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Un besoin désespéré

Chapitre 3

Trash
À la sortie du lycée, Charlotte était toujours sous le choc et pleurait inlassablement en répétant qu’elle se sentait souillée et humiliée. Rosalie, pour sa part, ne pouvait s’empêcher d’éprouver un certain plaisir de s’être vengée de son amie avec la complicité de son professeur. En effet, la soumission de son amie lui avait procuré une certaine excitation qu’elle dissimulait aux yeux de celle-ci afin de ne pas la blesser davantage.
Afin d’éviter les questions indiscrètes, les deux amies décidèrent de gagner le domicile de Charlotte à pied. Après un quart d’heure de marche, les deux lycéennes atteignirent leur destination. Avant que Charlotte ne rentre pour se remettre de ses tristes émotions, Rosalie essaya de la réconforter en lui disant qu’elle pouvait l’appeler à n’importe quelle heure du jour et de la nuit si elle en éprouvait le besoin. Charlotte la remercia et referma la porte.
Sur le chemin du retour, Rosalie fut envahie par un long combat intérieur. Comment pouvait-elle éprouver un plaisir aussi malsain à avoir pris part à l’humiliation de son amie ? Elle méprisait son professeur donc, par conséquent, elle aurait dû refuser l’offre perverse de celui-ci pour défendre son amie. Pourtant, elle avait accepté. Plus par excitation que par contrainte.
Agitée par ces pensées contradictoires, Rosalie gagna sa résidence.
Elle déposa ses sacs puis décida de prendre un bon bain histoire de se remettre de cette journée plus que spéciale. Nue, elle attendit que la baignoire soit remplie à un niveau convenable pour s’immerger avec délice dans l’eau chaude.
La jeune lycéenne barbota un moment dans son bain puis elle se passa du savon sur le corps en insistant plus particulièrement sur les seins. Ce simple geste fit ressurgir dans sa mémoire les caresses buccales que Charlotte lui avait prodiguées contre son gré quelques heures plus tôt.
En étalant le savon sur son ventre, Rosalie eut en tête le souvenir du cunnilingus que son amie lui avait fait et du plaisir qu’elle en avait tiré. Plus l’image s’imposait dans son esprit, plus la jeune femme massait frénétiquement son clitoris jusqu’à être emportée par la jouissance.
Remise de son orgasme coupable, Rosalie finit de se laver et sortit de la baignoire pour revêtir son pyjama et gagner sa chambre pour se plonger dans le monde des rêves.
Le lendemain, profitant d’une heure libre, Rosalie prévit de se lever vers 8 heures mais, alors qu’elle dormait encore d’un demi-sommeil, la sonnerie de son portable retentit. La jeune lycéenne consulta le numéro qui s’affichait : c’était celui de son lycée.
— Allô ?— Bonjour, Rosalie. C’est Madame Blanchet à l’appareil. Je sais bien que vous avez une heure de libre normalement mais il faut que vous veniez dans mon bureau de toute urgence. — Euh... Oui, bien sûr. J’arrive tout de suite.
En raccrochant, Rosalie sentit un frisson lui parcourir le dos. En effet, Christine Blanchet était la directrice du lycée. À 40 ans, on disait d’elle qu’elle avait la réputation d’être aussi glaciale que belle. De plus, elle ne convoquait les élèves dans son bureau que pour des choses extrêmement graves. Avait-elle été mise au courant de ce que Charlotte avait fait deux jours auparavant ?
Pendant toute la durée du trajet, la jeune femme ne pouvait s’empêcher à cette éventualité effrayante. En arrivant dans l’enceinte du lycée, Rosalie entra dans le bâtiment des professeurs et frappa à la porte de la directrice. La voix de Christine Blanchet lui répondit d’entrer.

En entrant dans la pièce, la jeune lycéenne vit qu’elle ne serait pas seule avec la directrice. En face du bureau de Christine Blanchet, assises sur une chaise, se trouvaient Charlotte et une fille de la classe de Rosalie du nom d’Antonella. La jeune femme prit place sur la chaise demeurée inoccupée dans la pièce.
