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Ma belle fille - Le centre commercial

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Il nous fallut peu de temps pour rejoindre le centre commercial. Elle savait ce que j’attendais d’elle.Nous fîmes un premier magasin, son rôle consistait à essayer des chaussures en prenant soin de s’exhiber avec de la retenue, le but n’étant pas de la transformer en putain.Le succès ne fut pas à la hauteur de ce que j’en attendais, aussi nous ressortions et je modifiais le scénario.D’abord il fallait qu’elle soit seule dans le commerce et les collants n’étaient pas la solution idyllique. Petit tour par Auchan, rayon des bas.Je lui demandais de faire l’achat de quatre paires autofixant. Détour par la voiture sur le parking aérien pour troquer les collants par une paire noire très fin, à présent sa toison serait encore plus visible.Nous sommes retournés dans le centre et je la laissais entrer dans un second magasin, surveillant à distance la scène qui allait s’y dérouler.Jenny s’assit sur un pouf, le vendeur lui apporta plusieurs paires de chaussures et l’essayage put commencer.Elle s’arrangea pour obliger ce dernier à lui porter assistance, ce qu’il fit avec beaucoup de professionnalisme.Dès qu’il fut à ses pieds elle commença son show!Le visage du vendeur disparut aussitôt sous la jupe de Jenny qui avait bien du mal à entrer son pied dans la chaussure, l’obligeant à ouvrir le compas de ses cuisses et permettant aux yeux indiscrets de glisser au plus loin sous la jupe de la belle. J’imagine qu’il aurait voulu glisser ses mains sur le soyeux des bas et venir au contact de cette toison, malheureusement il n’en fit rien, ne sachant si c’était volontaire ou pas. Les essais prirent une bonne demi-heure durant laquelle il passa par toutes les couleurs.Jenny finit par s’excuser de ne trouver chaussure à son pied et lui glissa à l’oreille : je pense que vous n’avez pas perdu totalement votre temps?Le second scénario consistait à essayer des robes et des jupes en prenant soin de ne pas fermer le rideau en totalité.C’est un homme accompagnant son épouse qui fut le témoin de l’effeuillage de Jenny.Je faisais le vieux beau qui suit sa maitresse et qui s’ennuie.Positionné légèrement sur le coté il mit quelques secondes à oser détourner le regard sur la cabine qui n’était pas celle de sa femme et comme l’écart d’âge était important il ne s’en priva pas.Jenny se mit entièrement nue et se tourna de nombreuses fois ce qui lui permis de la voir sous tous les angles, les bras relevés rehaussant ses seins, les jambes en Y, il pouvait y voir ses lèvres intimes. Elle le regarda droit dans les yeux et s’approcha près du rideau, il porta un rapide coup d’oil à la fois vers moi et sur la cabine de sa femme .Voyant que personne ne s’intéressait à lui il porta sa main vers le sexe de Jenny qui se cambra pour lui permettre de toucher son minou.Il glissa sa main à l’intérieur des cuisses, la remonta très rapidement et son majeur put frôler cette chatte, se permettant d’enfoncer un doigt dans son antre juteux. Il ne put malheureusement pour lui, faire durer le plaisir de s’approprier cette jeunette sa femme sortant de la cabine soucieuse du fait que son mari ne répondait pas à sa demande et donner son avis sur une robe qu’elle passait.Jenny eut tout juste le temps de fermer son rideau afin d’éviter le scandale.Elle m’appela,j’ai jeté un coup d’oil circulaire autour de moi, elle s’approcha et me demanda doucement de la toucher, ce que je fis.Elle ne fut pas longue à pousser un gémissement étouffé, serrant ses cuisses l’une sur l’autre, mon doigt écrasé, enfuis dans son nid d’amour, elle jouissait.Il nous restait les sous-vêtements à acheter.Nous fimes trois boutiques spécialisées, une des trois nous donna l’occasion de recommencer le sketch des robes.La victime fut un homme de quarante ans. Il porta plus d’attention à ce qu’essayait Jenny que sa femme.Par contre, je pus également faire le voyeur, sa femme bien que différente physiquement avait une paire de fesses que j’aurai aimé caresser et des seins que j’aurai volontier tété. Avait elle vu que son mari semblait occupé ailleurs, toujours est il qu’elle s’ouvrit un peu plus à mon regard et je pus voir son minou entièrement rasé.Je me suis posé la question de savoir si tout cela n’était pas une invitation.J’en fis part à Jenny qui m’adressa un regard sombre.Nous avons regagné la voiture les bras chargés.Elle s’assit et passa une jupe courte plissée que nous avions acheté en remplacement de celle qu’elle portait à notre arrivée.Il était plus de douze heures et nous avons pris le chemin d’un restaurant dans la zone de La Pilaterie.Beaucoup d’hommes se retournèrent sur Jenny, ses talons haut, ses jambes gainées,sa jupe plissée qui virevoltait en marchant laissant entrevoir la démarcation des bas et sa poitrine qui balançait au même rythme sous le frêle tissu qui la cachait si peu ne les laissant pas indifférents.Durant tout le repas nous avons parlé de notre matinée et de notre relation.Elle me dit : depuis que tu es avec maman je fantasme sur toi.Nous avons parlé d’Alain avec qui elle avait rendez vous ce soir.La encore elle me dit : si tu le souhaites je me décommande. N’en fais rien que je lui ai répondu.Nous nous sommes séparés vers quinze heures.Elle a passé la nuit avec lui et ils se sont quittés.Depuis, je suis devenu son amant unique, nous nous voyons presque tous les jours. De temps en temps nous trainons dans les magasins avec des aventures diverses.J’envisage avec son accord de vivre de nouvelles choses, j’aimerai qu’elle fasse l’amour devant moi avec d’autres partenaires.
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