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Bel après midi avec ma chérie et son fils

Chapitre 1

Inceste
Christine est ma maîtresse depuis deux années. Tous les deux divorcés, nous ne vivons pas ensemble pour des raisons personnelles, mais nous nous voyons tous les week end. Mon amie a un fils David qui va avoir seize ans dans quelques mois, c’est un garçon un peu tardillon physiquement mais d’autre part très intelligent il est chouchouté au possible par sa mère. Christine est très sensuelle, on s’aime d’un amour fou et sans limite. Nous recherchons toujours de la nouveauté dans nos ébats pour ne pas tomber dans la routine.
Cette histoire s’est passée l’an dernier au mois de juillet, où la sœur de Christine nous a proposé son appartement à Bayonne pour une semaine de vacances.
Nous voilà donc partis, ma chérie son fils et moi. L’appartement est petit, il y a une chambre et un salon. Nous prenons la chambre et David couchera dans le canapé convertible du salon. Nous ne pouvons donner libre cours à des ébats effrénés compte tenu de la présence de David. Le jeudi s’annonce comme une journée particulièrement chaude. Bien que tous les volets soient fermés, il règne une chaleur étouffante.
— David! s’adresse Christine à son fils: Gilles et moi on va faire une petite sieste.

— OK, moi aussi dit-il en s’allongeant sur le canapé.
Entrés dans la chambre nous enlevons les quelques vêtements que nous portons. Afin d’éviter les surprises nous gardons culotte et slip. Christine a une culotte en forme de short, en soie très échancrée sur les cotés. L’un à coté de l’autre, nous nous caressons, et échangeons quelques tendres baisers, lorsque David frappe à la porte. Rapidement nous tirons le drap pour nous couvrir un peu.
— Qu’est ce que tu veux demande Christine?
David ouvre la porte et nous dit:
— Je n’arrive pas à dormir dans le salon…. Il fait vraiment trop chaud. Vous avez de la chance, vous, la chambre est plus fraîche.
Avec un regard vers moi du style "tans pis on verra ça plus tard" Christine dit à son fils
— Bon….. Viens t’allonger ici.
Et elle me pousse un peu pour faire une place à son fils à sa gauche, je me dis que ça commence bien, on ne peut pas être cinq minutes tranquilles. Nous restons ainsi quelques minutes. Christine est sur le dos, je l’étreins et discrètement commence à lui caresser la poitrine. David est venu blottir sa tête dans l’épaule de sa mère. Légèrement surélevé, David voit ou devine mes caresses. Cette toute petite exhibition improvisée commence à m’exciter. Christine a son bras le long de mon corps, elle sent mon sexe se raidir, sans se douter de la cause. Elle tourne lentement sa main et prend ma verge. J’en profite pour prendre la même position que son fils. Elle effectue quelques pressions sur mon membre qui ne font qu’empirer mon état. Elle me tend ses lèvres et on commence par un petit baiser. Puis très vite nos lèvres s’ouvrent et le baiser devient plus ardent. Nos langues commencent leur doux ballet, ma main se fait plus pressante sur ses seins. Par nos mouvements le drap est légèrement descendu. C’est les vacances, après tout, je me fous de toute pudeur et autre tabou sachant que Christine est très ouverte sur la question. Je tente de rien cacher que ça plaise ou non à David. Finalement je constate que ce choupinet nous observe avec un certain plaisir. Naturellement, je continue mes caresses sur le sein de Christine, je sais qu’il voit mieux mes agissements. Christine ne dit rien, il est vrai que son fils est habitué à la voir nue.
