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Ma belle inconnue

Chapitre 1

Erotique
La clarté de la lune et l’éclat des lampadaires illuminent notre chemin vers notre lieu de plaisir. Nos ombres nous suivent, nous dépassent et disparaissent pour revenir derrière nous, nous deux enlacés, nous murmurant des mots dans le creux de l’oreille. Et c’est ainsi que nous arrivons devant chez elle. Une grande porte en fer forgé bleu nuit aux arabesques complexes se dressent devant nous. Elle nous ouvre le chemin vers le plaisir. Passé cette imposante porte, nous arrivons dans une petite cour, bordée de pilier de granit. Elle me guide jusqu’au premier étage, la où elle habite. J’ai tout le loisir d’admirer ses courbes régaliennes, ô combien voluptueuse. Elle se retourne, me sourit, de ce même sourire que sur le quai. Elle en rajoute, se déhanchant et cambrant ses hanches dans ma direction. Je ne peux m’empêcher de caresser ces fesses qui me sont offertes. Ma main glisse sous la jupe, atteint directement son sexe qui palpite à mon contact. Je me fais plus pressant, insérant deux doigts dans son vagin mouillé.

Nous sommes là, tous les deux, au milieu d’un escalier sombre. Je m’accroupis devant elle, je sens son ventre respirer plus fort. Je fais lentement glisser sa fine culotte le long de ses cuisses magnifiques. Elle frissonne, me murmure : « non, il ne faut pas, quelqu’un pourrait nous surprendre ! ». Mais ses cuisses s’ouvrent d’elles-mêmes. Je pose alors ma bouche dans le creux son genou pour venir embrasser tendrement sa peau douce comme une pêche. Je remonte lentement. Derrière sa cuisse, au bas de ses fesses, dans la rondeur de son cul pour atteindre son petit œillet sombre. « T’arrêtes pas s’il te plaît » me soupire-t-elle. Ma langue se promène sur ses fesses pour venir caresser le pourtour de son joli petit anus. Elle frémit, palpite, soupire plus fort. Ma langue se durcit, tel un petit sexe conquérant. Et s’introduit lentement. Je caresse son cul de ma langue, la fait tournoyer à l’intérieur. « Oh !! ouii ! C’est bon ». Ma main ne reste pas inactive et vient caresser son pubis, pour descendre lentement sur son petit bouton que je viens pincer doucement alors que ma langue ressort doucement de ses fesses. Elle se cambre, se tend comme un arc, me sourit : « tu n’as pas le droit de me prendre comme ça par surprise ».Ses yeux pétillent, elle mouille, elle est en transe. Elle est bien. Je me lève, je me place derrière son dos, et j’approche ma bouche de son oreille, pour venir la mordiller. Elle pose sa tête sur mon épaule et s’offre ainsi à moi. « Tu as raison, je vais te prendre tout court ma belle »
Je baisse mon pantalon et je sors mon sexe tendu par le désir. Je le prends en main et je caresse sa vulve. De gauche à droite, je peux sentir ses lèvres humides contre mon sexe chaud. Puis de l’avant vers l’arrière, je viens caresser son clitoris gonflé puis vers l’arrière, frôle son anus, le caresse doucement. Elle se cambre, en signe d’acceptation. « Oui, j’en ai envie. Viens ! » J’ai envie de jouer. De jouer avec elle et ses désirs. J’ai envie qu’elle me supplie. Mes yeux sourient, ma bouche se pose sur sa nuque et la mordille. Elle frissonne encore. Mmm que c’est bon de jouer ainsi avec cette magnifique jeune femme tombé de nulle part. Et je prends son vagin, d’une longue poussée impérieuse, conquérant un terrain inconnu. Je la sens soupirer autour de moi, venir masser mon sexe avec ses muqueuses. Et je me retire. Me rhabille. « Non, que fais tu ? Reviens. Reviens s’il te plait. J’en ai trop envie maintenant !!! »— Non ma belle, tu as raison, souriais-je. Quelqu’un pourrait nous voir ! Viens, montre moi ton chez toi, ton univers.— Salaud ! me dit-elle, mais ses yeux sourient.
