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Belle fille(s)

Chapitre 3

Inceste
Belle fille3
Aurélie, la fille de mon épouse, et moi, venons de faire l’amour dans un petit bois. Ça a été totalement sublime ! Sur le chemin du retour à la maison, je caresse le cou de ma jolie blonde quand elle minaude pour dire:« J’aimerais bien t’embrasser encore une fois avant de rentrer ! »Dès qu’il m’est possible de me garer, nos bouches se retrouvent pour un long baiser.
« Tu sais Papou, je crois que je suis amoureuse. Et toi ? »Je bredouille :« Moi … Moi aussi. Mais c’est compliqué, j’aime ta mère, et puis ta sœur peut nous surprendre, et puis … ça ne se fait pas … »« On n’a pas besoin de leur dire, ça peut rester un secret entre nous. »« D’accord, mais soyons très prudents, d’accord ? »« D’accord ! »
De retour à la maison, je ressens de la gêne, mais heureusement personne ne s’en rend compte. Les jours suivants sont ordinaires, ou presque ! En effet, quand Aurélie et moi sommes à l’écart, nous échangeons, à la dérobé, tantôt un effleurement des doigts, tantôt une bise sur les lèvres, tantôt je lui caresse la croupe, et elle, mes fesses ou mon sexe.
Pour le moment, les deux filles sont totalement absorbées sur leur téléphone portable. Et voilà que le mien bipe un message. Je consulte l’écran pour y lire un texto d’Aurélie, qui ne lève pas les yeux pour autant.
‘Mets ton téléphone en silencieux ! »Je la regarde, intrigué, elle me lance un bref regard, signifiant qu’elle attend que je le fasse. Je bascule le bouton sur silencieux et reçois immédiatement un autre message‘Envie de te sucer ! On va à la cave ? Efface mon message !’J’efface son message (comme les suivants) et lui réponds‘Non, trop dangereux !’‘Envie de ta bite!’‘Et moi de ton minou’

Elle se tortille sur le canapé et en un mouvement furtif, comme pour réajuster son short, écarte ce dernier pour m’exposer une partie de sa pilosité. Je me rince l’œil, même si ça dure moins d’une seconde. ‘Ça te plaît ? ‘‘Ouiiii ! ‘‘A la cave ? ‘‘Non, trop risqué’
Ce petit échange de SMS m’a émoustillé par sa vulgarité et je me sens contraint de me réfugier à la cuisine pour cacher mon trouble naissant. Aurélie m’y rejoint peu après, s’approche et se saisit de mon sexe pour le pétrir, en me fixant dans les yeux. Elle se retourne et plaque son dos contre mon torse.
J’ai ses fesses qui ondulent sur mon membre. Elle m’allume, non, m’incendie, non ,me calcine !Elle me tient les hanches et m’attire vers le frigo, l’ouvre et, tout en me tournant le dos, écarte ostensiblement les jambes pour se pencher et saisir un rafraîchissement. Elle attend, j’hésite, mais pas longtemps. Je glisse ma main entre ses cuisses pour palper la moiteur de sa chatte à travers le short. Elle se frotte un peu sur mes doigts, se redresse pour me tendre une canette de soda, puis et repart avec une pour elle et une autre pour sa soeur.
Quelques minutes ont suffit à exploser ma libido. J’étais près à faire une grosse bêtise, tant ses caresses ont failli me faire perdre la raison.
Quand je reprends mon téléphone, j’y lis‘Trop envie ! Quand ? ‘‘Je ne sais pas ! Après demain peut-être ? ‘‘C’est long ! Peux pas tenir !’‘Sois raisonnable ! Prudence !’
J’arrête là cette conversation virtuelle pour rejoindre mon épouse et travailler au jardin pour me changer les idées. Lors du repas, je sens régulièrement le pied d’Aurélie effleurer le mien sous la table et ce n’est pas pour calmer mon désir pour elle.
Dans la nuit, je fais un songe érotique et m’éveille en érection. Et pour cause !Je me réveille totalement en constatant que ma belle Aurélie est agenouillée près du lit, et surtout, qu’elle est en train de me sucer. Dans la pâle lueur du clair de lune, je ne distingue pas son visage, qu’elle relève vers moi, constatant que je ne dors plus.
