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Le bestiaire. Lizzie cat-girl

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Je me suis levé en premier, j’ai fait le café et je suis allé au village pour acheter quelques viennoiseries.De retour, comme elle dormait toujours, je suis resté à attendre son réveil.Une heure plus tard, elle descendait me rejoindre.
Sa mine était tranquille, sa confession de la nuit l’avait vraisemblablement soulagé d’un poids.Aline était venue contre moi, les bras autour de mon cou.Elle me donnait le plus doux des baisers, j’ai toujours aimé ses tendresses du matin, lorsque sa langue force mes lèvres, ouvre ma bouche et vient s’amuser dans mon palais.Ce matin elle était particulièrement d’humeur câline, amoureuse... chaude.Elle s’installa, je lui avais servi une bonne tasse de café frais, déjà elle attaquait les croissants.Moi je vaquais entre le grille-pain et la table, tout attentionné pour elle.
Elle buvait son jus d’orange quand soudain elle me demanda un peu de lait.J’avais ouvert le frigo, sorti la brique et j’allais la lui apporter, quand soudain une petite polissonnerie traversa mon esprit.L’envie était si forte que je ne résistais pas plus longtemps.Sur la table j’ai posé devant elle une petite coupelle, puis sous ses yeux, je l’ai rempli de bon lolo tout frais.Elle a levé les yeux vers moi, il y avait de la surprise dans son œil, mais aussi une petite lueur perverse qui me médusa totalement.Mais elle ne se démonta pas, elle se pencha en avant et commença à laper méticuleusement son écuelle.Je voyais sa petite lécheuse lamper le lait, elle sirotait son nectar par petits mouvements rapides. Il y avait de petits bruits de clapotis à chaque impulsion, elle se régalait, cela se voyait bien.Une fois terminé elle licha la faïence pour qu’il n’en resta rien, puis se pourlécha les babines, la tête bien relevée, ses yeux dans les miens.Elle était magnifique, divinement féline, avec sa petite moustache de lait sous le nez, et cette vision m’excita, enflamma ma turgescence.Elle remarqua immédiatement la grosse bosse que j’avais sous mon survêtement.
Elle me fixa de nouveau, sa langue finissait de nettoyer les dernières gouttes sur ses commissures, quand elle s’écria:« - Encore ! »...
Alors j’ai reversé un peu de liquide dans sa gamelle improvisée, puis lentement j’ai fouillé dans mon jogging, sorti ma verge et je l’ai trempé dans son breuvage.Ma pine ruisselait, quelques gouttelettes blanches glissait de ma tige et gouttait dans la coupelle.Aline rouvrit sa bouche, ressorti sa langue et la posa sur mon sexe.Elle courait sur ma hampe, la nettoyant par petites lichettes, et lorsqu’elle fut propre je la replongeais, mais cette fois je pris soin de bien m’imbiber les couilles.Comme une petite chatte gourmande, elle reprit sa dégustation.C’était un délice, sa langue sur mes bourses, sur ma hampe, mon gland qu’elle décalotta enfin par son savant fignolage.C’était tellement érotique que je ne pu me retenir, un grand jet de foutre jaillit, en plein sur sa langue, mais la chatte continua son manège, avala toute ma semence, décrassa ma bitte, puis termina sa coupelle de lait, comme si de rien n’était.
J’ai collé ma bouche sur la sienne, elle avait des saveurs lactées, ou se mêlait mon sperme et sa salive, c’était exquis, agréable, enivrant.
Je serais bien resté, mais il fallait que je la quitte. Ce matin un mail était tombé, encore un couac informatique à résoudre.J’ai longuement effleuré sa joue, et en partant, je me suis entendu lui dire, ces mots qui sortirent instinctivement: « - A plus tard ma petite Lizzie... ».Elle m’a regardé sortir, son regard trahissait son émotion...
Trois heures de l’après midi, j’étais encore sur la restauration système, mais j’en voyais enfin le bout.Aline rentra, elle ne portait rien.Elle tournait et virait tout autour de mon siège. Moi, comme une pub Aubade, je feignais l’indifférence.D’un coup comme un chat facétieux qui réclame toute attention, elle grimpa sur mon bureau et s’allongea sur mon clavier.Aline réclamait ses caresses, ou Lizzie... je ne savais plus.