Elle réajuste sa tenue en deux temps trois mouvements, et me guide jusqu’à sa demeure. Son appartement est décoré avec goût. Une grande peinture de Kavinsky se dresse dans son salon aux couleurs chaudes au côté d’un piano Steinway blanc, tout à son image. Magnifique, classe, raffiné, élégant. Parfait.Elle me propose un verre que j’accepte. Nous dégustons ainsi un verre de Vendanges Tardives en se dévorant des yeux. Et elle se jette sur moi, me poussant contre le piano. Je l’embrasse à mon tour avec fougue, comme deux jeunes amoureux qui ne se sont pas vu depuis longtemps. Elle arrache ma chemise, « heureusement que c’est une chemise avec des boutons à pression, pensais-je, sinon elle était bonne pour le chiffon !) Me prend par la taille, descend le long de mon torse en y déposant de doux baisers volages. Je sens mon désir gonfler dans mon pantalon devenu bien étroit ; elle retire mon pantalon et fait lentement glisser le dernier rempart à son désir. Elle lève les yeux vers moi et je peux y lire désir, excitation et félicité.Elle ouvre la bouche et l’approche lentement de ma verge dressée. Sa langue sort et vient chatouiller mon gland, le déguste. Un frisson parcoure tout mon corps en partant de mon sexe. Oh que c’est bon ! Et elle continue à jouer avec. Sa langue agile se promène sur mon sexe, de la base à la pointe, tourne autour, et l’embouche. Je sens la chaleur de sa gorge, la moiteur de sa langue et son souffle contre mon pubis. Elle me regarde à nouveau, mon sexe bien en elle. Et je sens sa langue venir caresser mon frein.
« Qu’elle est belle ! Ses yeux magnifiques qui me fixe, sa langue qui m’excite… »
Et elle commence à faire de longs va-et-vient sur mon sexe humide qui entre et sort encore et encore de sa gorge. Je n’en peux, il faut qu’elle arrête, nous avons encore tellement de choses à faire. Je la stoppe, l’embrasse. Je peux sentir le gout de mon sexe sur sa langue. Mes lèvres glissent sur son cou, l’embrasse, le lèche, le mordille. Elle frissonne. Sa main caresse mon sexe doucement, dans un mouvement lent et ample. Puis brusquement, je la retourne, la baisse sur son piano. Ses seins s’écrasent sur la caisse de résonnance. Je relève sa jupe, écarte sa culotte et la prend, encore une fois d’une longue poussée. Je la vois se tendre, surprise par cette soudaine intrusion dans son corps. Puis très vite, elle bouge ses hanches, venant enfoncer ma verge plus profond en elle. Elle se trémousse, soupire, gémit. Mes mains se posent sur le creux de ses reins, caressent ses hanches et les empoignent, fermement. Je me mets à aller et venir en elle, en puissante poussées de toute la longueur de mon sexe. Mon sexe entre et sort de son vagin trempé, ma main droite remonte sur son sein qu’elle empoigne, sans douceur. Je lui pétris son sein pendant que je malmène sa chatte. Je l’attire contre moi, ma main gauche quitte sa hanche pour enserrer son cou délicat. Cela l’excite, je sens son sexe mouiller encore plus. Et je continue de la prendre. Violemment, ma main droite glisse ensuite sur son ventre plat à a peau si douce. Descend sur son Mont de Vénus, jouer avec sa fine toison et venir soudainement pincer son clitoris. Je sens ses muqueuses trempées étreindre ma verge. Et elle jouit, d’un long râle venu du plus profond de son utérus.

Je veux qu’elle jouisse encore plus fort. Et je reprends mon pilonnage, l’écrasant contre le piano froid. Elle crie, elle se cambre encore plus, m’offre sa chatte à ma bestialité. Et elle jouit encore. Tout son corps se tend, sa chatte enserre ma queue, l’étrangle. Elle coule, et tout se détend. « Merci, c’était tellement bon. Tu m’a fais l’amour divinement. »— C’est parce que tu es divine, ma sensuelle amante.— Mmm j’ai encore envie de toi, de ton sexe. J’ai envie que tu me prennes. Et que tu m’encules. Que tu enfonces ta bite dans mon cul, sentir mes fesses s’ouvrir à ton passage »— Oh ma belle ! qu’est ce que tu m’excite. Viens, montre moi ta chambre !