Ma main abandonne le sein pour venir se poser sur le ventre. Ma bouche abandonne la sienne pour déposer quelques baisers sur le haut du sein qui est maintenant bien découvert. Ma chérie adore que je lui suce les seins, souvent elle jouit uniquement comme ça. Ma bouche suce tendrement le bout maintenant bien tendu. Je constate que David n’en perd pas une miette. Il me regarde avec un grand sourire charmeur, je pense qu’il s’attache à ce spectacle. Je poursuis ma descente, Christine a fermé les yeux. Très doucement, sans doute un peu gênée, elle prend mon menton et le fait remonter un peu plus haut. Je passe ma main à l’intérieur de sa culotte et mon doigt rencontre la chatte brûlante et humide, preuve que mon attention lui plaît. Christine se laisse faire, son souffle est plus fort. Je sens son coquillage chercher les caresses discrètement.Machinalement elle passe son bras autour des épaules de son fils en caressant ses cheveux. David toujours blotti contre sa mère, ne perd pas ma bouche des yeux. En caressant la cuisse de ma chérie, je ne peux éviter celle de son fils qui est bien en contact avec celle de sa mère, je perçois une peau très douce et chaude, très différente de ce que j’ai pu connaître jusqu’à présent. Bien que je n’ai jamais eu de relation avec un homme, un désir étrange m’envahit, ma main passe de la cuisse de mon amie à celle de son fils. Mon excitation monte plus rapidement que d’habitude par cette situation imprévisible, je pose mes lèvres sur la bouche de Christine, tandis que ma main caresse passivement la cuisse de David qui n’a pas bougé d’un poil, il me regarde d’un air interrogateur mais ne fait aucun mouvement pour éviter ma main. Je ne sais pas si ma chérie s’est rendu compte de ce qui se passe. Christine pousse un peu les jambes pour que sa cuisse vienne se coller à ma verge bandée. Tout en caressant sa cuisse et celle de David, j’en profite pour tirer un peu la cuisse de David afin qu’elle couvre celle de sa mère, il se laisse aller à mon mouvement y trouvant sans aucun doute une forte sensation. Maintenant Christine a ses deux cuisses emprisonnées dans nos jambes.
— Que faites-vous mes deux hommes? Questionna t-elle en souriant.
David et moi sommes face à face sur chaque épaule et heureux de cette position, nos jambes entourent celle de Christine. Mon désir d’aller plus loin est très fort, je mets ma main au bas du dos de David, puis descends sur ses fesses, il me regarde toujours avec un petit sourire qui en dit long. Lentement je passe mes doigts sous le maillot pour toucher la peau extrêmement douce des fesses. Christine s’est rendue compte de ce que je fais, elle me regarde d’un air très affectueux et coquin, dans ses yeux, brille une lueur de bien-être, elle perçoit les rapports profonds que je témoigne pour son chérubin, pour elle, il ne peut rien avoir de plus beau. De nouveau elle saisit ma verge, elle regarde ma main sur les fesses à l’intérieur du slip de son fils, les caresses sur mon sexe deviennent plus précises. Je la devine de plus en plus troublée, elle doit sentir la quéquette dure de son fils contre sa cuisse.
— Tu es bien David? dit-elle
Un petit gémissement et un hochement de tête confirment son état.
— Tu peux enlever ton maillot si tu veux. Ajout-elle.
Sans attendre sa réponse je tire sur le slip, David l’enlève rapidement s’arrangeant pour ne pas faire voir sa virilité, il vient tout de suite reprendre sa place contre sa mère. Christine pousse un petit gémissement de plaisir en sentant l’organe ferme de son fils contre elle. Je me surprends à caresser à pleine main le petit cul de David, je pousse ses fesses par un petit va et vient qui fait agiter son sexe sur la cuisse de sa maman. Et là, c’est la surprise de ma vie, se tournant vers moi elle me chuchote à l’oreille:
— Tu veux bien caresser David? S’il te plaît mon chéri, masturbe le.
J’étais loin d’imaginer une telle demande, mon étonnement me fait bredouiller quelques mots:
— Ca te ferait plaisir David?
Il fait oui de la tête, étant aussi abasourdi que moi, loin de penser des proportions que cela prend. On se regarde tous les trois, pendant que ma main abandonne ses fesses pour se glisser entre la mère et le fils. Il se retire un peu pour me laisser la place, je prends sa bistouquette raide et dure entre deux doigts. Je commence une douce masturbation en évitant d’aller trop vite. Bien que n’ayant jamais toucher un autre pénis que le mien, j’éprouve un réel bonheur à ce nouveau jeu qui me met dans une surexcitation inconnue.
