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Bertrand

Chapitre 2

Inceste
Je m’instruis
Je ne peux détacher mes yeux du corps de ma tante, c’est la première fois que je vois le corps nu d’une femme en réel. Mes mirettes se remplissent de cette image oh combien érotique.
Ma chère tante, voyant le globe de mes yeux dépassant presque le bout du nez, part d’un éclat de rire.
– Eh bien au moins, toi, tu m’as l’air intéressé, mais retourne dans ta chambre, je n’ai pas fini avec ton père et ta présence me dérange.
Un peu déçu, mais quand même content d’avoir vu ce spectacle, triste pour mon pauvre père, soumis à cette diablesse, mais c’est pour son bien, le curé, finalement, c’est pas une option, Père, il faut qu’il fasse sa vie d’homme et pas de dégorgeoirs pour bites débordantes de la paroisse, je retourne au lit avec une béquille qui m’empêche de dormir comme d’habitude sur le ventre, finalement je m’endors profondément et parts dans un rêve onirique où je me substitue à mon père et que ma tante me donne à bouffer sa chatte, c’est sans résistance que je me délecte de sa mouille. Au moment où mon trop plein est en train d’expulser, je me réveille avec le sentiment de quelque chose d’agréable au tour de mon sexe. Surpris, je mets la lumière et vois ma tante en train de me sucer le jonc et d’absorber mon excès.
– Excuse-moi, mais le dressage de ton père m’a mise à rude épreuve, il fallait que je retrouve un peu quelqu’un de viril. Comment t’as plu ce réveil ?
– Mais ma tante, c’était mieux que bon, mais tu es ma tante, même si au moment du réveil, je rêvais que je te broutais le minou.
– Cela te plairait de goûter à la saveur d’une femme ?
– Si tu n’es pas obligée de m’attacher, je veux bien essayer,  mais je veux mettre la lumière, que je voie bien.
– Bien sûr, dit-elle en allumant la lampe de chevet.
Là, juste devant mes yeux, je vois la corolle de sa fleur, prête à être butinée et déjà émettant de multiples phéromones, dans le but d’attirer ma trompe dans son calice.
Je plonge ma langue en avant dans son sexe complètement mouillé et la promène d’en haut en bas, récoltant le miellat.
– N’oublie pas mon bonbon, il est aussi là pour quelque chose et elle se penche en avant pour le mettre en face de ma langue curieuse.

