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Ma belle fille est une perverse

Chapitre 1

Inceste
Ma femme et moi sommes un couple plutôt libéré et filons le parfait amour depuis 5 ans.
Camillia est une petite brunette plantureuse de 38 ans aux yeux bleus et aux cheveux mi-longs. Elle se pare d’une magnifique poitrine de 95 D qui fait tourner bien des têtes surtout lorsqu’elle porte des chemisiers largement échancrés.
Après la validation de ses 2 premières années de droit à Marseille, Sophie, ma belle fille, avait décidé de changer de fac et de s’installer dans notre grande maison méridionale à Aix en Provence, pour y poursuivre ses études.
Sophie est une sculpturale jeune fille aux cheveux longs châtains-blonds, fine et élancée.Son 1,75 m lui confère de longues jambes fuselées et elle se pare de la même paire de seins magnifiques que sa mère.
A 20 ans, elle sait ce qu’elle veux (et ne veut pas) et sait déjà qu’elle plait beaucoup aux hommes.D’ailleurs, elle en fait régulièrement la démonstration si j’en juge au nombre de garçons qui défilent à la maison.
Comment il est vrai, résister à la douceur de son regard et à la moue enjôleuse de ses lèvres surtout lorsqu’elle découvre ses magnifiques dents blanches ? J’imagine parfois le soyeux de ses jambes, une caresse sur ses seins qui pointent parfois à travers l’étoffe de son t-shirt.
Souvent je me surprenais à la regarder déambuler dans la maison, parfois ne portant qu’une mini brassière et un micro short qui laissait voir la naissance de ses (superbes fesses).
Je la contemplais également en train de prendre le soleil, allongée sur le ventre, en simple string, le soutien-gorge défait, la croupe rebondie.
Il n’y a cependant jamais eu le moindre sous entendu entre nous, ni geste ou allusion déplacée de ma part de la sienne.Bien que désirable, Sophie a toujours été très pudique avec moi.
J’aime ma femme, Sophie est sa fille : affaire classée !
Au fil des mois, j’ai cependant été intrigué par le train de vie de ma belle fille. Visiblement elle ne se privait de rien, s’offrant les derniers gadgets à la mode (mac book, ipad, iphone….) et portant des tenues haut de gamme.
Un soir d’ailleurs, alors qu’elle se préparait à sortir, j’ai pu la contempler juchée sur 10 cm de talons, un robe moulante qui mettait en valeur ses jambes et un ample décolleté qui ne laissait aucun doute sur le fait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.D’ailleurs, sa robe était tellement moulante que je ne suis même pas certain qu’elle portait une culotte.
Sa mère a tiqué tout comme moi. Mais face à nos observations conjointes, elle a tourné les talons sans un mot rejoindre son copain du moment qui l’attendait en voiture devant la maison.C’est qu’elle a du caractère la petite ! enfin…pas si petite que cela.
Sophie partie, j’en profitais pour interroger sa mère sur l’argent excessif qu’elle pouvait lui donner. Ma femme m’a confirmé qu’elle lui donnait 100 € tous les 15 jours. "Ce doit être son père qui la gâte trop" m’a t’elle lancé.Je suis sur le moment resté songeur.
La vérité allait m’éclater au visage quelques jours plus tard, à l’occasion de l’absence de ma femme en déplacement professionnel pour une semaine.
Un soir, je suis rentré à la maison plus tôt que prévu de mon travail.
J’entre dans le salon, j’appelle Sophie: pas de réponse !.
Je ne m’en étonne pas, étant habitué à ce qu’elle entre et sorte à sa guise et file sous la douche : mon rituel lorsque je rentre du travail.
Mes ablutions terminées, je noue une serviette autour des reins et le vacarme de l’eau s’étant tu, j’entends une voix qui semble émaner de la direction du studio de ma belle fille.C’est une voix d’homme...
"Encore un petit copain de passage" me dis-je résigné.
J’allais retourner au salon me servir un verre lorsque mon attention fut attirée par la même voix d’homme que j’avais précédemment entendu…j’ai cru capter des brides de mots…chienne….aime ça…. …
Quoi ? Qu’est ce que c’est que cette histoire ?
Mon sang bouillonnait : c’est sa vie privée, sa sphère intime que je m’interdit de pénétrer mais…la curiosité était la plus forte !
Mon sang bouillonnait : c’est sa vie privée, sa sphère intime que je m’interdit de pénétrer mais…la curiosité était la plus forte !