Je tente de la repousser, en silence, afin de ne pas réveiller mon épouse qui dort à mes cotés. Aurélie ne capitule pas et me malaxe à tout va, avant de me reprendre en bouche. Elle est si habile que je la laisse faire. Je ne résiste pas, au contraire, je me tourne vers elle pour lui faciliter la tâche et lui caresse les cheveux alors qu’elle me fait la pipe la plus incongrue que j’aies pu connaître.
Dans le silence de la maison, on n’entend que le bruit de sa succion et du frottement de sa main sur mon membre. La situation est si irréelle que je me sens rapidement transporté et me contracte pour me libérer dans sa bouche. J’ai du geindre car Brigitte troublée dans son sommeil, remue dans le lit. Aurélie déglutit et me lape pour essuyer toute trace de semence.Elle me recouvre avec le drap et s’en retourne en silence.
Je n’en reviens absolument pas. Cette petite effrontée a dû faire sonner son réveil, juste pour ça ! Quand je regarde l’heure, je constate qu’il est 2h27 du matin. Il me faudra près de deux heures pour retrouver le sommeil tant je suis troublé.
Le lendemain, elle ne laisse rien paraître et c’est toute joyeuse, qu’elle nous retrouve au petit déjeuner que mon épouse et moi partageons, en compagnie de Laetitia. Cette dernière nous prévient qu’elle sort (encore) ce soir.
Aurélie n’a pas le choix de la place à table, c’est Laetitia qui est en face de moi. J’évite de trop regarder en diagonale. J’ai tant envie de délecter mon regard sur les courbes de ma jeune maîtresse.Nous profitons du reste de la journée pour aller au restaurant où j’ai pu sentir le contact ferme de la jambe d’Aurélie assise près de moi. Puis, après une longue ballade digestive, nous sommes rentrés à la maison.
Mon téléphone affiche un SMS d’Aurélie‘J’ai envie de toi !!! Demain ????’‘Faut trouver un prétexte ! »C’est vrai que je meurs d’envie de lui faire l’amour, mais comment être seuls à deux ?
J’ai du mal à trouver le sommeil, Aurélie va-t-elle revenir subrepticement, comme la nuit dernière. Apparemment non !
J’entends une voiture s’arrêter devant la maison. Je me lève pour regarder à la fenêtre. Tandis que la voiture s’éloigne dans la nuit, j’aperçois Laetitia qui se cramponne au portail, elle tente d’avancer en titubant et s’écroule au sol. Paniqué, j’enfile un short pour seul vêtement, chausse mes espadrilles et descends la retrouver dehors. Elle peine à se relever et mon aide est la bienvenue. Elle empeste l’alcool, elle qui ne boit jamais ! J’enrage contre ses fréquentations qui ont contribué à son état et à ce mec qui l’abandonne comme un paquet de linge sale à notre porte. Quel manque de prévenance !
Laetitia est plus grande qu’Aurélie, plus fine aussi, les cheveux courts teintés en rouge.Malgré sa minceur, je peine à la faire marcher jusqu’à la maison en la tenant sous l’épaule. J’ai mis ma main sur son ventre et régulièrement, elle se retrouve sur son sein, tant Laetitia trébuche en avançant.
Essoufflé, je la pose sur le canapé. Sa tête dodeline de droite à gauche. Je comprends qu’elle n’est pas en état d’écouter mes remontrances. Je m’applique à essuyer son visage à l’eau fraîche, puis ses jambes salies par sa chute récente.Je rince mon linge, puis renouvelle l’opération. Elle ouvre un œil et surtout ses jambes quand je m’en occupe. Elle baragouine une phrase incompréhensible en me faisant signe d’approcher. Elle répète un borborygme dans lequel je comprends : «… veux aller me coucher… ».
Comment faire pour la conduire jusqu’à son lit ? Le plus facile pour la porter est de la coller contre moi et de la tenir sous les fesses, comme quand elle était plus jeune. L’extirper du canapé n’est pas chose facile, mais j’y arrive sans me coincer le dos. Elle m’enlace le cou et pose sa tête sur mon épaule. Le silence ambiant est seulement rompu par le grincement des marches de l’escalier en bois. Je sens qu’elle me mordille l’épaule, puis le cou. Je mets ça sur le compte de son ivresse qui lui fait faire n’importe quoi.
