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Belle fille(s)

Chapitre 5

Inceste
Belle fille 5
Le lendemain, alors que Brigitte fait sa toilette, Aurélie me dit : « Vous avez fait du bruit, maman et toi hier soir, elle a crié fort ! »Je la serre contre moi et lui avoue :« C’est à toi que je pensais quand… »« Oh, mon chéri ! Tu penses à moi quand tu fais l’amour à une autre ! »Je ne sais si elle me taquine ou si elle est réellement jalouse de mon épouse.
Quand elle m’embrasse avec fougue, j’oublie toute inquiétude.« À ce propos, ta sœur m’a demandé quelque chose de particulier … »Je lui expose qu’elle désire que je la sodomise et souhaite son accord.
« Elle veut que tu l’encules, c’est ça ? »« Ne sois pas grossière, dis plutôt que je la sodomise! »« Si tu dois enculer quelqu’un, ça sera moi d’abord ! »Elle continue à proférer des vulgarités, sans doute pour me provoquer.
« Mais … Ma chérie, je ne souhaite pas te faire mal ! »« Qu’est-ce que tu en sais ? J’ai envie d’essayer et ça sera moi la première, elle attendra ! »Aurélie a du caractère, je le sais depuis longtemps ! J’aime quand elle me mène par le bout (du nez). Je lui réponds :« J’en suis flatté chère madame ! »
Je me penche pour l’embrasser au moment où Brigitte revient. Elle a failli nous surprendre !Aurélie me tend sa joue, que je bise. Mon épouse semble ravie de mon geste démonstratif d’affection pour sa fille et m’en félicite. Si elle savait !

C’est en fin de matinée que Laetitia nous revient. Elle est d’humeur maussade et personne n’insiste pour en savoir plus.
Vers midi, le téléphone sonne, je décroche sur ma belle-sœur, Françoise. C’est une femme que je n’apprécie pas beaucoup, à part sa grosse poitrine. Elle est caractérielle, souvent déprimée ou bien, au contraire, délurée au point d’être parfois vexante. Le courant ne passe pas entre nous. Les filles non plus ne l’aiment pas, ça me conforte dans mon jugement.
Je m’empresse de donner le combiné à mon épouse et les laisse converser. Je profite de ce moment pour aller, en cachette, caresser furtivement les épaules d’Aurélie.Laetitia nous rejoint et j’interromps mon toucher. Même si elle sait tout, je préfère l’intimité avec sa sœur. Nous allons tous trois sur la terrasse, alors que Brigitte s’est assise sur le canapé et discute avec sa sœur, durant un long moment.
Voyant la mine, toujours déconfite, de Laetitia, je m’en enquière de la raison. A voix basse, elle nous raconte :« Hier, il y avait encore le meilleur pote de Florian, mon petit ami. Ils ont voulu que je boive, mais j’ai refusé. Après, j’ai bien voulu faire l’amour avec eux, mais son pote voulait absolument prendre mon derrière. Comme j’ai refusé, Florian lui a tendu ses fesses et l’autre l’a empalé d’un coup. J’ai compris qu’ils ont l’habitude de faire ça ! J’ai compris aussi que mon mec est un pédé ! »Je lui réponds :« Pourtant, toi et lui …. »« Ben oui, je croyais ! En tout cas, lui et son pote ont remis ça dans le lit. Moi j’ai dormi sur le canapé pendant que mon mec se faisait niquer ! »
D’un geste tendre, je l’enlace paternellement pour la réconforter. Elle en profite pour se coller à moi et à chercher à me bécoter le cou. Avec délicatesse, je repousse ses avances et la tiens à distance raisonnable. Aurélie vient vite la remplacer et montre son territoire, en se lovant contre mon corps. Je la laisse faire quelques instants, en lui recommandant toutefois la prudence compte tenu que sa mère est proche.