Elle prit ma queue en main, glissa ces longs doigts sur toute sa longueur. Et me tira, me guida jusqu’à sa chambre. Une image de Confucius, un Code Civil, un grand dressing avec un miroir, un string en dentelle rouge sang qui traîne, une paire de mocassins et … une paire de menottes. Cela me donne immédiatement des idées… je la prends dans mes bras, nus tous les deux, nos deux corps brûlant se pressant l’un contre l’autre, nos sexes se frotte l’un à l’autre, je sens la pointe de ses seins frotter mon torse. Elle m’enroule de ses bras et presse son corps magnifique contre le mien et ne bouge plus. Je prends mesure de l’attachement qui nous unie à ce moment là. J’attrape les menottes, je la renverse sur le lit, lui attrape les poignets, lui les lient au dessus de la tête, elle se cambre, dressant fièrement sa poitrine vers ma bouche. Je lui happe un sein, je fais tourner ma langue autour de son téton qui durcit vite. Je joue avec, le mordille, l’aspire tandis que la main libre attrape son autre sein. Je lui presse son sein en aspirant plus fort le second. Elle gémit, elle soupire ! Je la vois écarter ses jambes, m’offrant ainsi son intimité à mon regard gourmand. Et je lui lie ses mains avec les menottes, que j’attache au lit. Ca y est, elle est à moi. Je prends tout mon temps pour détailler son corps de rêve, de déesse de l’érotisme. Je sors de la chambre.
« Quoi ? Mais que fait-il ? Il va vraiment me laisser comme ça, nue sur le lit, offerte et brûlante de désir ? » Pensais-je inquiète mais toute excitée.Le temps me paraît suspendu, je me tortille sur le lit, je suis chaude, prête à être prise. De la façon qu’il voudra, je suis toute à lui. J’ai envie qu’il me prenne, qu’il me prenne et qu’il jouisse, que je sente son sperme dans chacun de mes orifices. Oh j’en peux plus ! que fait-il ? Oh ! Je l’entends revenir. Je sens ses pas, il monte sur le lit, son souffle s’approche de moi. Ses lèvres se posent sur les miennes. Je lui rends son baiser avec passion, nos langues se caressent, s’entrelace, nos lèvres se cherchent. Oh mon dieu ! Deux doigts envahissent mon intimité, d’une seule poussée qui dilate mon vagin. Je le sens écarter mon vagin de ses doigts, il entre, il sort. Mon plaisir monte, je me sens couler. Son autre main me soulève la tête. Il a envie de ma bouche. Viens, bel inconnu. Non ce n’est plus vraiment un inconnu. Il m’a caressé dans un train, mis un doigt dans mon cul, j’ai jouis sous ses doigts, je l’ai sucé, j’ai aimé sentir son sperme au fond de ma gorge. Et j’ai encore envie de l’avoir en bouche. Que ma langue caresse sa queue, avoir son goût sur ma langue. Il sort un bandeau, me le mets sur les yeux. Je suis aveugle, je ne vois plus rien mais mon vagin s’humidifie encore plus. Ma bouche s’entrouvre sous l’étonnement et il en profite, le salaud. Sa queue s’enfonce dans ma bouche. Je sens sa raideur, comme il est dur ! Je sens s’enfoncer un peu plus. Et soudain, un courant électrique me parcourt. Il a pris mon bouton entre deux doigts et le fait rouler. Oh que c’est bon, je brûle de l’intérieur. J’en peux plus. Je le veux.
J’entends de la musique, comme un murmure. Et soudain bien plus fort. Je comprends qu’il m’a mit son casque. La musique un peu lounge m’envahit. J’ai appris plus tard que le nom de l’album correspondait bien : Sexuality de Sébastien Tellier. Je ne vois plus, je n’entends plus. Je suis privée de tous mes sens. Je ne peux que sentir. Avec mon nez ou mon corps, ma peau devenu sensible après tant d’attente, tant d’excitation. Je ne peux qu’imaginer la scène ; moi, nue, attachée sur mon lit, les yeux bandés, un casque sur les oreilles, un homme nu sur moi pendant que je lui prodigue une fellation, « non, que je lui offre ma bouche à sa queue délicieuse », son autre main entre mes cuisses écartées jouant avec mon sexe qui ne demande qu’a être pénétré. Il se lève, sa queue quitte le doux fourreau de ma bouche, un filet de bave accompagne son gland turgescent.
