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Un bel anniversaire

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain, je suis dans une forme olympique, mon anniversaire est dans deux jours, et mes frères font des messes basses. Je fais semblant de ne pas m’en apercevoir. Seul Henri a un comportement nouveau, il est plus attentif à mes désirs et à mes actions. Il m’a préparé mon petit déjeuner, ce qu’il n’a jamais fait, je le regarde un peu étonnée.
–Pour ma sœur chérie qui va bientôt être majeure.–Comme ça je pourrais faire ce que je veux.–Oui, à la condition que tu en aies les moyens.–Rabat-joie.
Je déjeune rapidement, je dois rejoindre mon père, Jacques, pour mon cadeau. J’adore mon père, nous nous entendons très bien, j’ai toujours envie d’être dans ses bras, de le sentir contre moi. Il me prend toujours par les épaules, me serre contre lui. De temps en temps, il va même jusqu’à me donner une petite tape sur les fesses. Il y a un mois, quand j’étais en week-end chez lui, il m’a serré contre lui à mon arrivée, et j’ai senti une grosse bosse appuyer fortement sur mon bas ventre, juste au niveau de mon petit bouton. Il m’a maintenu un certain temps contre lui, je dois dire que j’ai beaucoup aimé, et que j’ai passé le week-end à attendre qu’il recommence, ce qu’il n’a pas fait. Je quitte la maison vers dix heures, je rejoins mon père devant une boutique. Il m’embrasse en me serrant très fort contre lui et me fait une bise dans le cou. Nous faisons d’autres magasins de fringues. J’essaye au moins une quinzaine de robes, corsages, jupe. J’ai choisi à chaque fois des choses assez sexy, robes avec dentelle, micro-jupe, corsages transparents, et comme je n’ai pas mis de soutien-gorge, l’effet a été assez chouette. Mais il ne trouve pas le cadeau qu’il voulait me faire. Nous allons faire un bon repas dans un restaurant assez classe, il me promet de me faire une surprise pour mon anniversaire, surtout que se sont mes dix-huit ans. Nous nous séparons sur un dernier câlin dans ses bras, et je sens de nouveau cette bosse contre mon ventre. Je me demande pourquoi il m’a demandé de venir pour choisir un cadeau, j’ai pourtant aimé pas mal de chose. Je rentre à la maison en début d’après-midi, il n’y a personne et je vais dans ma chambre pour me reposer. Je me déshabille et m’allonge sur mon lit, nue, il fait trop chaud pour porter quoi que ce soit où se couvrir. Je me masturbe en pensant à cette bosse dans le pantalon de mon père. Après une jouissance un peu fade, je finis par m’endormir. Je suis réveillée par une impression d’humidité. C’est Henri qui me suce le sein gauche.
–Et bien, tu pourrais demander la permission.–Et tu aurais dit non ?
Je le regarde, je suis prise au piège.
–Bien sûr que non.–Tu vois bien que j’avais raison de ne pas te réveiller.–Il est quelle heure ?–Seize heures.–Qui est là ?–Juste Michel, tout le monde rentre dans minimum deux heures.–Je sais que vous êtes très proches, tu lui as dit quelque chose, j’ai remarqué qu’il me regardait différemment ce matin.
Henri semble gêné.
–Je me fout de ce que tu lui as dit, je veux simplement le savoir.

A ce moment, Michel apparait dans l’encadrement de la porte. Je suis nue sur mon lit, les jambes ouvertes, avec Henri agenouillé à côté. Je ne me sens pas très bien.
–Ne t’en fait pas petite sœur, je suis une tombe, ce que vous faites tous les deux ne regarde que vous, je n’ai rien à foutre de la morale bourgeoise.
Il est en tee-shirt et short de sport comme Henri hier, c’est à croire que les jumeaux veulent vivre la même expérience. Je suis flattée de constater que son short le précède de quelques centimètres.
–Viens.
Il s’avance vers le lit. Je me redresse et m’assois sur le bord.
–Je suppose que tu n’es pas contre le fait de connaitre les mêmes sensations ?–Tu es toujours aussi intelligente petite sœur.