Nous échangeons quelques mots à trois, des banalités, quand mon épouse nous rejoint. Elle cache le micro de sa main et nous annonce qu’elle doit aller passer quelques jours chez sa sœur et nous demande si nous l’accompagnerons. Tous trois, lui faisons signe que NON !En s’éloignant de nous, elle annonce à Françoise qu’elle viendra seule. Je sens la main d’Aurélie se crisper sur ma cuisse, elle saute presque de joie sur sa chaise. Elle va m’avoir à sa portée. Enfin !
Brigitte nous explique que sa sœur s’est faite plaquer par son mari. Qu’elle n’a pas le moral et qu’elle a besoin de parler, mais pas au téléphone. Françoise habite à plus de cent cinquante kilomètres et, après que je l’ai aidée à charger la voiture, ma femme nous quitte après le repas. Elle recommande à ses filles d’être gentilles avec moi. Toutes deux le promettent, en souriant.
A peine la porte refermée, Aurélie m’accapare pour un long baiser. Je me laisse emporter par la passion en serrant fort ma petite chérie.La sœur s’approche et veut sa part. Avec complaisance, Aurélie m’accorde le droit de câliner Laetitia. Encore une fois, la coquine s’y prend bien lors de notre baiser. Elle contracte sa langue d’une manière telle, que les sensations sont différentes d’avec sa sœur.
Aurélie interrompt vite notre étreinte pour m’enlacer. Je la serre contre moi avec effusion. J’aime sentir son corps contre le mien. C’est plus que charnel ! J’ai envie de fusionner avec elle. Oui, c’est ça ! Ne faire qu’un avec elle, unir nos corps et nos âmes.
A ce moment Laetitia extrait de sa poche arrière son portable qui vibre et prend l’appel Visiblement, c’est son copain. Si elle a le ton haut au début, petit à petit, elle se radoucit en s’éloignant de nous. Aurélie, sans vergogne, me pétrit le sexe et me demande sur un ton provocateur :« C’est ma sœur qui t’a mis dans cet état ? »Je réplique, amusé : « Toutes les deux ! ».Un bref éclair de jalousie passe dans ses yeux. C’est bref comme signal, mais significatif, elle me veut à elle. Et moi, je la veux aussi ! Je suis prêt à tout accepter pour elle !
Laetitia nous revient et explique que les choses s’arrangent avec Florian, qu’elle va aller le retrouver. Elle s’approche de moi, dépose une bise furtive sur mes lèvres. Elle fouille dans son sac à main et en extrait un flacon qu’elle me tend.
« Tiens mon papou, j’ai acheté ça ce matin. Fait ça vite avec ma sœur que je puisse en profiter après. Tu te rappelles ? Je veux que tu sois le premier à passer par là ! »Je comprends qu’elle me tend un flacon de lubrifiant. Sans protester, je lui demande quand même (avec beaucoup d’arrières pensées) :« Tu dors ici ce soir ? »« Je ne crois pas ! Je t’envoies un texto pour te le confirmer »
Quand elle nous quitte, Aurélie et moi savourons ce moment. Nous sommes seuls et libres ! Mon épouse et Laetitia parties, la maison est à nous !
Aurélie me demande :« On monte ? » Sous-entendu dans la chambre. Je lui réponds : «Prenons le temps, ma chérie ! On peut jouer un petit peu … »Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, qu’elle s’éloigne d’un bond, pour me lancer : « Attrapes-moi si tu peux ! »
Elle s’enfuie et je la suis à petits pas, sans vraiment vouloir la rattraper, ce qui me serait facile. Elle fait mine d’être bloquée dans un coin et je l’attrape sans difficultés. Elle me dit, toute penaude :« Oh monsieur, vous m’avez eue, que voulez-vous de moi ? »« Enlevez votre haut, mademoiselle, puis, ça sera à vous de m’attraper ! »Ce jeu de gamins m’émoustille vraiment ! Je bande dur quand nos derniers habits sont au sol.
