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Berin, le temps et l'espace

Chapitre 1

Divers
Ces aventures raconte la suite des aventures de Berin après que celle ci est fuit le manoir du maître.
Chapitre 1 Brave Heart
Berin coure main dans la main avec l’homme depuis une bonne dizaine de minutes. Il s’arrête, regarde sa montre, se retourne, regarde sa montre à nouveau.
« Il nous aurait déjà rattrapé.• Qui ?• Le maître, enfin plus le même … Enfin plutôt disons que … Trop long à expliquer.• Expliquer.• Seigneur du temps. Régénération. Mort puis pouf éclair lumière orange or puis, nouveau visage. Il avait utilisé une technologie Gallyfreyenne, notre planète d’origine.• Donc vous êtes ?• Oui un alien.• Ok je me casse. Allez voir un psy ?• Si je te dis que je peux te transporter n’importe où dans l’espace et le temps ?• Allez-y ! Montrez-moi que vous n’êtes pas un barjo de plus. »
Il pointe une boîte bleue à l’apparence ordinaire. Berin croyait qu’elle était tombée sur un sociopathe qui s’habille comme son grand père et qui ressemble à un gamin. Il claque des doigts et ouvre la porte.
« TARDIS, n’importe où n’importe quand.• 1860, écosse.• Ok. »
Il rentre dans la petite boîte, piquée par la curiosité Berin le suit. À l’intérieur elle remarque que le vaisseau est extrêmement plus grand, alors qu’elle s’apprête à faire la remarque, l’homme lui signale qu’il le sait déjà. Le style futuriste du vaisseau avec son tableau de commande qui s’articule autour d’un grand tuyau avec plusieurs tubes lumineux à l’intérieur, plus les poutres qui viennent des murs et qui rejoignent le tuyau dans un grand champignon métallique. Une sorte de lumière bleutée vient des côtés de la pièce alors qu’au plafond des lumières blanches projettent de la lumière jusqu’au poste de commandement. On peut aussi voir des escaliers menant en dessous du poste et des escaliers menant à encore d’autres pièces. Ce vaisseau n’a pas de fin. Il commence à tenir un discours bien au-delà de la compréhension de Berin avec des termes sûrement technique, Articulateur temporel, réflecteur dimensionnel, rétracteur de trou noirs, il aurait pu dire vache à vapeur que ça aurait autant de sens pour elle. L’homme fait signe à Berin de sortir de la boîte. À l’extérieur là où il y avait un sol en bitume dégueulassé par la saleté des habitants, il n’y a plus que de l’herbe et un mouton au loin qui broute.

« Je n’avais pas menti. Pourquoi tout le monde crois que je mens. Bon maintenant … Le détail on s’est plus ou moins enfui de ton présent mais un jour on devra y retourner. Je peux te ramener quand tu veux. Que voudrais-tu faire ?• Visiter. Ça me semble marrant.• Quand je visite ça ne se passe jamais bien. La dernière fois une reine a voulu me décapiter. Au fait je suis le Docteur.• Pourquoi vous ne pouvez pas avoir des noms normaux. »
Le docteur et Berin arrivent à un village assez calme. Il devait y avoir 1500 personnes un panneau donne ce chiffre. Puis tout d’un coup une femme sortis à moitié nue avec un sac dans la main. Elle avait de longs cheveux bruns qui descendent jusqu’à sa poitrine caché par un corsage assez serré. Un homme bedonnant la suit en caleçon avec un fusil. La femme jette le sac au Docteur, alors que le vieil homme bedonnant et à la barbe grotesque tant elle est grosse et grisonnante, elle cache la bedaine sortant de son haut. Le docteur regarde dans le sac et voit une poudre bleu étrange. Il met un doigt dedans puis le passe dans sa bouche comme il l’aurait fait pour du chocolat.
« Cristaux de Symbiotite. Un minerai produit uniquement sur Pluton entre le 26ème et le 30ème siècle. Par les terriens du moins. D’autre espèce ont exploités le sol pour la Symbiotite avant mais les trajets étaient trop coûteux et les machines ne se remplaçaient pas assez vite. Les seuls à les avoir exploités au max furent les humains. Maintenant que fait ça sur Terre ?• Un visiteur ?• Faux ! La Symbiotite n’est présente que sur Pluton donc on ne la laisse pas comme ça. Ceci vaut au moins une ... »
Il part en courant dans la direction du duo qui coure déjà depuis pas mal de temps. Berin le suit sans trop savoir pourquoi. Lorsqu’il rattrape le vieil homme il a son fusil pointé sur la fille au sol blessée à la jambe. Ils sont tous à la lisière de la forêt.