Quand il est devant moi, toujours assise, j’attrape le bas de son tee-shirt et le fait monter, il se penche en avant pour lui permettre de passer par-dessus sa tête. Il se redresse, je prends le bas des manches de son short et tire vers le bas. Son short glisse sans problème, il ne bande pas complètement, son sexe est assez souple pour se plier et le laisser descendre. Je me retrouve devant le même sexe que celui d’Henri, il faut dire que ce sont de vrais jumeaux, très difficile à reconnaitre quand tu n’es pas de la famille très proche. Je regarde Henri.
–Donc, tu lui as tout dit.–Oui, j’étais trop heureux, j’ai voulu partager mon bonheur.–Et tu serais d’accord pour partager ta sœur ?–Bien sûr.–De toute manière, je n’ai pas à te demander la permission, mais d’abord, déshabille-toi.
Henri se déshabille, je prends Michel par les hanches et l’attire vers moi. Son sexe ne bande pas complètement, je le gobe et commence une petite fellation. Contrairement à Henri, il ne proteste pas, je suppose que son frère lui a fait les éloges de ma technique de fellation. Mais cette fois-ci, je ne veux pas aller jusqu’au bout, je veux qu’il me prenne, qu’il me baise comme son frère. Quand je juge qu’il est prêt, je l’allonge sur le dos. Je n’ai pas besoin de m’exciter, je coule déjà suffisamment pour bien le recevoir dans une grotte chaude et humide. Je lui grimpe dessus et viens me positionner de manière à ce que son gland effleure ma vulve. Comme hier, je fais des mouvements avec son sexe pour qu’il glisse le long de mes lèvres. Au summum de l’excitation, je me laisse tomber sur son vit raide comme un passe lacet. Contrairement à hier, je ne ressens aucune douleur, juste une petite gêne qui s’estompe très vite. Je fais un signe à Henri qui comprend et vient se positionner à genou derrière la tête de Michel. Je n’ai qu’à me pencher un peu pour lui gober la bite. C’est une nouvelle expérience, je me fais baiser pendant que le suce une bite. Je veux recevoir le foutre de mes frères en même temps dans mes deux orifices. Je m’active sur Michel pendant que je pompe Henri du mieux que je peux. Une onde monte lentement dans mon corps, elle s’insinue partout, dans mes pieds, mes cuisses, mon ventre, mes seins, mon cœur, mon cerveau. Je ne suis que plaisir naissant. Au bout de quelques minute, je sens un puissant jet me remplir le vagin, j’agrippe les fesses d’Henri qui réagit aussitôt et se vide dans ma bouche. Deux bites qui se vident en moi en même temps, c’en est trop et j’explose dans un merveilleux orgasme. Tout mon corps est parcouru de flash, je tremble, je vibre, mon cœur est au bord de l’explosion, je jouis de tout mon être. C’est un miracle que je n’ai pas émasculé Henri tellement ma jouissance m’a emporté dans un autre monde. Je reviens à moi doucement, Henri et Michel sont aux petits soins pour moi, ils m’allongent sur le lit et leurs mains parcourent mon corps doucement en une caresse apaisante qui fait son effet, je finis par m’assoupir et me laisser aller sans bouger. Des mains écartent mes cuisses et une bouche vient se poser sur sexe. Je suis tellement dans les vaps que je ne réagis même pas. J’ai quand même le réflexe d’ouvrir les yeux pour voir Henri debout à me regarder en se caressant la bite. C’est donc Michel qui s’occupe de mon sexe, qui doit dégouliner de son propre sperme. Sa langue se glisse entre mes lèvres et essaye de me pénétrer. Je suis ensuquée, mais je réalise que la tentative n’a aucune chance d’aboutir à un résultat jouissif.
–Plus haut, juste sur le petit bouton.
La langue remonte jusqu’à trouver mon clitoris.
–Oui, là.
Elle s’active sur mon bouton, mon corps se réveille tout doucement, d’abord avec une légère ondulation du bassin qui finit par un mouvement de tout le bas du corps. Mes jambes s’ouvrent pour se refermer sur cou et bloquer une tête sur mon mont de vénus. Je suis sûre que c’est la première fois qu’il fait une minette, mais bien qu’inexpérimentée je trouve qu’il s’en sort pas mal du tout, mon corps réagit positivement et très vite à tel point que je joui sous a langue en moins de cinq minutes. Je suis parcouru de frissons, j’ai la tête à l’envers, je ne sais plus où je suis, mais j’aime ce moment où je ne suis plus maîtresse de moi, ou mon corps prend le pouvoir et est capable de me faire faire n’importe quoi, j’aime jouir sous toutes ses formes, je me découvre sous un autre angle.
