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Ma belle-mère et moi

Chapitre 1

Inceste
Ma belle-mère avait pour habitude de venir une à deux fois par semaine chez nous.Mon épouse n’ayant jamais été très portée sur le ménage, moi non plus, c’est donc ma belle mère qui avait pris pour habitude de se charger de beaucoup de nos tâches ménagères.Elle repassait notre linge, nettoyait la vaisselle, les sols, ...Bien que cela me gênait beaucoup, je n’étais jamais parvenu à la dissuader de faire ce travail qui nous revenait. Je pense sincèrement que celle-ci aimait se rendre utile car, même lorsque nous étions en famille réunie, elle ne pouvait s’empêcher d’effectuer ces différentes tâches.
Ce jour-là, j’étais rentré le premier du travail et avais entendu du bruit à l’étage. En montant les escaliers, je pensais trouver mon épouse, mais constatai que c’était ma belle-mère qui était toute affairée dans la chambre. Comme elle avait la clef de notre maison, elle pouvait y entrer quand elle le désirait.Ma belle-mère ne m’avait pas entendu monter les escaliers, elle ne remarqua donc pas ma présence.Lorsque, depuis l’escalier, je la vis par la porte de la chambre, elle était agenouillée à quatre pattes en train de ramasser divers objets qui trainaient par terre.Je fut comme foudroyé.
Ma belle-mère portait un simple t-shirt et, dans sa position, celui-ci présentait un large décolleté qui me laissait admirer un soutien gorge qui renfermait des seins que je devinais importants et fermes et qui se balançaient au rythme de ses mouvements.J’avais déjà remarqué que, contrairement à mon épouse, ma belle-mère avait été gâtée par la nature au point de vue de sa poitrine, mais je n’y avais jamais prêté plus d’attention que cela.Pourtant, la vue de ce décolleté me laissa cloué sur place.Après près de deux minutes à contempler ce spectacle sans me faire remarquer, je me décidai à aller la saluer, sans me priver d’admirer encore la vue, tout en m’ approchant d’elle.
Après m’avoir salué en me faisant la bise, elle reprit sa position et je du feindre d’aller chercher quelque chose dans une autre pièce pour me forcer à me détacher de ce spectacle.Ne tenant pas, je repassai très vite devant la porte de la chambre. Ma belle-mère était toujours dans la même position à quatre pattes et continuait à ramasser les objets qui jonchaient le sol.Sur le peu de temps que je m’était absenté, elle avait enfilé un pull par dessus son t-shirt, me privant ainsi de la magnifique vue qu’elle m’avait inconsciemment offerte.Je me dit qu’elle avait pourtant bien du se douter de quelque chose, puisque qu’elle avait, sans aucune raison, enfilé ce pull qui devait lui donner bien chaud pendant son travail.
Une heure plus tard, mon épouse était aussi rentrée et affairée à l’étage.Ma belle-mère, qui avait fini son ouvrage, m’avait rejoint dans la cuisine au rez-de chaussée.
Elle voulu ôter son pull pour pouvoir se laver les mains au robinet sans le mouiller, mais elle eu beaucoup de mal car elle essayait de le retirer sans se servir de ses mains sales, juste avec ses bras. Cette opération étant tellement compliquée sans les mains qu’elle tira l’arrière de son t-shirt en même temps que son pull ... S’en rendant compte, elle s’immobilisa immédiatement avec l’arrière de son t-shirt et de son pull lui arrivant sur les épaules, dénudant entièrement son dos et laissant apercevoir l’arrière de soutien gorge, maintenu par une agrafe en son centre .Elle aurait facilement pu remédier à cela, mais aurait forcée d’empoigner ses vêtements avec ses mains sales.
Après avoir rigolé de la voir dans cette situation, je lui proposa mon aide et m’approcha d’elle. Sans réfléchir, et me surprenant encore plus qu’elle, j’empoignai son pull en même temps que son t-shirt, et tira le tout ... vers le haut.Son t-shirt et son pull passèrent au dessus de sa tête et elle s’empressa de ramener ses bras contre sa poitrine afin de la cacher.Je la regarda avec autant de surprise qu’elle et m’excusa de ma "maladresse". Je passa derrière elle pour qu’elle puisse enfiler son t-shirt sans qu’elle ait à m’offrir la vue de son soutien-gorge.Se forçant à croire à une maladresse de ma part, elle réajustais maintenant son t-shirt pour pouvoir l’enfiler, toujours en se servant de ses avant-bras. Ce qui n’était toujours pas plus aisé.Pendant ce temps, je ne me privait pas pour contempler son buste tout juste vêtu d’un soutien gorge, vu de dos et légèrement de profil. Le flanc des bonnets de son soutien gorge étaient parfaitement visibles et je pouvais confirmer maintenant qu’elle avait une très grosse poitrine. De ma position, je devinais même un large téton dressé qui déformait l’avant du soutien gorge.