Il glisse le long de mon corps, le caressant au passage, je sens ses doigts se promener de ma bouche qu’il pénètre légèrement, ressort, descend sur mon cou, mes épaules, mes seins qu’il masse fermement. Mmm que c’est bon ! Puis descend sur mon ventre, tourne autour du nombril, glissent sur mon pubis, et tourne autour de mon bouton. Inconsciemment, j’ai écarté mes jambes au maximum, je me cambre vers l’avant, faisant ressortir mes seins qui pointent. Je veux sentir ses doigts me prendre encore, qu’il enfonce ses doigts dans mon sexe, dans mon cul, qu’il joue avec, qu’il presse ses doigts contre la fine membrane qui sépare mes deux orifices intimes. Je veux qu’il joue avec mon corps. Je brule d’un feu ardent qui embrase tout mon être. Il relève mes jambes contre ma poitrine. Je me sens si vulnérable ainsi. Je l’imagine détaillant mes trous. Je suis exposée à son regard, je mouille encore, une vague de désir monte en moi, impuissante, immobilisée, dans l’attente de ses doigts, sa langue ou de son sexe en moi. Où il veut, partout, pourvu qu’il me prenne. Vite !Ca y est ! Je sens sa colonne de chair glisser sur mes lèvres, il entame un lent mouvement de va et vient contre mon sexe. A chaque aller, son gland vient toucher mon clito érigé et le plaisir monte doucement, par vagues. Oh mon dieu. Je sens son sexe se poser contre mon petit anus. Il pousse un peu et son gland rentre. Il dilate mes sphincters avec facilité tellement je suis trempée. Oh que c’est bon, je sens sa queue me pénétrer lentement, forçant le passage de mes intestins. Non ! Il se retire. J’en peux plus. Je le veux, qu’il m’encule enfin. Qu’il me prenne ! Oh ! Il s’est enfoncé brutalement au fond de mon vagin, d’une seule poussée rapide et violente. Oh mon dieu, je jouis sous la surprise. Que c’est bon ! « Vas y prends moi, prends moi fort ! Je suis toute à toi ! »
Je subis ainsi ses coups de butoir avec délice. Il est violent, doux, passionné, brutal. J’aime ça, me sentir objet de désir, offerte à sa queue qui me baise, qui pilonne ma chatte en profondeur. Oh oui ! Prends-moi, défonce-moi, plus fort ! Ça vient, je vais jouir ! Oh mon dieu, je sens sa bite frotter contre l’intérieur de mon vagin, de plus en plus loin venant buter contre mon utérus, déclenchant à chaque fois une montée de plaisir de plus en plus intense. Il me prend, ses deux mains qui bloquent mes chevilles en l’air, les écarte pour mieux voir sa queue s’enfoncer profondément en moi, luisante de ma mouille. J’ai l’air d’une salope, qui aime le sexe. Mais c’est tellement bon !

« Oh putain, c’est bon. Je sens sa chatte qui se contracte autour de mon pénis. C’est chaud, humide, tellement excitant. Tout en la besognant sauvagement, je ne peux m’empêcher d’admirer son corps parfait, elle est si belle. Le clapotis obscène de sa mouille quand je viens cogner contre ses lèvres m’excite terriblement.Je me penche sur elle, ses jambes glissent le long de mon torse pour venir enserrer mes fesses, me serrant contre elle. Mon sexe pénètre plus profondément encore en elle. Et elle jouit. Son vagin explose, se contracte, étrangle ma bite. Tout son corps se tend, sa tête se révulse, elle crie son bonheur, sa libération bien méritée.
Je la laisse reprendre doucement son souffle, j’en profite pour effleurer du bout des doigts ce corps aux courbes lascives nacrées de sueurs. Sa peau est moite, colle. Son odeur de femme en chaleur m’enivre, m’excite. J’hume son parfum naturel. Il m’envoûte. Je l’embrasse doucement, joue avec ses lèvres, les mordille. Je lui retire son bandeau. Elle a les yeux brillant, épanouie.« Mmm que c’était bon. J’ai jouis tellement fort. Merci bel homme. Mais tu n’as pas encore jouis toi. Viens, je te veux encore. Je veux que tu me prennes par derrière. J’ai envie que tu jouisses dans mon cul »A ces mots, mon érection reprend de plus belle. Je guide mon sexe et le pose contre sa rondelle suintante de mouille. Et je m’enfonce doucement, par à-coups. Entrant et sortant progressivement. De quelques centimètres, puis je ressors et je pousse à nouveau conquérant à chaque fois quelques centimètres de plus. Elle souffle fort. Je suis la progression de mon sexe dans son regard qui s’ouvre sous la pénétration de ma verge.

