Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 13 J'aime
  • 2 Commentaires

Bergen

Chapitre 5

Gay
    Je plongeais tête la première , ouvrait les yeux sous l’eau et nageais quelques brasses jusqu’à ses jambes. Je sortis la tête de l’eau devant son nombril, y déposais un baiser, et me tenant à ses hanches remontais le long de son ventre en frottant mes lèvres contre le sillon de léger duvet qui y formait une ligne droite. Il ne s’enfuyait pas, ne me repoussait pas, n’appelait pas la police, tout allait bien et pour ne pas y penser je continuais à embrasser sa peau.

Il ne bougeait toujours pas, mais j’entendais sa respiration s’accélérer. Son sexe gonflait dans son short, et butait contre mon plexus. Je poursuivais mon ascension, embrassais ses pectoraux, mordillait ses tétons, lui arrachant un soupir et de petits « ha ». Ses bras pendaient dans l’eau le long de son torse tremblant sous mes baisers. J’arrivais à sa gorge, la léchais, la suçais, glissait mes lèvres sur sa pomme d’adam, mordait doucement son menton, soudain j’empoignais l’élastique de son short sur ses hanches, le baissais d’un coup sec et l’embrassais à pleine bouche.

La surprise lui fit refermer les bars autour de moi. Ses mains s’accrochèrent à mes épaules tandis que je fourrais ma langue dans sa bouche. Il poussa la sienne entre mes lèvres, et glissa ses mains jusqu’à mes fesses qu’il empoigna fermement. Je m’étais peut-être trompé après tout, le bon élève avait le toucher d’un homme qui sait y faire. 

J’empoignais son sexe d’une main, il paraissait léger dans l’eau mais.. mon dieu.. qu’est ce qu’il était gros ! Je fis coulisser ma main le long de cet engin, assez long sans être démesuré, il était surtout dur et vraiment très épais. Une vraie barre de fer d’environ 18 cm, mais d’au moins 5 de diamètre si ce n’était plus. C’est bien simple il était aussi large que mon poignet!Tout d’un coup j’avais peur, et si tout cela était une mauvaise idée ?

 Je n’ai jamais été très à l’aise avec les gros sexes. Très jeune j’avais couché avec un homme qui en avait une énorme, il s’y est mal pris, j’en ai gardé une certaine appréhension. La plupart de mes amants en avaient de « normaux ». Certains étaient très bien pourvus mais aucun n’en avait un surdimensionné. Peut-être qu’inconsciemment je les choisissais comme ça. Depuis des années, presque depuis que je couchais avec des hommes, je n’en avais pas vu une pareille.

Pendant que je l’embrassais en branlant doucement son énorme bite, mon beau brun me montra quelques uns de ses talents cachés. Me rendant mes baisers avec fougue, il empoigna le haut de mes cuisses, les enroula autour de sa taille et agrippa mes fesses des deux mains. Je lâchais son membre colossal qui vint se glisser sous mes testicules et m’accrochais à sa nuque. Il nous fit flotter jusqu’au bord. Au fond, il comprenait vite, il fallait simplement lui expliquer longtemps.

Dos au mur, serré dans les bras de Bjorn, je ne pouvais plus aller nulle part, et ça m’allait très bien. Bjorn m’embrassait toujours plus fougueusement, tournant sa langue autour de la mienne, mordillant mes lèvres en pressant son torse musclé contre ma poitrine. Mais nous n’allions pas passer la nuit à nous rouler des pelles, ses doigts qui glissaient entre mes fesses pour y chercher ma fente se faisaient très insistants. Ne pouvant plus me faire peur en caressant son formidable pénis, je me rabattais sur ses fesses, douces et musclées.

 Bjorn prit mes fesses à deux mains et me souleva hors de l’eau avec une facilité qui m’excita. Il était fort. Il me déposa sur le rebord, écarta mes cuisses et pencha sa tête sur mon pubis. Il se mit à embrasser, lécher, mordiller ma toison bien coupée passant sa langue sur le bas de mon ventre, descendant dans les plis de l’aine, et tout autour de mon membre qui n’en pouvait plus d’attendre qu’on s’occupe de lui.

Décidément je n’avais pas affaire à un débutant. Il avait de l’expérience avec les garçons et surtout il aimait ça. D’un coup il cessa ses caresses qui me mettaient au supplice et pris mon gland dans sa bouche. D’une main il me massait les couilles, et de l’autre il me tenait la cuisse droite plaquée contre mon ventre afin de dégager mon anus, pour lequel apparemment il avait des projets.En appui sur mes deux coudes, je le regardais avaler ma bite jusqu’à la garde, la serrer entre ses lèvres chaudes et m’arracher de petits soupirs à chaque coups de langue.

Je caressais sa tête du bout des doigts, fermait les yeux et rejetait la tête en arrière.Comment avions nous pu être aussi bête ? Tout cela ne datait pas d’hier. Depuis des jours il devait avoir envie de me faire toutes ces choses. J’étais certains qu’il s’était masturbé en pensant à mes fesses, mes cuisses, et que sais je ; comme moi en pensant à son membre, sa poitrine, ses yeux brillants… chacun à une extrémité du couloir, nous nous caressions le soir alors que nous aurions pu …
Diffuse en direct !
Regarder son live