–Il faudrait peut-être envisager de se calmer et de revenir à une vie normale tout le monde arrive dans moins d’une demi-heure.
Michel se redresse, je l’agrippe, le remonte sur mon corps et l’embrasse passionnément, baiser qu’il me rend avec la même fougue. Michel se lève, Henri est déjà parti dans sa chambre. Je m’assoie sur le bord du lit, l’attire vers moi et lui gobe la bite.
–Sylvie, il faut que j’aille me changer.–Tu auras tout le temps.
Je reprends ma fellation, il devait être passablement excité par la minette qu’il m’a faite, car il se vide dans ma bouche en moins de trois minutes. J’avale tout sans difficulté, je commence à savoir comment faire. Il se penche vers moi et me roule une superbe galoche. Lui au moins, il n’est pas rebuté par son sperme. Il finit par retourner dans sa chambre. Je prends une douche et vais rejoindre tout le monde dans le salon. Je suis habillée comme d’habitude, marcel et minijupe moulante, évidemment sans rien dessous. La soirée est assez agréable, je m’amuse à regarder Michel et Henri avec un air un peu coquin, ils détournent leurs regards. Seul Pierre a un regard un peu dur sur moi, j’ai l’impression qu’il se pose des questions sur moi. Tout le monde va se coucher vers vingt-deux heures.
Deux jours plus tard, c’est le jour de mon anniversaire, tout le monde me le souhaite au petit déjeuner. Je remarque toutefois que Pierre a un comportement inhabituel. Il est aux petits soins avec moi. Il me serre dans ses bras plusieurs fois pour m’embrasser sur les joues mais aussi dans le cou.
–Bon anniversaire ma petite sœur chérie.
Il me l’a répété au moins cinq fois. Je suis étonnée mais aussi très émue de cette marque de tendresse et d’amour. Et surtout j’ai eu une certaine émotion quand il me prenait dans ses bras pour me soulever et m’embrasser. Pour une fois, j’avais une petite culotte sous mon short et elle s’en souvient. A midi, repas traditionnel, foie gras maison fait par mon père, (je tuerai pour ça), homard à l’américaine maison fait par ma mère, (je massacrerai pour ça), et saint honoré, (j’aime). Ma mère connait décidément bien les goûts de ses enfants, et elle a surtout les moyens de les honorer. Vers seize heures, elle nous quitte, je vais dans ma chambre pour laisser à mes frères le champ libre pour leur surprise. Je me déshabille et m’allonge sur mon lit à plat ventre, il fait une chaleur à crever et je ne me couvre pas. Je finis par m’endormir. Je suis réveillée par une bouche qui se pose sur ma fesse gauche, c’est Henri qui est venu me réveiller.
–Tu sais que pour réveiller la princesse, il faut lui déposer un chaste baiser sur la bouche.–Oui, mais tes magnifiques fesses étaient plus tentantes que ta bouche, debout petite sœur il est l’heure de se lever, mais dis donc, essaye de ne pas t’exposer comme ça, imagine que ce soit Pierre ou Paul qui soit venu te réveiller.–J’espère qu’ils auraient fait comme toi.–Arrête tes conneries, tu joues un jeu dangereux.–Tu ne crois pas si bien dire, et tu vas voir que cet anniversaire va être d’enfer, surtout pour moi, ce qui est normal, c’est le mien.