Voyant la difficulté qu’elle éprouvait, je lui dit que j’allais l’aider et me rapprocha à nouveau d’elle par derrière.Sans lui laisser le temps de réagir, j’attrapai l’attache de son soutien-gorge au milieu de son dos et la dégrafa.Elle resta sans voix, avec autant de surprise que d’interrogation dans son regard.
Je ne lui laissa pas le temps de réagir. Je posai mes mains à plat sur son dos dénudé. Elle n’osa pas dire un mot et regarda en direction de l’étage où se trouvait mon épouse avec, maintenant, de la panique dans le regard. Je compris qu’elle avait beaucoup plus de scrupules que moi et que sa priorité était que sa fille ne sache rien. Je su qu’elle ne dirait donc rien.Tout en restant derrière elle, je fis progresser mes mains depuis son dos vers l’avant. Malgré qu’elle resserra ses bras contre sa poitrine, je forçai le passage et empoignai, sous le tissu de son soutien dégrafé, ses seins dans chacune de mes mains. Elle tourna la tête et me regarda avec toujours ce mélange de stupeur et d’interrogation auquel se joignait maintenant un début de panique, mais aucun son ne pu sortir de sa bouche.Elle ne me quittait pas du regard et je commençai alors à malaxer ses seins. Elle relâcha ses bras et posa ses mains sur les miennes pour tenter de les enlever. Elle n’y parvint pas, mais me donna l’occasion d’avancer encore plus mes mains et de pouvoir maintenant saisir ses tétons entre les doigts.Ils étaient effectivement très gros et je ne me privais pas pour jouer avec, ce qui ne manqua pas de les faire se dresser encore plus qu’à la normale.
Au bout de quelques minutes de ce régime qui me parurent pourtant si courtes, nous entendîmes venir dans l’escalier des bruits de pas venant de l’étage.je la lâchai donc et elle s’empressa d’enfiler son t-shirt et son pull en poignant dedans avec ses mains sales et sans prendre le temps de rattacher l’agrafe de son soutien-gorge.Mon épouse entra dans la cuisine et me trouva assis à table et sa mère en train de se nettoyer les mains au robinet. Nous étions tous deux fort silencieux.Mon épouse remarqua immédiatement à quel point sa mère était rouge et lui dit qu’elle n’avait pas à "se donner autant pour nettoyer notre maison".
A peine ses mains nettoyées, ma belle-mère annonça qu’elle rentrait chez elle, empoigna son sac et demanda ou était son manteau.Mon épouse fut un peu étonnée, mais ne posa aucune question au sujet de ce départ si soudain. Elle me demanda de reconduire ma belle-mère à la porte et de lui donner son manteau qu’elle avait accrochée au porte-manteaux qui était un peu haut pour ma belle-mère qui n’est pas très grande.Je m’exécutai sans dire un mot, et laissant mon épouse dans la cuisine, suivi ma belle-mère dans le hall d’entrée.Je décrochai son manteau et m’approcha d’elle pour lui dire au revoir et lui faire la bise.Elle me regardait toujours avec de l’incompréhension dans son regard et, ne sachant toujours que dire, restait muette.
Au lieu de lui faire la bise comme d’habitude, une fois mon visage proche de sa joue, je passai ma main derrière son dos, l’attirai contre moi, et posa ma bouche sur la sienne.Elle essaya de me repousser, mais faisant trop de bruit pour cela et craignant de se faire remarquer par sa fille, se résolu à me laisser lui voler un baiser.Je ne me contenta pas de l’embrasser. Mes mains passèrent sous son pull. Son soutien-gorge étant resté détaché à l’arrière, je n’eus aucune difficulté et me mis à nouveau à la peloter.Ses mains essayèrent en vain de repousser les miennes. Au bout d’une courte minute, je du me résoudre à m’éloigner d’elle. Elle sorti précipitamment de la maison, sans enfiler son manteau et sans dire un mot.
Je restai perplexe. Ne revenant pas de mon propre comportement. Tout au fond de moi, je savais que cela arriverait à nouveau ...
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