— Tu aimes? Me demande Christine à l’oreille.
— Oh oui mon amour c’est trop bon, merci.
Puis s’adressant à son fils:
— C’est mieux que quand tu te masturbes tout seul ?
Il fait un signe positif de la tête, trop pris par le plaisir. Je freine un peu mon mouvement car je sens qu’il est sur le point de jouir.
— David, ça te gène si Gilles et moi on se met nus?
— Non. Dit-il très intimidé tout de même.
Je fais rapidement l’abandon de mon seul vêtement, je prends délicatement le bord de la culotte de Christine pour la glisser le long de ses jambes. Elle se tourne, le dos contre moi et face à son fils qui regarde le triangle bien taillé de la foufoune de sa mère. Ma verge s’encastre immédiatement entre ses fesses. Je pose une main sur sa poitrine mais elle la prend pour la poser sur le biscuit de son fils, je poursuis donc la masturbation sous le regard amusé de Christine qui a passé ses bras autour du cou de David. Elle dépose de petits baisers sur son front, ses paupières... Je me serre de plus en plus contre son dos et entre les deux sphères accueillantes de mon amour, elle a mis sa main sur la mienne pour m’accompagner dans cette masturbation féerique. Après quelques instants, je retire ma main de la verge pour que Christine la masturbe directement. Ses doigts que je sais très adroits dans ce genre de manoeuvre, ont pris possession de l’ardillon de son fils, très excité par le comportement de la mère et de son fils, mes doigts s’actionnent de l’anus à la chatte dans une série de caresses effrénées. Christine vient chercher un peu d’humidité dans sa chatte qu’elle dépose sur le gland se son fils puis elle descend vers les couilles qu’elle caresse gentiment. Maintenant elle utilise ses deux mains, l’une pratique une affectueuse masturbation l’autre tripote les bourses. Par réflexe, David pose ses lèvres sur la bouche de sa mère, non seulement elle approuve mais elle offre sans aucun doute le premier baiser à son rejeton. Je vois la bouche de ma bien-aimée recouvrir les lèvres de David, j’imagine la langue pénétrant fougueusement la bouche de son fiston. Je continue mes caresses sur Christine qui deviennent de plus en plus précises.Ils jouissent ensemble bouche contre bouche, avec des gémissements, David éjacule longtemps sur le ventre de sa maman et sur sa main. J’admire ces deux êtres qui me sont de plus en plus chers, je les laisse apprécier leur plaisir dans leur baiser infini. Puis ils se détachent en soufflant bruyamment. S’écartant de David, Christine lui demande:
— Tu as aimé mon grand?
— Oui
— Tu n’es pas fâché que ce soit moi?
— Ho non maman, c’est le plus beau jour de ma vie.
Christine se tourne vers moi et me dit pour que David entende:
— Je t’aime Gilles, je t’aime comme une folle.
Voyant que moi aussi je l’aime et pour preuve mon bâton attend qu’il se passe quelque chose. Christine ne peut me laisser dans cette situation. S’adressant à son fiston elle lui demande:
— Tu veux bien nous laisser seul un moment?
— Maman, je voudrais rester près de vous deux, je suis tellement bien ici.
— Ca, j’ai vu que tu es bien, mais on peux bien avoir un petit moment à nous deux.
— Pourquoi je ne pourrais pas vous voir faire l’amour, je vous aime tous les deux, on est bien tous les trois.
Je mets fin à cette discussion en couchant ma chérie qui ne résiste pas.Même dans mes fantasmes les plus fous je ne pouvais imaginer une Christine aussi dévergondée. Nous adoptons une position que nous aimons bien et qui, s’en le vouloir, va offrir le meilleur spectacle à David.
Je me suis carrément jeté sur elle. Mes mains et ma bouche parcourent son corps à une vitesse folle. Je suis aux anges! Son ventre est en feu, je ne contrôle plus rien, je viens entre ses cuisses, et je m’enfonce en l’embrassant fougueusement. Elle respire de plus en plus fort, elle murmure subtilement à mon oreille.
— Doucement grand fou, doucement mon chéri…… Tu te rends compte ce que nous faisons.
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