« Un Volitien, les affaires vont si mal que ça ?• Votre gueule. Les affaires c’est les affaires la famille de cette terrienne ont trouvé du Symbiotite mais on refuser de me le vendre.• Alors vous les avez tués ?• Non j’allais épouser leur fille et obtenir les cristaux en dote. Mais cette conne les a pris et est venu jusqu’ici. »
Berin voit la fille effrayée au sol menacée par une arme. Puis tout d’un coup elle frappe le vieux dans le genou, puis repars en courant plus loin dans la forêt.
« Tenez, laissez là tranquille. Voilà votre Symbiotite. »
Le docteur lui lance le sac, le vieil homme tapote sur un bracelet métallique et disparaît. Le docteur lance alors tristement.
« Je sens que ce n’est pas fini. »
Le docteur voit la fille qui se cache non loin de l’entrée de la forêt. Comme si elle voulait que quelqu’un la trouve, comme si elle ne pouvait pas s’éloigner de ce petit village de l’Écosse, comme si elle devait rester ici. Elle s’évanouit à sa sortie de la forêt, le docteur la prend sur ses épaules, comme une bête après la chasse. Une fois au village il la ramènerait à ses parents et leur aventure serait finie. C’est ce que le docteur espère, que celle se stoppe ici qu’il n’y ait plus rien de problématique dans toute cette affaire.
Mais une fois arrivé à la maison tout est redevenu compliqué. L’homme et la femme qui lui ouvrent sont blonds. La fille est d’un brun latin très foncé, le genre dont les deux parents ont déjà des cheveux sombres, alors pourquoi ces parents ont l’air de sortir d’un Fjörd norvégien. Le docteur rentre dans la maison avec Berin, il découvre une maison extrêmement bien décoré et avec un escalier vers l’étage très fatigué le bois semble sur le point de s’écrouler sous les pieds de la prochaine personne qui poserait le pied dessus. Alors qu’à l’inverse l’escalier menant vers la cave a l’air neuf. Le docteur pose la fille sur une chaise abîmée mais qui semble tenir les 50 kg de la fille.
« Nous sommes de passage dans la région moi et ma … compagnonne. Auriez-vous une chambre pour nous permettre de dormir pour la nuit.• Non désolé nos trois filles et nous occupons les deux chambres de cette maison.• Bien. »Le docteur et Berin sortent de la maison et partent vers le vaisseau quand le docteur cris.
« Combien de chance ?• Quoi ?• La génétique implique qu’il soit impossible que ce soit ses parents la maison a effectivement deux chambres, mais la poussière qui s’accumule sur les marches de l’étage montre qu’il n’est pas fréquemment utilisé, ensuite malgré la richesse de cette famille elle vit dans un cottage au fin fond du trou de l’écosse, dans un petit cottage. Je le dis il y a quelque chose de louche avec ces deux zigotos et ce soir nous allons savoir quoi ? »
Une fois la nuit arrivé le docteur et Berin caché dans un buisson à l’arrière de la propriété à l’aide de jumelles observent la famille passé 21 heures la pièce centrale devient rouge tous les rideaux se tirent et l’intérieur reste invisible. Le docteur voit deux personnes qui tapent à la porte, ils sont vêtus de tenu en Aluminium.
« Yowzah ! Je sais ce que c’est. »
Le docteur court avec Berin à l’entrée arrière de la maison.
« Quoi qu’il arrive ne dites rien. »
Le docteur tape à la porte. Un grand homme de deux mètres cinquante en sort. Il est de couleur argenté et à une musculature extrêmement développée.
« C’est pour quoi ?• Je viens vendre cette Terrienne comme esclave.• Entrez. »
Berin fait un regard au docteur jusqu’à leur entré dans le sous-sol. On y voyait plusieurs races de femelles asservie servant de simple objet sexuel. Il y avait une silurienne, qui sert de défouloir à une dizaine d’homme. Sa peau écaillé verte tirant sur le marron est recouverte de semence elle est attaché au plafond de la cave par des câbles reliés à son cou ses poignets et ses chevilles. Elle est immobilisée. Les hommes pour la plupart sont des hommes d’affaires qui viennent ici pour se lâcher. Le docteur explique à Berin que les lois sur l’esclavagisme intergalactique ne sont pas valables sur Terre et que par ce vide des aliens utilisent cette planète comme bordel.