« Oh mon dieu ! » je sens sa queue pénétrer lentement mon cul. Il dilate mes sphincters avec sa colonne de chair qui m’a donné tant de plaisir ! Elle m’envahit, je ne sens plus que sa verge dans mon anus serré. Il progresse lentement, je le sens s’enfoncer en moi, au plus intime de moi, jusqu’à buter au fond, tout au fond, aussi loin qu’il le peut, ses couilles viennent buter contre mes fesses, me procurant une pointe de douleur vite étouffée par des ondes de plaisirs chaudes dans tout mon corps, transpirant de désir. Il va et vient doucement dans mon cul. Que c’est bon ! Je sens sa peau si douce sur sa verge si dure venir frotter l’intérieur de mon anus. Le plaisir monte en moi. Je me vois ainsi, sur le dos, les jambes largement écarté en train de se faire sodomiser. C’est si… pervers. Et si bon. Si excitant.
Il me détache. Enfin ! Je l’enlace de mes bras et mes jambes, enfonçant jusqu’à la garde son pénis dans mes intestins qui ne demandent plus qu’à être ramoner. Sa bite palpite au fond de mon cul. Je peux sentir son pouls sur sa queue dans mon orifice le plus intime. Il se retire, laissant une sensation de vide. Je veux qu’il me remplisse encore. Encore et encore.
Il me retourne. Docile, je me mets à quatre pattes, sa main caresse mon dos, appuie sur mes épaules. J’enfonce ma tête dans l’oreiller, cambre mon cul, lui offre mon postérieur à tous ses désirs. Il revient en moi, il me sodomise. Fermement, profondément. De toute la longueur de son sexe. Il me prend, de plus en plus fort, de plus en plus violemment. Je ne suis plus qu’une chienne en chaleur qui ne demande qu’à être défoncée. Ses mains accrochent mes hanches et me tire à lui, enfonçant son sexe dans mon trou. Je sens sa bite dilater mon trou sensible. Il ne bouge plus. C’est moi qui vais à lui, sous les directives de ses mains qui m’empoigne. Il m’encule ainsi longtemps, divinement. Sa part animale a prit le dessus. Il m’encule, souffle, gémis. Je cris, je me crispe, je me dilate, je mouille, je tends mon cul ouvert. Ses couilles viennent cogner contre mon sexe, mon clitoris, augmentant ainsi mon plaisir. Et je jouis. Je jouis de cette sodomie brutale et animale. Mais il n’en a pas finit avec moi. Il attrape mes épaules, me relève, la verge toujours enfoncé en moi, la rondeur de mes fesses venant caresser son pubis, ses bourses venant caresser mes lèvres devenus torrent incandescent. Sa bouche embrasse mon cou, ses mains empoignent mes seins, les pétrit, les malaxe, tire sur les bouts. Je cris, j’hurle ma jouissance venu me prendre encore fois. Mon cul se contracte, étrangle sa queue dure comme du roc. Oh mon dieu ! Son sperme jaillit, venant tapisser mes parois anales, inondant mes intestins de sa semence chaude. Oh que c’est bon. Mon orgasme se prolonge. Il n’en finit plus de jouir. Mon cul est trempé. Trempé de nos sécrétions, de son sperme qui s’écoule lentement en moi. Il se retire doucement, caressant tout mon corps lascif, abandonné au plaisir. Ses yeux me dévorent, sa bouche caresse mes courbes. Il s’allonge à mes côtés, me chuchotant des « merci, tu es tellement magnifique, si douce, si sensuelle, si excitante » Ses mots font frissonner mon âme. Il se colle à moi, glisse une main sur mon ventre. On est si bien ainsi. Il fait pénétrer doucement son sexe dans mon cul lubrifié par sa semence. Et nous nous assoupissons ainsi, unis l’un à l’autre.
Je le réveillerai dans la nuit pour sentir sa queue encore en moi, venant posséder chacun de mes orifices jusqu’à l’extase. Il me prendra, encore et encore au creux de cette nuit douce qui nous appartient. Et je lui offrirai tout mon être, mon âme. Et je jouirai d’être sienne, de sentir sa verge fouiller ma gorge, mon sexe et mon cul. Il jouira de nombreuses fois, arrosant mon corps de son jus brulant. Il partira le lendemain, les yeux hagards, cernés par cette nuit voluptueuse.
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