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Ma belle fille Marie

Chapitre 3

Inceste
Ma belle fille Marie 3Ces petites écartées sous mes yeux sa petite chatte sublimement enfermée dans son string me faisait bander comme un homme devant une femme mais là je suis le beau père, -Non il ne faut pas nous nous égarons Marie lui dit-jeJe finis de remplacer la roue et nous reprîmes la route Marie tentât bien de me dévoiler l’intérieur de ses cuisses durant la fin du trajet mais je fis semblant de rien mais ne manquait aucun de ses croisement de jambes pour autant.Arrivé à destination je me rends à la toilette afin de libérer le trop plein d’excitation, le plaisir étant à la porte il ne me fallut que trente seconde pour éjaculer. Je remis en ordre mes vêtement et sorti, Marie se tenais juste derrière la porte et me disAh je vois que tu as eu le même besoin que moi, et entrât dans les WC en refermant la porte mais je n’entendis pas le bruit du loquet elle l’avait donc sciemment laissé ouverte.Directement je sentis une bouffée de chaleur m’envahir, cette petite me mettait en ébullitionUn gémissement se fit entendre, elle se masturbait me sachant derrière la porte puisque je me lavais les mains dans le petit couloir.J’imaginais ses petits doigts parcourant le long de sa fente elle assise les cuisses écartées le string au milieu des cuissesSoudain un prénom sort de sa bouche, Pierre, le mien suivit d’une longue plainte elle jouissait,Ma belle fille venait de se donner du plaisir en prononçant mon prénom sachant pertinemment que je l’entendais, il était temps que nous aillons une sérieuse discutions tous les deux mais pour le moment ils nous devions regagner le repas Marie me suivit après une minute sans que nous nous croisions.Elle chercha mon regard mais je ne fis rien nous primes place à table maman apportant les plats ma femme était assise entre ma sœur et mon père tandis que j’occupais l’autre bout de table avec maman et Marie comme voisineDirectement assis je glissais un pied derrière le pied de marie et rapprochais sa jambe vers moiElle se penchât à mon oreille et me disTu me rassures, j’ai eu peur que tu n’aies pas appréciée et reprise sa place les jambes orientées vers le bout de table ou je me trouvais ses jambes droites contre la mienne sans que nous bougions d’un pouce elle comme moi.Alors que l’après midi se déroulais et que le départ était proche je lançais à maman un dernier café s’il te plait et on y va, je glissais ma main sous la table et pris le genou de Marie dans la main en parcourant le haut de sa cuisse sans pouvoir atteindre le haut de celle-ci vu nos positions mais c’était le premier que je faisais directement sur sa peau.Très vite je quittais sa cuisse soyeuse de peur d’être découvert mais par ce geste Marie compris que les choses allait évoluer entre nous deux et elle me fit l’un de ses plus beaux sourire.La route du retour se passa calmement car ma femme et Marie dormirent quasi tout le chemin et je dus les réveiller à l’arrivée.Ma femme proche » de sa maman chez qui elle fait tous les jours un petit passage demandât à marie si elle voulait passer chez sa grand mère deux minutes avec elle mais marie refusa prétextant avoir encore un peu à travailler ses cours pour demain monta dans sa chambre moi je lui dis que j’allais fumer une cigarette dans le jardin et profiter un peu du calme et que je l’accompagnerais une autre fois.Je sentais que la première explication était proche à marie et moiEffectivement elle arriva également dans le jardin avec un classeur et s’assis prés de moi et me disJe ne sais même pas quel cours j’ai pris -il faut que l’on parle marie-Oui si tu veux -A quoi tu joues exactement-Quoi a quoi je joue tu ne joue pas toi peut être et tu sais tu as les mains douces j’ai beaucoup la caresse sur mon genou mais je n’arrive pas à te parler mais je vais t’envoyer un mail ce soir ça sera plus facile je pense mais je veux être a toi sans blesser maman mais en essayant d’avoir des petits moments pour nous deux si tu le veux bien.Désireux de voir si je ne me trompais pas sur les intentions de marie qui depuis le début semble aimer marquer une petite dose de soumission je lui demandai si son string s’était mouillé durant la journéeElle me répondit que oui à plusieurs reprise et qu’il n’était pas tout a fait secJe lui demandai de me le donnerElle se leva devant moi fit remonter sa jupe pour attraper les petits élastiques latéraux et fit doucement glisser le long de ses jambes le bout de tissus et me le tendît Sa mère revint je pris l’étoffe et la glissait dans ma poche marie ouvrit son classeur et fit semblant à merveilleLa soirée se passât sans rien de spécial le weekend tirait à sa fin et demain nous reprenons le travailMais je devrais recevoir le mail de marie..
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