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Belle fille(s)

Chapitre 8

Inceste
Belle fille 8
Aurélie dort encore à poings fermés. Je m’accoude sur le lit pour admirer son corps parfait. C’est la pratique de la danse qui a dû modeler ses muscles aussi harmonieusement. Sa taille fine met en valeur ses jambes, son fessier, ses hanches, son mont de vénus. Tout est magnifiquement sculpté ! Et sa peau est tellement douce ! Quelle fille merveilleuse j’ai sous les yeux, j’ai même l’impression de discerner l’aura qui la nimbe. C’est, assurément, un ange que je contemple !Il est vrai que je ne suis pas objectif dans mon admiration. Mon amour pour elle est tel, que je me demande comment cela est possible de ne pas l’aduler. Pourquoi ai-je mis si longtemps pour la découvrir ?
Je dépose une bise légère au creux de ses reins, sans désirer la réveiller, puis la quitte discrètement pour aller faire ma toilette puis ensuite lui amener le café au lit. Dès qu’elle ouvre les yeux, je suis ensorcelé par son regard pétillant. Elle me trouble tant !
« Aurélie, ma chérie, je dois t’avouer que je suis de plus en plus amoureux de toi ! »« Moi aussi ! Au début, je n’y croyais pas, mais maintenant c’est différent, je ne pourrais pas me passer de toi ! Je te veux mon chéri, viens ! »Je m’allonge près d’elle, l’enlace et notre baiser passionné scelle notre union.
Plus tard, je tente de joindre mon épouse, sans succès. Je tombe sur sa boîte vocale et y laisse un message. Je lui envoie, en complément, un SMS pour savoir si tout va bien avec sa sœur (qui, rappelons le, a été abandonnée par son mari).
Avec Aurélie, nous passons une matinée très complice. Je l’aide à faire une pâtisserie. En fait, ça ressemble plutôt à une scène du film ‘Ghost’. Je l’enlace par derrière pour pétrir la pâte avec elle. Nos mains se joignent et extrude le pâton entre nos doigts. Je lui bise le cou, lui mordille l’oreille et la nuque, mais les ondulations de son fessier sur mon membre avivent grandement mes sens.
Elle me souffle avec impatience :« Prends moi mon amour, maintenant ! »J’ai les mains engluées et hésite, mais elle les guide vers sa culotte. Sans plus de retenues, je glisse mes doigts dans sa toison pour lui ouvrir les lèvres puis y pénètre mon membre en douceur. Elle continue à malaxer le pâton, tandis que moi, je pétris sa poitrine, tout en coulissant en elle. « Oh mon chéri, c’est si bon ! Ne t’arrête surtout pas ! »Je n’y songe pas !
Quand elle jouit, je ne peux me retenir d’éclater en elle. Nous restons collé un long moment et quand je me retire, elle fait alors une chose incroyable. Elle récolte dans le creux de sa main mon sperme mélangé à sa cyprine, puis l’incorpore à sa pâte. « Ça va parfumer la tarte ! Dis, mon chéri, je sens que ça coule encore un peu, tu veux bien me nettoyer ? »« Bien sûr mon amour ! »Je m’agenouille et, sans vergogne, mange son sexe ruisselant de nos liqueurs ainsi que les petits morceaux de pâte collés à ses poils. Elle me dit que son clitoris est trop sensible pour que je puisse y attarder ma langue, ce que je regrette un peu.
Un peu plus tard, je consulte mon téléphone. Pas de réponse de mon épouse, mais un message de Laetitia, qui compte passer en fin d’après midi. Je lui réponds que c’est noté, agrémenté d’un petit bisou virtuel.
Avec Aurélie, nous passons une grande partie de l’après midi au parc de la ville en regardant les cygnes ou les gens qui passent, cela tout en nous bécotant sur le banc. Je me sens romantique au possible et passionnément amoureux de ma jolie fiancée de fille.