— Maintenant que vous êtes toutes les trois là, je vais vous dire pourquoi je vous ai convoquées pendant votre heure de libre. L’objet de votre convocation qui nécessite la plus grande discrétion est le suivant : hier après-midi, en sortant de la douche, votre camarade Antonella a entendu votre professeur de sport s’adresser à vous deux de manière salace. Elle est venue m’en parler et j’ai demandé à votre professeur de sport de me rendre compte des affirmations de votre camarade. Il a confirmé les dires d’Antonella et m’a tout raconté dans les moindres détails. C’est pourquoi, Charlotte, vous comprendrez que je ne peux vous laisser poursuivre vos études dans cette école. À moins que je ne fasse preuve de clémence. — Comment cela, Madame la directrice ?— Étant donné que vous avez séché les cours pour vos petits plaisirs zoophiles, je voulais accomplir mon devoir en vous renvoyant pour faute grave mais votre professeur de sport m’a convaincue de vous laisser une alternative.— Quelle est cette alternative, Madame la directrice ?— Je vous la communiquerai sous peu mais, pour le moment, je vais suivre l’exemple de votre professeur de sport. Déshabillez-vous, Charlotte !— Mais... Madame la directrice !— Il n’y a pas de "mais" ! Soit vous m’obéissez, soit je vous renvoie !
Charlotte continua d’implorer la directrice en murmurant des "pitié" et en joignant les mains comme si elle faisait une prière. Christine Blanchet n’en fut que plus énervée.
— Bon, Rosalie, Antonella, vu que cette petite sotte est incapable de se déshabiller toute seule, vous allez lui retirer ses vêtements vous-mêmes !
Contraintes, Rosalie et Antonella s’employèrent à déshabiller Charlotte qui se laissa faire, vaincue par l’argument massue de la directrice.
Lorsque Charlotte fut mise à nue, les trois filles virent Christine Blanchet debout derrière son bureau, complètement nue elle aussi.
— Bon, maintenant que cette petite sotte est nue, déshabillez-vous aussi, Rosalie et Antonella.
Sans discuter, les deux lycéennes obtempérèrent. La directrice les fit assoir d’un geste et contourna son bureau, dévoilant au niveau de ses reins un gode-ceinture long d’une vingtaine de centimètres. Elle saisit ensuite les mains de Charlotte et les tira à elle pour forcer la jeune femme à se lever.
— Maintenant, les filles, vous allez voir comment on punit les petites garces comme elle. Je vous garantis qu’avec la correction que je vais lui faire subir, vous ne serez pas tentées de l’imiter. Charlotte, à genoux devant moi !
Charlotte obéit à l’injonction tandis que Christine Blanchet lui bloquait la tête à quelques millimètres de son gode-ceinture.
— Sucez !
L’ordre avait claqué si sèchement que Charlotte s’empressa de gober la moitié du gode-ceinture sous les regards mi-compatissants, mi-excités de Rosalie et Antonella.
Désirant ardemment la fin de ce calvaire plus que tout, Charlotte s’appliquait à faire coulisser ses lèvres sur toute la longueur de l’impressionnant joujou de Christine Blanchet. Malheureusement, son application devait ne pas être au goût de la directrice qui repoussa le visage de Charlotte.
Christine Blanchet releva ensuite sa soumise et la fit assoir sur une chaise. Elle ouvrit ensuite un tiroir de son bureau et en sortit une corde.
— Rosalie, Antonella, faites en sorte qu’elle ne tente pas de se lever de cette chaise !
Devinant ce que la directrice souhaitait faire à Charlotte, les deux spectatrices se placèrent de part et d’autre de leur camarade et lui maintinrent les poignets derrière la chaise.
La directrice passa ensuite la corde autour des poignets de Charlotte et l’attacha à la chaise tandis que Rosalie et Antonella regagnaient leurs sièges.
Christine Blanchet se plaça ensuite face à Charlotte, son gode-ceinture à quelques centimètres de l’intimité de la lycéenne.
— Visiblement, vous n’êtes vraiment bonne à rien, Charlotte. Je me demande même comment votre chien a pu avoir le moindre plaisir avec vous.— Madame la directrice, s’il vous plaît, je vous en supplie, arrêtez ! Je vous demande pardon, je ne recommencerai plus !
Pour toute réponse, une gifle violente frappa la joue de Charlotte.
— Silence, petite idiote ! Vous avez commis une faute. Par conséquent, vous devez être punie comme il se doit !
Sur ces mots, la directrice administra une nouvelle gifle à Charlotte.
— Vous me dégoûtez, Charlotte. Vous n’arrivez même pas à trouver un petit copain pour faire vos galipettes. Vous avez besoin de votre chien pour prendre votre pied. Vous êtes vraiment pitoyable, ma pauvre. Une pauvre petite catin désespérée, voilà ce que vous êtes ! Et moi, les catins dans votre genre, je les dresse !
Christine Blanchet se racla la gorge et un jet de salive souilla la figure de Charlotte sous les yeux luxurieux de Rosalie et Antonella.
Au fur et à mesure que la directrice poursuivait ses gifles et ses crachats sur sa soumise, les deux jeunes femmes, excitées, s’assirent sur le sol, très proches l’une de l’autre, et commencèrent à se caresser mutuellement.
