un cochon, Bastien… Je verrais si j’y arrive.— Bien alors à la douche, mon garçon !
Bastien s’agenouilla dans le bac de douche et Armand n’attendit pas deux secondes avant de vider sa vessie sur ses cheveux et dans sa bouche ouverte. Éric était assez étonné par le plaisir évident que son ami prenait à cette humiliation et, après un long moment de concentration, il apporta sa participation. Cela se termina par une nouvelle baise des deux garçons dans la salle de bain et, quand ils descendirent diner, le corps de Bastien était encore mouillé et son visage était de nouveau couvert de foutre.
Après le repas, Armand, Éric et Bastien remontèrent tout de suite dans la chambre après le dessert et Laura et Isabelle les regardèrent s’en aller en rigolant.
— Ils sont aussi pressés de s’en reprendre plein le cul que lui de les mettre ! Papa n’a pas débandé de tout le repas.— Et, à mon avis, il n’a pas fini ; on va encore avoir droit à des vocalises jusqu’à minuit.— Toute la nuit, tu veux dire… Ils ont quand même de jolis petits culs, tous les deux.— Ça c’est bien vrai et Bastien est un petit cochon… Rangeons ça et allons nous coucher ; j’ai envie de ta bouche et de ta jolie minette.— Mmm… Maman, je vais te faire grimper au rideau.— On va y grimper toutes les deux, alors.
La nuit d’Armand fut très mouvementée car il baisa ses deux éphèbes deux fois chacun. Au réveil, il baisa avec Éric alors que les deux garçons se suçaient la bite en soixante-neuf. Bastien se faisait également branler le cul par son ami, avec son gode et ils jouirent tous les trois en même temps. Sous la douche, le fils fit une fellation à son père et reçut sa miction directement dans la bouche tandis que son ami l’arrosait. Puis, Armand reprit le cul d’Éric, pour ce qu’il supposait être la dernière fois de sa vie, avant de s’habiller.
Pour faire plaisir à son père et parce qu’il avait le temps, Bastien rentra le jeudi midi. Ils ne firent que baiser et le garçon retourna au lycée au pas de course. Quand il revint de ses cours le soir, vers seize heures, Armand l’attendait avec impatience.
— J’ai un patient qui vient d’annuler son rendez-vous. Viens vite, j’ai besoin de ton cul.— Il est tout à toi, Papa, répondit Bastien en se déshabillant. Je suis content de te trouver là si tôt.— J’ai encore des patients à voir après, mais j’ai quand même le temps de te prendre avant.— Aaah… Mmm… Oh oui, Papa… Aah !— Aah… Si seulement tu pouvais être là tout le temps ; je pourrais te baiser entre deux patients.— Aaah… Après mon Bac, Papa, je… Aaah… je serais là pour toi… Aaah… Tu feras tout ce que… Aaah… Tout ce que tu veux de moi.— Oh oui, mon cochon ! Compte sur moi.
Ils jouirent ensemble, Armand dans le cul de son fils et Bastien sur le canapé où Laura le retrouva encore allongé une heure après.
— Ça va frangin ? Tu t’es déjà fait enculer, à peine rentré du bahut ?— Oui, Papa avait un trou dans son planning…— C’est toi, le trou ! Hi hi ! Vous allez finir par vous tuer à baiser autant.— Papa, je ne sais pas, mais moi, je me sens un peu fatigué.— Tu devrais te prendre une douche ou un bain, ça te ferait du bien.— Je me suis endormi en cours aujourd’hui ; ça craint. Je vais me prendre une douche…
Après sa douche, Bastien aida sa mère dans la cuisine qui n’osa pas faire de remarque sur sa mine fatiguée. Ils parlèrent surtout du bac et d’avenir et Isabelle se demandait déjà comment se passerait sa vie quand son fils ne serait plus là pour satisfaire l’appétit sexuel de son mari. Le diner préparé, ils s’installèrent dans le salon avec Laura en attendant Armand. Isabelle et sa fille étaient assises dans un même fauteuil et Bastien allongé sur le canapé.
— J’ai l’impression que plus Papa m’encule et plus il en a besoin, mais je ne me plains pas ; j’adore ça.— Tu n’as jamais mal au cul ? Lui demanda Laura intriguée. Parce que, vu le nombre de fois où il t’encule dans une journée, c’est affolant… Il ne peut pas se retenir.— Il a toujours été comme ça ; c’est pour ça qu’il se branle tout le temps. Tu devrais quand même lui imposer un peu plus de retenue.— Mais je n’ai pas envie ! J’aime qu’il m’encule et j’aime être disponible quand il le souhaite ; j’en ai besoin. C’est plus fort que moi.— Tu vois, Maman, c’est ce que je te disais… C’est insoluble. Mais ce n’est pas grave, puisqu’on en profite bien, nous aussi.— Ça c’est vrai, ma Chérie ; on devient de vrai gouines. Tu n’es pas sorti un seul soir cette semaine.— Je n’en avais pas envie ; je suis très bien avec toi. Surtout qu’on fait l’amour presque autant qu’eux, en fait.— Mmm… Le soir, mais pas durant la nuit ou le matin.— Vous pouvez vous lâcher, si vous voulez. Je vous laisse le canapé…— Ça ne t’ennuie pas, frangin ?