Là, je découvre sa pralinée que je mets entre mes lèvres et entreprends de la sucer. Si cela manque un peu de sucre, vis-a-vis de la praline traditionnelle, j’apprécie le goût marin qui en découle.
La réaction est presque immédiate, Tatie décolle et se recolle à mes lèvres, enclenche un mouvement rampant pour augmenter le contact, mon menton est complètement inondé par ses sucs. Frénétiquement elle m’a saisi la queue et énergiquement me la secoue pour lui redonner une forme plus décente qu’une limace avachie. Arrivant finalement à ses fins, elle change de position et se place au-dessus de mon sexe et se l’enfile brusquement d’un coup mouillé. Là, c’est le rodéo, avec moi dans le rôle de l’étalon sauvage et elle dans celui du cow-boy, tressautant sur sa selle, à cette différence près que ce n’est pas moi qui essaye de la faire tomber, mais elle qui veut se faire limer sur toute la longueur.
Mais comme dit le proverbe, tant va le con à la bite qu’à la fin il éclate, ma tante finit dans un orgasme délirant en recevant le produit de mes couilles dans son antre de luxure.
– Hum c’était super, là, j’ai pris mon pied et toi tu n’es pas resté en stand-by non plus. Une bonne baise, il n’y a rien de tel pour bien dormir, bonne nuit mon neveu.
Finalement, après m’avoir roulé une pelle, pas de cantonnier, elle se débranche et mettant sa main sur son minou, pour ne pas mettre partout le résultat de notre fornication, elle regagne sa chambre pour finir la nuit. Je suis un peu déçu, je n’ai pas pu tripoter ses nénés, alors que j’en rêve depuis longtemps.
Le lendemain, on dirait qu’il n’y a pas eu d’événements cette nuit, tout le monde est devant son bol de café sans piper un seul mot, même mère, qui pourtant le matin tient le rôle de la pipelette de service, est coite.
– Qu’est-ce que vous avez ? Il y a une catastrophe nationale ?
– Non, juste un peu de fatigue matinale !
– Moi, j’ai plutôt une grosse fringale.
– Bertrand, tu ne veux pas me remplacer aujourd’hui vers ta mère, je dois m’absenter pour la journée et je me doute que ton père ne sera pas à la hauteur.
– Sans problème.
– Alors je peux partir sans autre ? Il faut que je me dépêche pour prendre le train. Je n’ai pas eu le temps de lui faire sa toilette, j’espère que cela ne te posera pas de problème.
– Non, mais tu reviens ce soir ? Mère si je t’apporte le téléphone, tu peux informer le lycée que je ne serais pas présent aujourd’hui, si je dois te garder ?
– Mais oui mon poussin.
– Poussin, je dirai plutôt coq, se moque ma tante à l’adresse de sa sœur. Méfie-toi, je viens de lui apprendre à quoi sert ce qui pend entre ses jambes. Je me sauve.
– Mère, tu veux que je fasse ta toilette maintenant ?
– Non, je veux d’abord aller sur les WC, si tu peux m’aider.
– Je vais d’abord t’enlever ton pyjama, si tu peux te soulever un peu.
Je dégage le pantalon et contrairement à Tatie, je vois un beau barbu qui me fait face. Ma mère rougissante s’excuse de devoir me demander de lui aider à faire ses besoins. L’empoignant sous les bras, je la soulève et la met sur la lunette des WC. Après avoir bien uriné, j’entends 3 poufs retentissants.
– Peux-tu encore m’essuyer, j’ai vraiment de la peine.
Je prends un bon morceau de PQ et essuie d’abord un peu la motte, puis passe par-derrière pour nettoyer le fondement et la remet tel quel sur la chaise, sans remettre le pyjama pour la conduire dans sa chambre et faire sa toilette.
– Tu ne me ferais pas couler un bain, cela fait deux jours que je n’en ai pas pris et je me sens un peu sale.
– Oui, tout de suite et à la place de la diriger vers son lit, je la dirige vers la salle de bain.
J’ouvre les robinets, règle la température et en attendant que la baignoire soit pleine, je n’ai rien d’autre à faire que de la préparer à entrer dedans. Je lui enlève son haut de pyjama et elle est nue devant moi. Je ne peux m’empêcher de la regarder et de l’admirer, me rappelant la nuit précédente, je sens, malgré moi une excitation me prendre le bas ventre.
Enfin la baignoire est remplie et la température est bonne, je prends maman dans mes bras et la dépose dans le bain. Je la laisse un moment pour se délasser en l’admirant de plus en plus, ce qu’évidemment elle remarque.
– Mais tu m’observes !
– Oui, et je te trouve très belle, je ne comprends pas père, tu es une femme ravissante.
– Mais mon fils, ce n’est pas bien d’avoir de telles pensées à propos de sa mère.
– Quelles pensées, maman ?
– Mais tu sais bien !
– Non, je ne vois pas, répliquais-je taquin, voulant qu’elle aborde le sujet.
– Mais les pensées qu’un homme, à part ton père, a quand il voit le corps d’une femme nue.
– Ah ! Et quelles pensées a un homme quand il voit le corps d’une femme nue.
Rougissant de plus belle, elle m’avoue qu’il s’agit de pensées que réprouve la morale et d’un mouvement plus ou moins rapide elle serre et desserre ses cuisses. J’ai l’impression que son minou la démange. Bon prince, je lui demande si elle veut que je la savonne dans le dos, les fesses et les jambes qu’elle a de la peine à atteindre.
– Oui, mais viens me rejoindre dans la baignoire, j’aimerais pas qu’il y ait de l’eau partout.
– Tout nu ?
– Oui, je t’ai déjà vu quand je devais te faire prendre ton bain, c’est pareil.
– Mais je ne sais si je suis présentable, je suis grand maintenant.
– J’espère que j’en perdrais pas la vue, on peut tenter l’expérience.
C’est ainsi que je me déshabille pour rentrer dans le bain, avec une érection diabolique. Mère ouvre de gros yeux en fixant l’excroissance qui jaillit entre mes jambes.
– Oups ! C’est vrai que tu as grandi et surtout cette chose qui te fait rougir.
Je commence à lui savonner le dos, lui shampouiner les cheveux, laver les épaules, la tête et pour ce faire, je viens de l’autre côté, devant elle, avec ma matraque qui pend toujours entre mes jambes.
Délicatement, elle la prend dans sa main, alors qu’elle est bien gonflée.
– Dis mon fils, je vous ai entendu cette nuit avec ma sœur, je comprends qu’elle ait apprécié, tu as un très bel outil pour les dames, me dit-elle en me caressant doucement la queue, mais sa douceur et le fait que ce soit elle qui me touche m’amène rapidement à un point de non-retour.
– Maman, si tu continues, je ne vais pas pouvoir me contrôler, c’est trop bon.
– Cela ne fait rien, j’aimerai tant voir un sexe jouir par moi, cela fait si longtemps que je n’en ai pas vu, laisse-toi aller mon chéri.
Du coup, sans rien ajouter, elle avance sa bouche et met mon sexe dedans. C’en est trop pour moi, je ne peux me retenir et explose dans sa bouche en lui tenant fixement la tête.
Elle avale ma semence tout en remarquant qu’elle n’aime pas trop cela.
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