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Berin, le temps et l'espace

Chapitre 2

Divers
La lune de Brazozéro en l’an 2505 terrien. Cette planète sert principalement au divertissement des gens du système stellaire 2-1-P.5. Elle peut être comparée à un Las Vegas géant. Il y avait des villes entières ressemblant à cette ville d’ailleurs, d’autre sont plus sur le modèle Parisien, d’autre encore avait un style plus newyorkais. Bref uniquement des divertissements en tout genre. Le docteur a décidé de conduire Berin dans la ville de Shatik, une ville dirigée par des hommes d’affaires très puissant, ici l’argent est synonyme de pouvoir, l’un sans l’autre y est impossible, et ça tombe bien parce que c’est aussi la ville qui contient le plus de casino, mais un problème semble recouvrir cette ville depuis l’arrivée du nouveau maire, un ancien directeur de casino, Tok Luicos, cela fait maintenant deux ans qu’il est au pouvoir à la ville et depuis deux ans des rumeurs insistante sur la disparition de personne banale, pas des gens qui gênent Tok, encore moins des opposants politique, aucun vieil ennemi. En deux ans près de 50 personnes ont disparues. La police nomme le kidnappeur « le trou noir » car on ne retrouve jamais rien comme si les victimes avait été aspirés par un trou noir.
Quand le docteur et Berin arrive avec le TARDIS dans Shatik, le docteur se rend tout de suite compte que quelque chose ne vas pas. Il est dans une ruelle sale, puante, peu éclairée, et assez éloigné des axes principaux, pourtant un homme se tient droit en plein milieu de la ruelle. Il n’est qu’une ombre pour l’instant la lumière de fond rend encore plus difficile de le reconnaître car il se trouvait à contre-jour du lampadaire. Il se rapproche de plus en plus du TARDIS et de ses occupants. Il porte un manteau soulevé par le vent, qui permet de voir un peu plus sa silhouette surtout au niveau des jambes, il porte des bottes peut être style militaire. L’homme est maintenant à 5 mètres d’eux. Il se rapproche encore, il ouvre enfin la bouche.
« Docteur ?• Jack ?• Oui ! Enchantée je suis le capitaine Jack Harkness. »
Il sert la main de Berin en lui jetant un petit regard. Le docteur lui dit
« Oh ! Arrêtez un peu.• J’ai juste dit bonjour.• C’est votre manière de draguer, je vous connais capitaine.• Je comptais vous inviter dans un petit restaurant du coin mais je suppose que vous êtes trop occupé pour ça ? »
Le docteur fait un signe au capitaine Jack de les conduire.
Le restaurant est vide, trois chaises sont occupées par Jack, le docteur et Berin.
« Donc des gens disparaissent ici ?• Oui depuis deux ans. La police ne trouve jamais rien. J’attendais d’ailleurs votre arrivé.• Pourquoi ?• Disparitions inexpliqués ça ressemble bien à vos vieux amis. »
Le docteur fronce les sourcils, il est furieux de ce que Jack vient de sous-entendre, pas tant son amitié avec eux mais l’obligation de sa présence. Le docteur et furieux envers son ancien camarade. Tous les deux des êtres quasiment immortels et dont il serait impossible de dire leur véritable âge, le capitaine Jack n’en paraît que 30 et le docteur encore moins, pourtant leurs yeux avait vus la terre à ses pires moments et même là l’humour de Jack restait le même. Ce Casanova dont le docteur connait bien le jeu, on se présente et c’est partis personne ne peut lui résisté. Berin ne semble pas insensible au charme du vieil ami, ce qui met le docteur dans une position très peu favorable. Il ne peut refuser d’aider Jack mais pour autant il ne peut laisser Berin courir le danger de croiser leur route.

« On va partir. On ne peut pas rester là s’ils sont là. C’est trop dangereux.• Docteur on ne peut pas laisser le capitaine seul ici.• Non. Mais je te ramène avant. Je reviens et je l’aide, tu ne seras pas en danger j’ai déjà trop perdu.• Comment ça ? »
Berin est confuse par ce que vient de dire le docteur. D’un côté elle se sent insulté par les propos du docteur mais d’un autre côté qu’un homme qui adore le risque préfère se tempérer la fait réfléchir sur l’éventualité d’un danger réelle. Elle a peur mais elle est excité par le danger environnant, elle est divisée entre ces deux sentiments.
