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Bérénice

Chapitre 21

Travesti / Trans
41.Bérénice et Patrice la laissèrent pleurer tout en la consolant. Il fallait qu’elle accepte d’elle-même la situation, son statut de travesti, amie très chère et partenaire de jeu du couple. C’était la condition sine qua none pour le trio fonctionne dans le temps. — je dois être affreuse, dit elle en séchant ses dernières larmes — je confirme dit Bérénice. On va s’habiller et se préparer. On avait parlé d’un restau et ça tient toujours. Par contre, tu es notre invitée. C’est le moins qu’on puisse faire.
Elles passèrent un temps certain dans la salle de bains. Ce qui sembla une éternité pour Patrice. Il s’était préparé dans la salle du rez-de-chaussée et attendait patiemment le retour de ces dames.
— ah enfin ! dit-il en les entendant descendre l’escalier en chêne.— et bien oui, mon chéri, les femmes, c’est comme ça. Il leur faut du temps pour se faire belle. — et ça valait vraiment le coup d’attendre. Vous êtes magnifiques. J’ai beaucoup de chance de vous avoir toutes les deux. Je vous propose d’aller manger à La Rochelle et d’aller voir les illuminations de Noël. Qu’est ce vous en dites ?— ok pour moi, dit Bérénice. — on n’a pas fait tout ça pour rester ici, dit Alice en montrant sa tenue. Autant sortir. — alors c’est parti. Contre toute attente, Bérénice s’installa à l’arrière de la voiture familiale, un Scénic noir. Alice protesta mais Patrice insista. — tu es notre invité, dit-il, la reine de la soirée. Alice rougit sous le fond de teint.
Ils arrivèrent en ville et trouvèrent facilement une place sur le parking derrière la Tour de la Chaine. Ils entrèrent sur le port. Le vent du large s’engouffrait dans la ville, plaquant les robes contres leur jambes gainées de nylon noir tout simple pour Alice et à couture pour Bérénice. Alice serra sa veste trop légère pour la saison. Patrice s’en aperçut et, en gentleman, la prit contre lui. Bérénice sourit.Ils firent le tour du port puis entrèrent dans le restaurant où ils avaient réservé et dans lequel ils avaient leurs habitudes.— bonsoir Patrice. Bérénice, fit le maitre d’hôtel— bonsoir Jean-Paul. Comment tu vas ? — très bien, dit-il après avoir serré la main de Patrice et fait la bise à Bérénice
— je te présente Alice, une amie, dit Patrice— enchanté, répondit Jean-Paul avant de lui faire la bise. Alice fut surprise du geste auquel elle ne s’y attendait pas du tout.
Jean-Paul les plaça à une petite table ronde un peu à l’écart. Le repas se déroula tranquillement autour d’un plateau de fruits de mer. Ils quittèrent le restaurant deux heures plus tard, déambulèrent dans les rues de la ville. Ils firent un détour par la rue où habitait Alice, puis, jugeant qu’il était trop tôt pour rentrer, ils décidèrent de sortir en boite. Enfin, ce furent surtout Patrice et Bérénice qui décidèrent, imposant leur choix à Alice, un peu gênée de sortir dans des lieux qu’elle ne fréquentait pas habituellement, même en garçon.
La boite n’était pas encore bondée et Bérénice traina Alice sur la piste. Elle tenta de se trémousser, paralysée par un sentiment de ridicule. Puis une série plus rock amena Patrice à la faire danser. Il était plutôt doué et Alice se laissa conduire et finit par se lâcher doucement. Bérénice de son coté, dansait avec un parfait inconnu. Le rock fit place à une musique plus calme et Patrice prit Alice dans ses bras, collé-serré. Bérénice rejoignit le bar, regardant son mari et son amante enlacés, avant de prendre la place de l’un puis de l’autre.
Ils rentrèrent à presque trois du matin, quand la boite fut trop peuplée. Bérénice insista pour qu’Alice reste dormir. Même si elle avait peu de route à faire, elle n’était pas en état de la faire et avait toutes les chances de tomber sur un contrôle de police. D’ailleurs, ils avaient bien failli se faire prendre et Patrice avait largement dépassé la limite autorisée. Tous prirent une douche, séparément. Bérénice installa Alice dans la chambre d’Emilie à qui elle emprunta un pyjama.
