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Bergen

Chapitre 9

Gay
    Je n’ai pas pu m’empêcher de serrer les dents, Bjorn à immédiatement fait reculer son membre et la douleur à disparu presque aussitôt. J’ai repris mon souffle. - Est ce que tu te masturbais en pensant à moi ? Lui demandais je entre deux soupirs— Oh oui. Souvent, dit il l’air un peu gêné.Je riais, parler m’aidait à me détendre, en quelque sorte ça « dédramatisait » ce moment finalement assez important entre lui et moi. Parce que coucher avec Bjorn j’en avais envie depuis un moment, mais maintenant je voulais lui plaire, je lui trouvais du charme, il ferait un merveilleux petit ami. — Souvent ? Eh bien tu caches bien ton jeu ! Je croyais que je t’étais indifférent, ou bien que tu aimais les filles !— Oh, dit il toujours un peu embarrassé, mais apaisé, visiblement heureux de ce que nous faisions là.Oui j’aime aussi les filles, c’est plus.. c’est plus facile que d’avoir un copain. Mais j’aime vraiment coucher avec des garçons.— Ca se voit ! Lui dis je en riant à nouveau. Et de mes mains je poussais sur ses fesses pour qu’il s’enfonce encore.Il reprit ses va et viens, sa bite se mit à descendre plus bas au fond de moi, on y était presque.— Je n’ai pas trop le temps pour les histoires d’amour, et puis je ne suis pas doué pour séduire…— J’ai vu répondis je avec un petit sourire ironique. Mais tu sais très bien t’occuper d’un garçon, d’ailleurs (Aah..), continue.. (aah)… oui, va jusqu’au fondEt la Bjorn me mit un grand coup de son énorme pine, suivi d’un autre, puis d’un autre encore tout aussi violent.

Le premier me fit crier très fort, mais j’oubliais la douleur en encaissant le second, puis tout les suivants. Ca y est ! je sentais son ventre cogner contre mes couilles, sa bite s’enfonçait tout entière dans mon cul. J’avais l’impression qu’il y mettait son bras entier, mais qu’est ce que c’était bon.

Il se mit à me baiser comme un fou, lançant son bassin en avant toujours plus fort. A grands coups de boutoirs il m’arrachait des cris, et des gémissements que je n’avais pas poussé depuis longtemps. J’avais l’impression de me faire vraiment baiser pour la première fois, pourtant je n’avais jamais eu à me plaindre de ce coté la.Il se retira, me fit mettre à quatre pattes et me prit en lévrette. D’une main il me prit par les cheveux et me tira la tête en arrière. J’aimais ça, sa virilité un peu macho, je sentais que c’était un jeu, quelque chose de pas naturel chez lui, qu’il faisait ça pour m’exciter. Et ça marchait.

Je lui dis de me claquer les fesses, et il me mit deux jolies fessées . Il me défonçait à présent, faisant rebondir mon cul contre son bassin, sa bite si épaisse enfoncée dans mon trou allait et venait au fond de mon ventre et la tête me tournait.Mon sexe brinqueballé par ses assauts reprenait de la vigueur. Je le sentais se tendre, cognant sur mes cuisses au rythme de ses couilles qui tamponnait ma raie en rythme. Je ne pouvais plus me retenir, j’allais jouir dans la minute. Je tendis une main pour couvrir mon gland et retarder l’échéance. Bjorn glissa sa main sur la mienne et se mit à me branler doucement d’abord, puis plus vite.— Je.. je vais jouir, dis je en haletant— Oui. Je vais te faire jouir deux fois, tu vas voirEt il me mit deux énormes coups de bite qui me firent hurler. Sa main se plaça en coupelle sous mon gland pour ne pas tacher les matelas. Il s’enfonça tout entier en moi et soudain ne bougea plus. Je tendis mes fesses contre son ventre pour engloutir sa bite au maximum, et le rythme de sa respiration fit vibrer mon rectum. Ma bite tremblait, la sève si longtemps retenu arrivait. Deux longs jets de sperme coulèrent de mon sexe dans sa main. Il en recueillit jusqu’à la dernière goutte, et me mit deux ou trois petits coups pour être sur que j’étais vide. Alors qu’il allait retirer sa main, sans doute pour essuyer le sperme sur mon dos, je l’agrippais par le poignet et l’attirais jusqu’à ma bouche. Je bus ma propre semence, léchais sa paume pour qu’il n’en reste rien.

 Je chancelais mais il n’avait pas fini. Il reprit son ouvrage, me labourait avec sa bite toujours aussi dure. Je voulais voir son visage. Je m’avançais pour retirer son sexe de ma fente, et me tournais rapidement pour lui faire face. Je l’embrassais, le fit assoir, jambes tendues, grimpais à califourchon sur son ventre et m’empalais sur son membre qui rentra en moi comme un doigt dans ma bouche.

Je me mis à le chevaucher avec toute l’énergie qu’il me restait. J’allais lui vider les couilles pour le rermercier. Seulement Bjorn ne l’entendait pas de cette oreille. Avant de m’inonder de son fouttre il allait me faire cracher le mien une deuxième fois comme il l’avait promis.Il attrapa ma bite épuisée et se mit à la branler vigoureusement. De son autre main il pinçait mes tétons, et son bassin se soulevait pour accompagner mes mouvements de cavalier.Ma bite grossit rapidement, son beau visage et ses yeux malicieux m’excitaient, il m’avait bien eu avec ses airs d’enfant sage. C’était un amant formidable, une fois qu’il était lancé, il fallait simplement le faire démarrer mais l’action c’était vraiment son truc.Il serra sa main sur mon membre, poussa son engin au fond de moi et glissa son majeur entre mes lèvres. Je me sentais vraiment comme une sorte de "garçon de plaisir", un corps soumis au désir d’un maitre à satisfaire. J’aime être un peu soumis, si on me respecte on peut me gifler comme une trainée assoiffée d’étreinte. Son membre me pilonait lentement, sa main se serrait sur ma gorge, je sentais sa force, je lui appartenais, je déchargeais brusquement sur son ventre les yeux dans le vide. Quel amant ce taiseux...
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