« Mais le TARDIS peut parfois être capricieux rien ne dit que je pourrais revenir au même moment, ou pire que je risque de me croiser. Donc Jack nous allons rester.• Je loge dans un grand hôtel, payé par leur maire évidemment, je connais un peu la réceptionniste elle vous fera sûrement un prix. »
Le docteur et Berin se retrouve à quatre heures du matin dans la chambre mitoyenne à celle de Jack, c’est loin d’être le grand luxe mais bon les deux vont faire avec pour le peu de sommeil qu’ils auront de sommeil.
« Pourquoi vous vouliez me renvoyez chez moi ?• Je voulais te protéger.• En m’écartant du danger pour un alien vous vous comportez comme le dernier des abrutis.• Tu me rappelle quelqu’un comme ça.• Ah oui ça aussi. Vous avez trop perdu déjà c’était quoi ?• Il y a eu d’autre personne avant toi. J’ai plus de 900 ans Berin tu ne pensais pas être la première à monter.• Quoi ? 900 ans ? Mais vous … Vous.• Je sais, je suis le douzième il y en a eu 11, ce qu’a fait le maître je l’ai déjà fait. Plusieurs fois.• Ça c’est le genre de choses qu’on dit quand on se rencontre ! Pas comme ça dans une chambre d’hôtel à quatre heures du matin !• Comme si j’avais eu le temps de le dire avant. »
Berin quitte la chambre et va voir la seule autre personne qu’elle connaît, le capitaine Jack. Il lui ouvre la porte en pantalon, il ne porte déjà plus sa chemise bleu ni sa veste grise qui lui arrive au pied. Il est beau, avec ses abdos qui ressortent et son sourire de publicité pour dentifrice sans compter son regard. Bref à côté même un top model peut aller se rhabiller, le capitaine gagne. Jack commence la conversation avec Berin, au départ elle est colérique envers le docteur de lui avoir caché son passé, mais au fil de la conversation elle commence à devenir amicale avec Jack jusqu’au moment fatidique où elle l’embrasse. Au début très embarrassé de son geste ne sachant pas comment il pourrait réagir, elle commence à reculer du coin du lit où ils sont assis. Jack lui rend son baiser, et rajoute même une pointe d’amour française, de la part d’un américain.
Il lui retire son haut gris et défait son soutien-gorge. Ses deux seins sortent les tétons au garde à vous devant le capitaine. Il a un petit sourire coquin quand il l’embrasse dans le cou. Il chuchote des mots d’amour, lui caresse la jambe avec une main tandis que l’autre la tient dans le dos, la bouche de Jack découvre le corps de sa partenaire lèvres, joue, cou, épaule, nuque, sein, le ventre puis finalement … son jardin secret encore gardé par son pantalon. Elle se lève retire son jean et sa culotte et saute dans les bras du capitaine encore habillé sous la ceinture, ils se retrouvent tous deux allongé dans le lit, elle sur lui et c’est définitif elle lui plaît, elle en a la preuve. Elle continue de l’embrasser, il défait sa ceinture pendant que Berin touche enfin le corps taillé dans le marbre qui la fait rêvée, il baisse son pantalon, il ne porte pas de caleçon en dessous. Ils sont tendrement l’un sur l’autre, Berin prend le sexe du capitaine dans sa main pour l’insérer dans la chatte, mais à cet instant le docteur rentre dans la chambre.
« Je crois qu’on devrait … Oh mon dieu vous faites quoi ? »
Il se couvre les yeux.
« C’est pour ça qu’il existe les ne pas déranger. Rhabillez-vous, tous les deux ! »
Berin très honteuse se rhabille en quatrième vitesse, le capitaine plus à l’aise prend son temps, une fois le pantalon enfilé le capitaine commence à demander des explications au docteur.
