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Beau papa

Chapitre 1

inceste

Gay
Depuis que Jean-Marc mon beau-père est entré dans ma vie, j’ai élargi mes critères de fantasmes au niveau des hommes. Il a 38 ans, il est brun, environ 1 mètre 75. Lorsqu’il a connu ma mère, il était plutôt musclé. Je le regardais mais sans plus. Mais au bout de quatre ans de vie commune avec ma mère, il a pris pas mal de poids. Il pèse aujourd’hui 80 kilogrammes.J’ai déjà eu l’occasion de le voir torse nu. Il est très poilu, des poils noirs et drus qui recouvrent tout son ventre dodu. Si on le regarde de plus près, il a un début de calvitie, une tête assez ovale et des lunettes carrés. Au fil des années, il m’excite de plus en plus quand je le regarde. Il a une bonne tête de pervers et j’adore ça.
J’ai déjà fait en sorte de le voir nu. En rentrant dans la salle de bain notamment ou même d’une façon qui m’excitait encore plus, avant d’aller au lit, j’allais le voir au moment où il était aux toilettes pour faire la grosse commission. Il était donc assis sur les chiottes et j’allais le voir pour lui souhaiter la bonne nuit. Il ne se doutait pas que c’était en réalité pour regarder sa queue pendre dans les toilettes.Elle était de taille moyenne, je l’imaginais à 18 cm en érection mais elle était d’une largeur incroyable.À plusieurs reprises, je l’entendais baiser ma mère le soir. Je n’entendais étrangement jamais ma mère. Peut-être avait-elle peur de nous réveiller sans savoir que je les écoutais.Par contre, mon beau-père je l’entendais. Il respirait fort, poussait des râles virils mais étouffés. Jusqu’au moment où il jouissait, il disait " je vais jouir, je vais jouir. "J’ai dû l’entendre pour mon plus grand bonheur deux ou trois fois.
La partie précédente était réelle en tout point mais la partie qui va suivre est un fantasme.
Un samedi, jour où ma mère travaillait, je me retrouvais seul avec lui à la maison. On habite dans une petite ville dans une vieille maison à l’abri des regards.Il aime beaucoup m’apprendre des choses sur le bricolage. Lui qui s’y connaît beaucoup voulait me faire partager son savoir.Nous allons donc au grand garage attenant à la maison pour poncer une porte afin de la repeindre.
Je m’installe alors sur une vieille chaise de jardin en plastique afin de l’observer travailler. Il se baisse un peu, allume la machine et dans un vacarme sans fin commence à poncer la porte. Il est torse nu et porte un pantalon de travail kaki. Celui-ci doit lui aller trop grand car étant baissé, je peux voir une bonne partie de sa raie poilue. À la vue de cette raie et de son dos tout aussi poilu que son ventre, je commence à avoir la trique. Son corps m’excite et je commence à me passer une main sous le caleçon pour me toucher devant ce fantasme.Soudain, il se retourne brusquement vers moi et arrête la machine.
— Dis-moi Tom, tu ne serais pas en train de regarder ma raie qui dépasse de mon pantalon ?— Non Jean-Marc, je ne me permettrai pas.Voyant que je mentais, mon beau-père prend la deuxième chaise, l’installe à mes côtés et commence à me parler.
— Dis-moi, je ne suis pas fermé d’esprit. Tu es gay c’est ça, et j’en déduis que tu fantasmes sur le corps poilu du copain de ta mère...— Oui Jean-Marc, c’est vrai.Soudain, un sentiment de honte et en même temps de peur qu’il le dise à ma mère m’envahit. Mais contrairement à ce à quoi je m’attendais, il me dit une phrase qui me ravit.

— Tu sais Tom, ta mère et moi, on ne baise pas souvent. Alors je suis souvent obligé de me branler sur un porno de temps en temps. C’est vrai, je ne me trompe pas, tu fantasmes sur moi ?— Oui c’est vrai, je suis gay et au fil des années, tu me fais de plus en plus d’effet.— Alors je vais te proposer quelque chose qui devra rester uniquement entre nous d’accord ?— Oui bien sûr, tu peux me faire confiance.— Bien. Tant donné que tu fantasmes sur moi et que moi je suis un petit peu en manque, je vais te proposer que nous nous satisfassions tous les deux. Si je viens te toucher et t’embrasser, tu aimerais ?— Oui bien sûr, ça fait des années que je rêve de le faire avec toi mais maman ne devra pas être au courant promis ?— Oui je ne veux pas non plus que ta mère sache notre petit secret.
Il me fait un clin d’œil et se lève de sa chaise. Tous ses poils, qui sont les objets de mes désirs sont devant mes yeux. Il se baisse et me saisit la bouche avec la sienne commençant un langoureux et tendre baiser. Sa langue se glisse dans ma bouche et je fais de même. Je suis en train d’embrasser mon beau-père et j’adore ça.Il se retire de ma bouche. Tout le contour de mes lèvres est couvert de sa salive.— Tu aimerais me léchais le torse ?— Oui Jean-Marc avec grand plaisir. Je pourrais aussi lécher tes aisselles ? Et j’adorerais t’appeler papa ! Je peux ?— Appelle-moi comme tu veux Fiston et fait ce que tu veux tant que tu prends plaisir avec Papa ou beau papa. On va rentrer e mettre au salon, on sera mieux là-bas.
Une fois dans le salon, il enlève son pantalon de travail et se retrouve alors en caleçon blanc laissant déjà voir une très belle forme.Il s’allonge sur le canapé en me demandant de venir. Je m’agenouille devant lui. Et commence à glisser mon nez, ma bouche, ma langue à travers cette belle toison de poils drus et noirs. Je lèche son ventre en insistant sur ses tétons. J’adore cette sensation de poils sur ma bouche. Parfois j’en ai sur la langue et j’aime ça. Il pousse déjà de grands râles de plaisir.— Hum vas-y Fiston lèche le torse de ton papa !Ses mots me stimulent encore plus. Il m’embrasse encore la bouche de temps à autre avec toujours pus de fougue.
Une fois avoir léché tous les recoins de son ventre dodu et poilu, je lui lève les deux bras vers le haut. Et plonge mon nez dans les poils odorants de ses aisselles. Elles sont très poilues, il ne doit à mon plus grand plaisir jamais les entretenir. Elles dégagent une odeur forte, de transpiration, de mâle viril. Je lèche ses deux aisselles dans tous les sens. Il adore ça vu les cris virils qu’il pousse.
Puis, il se redresse, se rassoit et enlève son caleçon. J’ai devant moi une énorme bite d’une largeur incroyable qui est celle de mon beau-père.
— Je t’ai fait plaisir avec mes aisselles, à toi de me faire plaisir. Il retourna son caleçon à l’envers. Au niveau de l’endroit où sa queue trempe toute la journée, une couleur jaune et des traces de pisse apparaissent sous mes yeux. L’odeur est déjà là. Je suis plus excité que jamais.
— Fiston réalise mon fantasme, renifle à fond mon caleçon sale depuis une semaine que je ne l’ai pas changé.— Avec plaisir papa j’adore les odeurs de queue et le sexe un peu sale. Je pense que nous nous sommes bien trouvés.
Histoire à suivre ...
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