Henri sort de ma chambre, je vais dans la salle de bain pour prendre une douche et me préparer pour la soirée. Je veux qu’elle soit inoubliable pour tout le monde, et pour ça, je suis prête à tout. Je me douche, je remarque dans un coin de la salle de bain, un peu planquée, une poire de lavement, ça me donne une idée. J’ai entendu parler de sodomie par une copine qui la pratique régulièrement et qui me dit adorer ça. Comme j’étais un peu intéressée, elle m’a expliqué ce qu’il faut faire pour que ce soit le plus agréable possible. Je m’enferme et l’utilise pour me faire un lavement anal, je ne veux pas finir la journée de mes dix-huit ans vierge d’un orifice. Je veux me faire sodomiser par un de mes frères, voire plusieurs, je n’ai aucune préférence, simplement une belle bite dans mon anus. Quelques-unes de mes copines m’ont dit avoir entendu parler de gang bang, une femme qui fait l’amour avec une multitude d’homme. C’est comme ça que je veux finir cette soirée, m’occuper de mes quatre frères ensemble, un devant, un derrière, un dans ma bouche et un dans mes mains, je veux qu’ils jouissent ensemble sur et dans moi. Je veux commencer ma vie d’adulte avec une certaine expérience. Quand tout est fini, je me parfume discrètement, sur le cou, mais surtout sur mon pubis, je veux laisser un souvenir inoubliable de mes dix-huit ans. Je regarde dans ma garde-robe ce que je peux mettre de sexy, mais classe. J’opte pour un corsage blanc en mousseline qui laisse à peine deviner ce qu’il y a en dessous, une jupe ample de la même couleur et j’enfile quand même un micro string, je sais que mes frères vont me faire danser le rock, et qu’ils aiment me faire tourner, ce qui fait que ma jupe monte jusqu’à montrer mes fesses, un string est de rigueur si je ne veux pas passer pour une salope, (ce qu’en fait je suis vraiment), on verra mes fesses, mais pas mon sexe. Je me regarde dans une grande glace, je suis assez sexy sans outrance, mes mamelons se devinent sous mon corsage, ma jupe fait bien ressortir la beauté de mes fesses et de mes jambes, c’est exactement ce que je recherchais. Il est dix-neuf heures, je vais rejoindre mes frères dans le salon. Cette année, la surprise, c’est la présence de mon père. Je me précipite dans ses bras.
–Papa chéri, tu es là.–Je ne pouvais pas rater les dix-huit ans de me fille adorée. Tu es magnifique ma chérie, et très appétissante.
Je suis un peu désarçonnée, je ne m’attendais pas à sa présence, mais cette réflexion me donne une nouvelle idée, intégrer mon père à la soirée et aux gâteries que je destinais à mes frères avec le gang bang. Il est en petite chemisette et short anglais, à mi-cuisses. C’est une avalanche de « bon anniversaire » et arrive « The cadeau », un smartphone dernière génération. Pierre et Paul ont préparés un petit repas, mais tout commence par du champagne qui coule à flot, nous buvons trois bouteilles à six, je me contente de deux verres, ce qui n’est pas le cas de tout le monde. Le repas est excellent, mousse de crevettes aux avocats, saumon à l’oseille et son riz basmati, salmis de perdreaux et gâteau d’anniversaire. Le tout arrosé de Chablis et de Pommard. Je n’ai pas arrêté de servir le vin, je voulais que tout le monde ai bien bu. Je suis en grande forme, j’ai limité le nombre de verre pour moi, ce qui fait que je suis la seule à ne pas être un peu trop alcoolisée. Mon père est à côté de moi, et je remarque qu’il jette de temps en temps un œil intéressé sur l’ouverture de mon corsage. Les plaisanteries salaces de mes frères commencent à fuser de tous les côtés. Il fait très chaud et je commence à transpirer grave. Mon corsage se colle sur mes seins, ce qui le rend transparent. Pierre qui est en face de moi, ne quitte pas des yeux mes seins, je vois qu’avec l’alcool qu’il a bu ses inhibitions s’envolent. Mes autres frères ne me quittent pas des yeux eux aussi. Le suis le centre de leur intérêt. La première partie de mon plan a bien fonctionné. Passons à l’étape suivante. C’est à ce moment que mon père se penche à mon oreille.
–Je dois dire que tu as des seins magnifiques, il est insupportable de les avoir sous les yeux sans pouvoir y toucher.–Tu voudrais y toucher ?–Chérie, comment veux-tu que je reste de marbre en voyant ce que je vois, avec ta sueur qui y colle ton corsage, on les voit comme si tu étais nue.–Et les voir encore mieux ?–Tu lis dans mes pensées.–Oui, et il me semble qu’elles sont un peu particulières.–Oui, mais je ne peux faire autrement. –Ou lala, j’ai trop chaud.