« Vous proposiez quoi ?• J’ai lu les rapports de police la plupart des disparitions se font dans un ancien embarcadère de marchandise désaffectée. Il n’y a plus personne. Si les ravisseurs sont qui on pense ils sont sûrement là-bas.• Allons-y ! »
Une fois arrivé à l’ancien embarcadère spatiale Jack donne une arme au docteur, arme qu’il s’empresse de jeter, Berin la récupère aussitôt. Elle ne sait pas à quoi s’attendre, elle ne sait même pas qui cette fois le docteur a décidé d’aidé. Ce capitaine malgré leur rapport lui semble si mystérieux mais sans être un inconnu comme si elle l’avait déjà vu quelque part, peut-être à Cardiff durant un voyage scolaire, non c’est impossible. Le bruit ambiant est quasiment inaudible, mais l’on peut tout de même entendre si on tend l’oreille un petit sifflement lointain venant d’un bâtiment du complexe froid et terne. Il doit y avoir plus de 20 grands hangars à vérifier dans le complexe et si l’ennemie leur tombe dessus c’est fini. Le docteur n’a pas pris le TARDIS pour venir, ces ennemis l’auraient repéré à la seconde où il aurait posé sa machine dans le secteur.
Il entre dans un hangar au centre il y a des dizaines de cadavres métalliques. Non, ce ne sont que des carcasses vides, mais qui semblent malheureusement indiqué au docteur qu’il a raison sur ses ennemis … les cybermens. Ces robots pensant que l’univers doit être à leur image ou être supprimer. Deux cybermens rentrent dans le hangar.
« Qui êtes-vous ?• Capitaine Jack Harkness.• Docteur• LE DOCTEUR DOIT ETRE SUPPRIMER !!! »
Les cybermens commencent à s’agiter et à venir vers le docteur.
« Une seule question combien êtes-vous?• 2. Notre vaisseau s’est écrasé ici.• Vous êtes seul et votre chaîne d’assemblage est cassée. Ces carcasses en sont la preuve. Vous n’avez rien et vous voulez tout reconstruire c’est très humain.• RIEN N’EST HUMAIN CHEZ NOUS !• Pourtant vous ressentez de la peur en entendant le nom docteur. Vous ressentez au plus profond de vos circuits une sensation étrange. Un court-circuit ? Non. Plus un programme qui s’est créé pour vous éviter de me rencontrer et de vous préserver. Vous êtes humain la preuve, vos capteurs vous disent que vos chances de reconstruction d’une unité de fabrication valide est nulle pourtant vous essayez. C’est une anomalie dans vos programmes. Alors qu’allez-vous faire. Je vous laisse le choix éteignez-vous seul, ou bien on le fait. »
Les cybermens s’éteignent laissant ainsi Jack sauver les 50 kidnappés de ces deux dernières années. Berin et le docteur partent vite et rejoignent le TARDIS.
« Je suis d’accord que tu te laisses aller mais évite le capitaine.• Pourquoi ?• Je le connais.• En parlant de ça. Vous avez dit que vous avez trop perdu. Ça veut dire quoi ?• Il y a eu des gens avant toi. Rose elle a changé mon monde, avec elle j’ai revu le monde comme je le voyais avant certaines décisions que j’ai dû prendre, je ne pourrais jamais plus la voir, puis j’ai failli tuer la famille de Martha une fille fabuleuse, Donna la femme la plus importante de l’univers une de mes meilleurs compagnonne malgré nos fréquentes disputes qui ne doit jamais se souvenir de nos aventures, sinon elle meurs, et pour finir les Ponds mes deux meilleurs amis j’ai rencontré Amélia a huit ans, j’ai était le centre de sa vie puis son mari nous a rejoint Rory le dernier centurion, si jamais je vais les voir je détruits New York. Ça te suffit comme perte où tu veux que je fasse pire.• Je … Je suis désolée Docteur.• Ce n’est pas grave, Donna est marié et heureuse, les Ponds vivent une vie de rêve dans les années 30, Martha est mariée et Rose est avec moi, bref c’est compliqué.• Quoi ? Avec vous ? Mais …• C’est compliqué … Ne pose plus jamais cette question ça serait vraiment trop compliqué. »
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