Je me suis approché à pas de loup de la porte fermée de son studio et je pu entendre distinctement leurs échanges.
"Allez, ouvre bien la bouche ""Voila ma petite c’est bien, continue comme ça, aspire moi le gland""Hmmm, c’est bon Sophie ! tu es douée du sais ?"’Continue à bien me pomper !"
Je mentirais si je disais que je n’étais pas excité !
Quelque chose m’étonnait cependant : le timbre de voix de l’homme que je trouvais…heu…plutôt mature ! De mon âge quoi !
N’y tenant plus, je colle mon oeil sur le trou de la serrure et le spectacle que je découvre me stupéfie !!
Sophie est nue à l’exception de ses talons aiguilles et est assise sur le lit. Elle fait face à un homme d’une cinquantaine d’année, bedonnant, debout devant elle et lui prodigue une fellation.
Tous deux sont de profil par rapport à moi et je n’en perds pas une goutte.
L’homme est bien membré et je vois sa bite large et longue (bien plus que la mienne !) entrer et sortir de la bouche de ma belle fille. Sophie s’applique et ses joues se creusent régulièrement. Elle semble y prendre gout car elle le pompe goulument, jusqu’à la tige.Comment fait elle pour engloutir un machin pareil ??De temps en temps, elle sort ce sexe immense de la bouche, plante ses yeux dans celui de l’homme et passe sa langue sur son gland.
Puis je vois l’homme lui prendre la tête avec les mains et lui baiser consciencieusement la bouche.Le plus fou c’est que Sophie se laisse faire et semble apprécier si j’en juge par l’accélération du mouvement de sa main entre ses propres cuisses…
Ce spectacle ne me laisse pas indemne : une grosse bosse se forme sous ma serviette.Je ne peux plus détacher mes yeux de ce spectacle.
"Mets toi à 4 pattes, je vais te baiser comme une chienne" lui dit il soudain.
Camille s’exécute docilement et se place à genoux devant lui puis se retourne pour lui présenter ses fesses.
Quelles fesses bandantes me dis-je à ce moment là.
Soudain, alors qu’elle tortillait son petit cul devant lui j’entends pour la 1ère fois la voix de Sophie s’adressant à l’homme
"J’aimerais que tu me sodomises…j’ai envie de sentir ton gros sexe en moi... " et joignant le geste à la parole, elle s’introduit un doigt dans l’orifice.
Je n’osais plus respirer.
L’homme ne se fait pas prier. Il crache de la salive entre ses fesses et présente son sexe devant son cul. Il lui écarte les fesses et y pénètre sans effort.
Visiblement ce n’est pas sa 1ère sodomie car ce sexe qui m’a paru si gros est entré sans aucune difficulté ! Son mâle l’empoigne vigoureusement par les hanches et accentue ses vas et viens. Sophie semble adorer ça !Je l’entends en effet hurler son plaisir et je la vois se cambrer pour le recevoir plus profondément.
Après quelques aller-retour cependant l’homme semble parvenu au bout de sa jouissance.
En confirmation, j’entends en effet l’homme lui dire :
"Couche toi sur le lit, je vais te jouir dans la bouche".
Toujours docile, Sophie s’exécute et se place sur le dos allongée sur le lit, impudique, les cuisses largement ouvertes.
Puis elle glisse sur le bord du lit pour laisser tomber sa tête en arrière, la bouche grande ouverte.
"Vas-y, remplis moi la bouche de ton jus" lui dit elle.
L’homme place son gros sexe au dessus de sa tête, juste au niveau de ses lèvres et se branle vigoureusement. Soudain je le vois pendre le menton de la petite dans la paume de sa main pour bien lui ouvrir la bouche. Son gland se gonfle et soudain il déverse des jets de sperme puissants dans la bouche de Sophie, sur sa langue, ses lèvres…
"Avale maintenant, avale tout !" lui ordonne t’ il !
"Non, je ne veux pas…"
L’homme insiste "Avale tout ou je raconte à tout le monde ce que tu fais !"
Camille s’exécute et déglutit.
"J’ai honte..." lui dit elle
Mais non insiste t’il : "tu adores te faire baiser par des mecs comme moi !Je reviendrais avec un ami plus agé que moi. Je lui a beaucoup parlé de toi tu sais et de tes talents. IL a hâte de te rencontrer et moi j’ai hate de te voir à l’oeuvre"
C’est à ce moment là que j’ai constaté, honteux, que j’avais joui….
A SUIVRE
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