Je déboutonne deux boutons de mon corsage et m’aère les seins, se faisant, tout le monde peut les apercevoir de temps en temps. Seul mon père qui est à côté a une vue plongeante sur eux. Pierre se sert un verre, le boit et déboutonne sa chemise. Il est devant moi, le torse quasiment nu.
–Tu as raison, il fait vraiment trop chaud.
Michel et Henri l’imite. Je fini de déboutonné mon corsage, mais sans l’ouvrir, il reste collé à mes seins, je veux que ce soit un de mes frères ou mon père qui me l’enlève. Paul se lève, déboutonne sa chemise et l’enlève.
–Je regrette que l’on ne puisse pas se déshabiller entièrement, cette chaleur est insupportable. Déjà en enlevant le haut, ça va nettement mieux.
Tout le monde l’imite, même papa. Je me retourne vers lui.
–S’il te plait papa.
Il comprend, écarte les pans de mon corsage, le décolle de mes seins et me l’enlève. Il le jette au travers de la pièce et me regarde. Je me lève et vais mettre un disque. Ce n’est pas du rock, mais une musique langoureuse. Je commence à bouger d’une manière très sexy, je désigne mon père et lui fais signe de venir me rejoindre. Quand il est vers moi, je lui tourne le dos et me plaque contre lui en me trémoussant. Mes fesses frottent sa bite que je sens gonfler un peu. Il ne résiste pas longtemps, ses mains se posent sur mes hanches et nous dansons ensemble d’une manière très langoureuse. Mes tétons pointent orgueilleusement, je suis au comble de l’excitation. Les mains de mon père se promènent sur mon ventre et remontent jusqu’à la limite de mes seins. Elles ne sont pas très douces, ce ne sont pas des mains de bureaucrate, mais j’aime les sentir me parcourir. Je me laisse faire, mon string est de plus en plus humide, il n’absorbe plus rien et je sens que mes cuisses se mouillent. Je sens la bite de mon père se gonfler de plus en plus, elle pousse entre mes fesses. Je fais signe à Pierre de venir nous rejoindre. Mes trois autres frères viennent eux aussi avec lui et se mettent à bouger devant moi en faisant des gestes sensuels.
–Il fait vraiment trop chaud, je ne supporte plus mes fringues.–Tu plaisante, tu as juste une minijupe sur toi.–Et un string, mais ils me tiennent chaud.
Paul pousse un peu Pierre pour se mettre devant moi.
–Je crois que l’atmosphère va devenir irrespirable, je propose qu’on se mette à l’aise. –Et tu vois comment faire ?–Bien sûr, on enlève tout, et on s’installe dans le salon, il reste encore du champagne.–Moi, je suis d’accord, et vous tous, vous êtes d’accord pour qu’on se mette tous à poil ?
Seul Pierre semble ne pas être d’accord. Je le regarde droit dans les yeux.
–Tu pourrais faire comme tout le monde, et d’abord, c’est mon anniversaire et on fait ce que je dis. Tu vas casser l’ambiance.–Ok, ok, je ferais comme tout le monde, mais tous ensemble.
J’aligne tous mes hommes, y compris mon père, devant moi.
–Comme moi.
J’enlève ma jupe, ils enlèvent leurs pantalons ou shorts. Ils sont tous en slip, sauf papa qui n’en porte jamais et qui bande comme un âne devant nous. Je remarque que tous les slips sont tendus. Je pose mes mains sur l’élastique de mon string, ils en font autant, le fait glisser le long de mes jambes imitée par mes frères. Quand ils se redressent, c’est un alignement de bites dressées vers le ciel. Je connais déjà celles d’Henri et Michel, mais Pierre et Paul sont tout aussi bien montés, avec des bites longues et épaisses, mais un gland fin. Seule, celle de papa sort de l’ordinaire, elle est un peu moins longue que celles de ses fils, une quinzaine de centimètres, mais beaucoup plus grosse avec un énorme gland. Je ne sais plus où donner de la tête.
–Mes chéris, vous êtes merveilleusement beaux, et le plus beau des cadeaux que vous puissiez me faire, c’est de me rendre folle de plaisir. Je prends la situation en main, je veux que chacun d’entre vous m’honore et me fasse jouir. Je vous demande seulement de faire ce que je vous dis de faire, vous êtes d’accord ?–On peut ne pas l’être ?–Non…/…
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