Quelques minutes plus tard, Alice entendit des bruits venants de la chambre du couple, bruits ne lassant aucun doute sur l’activité qu’ils pratiquaient. Elle hésita entre aller regarder ou rester coucher et les laisser tranquille. Finalement, elle se leva, quitta son pyjama et se plaça sur le seuil de la chambre du couple.— viens, souffla Bérénice. En levrette, Patrice la pilonnait sans vraiment de ménagement. Et visiblement, Bérénice appréciait.
— prends ma place, dit Patrice en se retirant. Alice ne se le fit pas dire deux fois. Son petit pénis investit sans problème le vagin dilaté. — va dans l’autre trou, dit Bérénice. — tu es sure ?— bien sur ! Si je te le demande.
Alice lécha le petit trou, laissa tomber un peu de salive qu’elle mélangea aux sécrétions vaginales et introduisit un doigt, puis deux. Bérénice suçait son mari. Puis Alice remplaça les doigts par son sexe qui fut aspiré dans l’anus.— oh ouiiiii, lâcha-t-elleAlice lui fit l’amour un moment, avant que Bérénice lui demande se retirer. Elle vint s’empaler sur son mari et se coucha sur lui. — revient ma chérie, ordonna-t-elleAlice reprit possession de son cul. Pour la première fois de sa vie, Bérénice expérimenta la double pénétration. Alice, tout comme Patrice, sentaient à travers la paroi, leurs queues glisser dans leur conduit. — c’est trop bon, dit Patrice. — je confirme, ajouta Alice. — oh mes chéris, continuez, faites-moi jouir. Le travesti et le mari s’activèrent dans leur trous, Patrice étant plus limité dans ses mouvements mais compensait par un sexe plus imposant. — je vais venir, dit Alice — moi aussi, dit Patrice. — oui, ouii, crachez votre foutre en moi. Alice éjacula en premier, déclenchant celle de Patrice.Bérénice se laissa tomber sur son mari, suivie par le travesti. — oh putain, lâcha Bérénice. Pourquoi, je n’ai pas fait ça plus tôt ? Oh le pied ! Alice se retira et s’allongea à coté du couple. — même démaquillée, tu es ravissante dit Patrice. Bérénice se tourna vers elle et l’embrassa. — merci ma chérie, c’était très bon Puis embrassa son mari. — c’était très bon de vous avoir tous les deux en moi. Je vous aime. Mais vous m’avez épuisée. A demain, ou plutôt à tout à l’heure. Bérénice s’allongea et s’endormit presque aussitôt. La semence des deux hommes coula doucement, tachant le drap.
42.Alice se leva pour rejoindre sa chambre. Patrice la regarda partir et d’un bond la rattrapa. Il la prit dans ses bras et l’embrassa tendrement. — bonne nuit Alice. — bonne nuit Patrice, dit-elle en le regardant droit des les yeux. Les sentiments de surprise, de gêne, mais aussi de plaisir de se savoir désirée bataillaient en elle. Elle ne savait pas quoi dire de plus. Et surtout quoi faire. Mais pour Patrice c’était clair : son sexe s’était dressé et ses yeux brillaient d’un désir ardent. — je … je ne sais pas, bafouilla Alice. — tu ne sais pas quoi ? — je ne sais pas quoi penser, quoi dire, quoi faire. Tu m’embrouilles comme jamais.
Pour patrice, c’était plus qu’il ne lui en fallait. Il la reprit dans ses bras et l’embrassa à nouveau. — j’ai envie de toi. — j’ai peur…— peur ? — peur d’avoir mal, peur … d’aimer.