— Maintenant, les filles, vous allez voir comment on rend la pareille aux chiennes dans son genre !
Christine Blanchet libéra Charlotte et la força à se pencher sur son bureau de façon à ce que son fessier soit exposé à la vue de ses camarades.
La directrice se plaça ensuite derrière elle et, sans crier gare, enfonça son sextoy d’une traite dans son fondement, ce qui arracha un cri de douleur à Charlotte. Christine Blanchet la fessa avec tant de force que le bruit de la claque résonna dans toute la pièce.
— Par Dieu, fermez-la bon sang ! Vous voulez vraiment que toute l’école découvre que vous n’êtes qu’une chienne ?
Sans laisser le temps à Charlotte de répondre, la directrice poursuivit ses va-et-vient dans le petit trou de sa soumise en ponctuant chacun de ses allers d’une claque sur son fessier.
Au terme d’interminables minutes, Christine Blanchet se retira de l’anus de Charlotte et retira son gode-ceinture.
— Antonella, Rosalie, voyant que ce spectacle vous a plu, en raison de votre aide précieuse ce matin, je vais vous laisser essayer. Voulez-vous enculer votre chienne de camarade pendant le peu de temps qu’il vous reste ?— Pardonnez-moi, Madame la directrice mais je ne suis pas très friande de ces pratiques. — Cela ne fait rien, Rosalie. Je comprends votre opinion. Et vous, Antonella ?
La jeune femme regarda sa camarade comme pour chercher son approbation. Rosalie lui caressa le bas-ventre et lui montra la direction de Charlotte, toujours maintenue dans son inconfortable position par Christine Blanchet.
Antonella se leva de sa chaise et la directrice l’aida à s’équiper du gode-ceinture.
— Voilà. Allez-y, Antonella, je veux que vous vous déchaîniez.
La jeune lycéenne n’eut pas besoin de se le faire répéter. Suivant l’exemple de Christine Blanchet, Antonella enfonça le gode-ceinture jusqu’à la garde dans le fondement de Charlotte qui hurla de nouveau de souffrance.
Excitée par cette initiation à une pratique qu’elle n’avait encore jamais expérimentée, Antonella se laissa emporter par les cris de Charlotte, allant et venant de plus en plus rapidement et fortement dans l’anus de sa camarade sous les yeux approbateurs de Christine Blanchet.
Après qu’Antonella se fut retirée du fessier de Charlotte en lui administrant une fessée magistrale et ôté le gode-ceinture, la directrice reprit place derrière son bureau.
— Bon, à présent, nous allons pouvoir parler de votre avenir ici, Charlotte. En agissant comme vous l’avez fait, vous avez traîné dans la boue le travail des secrétaires et celui de vos professeurs. C’est pourquoi, à titre de réparation, vous vous plierez à toutes les exigences des secrétaires ainsi qu’à celles des professeurs dont vous avez manqué les cours, à savoir : votre professeur de mathématiques, votre enseignante d’histoire et votre professeur de français. Et ce, jusqu’à la fin de l’année scolaire. Bien entendu, je me réserve le droit de vous faire venir dans mon bureau au cas où je voudrais à nouveau me divertir un peu. Il va également de soi que vous ne devez parler à personne de ce que vous avez fait. Nous ne voulons pas d’ennui comme ceux qu’a eu le lycée Condorcet. C’est pourquoi nous agirons en toute discrétion sans y mêler vos camarades. Rosalie, Antonella, vous pouvez disposer. J’ai encore une petite chose à régler avec Charlotte.
Les deux jeunes femmes se rhabillèrent et sortirent du bureau de Christine Blanchet.
— Rosalie ?— Oui, qu’est-ce qu’il y a ?— En fait, je voulais te dire que je me sens un peu mal d’avoir fait ce que j’ai fait à Charlotte. Si je n’avais pas raconté ce que j’ai entendu à la directrice, rien de tout ça ne serait arrivé. Je pensais vraiment vous aider, toi et Charlotte. J’ai eu tort, pardonne-moi. — Il n’y a rien à pardonner, Antonella. Moi aussi, je me suis trompée. Je pensais que Charlotte ne me lâcherait jamais et pourtant, elle m’a laissé me taper la honte pour prendre du bon temps avec son chien. Ça me dégoûte. Honnêtement, tout ce qu’il lui arrive, c’est bien fait pour elle. — Mais c’est quand même ta pote, tu vas forcément oublier ça un jour. — Peut-être mais pour le moment, j’ai envie de m’amuser de son malheur. Et pour cela, j’ai une petite idée. Tu marches avec moi ?— Oui, bien sûr.
Les deux lycéennes échangèrent un long baiser langoureux avant de gagner leur salle de cours.
[ à suivre ]
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