J’ose lui dire :« Ma chérie, je ne peux imaginer le futur sans toi, je t’aime tant ! »« Oh ! Et moi, si tu savais comme je t’aime. Jamais je n’ai éprouvé ça avant toi. »« Moi non plus ! » Avoue-je« Mais, avec maman ? »« Avec ta mère, ce n’est pas comme avec toi. Je te le répète, je t’aime plus que je n’aie jamais aimé ! »« Tu veux dire sentimentalement ou … sexuellement ? »« Les deux ma chérie, mais surtout sentimentalement ! J’ai l’impression de t’avoir attendue toute ma vie, que tu es mon âme sœur, ma complice, ma tendre, ma dulcinée, ma princesse, je manque de mots pour exprimer tout ce que je ressens pour toi ! »
« A propos de ‘sexuellement ‘, j’aimerais bien que l’on rentre à la maison ! Pas toi ? »« Ah bon ? Pourquoi faire ? »C‘est en riant que l’on se lève d’un bond, pour vite aller retrouver notre lit.
Notre union charnelle est passionnée et si elle jouit, il n’en est pas de même pour moi. J’arrive à tenir longtemps c’est vrai, mais là, j’ai surtout l’impression d’être vidé, de ne plus avoir de semence en moi. J’ai un peu mal à la verge de toutes ces bandaisons récentes. Aurélie me suce un peu, mais je préfère qu’elle vienne me faire un câlin au creux de l’épaule.Comme je suis bien avec elle !
L’heure tourne et nous décidons de redescendre pour aller sur la terrasse. Nous sommes allongés sur les chaises longues quand Laetitia arrive. Alors que je commence à me redresser pour la saluer, elle m’enjambe et s’assied à califourchon sur mon bas ventre.Elle me repousse gentiment au fond du siège en appuyant sur mes épaules, me fixe du regard, puis se penche pour m’embrasser. Nous n’avons pas échangé un mot, mais nos langues tournent longtemps l’une contre l’autre.Sa main glisse pour saisir mon sexe qui commence à durcir sous les mouvements de son pubis. Elle est littéralement déchaînée !
Aurélie la rappelle doucement à l’ordre et la furie se calme peu à peu, avant de me désarçonner pour s’asseoir sur le rebord de ma chaise longue.
Elle dit :« J’ai trop envie Papou ! Je vais repartir dans quelques heures, tu voudras bien me faire l’amour avant, hein ? »D’un hochement de tête, Aurélie donne son accord. Mais moi, j’ai envie de souffler un peu avant ! Ce que j’explique à Laetitia qui comprend aisément, tout en me souriant en coin. Ma chérie dit :« Je vous propose de commander des pizzas et, il y a aussi la tarte que j’ai faite ce matin ! »Il me tarde de goûter à cette tarte, qui doit avoir un goût particulier, tellement parfumée de nos liqueurs.
Je passe commande et nous sommes livrés quelques vingt-cinq minutes plus tard.Nous avalons nos parts de pizza et quand vient le moment de la tarte, Laetitia et moi n’avons plus guère faim. Ma chérie dit alors, en souriant :« Bon on attend un petit peu, mais après, tout le monde fera honneur à ma pâtisserie, ça va nous donner des forces ! »Effectivement, un peu plus tard nous nous régalons, avant qu’Aurélie n’indique à sa sœur le petit supplément qu’elle a ajouté à sa pâte. Laetitia confirme que c’était très bon, et que, tout à l’heure, elle compte bien en amener un morceau à son copain pour lui donner de la vitalité, précise-t-elle !
Nous débarrassons les assiettes à la cuisine et alors que Laetitia est penchée en avant pour commencer la vaisselle, j’arrive derrière elle et suis pris d’une forte envie de glisser mes doigts entre ses jambes. Quand je retrousse sa jupe, elle s’immobilise et prend appui sur l’évier. Elle attend mes initiatives en respirant plus fort !Sa jupe, comme sa culotte, me gênent pour ce que je souhaite faire. Aussi, je m’empresse de lui ôter ses vêtements et, c’est totalement nue qu’elle reprend sa position, jambes légèrement écartées. Je glisse mes doigts sur sa chatte et sur sa raie, tout en frôlant un téton durci de l’autre main.