Ses hanches me barrait l’accès à l’écran, je compris qu’il me faudrait la satisfaire pour pouvoir poursuivre ma tâche.Alors j’ai commencé, par petits frôlements, de sa nuque à ses fesses. Ma main s’est faite aérienne, la chair de poule apparaissait sur sa peau.A chaque passage, elle levait son petit derrière à la recherche de ma paume, elle soupirait, couinait, gémissait comme un appel à plus de douceur, à plus de déférence sur sa croupe.Son anus commençait à se dilater, une petite odeur un peu forte de crotte montait de sa raie.Sa vulve imbibée me criait de prolonger mes effleurements, elle s’était offerte à moi, en complète impudique et n’attendait plus que je la ravisse, pour que la féline en elle puisse s’accomplir.Ça y est, elle venait de goûter encore une fois à se fruit défendu, sans même se toucher.La jouissance l’avait foudroyé d’un coup.Qu’elle était belle, là, offerte, soumise à la dictature de ma menotte.
En quittant la pièce, dans l’embrasure, elle me remercia, pas un mot de plus.Je l’avais encore une fois comblée de ma touche.Moi je restais déconcerté, notre relation était en train de changer, il fallait prendre une décision, continuer ou tout arrêter, là était la question.
Vers la fin de l’après midi, elle revint dans mon bureau.Elle portait une tenue de Catwoman, en cuir noir, alors je l’ai immédiatement stopper dans son élan.Il me fallait être sévère, pour ne pas me laisser déborder.La situation cependant, commençait à m’émoustiller, voir carrément à m’exciter.Je ne savais plus moi même, si j’avais envie de retrouver mon Aline ou d’exclusivement choyer mon nouvel animal de compagnie.
Ma libido pour elle était en train de s’éteindre, au profit d’une nouvelle, basée sur la dépendance du maître et de sa chatte, du dominant sur sa dominée.J’étais perdu, mais fou d’envie de prolonger ce jeu de débauchés.
Alors je fus un peu dur.« - Belle tentative pour le costume, mais franchement, je n’ai pas envie d’avoir pour maîtresse une héroïne de comics... », elle resta interloquée.
« - Si tu veux parfaire ton fantasme, tu peux mieux faire. N’est ce pas ton métier de dessiner de vraie tenue? Plutôt que de te vêtir de cette pale imitation de bande dessinée américaine... ».Elle ne disait plus rien, comme prise en défaut.Dès lors je poursuivis, il fallait que cela sorte, mais très vite les mots ont dévoilés mes pensées, puis ont livré mes fantaisies les plus secrètes.Je ne remettais rien en question, le divertissement me convenait, mais il faudrait pour elle pousser un peu plus loin dans la fantaisie, peut-être même aller jusqu’au bout, sans concession, sans frein, sans limite.Car devant l’ampleur que cela prenait, elle devait pleinement s’assumer, s’offrir toute entière à sa pulsion, quelle fut licencieuse aux regards des autres, mais certainement pas au mien.
Elle ne prononçait plus un mot.
J’ai saisi une feuille de papier blanc, dessus j’ai dessiné à la hâte deux silhouettes, l’une de face, l’autre de dos.J’ai commencé l’ébauche d’une tenue, indécente au possible.Mon trait couchait sur le vélin mes désirs les plus fous, les parties ajourées pour dévoiler son corps, son dos, ses seins, sa vulve...Puis vinrent les accessoires, la couleur de sa robe bleuté comme un Chartreux.J’essayais de n’omettre aucun détail, mais je savais que si elle approuvait, elle y mettrait tout son art, sa patte aussi. J’espérais intérieurement qu’elle adhère.
Je lui tandis mon croquis.« - Tu as une semaine, en attendant, plus de Lizzie.Je veux profiter pleinement de ma douce Aline.Ensuite, on verra bien... Toi seule devra décider... ».
Elle est parti penaude, elle était au pied du mur.Il lui fallait à présent choisir elle même le chemin qu’elle désirait emprunter.
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