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Le bestiaire. Lizzie cat-girl

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Je n’aurais jamais dû décrocher.A l’autre bout du fil j’ai immédiatement reconnu sa voix, pourtant je ne l’avais vu que deux fois dans ma vie.Je ne l’appréciais guère... c’était d’ailleurs réciproque pour elle.
C’était Alice...
Les jumelles ne se parlaient plus depuis des années, mais là elle était en pleurs et me suppliait de lui passer sa sœur, celle-ci refusait en bloc de lui parler.Pour qu’elle m’implore de plaider sa cause auprès d’Aline, il fallait que se fut grave; je savais incontestablement que je n’étais pas particulièrement en odeur de sainteté avec elle.Alors comme Aline rechignait à la prendre, je dû temporairement et pour la première fois, interrompre le jeu, comme le stipulait le contrat entre nous.
Ma chérie prit le combiné à contre-cœur.Contre toute attente, elles restèrent trois longues heures au téléphone, puis elle raccrocha. Elle m’expliqua que sa jumelle venait de quitter son mec, un capitaine d’industrie doublé d’un triste sire. Il l’avait trompé à maintes reprises, mais à présent qu’elle était parti, il la poursuivait sans cesse, lui rendait la vie impossible.Il avait fait le tour de tout ses amis un à un, la persécutant sans relâche.Alice n’avait plus nulle part ou aller, à part chez cette sœur qu’elle avait délaissé, et où il ne penserait sûrement pas venir la chercher.
« - Elle arrive demain... », lâcha t-elle.Elle en fut malade de toute la soirée, la perspective de redevenir humaine ne l’enchantait guère, mais la solidarité familiale l’emportait, malgré leurs désaccords passés.
Lizzie me quittait temporairement, mais je retrouverais Aline, qui me manquait parfois.L’amour d’un animal de compagnie est certes agréable, mais nos discussions sur la banalité de la vie, notre connivence me faisait cruellement défaut.
Alice arriva tôt le lendemain matin, avec comme seul bagage, un grand sac de voyage contenant simplement quelques effets personnels.Elle avait dû dégusté, elle n’arrêtait pas de pleurer.Elle nous raconta sa vie.
La cadre supérieure épanouit, avait en fait une existence plutôt triste, vide, sans but.Aline redevenue pour l’heure ma femme, lui promit asile et protection, et moi en bon beau-frère compréhensif, je confirmais du bout des lèvres.
Il était inutile de prendre le moindre risque, le coco finirait un jour par venir juste ici.Il fallait trouver un subterfuge et Aline eut une idée de génie, enfin pas trop à mon goût; au vue de mes relations avec sa frangine.
Aline devait partir à Moscou quinze jours, voir trois semaines, pour des essayages au Bolchoï.Alice prendrait donc sa place, cela ne m’enchantais guère, mais n’avais-je pas fixé les règles, «le travail avant tout», je m’en mordais les doigts à présent.Elle trouva très simple de lui passer sa personnalité, le temps de son absence, Alice deviendrait officiellement Aline.Comme cela, à la probable venue du crétin, il ne trouverait que sa jumelle, et nulle d’autre.
Aline s’empressa dès le lendemain, de bazarder au secours populaire toutes les tenues de sa sœur, dorénavant sa garde robe devenait la sienne.Elles partirent chez le coiffeur assortir leurs coupes et leurs couleurs de cheveux, à leur retour j’avais à la maison, deux chéries parfaitement identiques.
Aline était parti un lundi matin, moi de mon côté j’avais demandé aux voisins de surveiller et de me signaler toutes voitures étrangères, on n’était jamais assez prudent...
Nous prenions notre café dans la cuisine, quand soudain Alice remarqua un petit détail que nous avions oublié, la caisse de la chatte, pleine de sciure.« - Vous avez un chat ? ».« - Euh oui balbutiai-je... », un peu pris au dépourvu.« - Mais elle n’est pas là pour le moment, elle ne sera pas de retour avant plusieurs semaines... », ouf, il s’en était fallut de peu.Je ne lui avais pas menti, c’était déjà cela, car Lizzie reviendrait bientôt dans ma vie... J’en étais sûr.