En attendant la silurienne, qui a des traits très humains, cohérent avec l’histoire de son peuple qui occupait la terre avant les humains, a une bite dans la bouche, ses mains en tiennent deux autres pour les branler comme elle peut vu la position qu’elle a. Les autres hommes ont déjà finis leur affaire elle est déjà maculé de sperme, elle est entièrement nue on peut voir un corps dépourvue de poitrine ainsi que de vagin. Celui qui a sa bite dans la bouche de la pauvre femme, lui prend la tête et la force à garder sa bite au fond en lui hurlant d’avaler comme la salope qu’elle est. Il relâche la pression et sors sa bite, l’esclave à une remonté elle va rendre les litres de sperme qu’elle a dû boire depuis qu’elle a était attaché.
Le docteur en se retournant pour ne pas assister au spectacle que Berin regarde plus par curiosité des pratiques sexuels aliens que pour l’excitation qu’elle aurait pris si la situation n’avait été pas ce qu’elle est. Bref le docteur voit la femme qu’il a sauvée aux genoux d’un petit homme bleu, il voit son dos couvert de marque de fouet, sûrement donné par ses geôliers. La bouche de la brune s’empale sur l’imposante bite du petit homme bleu. Elle a les mains attachées dans le dos et ne peut donc se servir que de sa bouche pour contenter l’homme qui n’arrête pas de l’insulter, elle et son espèce. Elle ne réagit pas, trop habitué à ce genre de traitement sûrement. Les va et viens incessant fascine le docteur, pas temps pour la sexualité que pour le zen qu’elle arrive à garder malgré la haine que l’homme bleu lui déverse dessus. Au moment de la jouissance la fille reçu une quantité impressionnante de sperme sur le visage et les seins. L’homme se rhabille claque des doigts et la fille se fait remettre dans une cage avec d’autre fille, comme des … animaux.
Le docteur repère un garde placé non loin de lui avec une arme. Il prend le pistolet à photon et tire en l’air.
« Bonjour tout le monde. Désolé de vous interrompre, je suis le docteur et voilà j’ai un problème. Vous ! Vous tous ici ! Vous traitez ces femmes comme des animaux, alors que ce sont des beautés. Vous n’êtes que le rebut de la galaxie, vous ne mériteriez pas de vivre. Vous profitez d’un vide juridique pour faire ce qui vous chante et bien vous savait quoi ? … C’est terminé. »
Le docteur tire sur les cages dans lesquels les filles sont enfermées, les câbles qui retiennent la siluriennes et menace tout le monde de son arme, même s’il ne va pas tirer par principe il peut toujours les menacer.
« Souvenez-vous de moi comme du libérateur de la galaxie, l’homme qui protégeras toujours les faibles, celui qui ne laissera jamais une injustice se produire, la tempête imminente, le docteur, le protecteur de la terre. »
Toutes les filles ont réussi à rejoindre l’étage quand le docteur monte à l’escalier, le pistolet toujours pointé vers les différentes races dans la cave. Berin est juste devant lui lorsqu’elle lui fait remarquer qu’il y a la barrique de muscle à passer. Alors que le dernier extraterrestre bloque leur sortis certains autres commencent à monter, plus armé que le docteur et plus dangereux.
« Mauvais coup de poker. Désolé Berin. »
La brunette que le docteur avait sauvée par deux fois lui renvoie l’ascenseur cette fois, elle prend les couilles du géant et les écrase dans sa main. Le docteur défonce la porte d’entrée avec son pied puis fait courir toutes les filles jusqu’au TARDIS, avec derrière deux ou trois poursuivants du même gabarit que le videur. Le docteur pense que la prochaine fois il garera le TARDIS plus près des habitations. La course semble interminable, les filles chutent à plusieurs reprises, certaines n’ont pas dû voir la lumière du jour depuis des mois. Les aliens rattrapent petit à petit la petite troupe de fuyard, le docteur leur jette le pistolet ce qui fait chuter les trois, permettant ainsi à tout le monde de rejoindre le ticket de sortis.
La quinzaine de jeune fille rentre dans le vaisseau et le docteur le fait partir de l’écosse et les dépose à Londres la même année. Alors que toutes les filles sortent, Berin s’adresse au Docteur.
« Alors c’est ça que vous faites ? Vous vous baladez dans l’espace et vous sauvez des jeunes filles en détresse ?• Pas toujours. (Indique-t-il nonchalamment en tapotant le bouton du TARDIS.)• Vous faites quoi d’autre ?• Je voyage. Je découvre, je vis mais je me sens seul sans quelqu’un à mes côtés pour m’accompagner. Alors qu’en dis-tu ? Acceptes-tu de voyager avec un fou dans une boîte bleue.• Impressionnez-moi. Docteur.• D’accord Berin direction la lune … de … Brazozéro. »
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