« Mademoiselle, maintenant que vous êtes nue, puis-je m’abreuver à votre fontaine ? »« Mais faites donc, mon bon monsieur ! »Tandis qu’elle prend appui, je m’agenouille devant sa toison dorée. Quand elle pose sa jambe sur mon épaule, je plonge ma langue dans sa vulve. Elle aussi a aimé notre petit jeu. Son vagin trempé n’est pas seulement dû aux succions que je fais sur son (long) clitoris.Je lape et suçote tant que je peux, mais elle me dit d’une voix tremblante :« Prends moi, mon amour ! »
Je m’allonge sur le carrelage froid, afin qu’elle me chevauche. J’aime bien cette position, outre que c’est plus confortable pour elle, c’est que je peux lui caresser le corps et m’occuper de sa poitrine.Notre étreinte dure longtemps pour notre plus grand plaisir à tous les deux.Elle jouit fort, puis se dégage pour me prendre en bouche. Elle me suce divinement et je ferme les yeux pour ce moment sensationnel, quand le téléphone sonne.
Je me relève et Aurélie me suit. Je décroche, c’est Brigitte :‘Je suis coincée dans un embouteillage, mais je suis presque arrivée chez Françoise. C’était pour vous prévenir ! Et vous tout va bien ? ‘Je la rassure en omettant de préciser que sa fille est en train de me faire une fellation totalement sublime. Après une bise symbolique, nous interrompons la conversation.
Je ne sais toujours pas où Aurélie a pu apprendre une telle technique, toujours est-il que son doigt fureteur sur mon anus, couplé à ses profondes succions, me font propulser de nombreux jets dans sa bouche, étanche à tout débordement.Elle déglutit et me sourit radieusement. Comme elle est belle !
Je vais pour chercher nos habits éparpillés dans la maison, quand elle me dit : « Tu n’as pas envie que l’on reste nus ? »J’hésite une seconde avant de lui répondre :« Pourquoi pas, nous sommes seuls après tout ! »
Même si je sais que l’on ne peut pas nous voir de l’extérieur, je suis un peu gêné quand nous sortons dans le jardin. Nous sirotons notre boisson, allongés sur des chaises longues au soleil de cette fin d’après midi. Je dis à Aurélie :
« Tu sais ma chérie, je n’ai rien prémédité l’autre soir quand je t’ai embrassée. Ça c’est passé comme ça ! Nous avons fait l’amour plusieurs fois et je ne le regrette pas ! Même si je tiens à ta mère, j’aimerais maintenant te faire la cour, te séduire et t’aimer passionnément ! »
Aurélie me regarde avec étonnement puis me sourit, prenant conscience que même si ça ne se fait plus à notre époque, un jeu de séduction serait à expérimenter.
J’ajoute :«Mademoiselle, voulez-vous m’accompagner au restaurant ce soir ? »« D’accord Monsieur, mais je n’ai rien à me mettre ! »« Allons voir dans l’armoire ! »Je la laisse fouiller dans les affaires de sa mère pour qu’elle puisse trouver la tenue idoine.
Je redescends pour réserver une bonne table, pendant le long temps où mademoiselle se prépare. Laetitia m’envoie un texto :‘Je dors chez Florian cette nuit. Amuses toi bien et pense à utiliser ce que je t’ai donné. J’attends mon tour avec impatience ! Je t’embrasse très fort !’‘Merci de m’avoir prévenu. Bisous !’
Quand Aurélie apparaît enfin, j’ai un choc ! Ce n’est pas une jeune fille, c’est une très belle femme. Elle porte une robe fuseau qui lui arrive sous le genou et qui lui moule tout le corps, elle ne porte pas de dessous, c’est sûr ! Je devine même sa pilosité et une petite déformation du tissu à l’endroit de son clitoris. Elle est perchée sur des talons qui affinent ses mollets.Je suis fasciné par sa coiffure en chignon, avec des mèches frisées sur les tempes.
Dans cette robe que mon épouse ne met plus depuis longtemps, je découvre une femme parfaite à mes yeux. Son maquillage est très léger et accentue la pureté de son visage. Je lui tends mon téléphone pour qu’elle lise le message de sa sœur et file me changer pour accompagner ma belle.
« Etes-vous prête à m’accompagner mademoiselle ? »« Volontiers, monsieur ! »
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