Aurélie, qui nous observe, dit :« Bon, je vais monter, vous pouvez vous amuser un peu, avant de me rejoindre. »
À peine a-t-elle disparue, que Laetitia tourne sa tête vers moi, pour me dire :« Fais de moi ta chose ! Aime moi ! Baise moi ! Encule moi si tu veux !»
Je la fais se retourner pour que nous soyons face à face. Je m’approche tant d’elle, que je l’écrase en la serrant contre l’évier. Nous nous fixons dans les yeux, puis, j’approche mes lèvres des siennes.Durant un baiser intense, elle entreprend d’ôter mes vêtements. Nous sommes désormais nus tous les deux. Elle me tient par les testicules d’une main et de l’autre m’enserre la hampe. « Oh papou ! Tu es bien gros ! C’est ça que tu vas bientôt mettre en moi ?» dit elle en une innocence feinte.
« Oui ma grande ! Mais avant, je veux te bouffer le cul ! »Je n’en reviens pas de proférer ces mots et de faire preuve de cette perversité nouvelle. C’est vrai que j’en ai envie, mais lui dire ça, comme ça, ce n’est pas mon genre. Décidément je change beaucoup de caractère depuis peu.
« D’accord, Papou, mais je vais me laver avant … »« Non, tourne-toi et penche toi en avant, je vais m’en occuper ! »Elle s’exécute avec un petit regard surpris à mon égard.
Je m’agenouille à bonne hauteur, puis arrive à lui lécher, et la vulve, et l’anus. C’est vrai que le petit goût musqué de son derrière est surprenant mais pas désagréable du tout. Je peine à lui pénétrer le petit trou de ma langue dardée, mais elle apprécie beaucoup.
Après quelques minutes, Laetitia se tortille, trépigne et souffle :« C’est trop bon ! Je n’en peux plus ! Prends moi ou montons rejoindre Aurélie ! »« Pas avant un baiser ! »Elle ne rechigne pas le moins du monde à goûter ma salive épicée. Sa façon d’embrasser est vraiment unique et j’avoue aimer ça tout particulièrement. Il faudra que j’en parle à ma chérie. Quand nous grimpons l’escalier, c’est avec lenteur. Tout d’abord, je l’enlace par derrière pour lui mordiller le cou tout en lui pelotant la poitrine, puis c’est elle qui escalade les marches à quatre pattes pour m’offrir son fessier à gloutonner.
Arrivés en haut, Aurélie nous attend dans la chambre. « Et bien vous m’avez l’air bien chaud tous les deux !»
Elle désigne le lit à sa sœur qui s’y couche sur le dos, jambes ouvertes. Tous ces préparatifs m’ont donnés une trique d’enfer et en peu de temps, je m’allonge sur ma partenaire pour la pénétrer. Je n’éprouve plus de honte à lui embrasser la bouche ou les seins, ni même lui faire l’amour devant ma chérie, ma complice dans ces moments là.
Aurélie m’appuie sur les fesses pour imprimer un rythme, puis après quelques minutes, je sens son doigt enduit de lubrifiant me pénétrer l’anus. Je lui jette un regard, mais elle n’y prête pas attention pour se concentrer à me sodomiser de son majeur tendu.
Laetitia a les yeux fermés et soupire de plaisir à chaque mouvement que je fais en elle. Elle ondule son bassin pour bien profiter de mes pénétrations. Je m’allonge totalement sur elle pour lui mordiller de l’épaule à l’oreille. Cette position me permet surtout de mieux sentir les deux doigts que m’enfonce, désormais, Aurélie.
Ma chérie sait si bien s’y prendre que je m’interromps souvent pour la laisser me doigter à fond. Elle tourne ses doigts pour m’élargir l’anus, les enfonce et recommence.Tout à coup, elle ressort et me pousse les fesses pour que je reprenne un bon rythme avec sa sœur.