J’ouvre sa chambre et dépose Laetitia sur son lit. Sa main coure sur mon torse trempé de sueur et s’arrête sur mon cœur qui bat à toute vitesse suite à l’effort. Elle baisse sa main et prend la mienne pour la poser sur son sein gauche et la maintient en position. Son cœur bat vite également, mais probablement pas pour la même raison … Instinctivement plus que volontairement, mes doigts emprisonnent son galbe durant quelques secondes.
Très maladroitement, elle entreprend alors de se déshabiller, sans y parvenir. C’est à moi que revient la tâche. J’allume la lampe de chevet pour mieux voir, puis lui ôte ses ballerines que je pose au sol. Pour lui enlever sa courte jupe, c’est plus difficile. Je suis obligé de la soulever d’une main et de faire glisser l’habit de l’autre. Elle porte une jolie culotte noire, mais toute humide, tachée d’auréoles blanches et j’en attribue l’odeur qui s’en émane à celle d’un sperme récent. A-t-elle été abusée dans son coma éthylique ? Je ne le pense pas, la voiture que j’ai vue s’éloigner semblait être celle de son copain. Même si je n’ai pas encore fait sa connaissance.
Je lui enlève son haut et hésite à dégrafer son soutien-gorge. Pourtant, c’est ce qu’elle attend en posant sa tête sur mon épaule. Je libère sa poitrine que je découvre très appétissante. Je me reprends, me lève et fouille dans sa commode pour y trouver une robe de nuit.
Elle est toujours amorphe et quand je cherche à lui soulever la tête, elle me souffle en ânonnant :« Enlève … Culotte » Elle se cambre et j’ai moins de mal à lui enlever son dernier rempart. Je constate que le morceau d’étoffe est bien englué de liqueur masculine. J’en ai un pincement au cœur. Mon regard se voulait pudique, mais reste accroché à son corps nu, à son sexe totalement glabre, à la fermeté de sa poitrine.
Affectueusement ma main glisse le long de sa jambe, puis sur sa taille. De l’autre main, j’essuie les auréoles humides qui bordent sa vulve du bout du doigt. Je rêvasse en regardant son corps finement musclé.  Je me reprends soudainement et tâche de lui enfiler la robe de nuit. J’y suis presque quand je sens sa main glisser sur ma cuisse et s’insinuer sous mon short déformé. Elle à beau être saoule, elle a dû s’apercevoir de mon émoi !Elle bafouille :« Encore envie ! »
Elle me prend peut-être pour son copain En tout cas, j’apprécie le contact de sa main fine qui s’enroule sur mon sexe pour le pétrir. Ma main glisse vers son sein que je palpe avec douceur.Après Aurélie, c’est Laetitia que je charme. Que se passe-t-il dans cette maison ? Cupidon m’envoie-t-il ses flèches, ou bien est-ce le démon de midi qui s’empare de moi ? Elle rompt le charme brusquement, en ayant un haut-le-cœur annonciateur d’une nausée future. Vite, je vais chercher un bassin dans la salle de bain et le pose à proximité. Elle se met à rendre. Malgré l’odeur nauséabonde, je suis heureux qu’elle libère son ventre de cet alcool malvenu. Je la maintiens par les épaules durant cette opération peu ragoûtante.
C’est à ce moment que la porte s’ouvre sur Aurélie, encore ensommeillée.D’un doigt sur la bouche, je lui intime de rester silencieuse, puis d’aller chercher un verre d’eau pour sa sœur. Après que Laetitia  se soit rafraîchie, je lui dépose une bise sur la joue et lui souffle à l’oreille:« Dors bien ma grande, je dirai à maman que tu as eu une indigestion ! A demain  l…»
Je redescends rincer le bassin. Aurélie me suit et me dit :« On va à la cave maintenant ? »Comment résister à cette invitation après tant d’émotions. « Oui ma chérie, allons y vite ! »
L’endroit n’est pas romantique, mais offre l’avantage d’être isolé. Quand Aurélie me demande ce qui s’est passé avec sa sœur, je ne souhaite pas m’empêtrer dans des mensonges. Je lui dis absolument tout !Elle se renfrogne de jalousie. Surtout quand je lui dis que je l’ai même pelotée.
Quand je la prends dans mes bras, nous oublions tout pour nous unir passionnément.Nous avons fait l’amour debout, dans la plus grande discrétion possible, même si nous avons jouit intensément tous les deux.
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