Lorsqu’Armand arriva dans le salon après son dernier patient, il trouva sa femme et sa fille en soixante-neuf sur le canapé et Bastien l’attendait assis dans un fauteuil. Son fils le déshabilla et se mit à genoux sur le siège pour se faire prendre aussitôt. Ils dinèrent ensuite et les deux couples homosexuels incestueux firent encore l’amour deux fois côte à côte dans le salon après. Bastien se donna encore une fois à son père avant de s’endormir et Armand lui refit l’amour trois fois durant la nuit.
Le vendredi matin, Bastien, trop fatigué pour se lever après s’être fait copieusement sauté au réveil, décida de sécher ses cours et Armand, se sentant responsable pour l’avoir, en plus, réveillé trois fois dans la nuit, lui accorda ce droit exceptionnel.
— Tu me fais penser à l’état dans lequel j’étais quand ton père me prenait dix fois par jour, Dit Isabelle en venant voir son fils épuisé. Il faut que tu lui dises de se calmer !— Mmm… Mais ça m’ennuie, fit Bastien en faisant la moue.— Si tu ne le fais pas, c’est moi qui m’en chargerais !— Non, Maman, s’il te plait… Papa a vraiment des gros besoins et il faut juste que je m’habitue et que je m’organise. Laisse-moi faire.— Écoute, Chaton, je n’ai pas poussé ton père dans ton lit pour qu’il t’épuise et j’aimerai bien que tu tiennes debout pour notre week-end en famille.— C’est pour ça que j’ai voulu me reposer aujourd’hui. On part à quelle heure ?— Dès que tout le monde est là, c’est-à-dire vers cinq heures.
Isabelle embrassa son fils et partit au travail en lui recommandant de dormir. Bastien n’était pas trop chaud pour freiner son père. Même s’il comprenait que c’était une nécessité pour être moins fatigué, il aimait se sentir au service des pulsions d’Armand et, plus il se faisait enculer, plus il aimait ça. Il s’endormit rapidement alors que toute sa famille était partie et rouvrit les yeux en fin de matinée. Il se sentait mieux et se dirigea dans la salle de bain pour prendre une douche. Il savait que son père serait là à midi et content de le retrouver. D’habitude Bastien ne rentrait jamais chez lui pour déjeuner et même s’il l’avait fait la veille, ça restait un jour exceptionnel. Il s’habilla seulement de son peignoir et se rendit dans la cuisine pour leur préparer un petit repas froid.
Armand s’était masturbé abondamment durant la matinée ; de savoir que Bastien était là l’excitait et il avait hâte de prendre son petit cul. Les fesses de son fils agissaient comme une drogue sur lui et il avait l’impression que ses besoins sexuels en avaient été décuplés. Une fois son dernier rendez-vous de la matinée raccompagné à la porte de son cabinet, Il se précipita vers sa maison et, entendant du bruit dans la cuisine, il s’y rendit aussitôt.Bastien avait les mains dans l’évier et son petit cul pointait vers l’arrière. Il s’approcha en se signalant et son fils tourna la tête vers lui sans bouger. Armand l’enlaça par derrière, lui roula une pelle et passa ses mains dans l’ouverture du peignoir. Ses doigts trouvèrent les tétons de Bastien qu’ils excitèrent et pincèrent tendrement. Le garçon gémit en tendant son cul vers la bosse qui appuyait sur ses fesses. Armand lui retira son peignoir qui glissa le long de ses épaules jusqu’au sol.Bastien était nu et offert, prêt à satisfaire tous les désirs de son père. Armand était fou de son corps et il le caressait fébrilement. Il s’agenouilla derrière ses fesses, les écarta et les lécha avec gourmandise. Bastien, transporté par cette caresse buccale, lui maintenait la tête contre son cul tendu. À chaque coup de langue, son désir d’être possédé grandissait et il en jouissait d’avance. Le sentant totalement abandonné à sa volonté, Armand se redressa, ouvrit sa braguette et descendit son caleçon et son pantalon sous ses fesses. Sa verge était bien dure et bien tendue et, d’une main, il la dirigea vers le petit trou prêt à s’ouvrir.
— Aaah… Putain, j’ai attendu ce moment toute la matinée, avoua Armand en s’enfonçant jusqu’à la garde. T’es toujours prêt pour ma bite. Mmm… c’est trop bon.— Ooooh… oui, Papa… je suis à toi… Aaah… mon corps t’appartient… Aaah… Aaah ! Aah oui… Tu… Aaah… Tu peux me demander ce que tu… Oooh… ce que tu veux.— Mmm… oui… petit cochon... Tu es à moi… Aaah… tu me l’as déjà prouvé.— Aaah… Aaah ! Aah oui, Papa ! Plus fort ! Aaah !
Armand et Bastien n’avaient pas besoin de l’exprimer pour savoir que l’un et l’autre repensaient à l’expérience du parking et ce souvenir les excitait tous les deux. Le père bourrait le fils avec une vigueur accrue ; il avait passé une main sous son ventre et attrapé sa jeune bite bien raide. Bastien se tenait des deux mains au rebord de l’évier et il éjacula par terre tandis que son père lui remplissait le cul. Ils mangèrent ensuite et Armand reprit son fils sur la table avant de retourner travailler.
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