Alice me troublait de plus en plus, elle prenait son personnage d’Aline très au sérieux, d’ailleurs elle répondait plus qu’à ce prénom.Moi de la voir habillée comme ma chérie, mettre ses crèmes, son maquillage... ses dessous aussi, tout cela m’embrumait la tête.Alors, pour passer le temps, nous allions faire des ballades, ou les courses au bourg, comme les deux amoureux que nous étions sensé être.Elle enlacée contre moi, prenait son rôle très à cœur...
La nuit, sur les instructions de sa sœur elle partageait ma couche, nue comme elle, avait recommandé sa jumelle, l’illusion de notre intimité devant être parfaite.Moi je me tournais dans le lit, avec de la difficulté pour m’endormir, surtout lorsque dans un demi sommeil, elle finissait par venir blottir son corps chaud contre moi.Ma femme était là, à mes côtés, mais ce n’était pas vraiment elle.
Nous avions raison d’être prudent, un matin le téléphone sonna.C’était Bernard, le patron du bar tabac, un parigot était venu lui demander ou nous habitions.Il lui avait indiqué la route, mais pas la plus directe, cela nous laissait juste dix minutes de répits, et au moment ou je raccrochais, on frappa à la porte.Il avait fait vite le bougre.
J’enfilais fissa un bas de survêtement et descendit ouvrir. C’était lui, à peine gêné. Il se présenta, m’expliqua qu’il était à la recherche de sa femme, moi je feins l’étonné.«Aline» arriva en peignoir. Il nous demanda si nous avions des nouvelles d’Alice, si nous savions où elle pouvait se cacher.Ma chérie improvisé fit preuve d’un grand sang froid, elle lui proposa d’entrer prendre un café, il accepta.Nous le primes dans la cuisine, lui expliquant que non, nous ne savions pas où était sa femme, que de toute façon, la jumelle nous avait gommé de sa vie.Je fis un grand monologue, ou je lui exprimais mon sentiment sur cette frangine que je qualifiais: de petite pimbêche, de sombre prétentieuse et tout un tas de nom d’oiseau à son encontre.J’avais cela sur le cœur de toute façon et Alice, sous l’anonymat de ma moité le reçu en pleine face. « - Félix, tu exagères ! », me dit-elle.« - J’exagère !, après tout le mal qu’elle t’a fait... ».« - Tu as raison mon chéri, ne parlons plus d’elle... », et elle se leva et vint m’embrasser sur la bouche.Je fus un peu surpris, mais l’autre imbécile ne le remarqua pas.Mais Alice piquée au vif voulait avoir le dernier mot, et vint s’asseoir à califourchon sur moi, et reprit ses baisers fougueux.Je n’avais jamais trompé Aline, mais là, emporté par notre comédie, j’avais lâché prise, et ma bouche se colla à la sienne, un long moment.
Je fis visiter la maison à notre visiteur importun, devenu sans le savoir, sous ses propres yeux, cocufié à son tour.«Aline» poussa le vice de lui proposer de rester déjeuner avec nous, voir de rester passer ici quelques jours, pour faire un break, après tout, n’était-il pas devenu dès à présent son beau-frère...Il refusa poliment. Avant de partir, il nous félicita.Nous formions pour lui un merveilleux couple, alors j’enfonçais une dernière fois le clou.« - Et oui, j’ai pris la meilleure des jumelles... pas de bol ! ».
Quand la voiture eut disparue, nous éclatâmes de nouveau de rire en nous serrant fort.C’est là qu’elle a recommencé à me rouler une pelle.Cette fois ci, j’ai totalement abdiqué, et nous avons finit sur la canapé à faire l’amour, encore et encore, toute la journée.