Laetitia me glisse à l’oreille, en de multiples soupirs :« Baise moi fort mon amour … Déchire moi la chatte avec ta grosse queue … Oh oui, comme ça ! C’est bon mon salaud ! »Elle est proche de l’orgasme et ses mots grossiers m’excitent au point de faire monter ma sève. Tout à coup, je sens dans ma raie un objet froid. « Mais … Aurélie, qu’est-ce que tu fais ? »Elle me présente un godemiché réaliste que je n’ai pas le temps de détailler, ni de refuser. Elle est déjà repartie à la charge de mon oeillet, avant de dire :« Laisse toi aller mon amour, tu vas aimer, j’en suis sûre ! »
Je sens qu’elle ouvre mon anus et ne proteste pas, jusqu’à sentir une douleur. Je tente de me contracter pour repousser l’objet, mais ce dernier a franchi, d’un coup, le passage de mon petit trou.
Laetitia continue à onduler du bassin et je reprends avec difficulté mon rythme en elle. Ce qui est en train de me pénétrer sous l’action de ma chérie est vraiment imposant à accueillir.Maintenant, Aurélie fait aller et venir le faux sexe qui va de plus en plus profond en moi.
J’accepte tout d’elle ! Même qu’elle me sodomise avec ce machin. Et puis, au final, ce n’est pas si désagréable que ça ! Je m’y habitue et souhaite même chaque pénétration profonde. Et je suis servi quand ma maîtresse se rend compte de mon attente à être défoncé par son membre factice.
Je veux embrasser Laetitia, mais elle ne le peut plus. Elle se dégage la bouche pour crier sa jouissance à tout va ! Les actions conjuguées de ses contractions vaginales et de ma chérie qui me prend le derrière, ont raison de ma retenue et, dans un râle profond, je me déverse dans le vagin de ma fille aînée.
Aurélie s’allonge près de nous, sans pour autant cesser son mouvement en moi. Ça me brûle un peu, mais je la laisse continuer à m’envahir. J’aime ça ! Pour preuve, je bande encore comme un taureau dans l’antre de Laetitia qui s’en étonne, et dit :« Oh Papou, jamais je n’aurais cru ça possible de ta part. C’est ça qu’il me faut pour Florian ! Montre moi Aurélie …»
Mon envahisseur est extirpé et je me sens tout vide, tout ouvert.Aurélie tend le gode à sa sœur, qui le détaille par-dessus mon épaule, puis me demande :« Mon chéri, tu veux bien nettoyer Leati maintenant ? »
J’embrasse Laetitia dans le cou, m’arrête sur un téton, sors d’elle, puis glisse mes lèvres sur sa vulve. Je lèche les quelques gouttes qui coulent de son vagin. Aurélie me fait mettre sur le dos et sa sœur me chevauche la bouche. Cette fois, je reçois un gros flot de mon propre sperme. De la langue, je m’applique à la nettoyer au plus profond ce qui la fait roucouler. Sa toilette intime réalisée, elle s’allonge sur moi et pose sa tête dans mon cou. Je l’enlace tendrement sous les yeux de ma bien aimée.
Laetitia dit :« Je crois que je n’ai pas envie de partir chez mon copain ce soir. Je peux rester avec vous ? »« Non soeurette ! Tu as eu ta part ! Aller, laisse-nous maintenant ! »« D’accord, je vous laisse, mais vivement demain ! Ah oui ! Il ne faut pas que j’oublie de prendre de ta tarte avant de partir …»
Je câline ma chérie retrouvée, quand elle me demande :« Visiblement, tu as bien aimé que je te fasse l’amour comme ça ? »« C’était agréable, je l’avoue, mais, où as-tu acheté ce gode ? »«Ce n’est pas à moi, je l’ai trouvé l’autre jour dans les affaires de maman, quand je choisissais une robe. C’était dans une boîte en haut de l’armoire. Normalement, ça peut vibrer, mais là, les piles sont complètement usées. Mais, au fait ?? Tu ne savais pas qu’elle avait ça ? »« Ben non ! Je suis surpris ! »
En effet, j’ignorais jusqu’alors que mon épouse se faisait plaisir en cachette ! Et ce truc que je manipule a de plus petites dimensions que mon sexe érigé. Ne lui suffirais-je pas qu’elle ait besoin d’une bite en plastique???
Aurélie, comprend mon étonnement et m’enlace tendrement, comment résister à l’invitation de son baiser ?
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