Et Alice craqua. Elle prit le visage de Patrice dans ses mains et l’embrassa.— on essaye encore une fois ? demanda-t-elle — avec plaisir ma chérie Ils laissèrent Bérénice dans les bras de Morphée et gagnèrent la chambre d’Alice. Toujours bouche contre bouche, Alice caressait le sexe démesuré de son amant. Ils tombèrent enlacés dans le lit.— c’est bon, dit Patrice. Ta bouche, ta langue, j’adore ! — moi aussi j’aime bien. Mais ça fait drôle d’embrasser quelqu’un sur la bouche et sentir la barbe. Ils rirent doucement. Alice glissa au pied du lit et prit le sexe en bouche. Du moins, ce qui pouvait y entrer. Les conditions étaient différentes. Et cette fois, c’était de son plein gré qu’elle acceptait son amant. La fellation avait un autre gout. Et pas seulement parce qu’elle avait encore la sécrétion de Bérénice.— tu te sens prête ? demanda Patrice. — je ne sais pas. Mais tant qu’on n’aura pas essayé, on ne saura pas.
Confortablement installée sur les oreillers, Alice laissait Patrice préparer son petit trou. Langue, doigts, tout était bon pour le dilater au maximum. Et encore cette fois, l’investigation anale avait une autre saveur. Patrice ajouta encore un peu de gel lubrifiant sur la rosette et badigeonna généreusement sa queue. Le gland entra sans problème mais buta rapidement sur les sphincters. Alice poussa, patrice appuya et le sexe entra. — aïïïïïe, gémit Alice. — excuse moi ma chérie, je t’ai fait mal. — non, ça va. C’est que je ne suis pas encore habituée à te recevoir— ça veut dire qu’on recommencera ?— surement, tu en as tellement envie. — oui, mais toi ? — je ferai ce que tu as envie. — tu es un amour. Patrice bougea, déclenchant une grimace de douleur chez Alice. — ouille ! C’est gros. — tu veux que j’arrête ? — non, va jusqu’au bout, sinon, on n’y arrivera jamais. — ok. Mais on arrête quand tu veux. — d’accord.
Avec mille précautions, Patrice bougea dans le cul d’Alice. Les « aïe », les « ouille », les « ça fait mal » ponctuaient chaque mouvement entre deux soupirs. Mais petit à petit, le conduit rectal se dilata. Patrice se retira, remit du gel et revint dans le boyau. Les « aïe », les « ouille », les « ça fait mal » devinrent moins nombreux. — ça va ma chérie ? — oui, mieuxPatrice accéléra un peu la cadence. — hmmpff, soupira Alice— ça va ? — oui, continue. — han, han, han. Alice gémissait mais cette fois, ce n’était pas simulé. — tu aimes ? — oui, enfin, je crois… rhaaaa, lacha-t-elle alors que Patrice accéléra encore. — je veux te voir jouir, dit-il en se retirantAlice s’allongea sur le dos, ramena ses genoux sur la poitrine. Patrice l’embrassa tandis que son sexe cherchait à revenir au chaud.Une fois dedans, Patrice se redressa, prit appui sur le pli des genoux et recommença de la pilonner. Le sexe mou d’Alice tressautait à chacune des pénétrations. Les couilles de Patrice tapaient contre les fesses de sa partenaire. Alice ponctuait chaque coup de butoir par un « han ».— oh, Alice, tu es si bonne. Ton cul est un délice. Je sens que je vais jouir— attends un peu, dit-elle Elle s’empara de son sexe et se masturba. Mais patrice continua, trop proche du dénouement pour s’arrêter.— entre toi et Bérénice, je suis comblé, oh ouiiiiiii …. Le sperme chaud jaillit enfin, inondant le boyau. La chaleur de la semence provoqua la jouissance d’Alice — mais tu as joui ! dit Patrice en voyant le sperme laiteux sur ventre.— oui, tu m’as fait jouir, comme une femelle. — tu me combles de plaisir, dit Patrice. Je t’aime Alice. Toujours fiché en elle, il s’allongea pour venir l’embrasser. Ils restèrent ainsi un moment, le temps que le sexe de Patrice retrouve sa forme de repos.
Discrètement, Bérénice regagna son lit, un sourire illuminant son visage. Elle était heureuse de voir son mari et son amant prendre enfin du plaisir. Cela ouvrait un avenir plein de perspectives.
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