Le soir venu, j’étais là, assis sur le sofa.Je me sentais sale, pas fier de moi.Je venais de tromper Aline avec son double.Je l’avais baisé sans relâche, dans toutes les positions. J’avais souillé son ventre avec ce foutre qui appartenait à une autre.J’avais fait l’amour à ma femme, alors que je savais pertinemment que ce n’était pas elle.
Je n’avait même pas la force de prendre une bonne douche, préférant resté comme cela, nauséabond, avec ma honte et les remords de ma trahison.Seule la gloire d’avoir orné de cornes le front de l’autre idiot, m’apporta un peu de réconfort.
Alice l’avait senti, elle s’approcha de moi et me confia que cela avait été prévu par sa sœur, et que cela ne prêterait pas à conséquence.Cela ne voudrait juste dire que la ressemblance était totale, et c’est cela qui devait primé, pas la crainte d’un malheureux adultère.Elle me tendit un papier.Aline avait laissé un mot à mon attention au cas où cette éventualité serait devenu réalité.«Félix, prend soin d’Alice comme si tu le fais avec moi depuis toutes ces années. Choie la comme moi même, de tout cet amour que tu me portes...Ton Aline qui t’aime.»
Je me sentis un peu moins abject.«Aline», me câlinait doucement, m’avoua aimer être sa jumelle, qu’elle l’avait très souvent envié toutes ces années, malgré leurs différents.
Elle se leva, m’attrapa la main et me tira vers la chambre.« - Viens, viens me refaire l’amour... Viens me prendre mon délicieux amant.Parce que là, à présent, je ne suis plus ta chieuse de belle-sœur, je suis ta chérie, ton Aline, ta femme... ».Cette nuit là, «Aline» et moi nous nous sommes encore unis, puis les autres nuits aussi, souvent même des journées entières.
Alors je l’ai prise avec passion, j’ai redécouvert ce corps qui me manquait depuis l’entrée de Lizzie dans ma vie.J’ai engouffré ma verge dans son calice, son vagin était toujours aussi doux, aussi accueillant, humide de délectation, d’envie aussi.La doublure s’est laissé prendre, allongé sur le dos, ses jambes relevées, arrimées sur ma taille pour exalter mon plaisir, comme elle sait si bien le faire à chaque fois que nous faisons l’amour.Puis à la première décharge, elle est venu contre mon sexe pour lui redonner de sa langue toute sa vigueur.Une fois victorieuse, elle s’est retournée comme à son habitude, à quatre-pattes, pour m’offrir sa croupe en pâture, se laissant dominée, assaillir sous mes coups de butoir.J’ai aimé à la folie qu’elle se donne sans réticence et lorsque le double s’est faite plus imaginative, et qu’elle a exaucé mon fantasme le plus fou, j’ai adoré.J’ai pu enfin goutter à ce fruit défendu qu’Aline m’avait toujours refusé et qu’aujourd’hui elle m’offrait grâce à ce merveilleux substitut. Ma virilité s’est épanouit dans la chaleur de sa raie, puis amadouer par mon gland ses sphincters se sont dilatés pour m’ouvrir ce passage que j’avais tant espéré emprunter un jour.Je me suis enfoncé dans cet étroit conduit qu’elle m’avait toujours refusé et que «mon Aimée» livrait enfin à ma bestialité de mâle.Je l’enculais avide de nouvelles sensations, ma verge déflorait ce trou jusqu’ici interdit.J’ai retroussé ses entrailles, la bave aux lèvres, flattant chaque replis de son colon, imbibant de sa merde mon sexe, jusqu’à ce qu’il finisse par crier grâce et vide enchâssé à l’intérieur, sa semence copieuse. «Mon Aline» en parfaite docile, reprenait alors en bouche ce sexe qui venait de la combler. Elle n’était plus lécheuse, mais ma suceuse fantasmée.Elle me dorlota longtemps au fond de sa gorge, flattant ma mollesse de sa langue gourmande, attendant patiemment qu’elle retrouve toute sa puissance et que je la reprenne jusqu’au bout de la nuit.Une chose est certaine, je n’ai jamais baisé Alice, et elle, n’a jamais volé le mari de sa jumelle.
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