Cette histoire est réelle et date de cet été, seuls les prénoms sont modifiés... je suis marié depuis 6 ans à Emmanuelle, une jolie petite brune mince avec de jolies courbes mais rien d’opulent... nous sommes tous 2 trentenaires. notre vie sexuelle est assez ordinaire voire monotone car elle refuse pas mal de choses (fellation, sodo, cunni) malgré mes caresses et baisers pour la détendre.... cet été nous avons convenu de nous retrouver avec sa soeur et sa meilleure copine chez mes beaux-parents retraités qui ont une superbe maison avec terrain et piscine en Espagne. nous voici donc début août enfin arrivés sous un soleil de plomb au milieu de la vaste plaine d’extramadure, la (vraie) ville la plus proche étant à 50km. 1er soir retrouvailles avec les parents, la soeur et son amie, les bières et la sangria coulent déjà à flot....On passe enfin à table pour dîner et les boissons continuent.... les parents partent se coucher suivis de mon Emmanuelle toujours prête pour un long sommeil, étant détendu et pas si fatigué que ça malgré le voyage, je reste dans le salon d’été à la fraîche avec Carine (ma belle-soeur) et Gisèle (sa copine), elles sont assises sur le canapé et moi sur le fauteuil en face, compte tenu de la chaleur, elles étaient restées en maillot de bain et moi torse nu en bermuda. J’ai toujours adoré mater les seins de Carine bien plus gros que le 85B de ma femme, les siens doivent bien faire dans les 90D ou 95C.... Gisèle elle, a une petite poitrine 80B mais a un corps très athlétique qui lui confère une taille fine des jambes galbées à souhait et surtout un petit cul rond et ferme délicieux à voir. On rigole de tout et de rien et entre 2 gorgées, elles m’invitent à me joindre à elles sur le canapé ce que je fais avec plaisir histoire de mater les seins de Carine de plus près. à peine assis entre les deux, on trinque et "par hasard" la main de Carine se pose sur ma cuisse, on se raconte des bêtises de notre passé et bien sûr rapidement on dévie sur le sexe et là; à ma grande surprise elles me lancent qu’en fait elles sont bi et que elles sont plus que des meilleures copines. Intrigué et perplexe, je lance "embrassez-vous alors??!" et là les deux, par-dessus moi se mettent à genou face à face se penchent et se roulent une pelle monumentale, me voilà avec deux filles qui s’embrassent goulûment à quelques centimètres de mon visage, elles ne se lachent plus la bouche, leurs langues s’entremêlent allègrement je reste stoïque bien que fasciné par la scène qui d’ailleurs ne tarde pas à faire gonfler la bosse de mon bermuda surtout que cela faisait près d’un mois que j’avais eu mon dernier rapport avec ma femme. Carine et Gisèle continuent à s’embrasser, Carine pose sa main droite sur mon épaule pour prendre appui, du coup son sein est venu se coller sur ma bouche, ne pouvant plus résister, je bande comme un taureau dans mon short, je lape doucement cette mamelle, Carine ne dit rien... comme pour m’encourager sa main est maintenant sur ma nuque et elle me tire contre son sein, délicatement je libère celui-ci du haut de maillot et je suçote maintenant sans gêne son téton raide et je vais serrer l’autre sein de ma main gauche, ma main droite part le long de la jambe de Gisèle pour remonter jusqu’à son cul bien ferme, je serre dans ma main sa fesse, très vite je sens deux mains me caresser la tige raide encore enserrée dans le bermuda, elles se battent pour l’agripper et le branler. Hors de moi et pris par l’excitation, je décide de déboutonner et baisser ce tissu qui gêne nos ébats, elles arrêtèrent leur baiser fougueux pour apprécier la scène et découvrir mon membre raide et dur comme de la pierre à ce stade, Gisèle eut un sourire émerveillée et Carine tout en me caressant les couilles droit dans les yeux me dit: "hmmmm, quelle belle bite David! ma soeur m’a toujours dit qu’elle était trop large pour elle mais je ne croyais pas, mais j’avoue qu’elle ne mentait pas cette conne et dire qu’elle ne te fait rien, hein?!", je reste bouche bée, ma femme lui a avoué ça.... "comment, comment...", "oui je le sais, en fait elle a plus peur qu’autre chose... mais moi j’ai pas peur du tout et ça fait vraiment longtemps que je n’ai pas eu un tel chibre pour moi...enfin...pour nous hein Giz!!" "oui ma chérie, t’inquiètes David, on va bien s’occuper de ta tige ce soir". Carine vient m’embrasser à pleine bouche et Gisèle commence à me branler avec force et très vite met ma bite en bouche pour me sucer comme un morte de faim, je serre les seins de ma belle-soeur à pleine main, heureux de pouvoir enfin tâter ces mamelles si belles, jalouse(??!) Gisèle attrape ma main droite pour la déposer contre sa chatte déjà trempée, sans hésiter j’écarte le tissu pour lui caresser la fente et lui mettre un puis deux doigts, elle gémit, Carine me demande de suite de lui mettre la main à la chatte, la sienne était encore plus trempée avec des lèvres plus longues et plus pulpeuses que Gisèle, une belle grosse moule....me voilà avec deux chattes au bout des doigts, Carine me donnant les seins et Gisèle me suçant comme une salope, je n’allais pas tarder, trop excité, je préviens que je suis au bord de l’explosion, Carine se jette alors sur ma queue, pour elle aussi goûter à mon large membre (18x6), elle suce aussi bien que Gisèle, mais affamée elle allait jusqu’à la garde à un rythme effréné, "relève toi je vais juter" elle continue, "je vais juter dans ta bouche si tu ne sors pas", elle continue, Gisèle me regarde "chéri, elle veut ton sperme!", à peine cela dit je lâche prise et elle avale deux gros jets de sperme sans broncher puis deux nouveaux, elle régle parfaitement sa respiration sur la déglutition, encore un gros, Carine se relève avec une goutte sur le côté de ses lèvres, elle sourit "miam, il est goûteux ton sperme, légèrement salé comme un petit goût de pistache" de son doigt elle récupère la goutte et la met en bouche, Gisèle pendant ce temps reprend la pipe pour nettoyer ma queue des dernières gouttes, mes mains étaient pleines de leur mouille, je goûte chacune avec délectation, un grand sourire aux lèvres, "merci les filles, c’est ce que j’appelle une soirée réussie...." elles rirent. Carine me dit: "on fera bien mieux dans les prochains jours, qu’en dis-tu", "oh oui bien mieux" dit Gisèle, "ok pas de problème pour moi mais ta soeur va me tuer si elle nous chope!", "on aura bien des occases", elles m’embrassèrent et encore mi-molle firent une dernière petite suçote à ma bite et partirent se coucher, je suis reste là, cinq minutes, nu à penser ce que sera la suite de ces vacances... à bientôt pour la suite!
