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Le bestiaire. Lizzie cat-girl

Chapitre 6

SM / Fétichisme
«Mon Aline» et moi étions sur la canapé, enfin juste moi.Elle était a genoux devant moi, en train de me faire la plus délicieuse des fellations.Sa bouche coulissait sur ma verge, elle l’enfonçait au plus profond de sa gorge, jusqu’à sa glotte, puis remontait ensuite sur ma tige, l’imbibant de salive.Elle la suçait goulûment, comme jamais elle ne l’avait fait auparavant, et pour cause.Elle se régalait sur sa sucrerie, pompait, lustrait, suçotant ma virilité comme le plus merveilleux des bonbons.Moi je faisais des efforts surhumains pour ne pas venir trop vite, mais peine perdu, «Aline» connaissait son affaire.Mes doigts étaient emmêlés dans sa chevelure, il guidait sa tête pour qu’elle m’avale davantage, qu’elle se soumette totalement jusqu’à sa récompense, celle qui ravirait son palais et remplirait son ventre. D’un coup j’ai succombé, mon gland n’en pouvait plus sous sa langue et j’ai vidé mes bourses en elle.Elle avala tout entier mon foutre, puis entreprit de récolter ce qui restait encore sur ma pine et la pourlécha encore et encore. Jusqu’à ce qu’elle fut propre, immaculée et elle rassasiée.
Puis cochonne à souhait, elle m’avait tendu ses lèvres pour le plus passionné des baisers, mais aussi le plus audacieux.
C’est là que nous l’avons aperçu, debout dans le salon, son sac à la main.Aline, mon autre Aline, enfin la première... je recommençais à m’y perdre...Elle lâcha son bagage et au moment ou je commençais à balbutier un semblant d’explication, elle traversa la pièce, et fonça vers son atelier.La seule chose que nous entendîmes fut:« - Je vais me doucher et me changer... ».
Nous sommes allés dans la cuisine, prit en faute, honteux.«Aline», enfin Alice, restait debout un verre d’eau à la main, comme si le rinçage de sa bouche allait alléger sa faute.Moi, la tête dans les mains, effondré sur la table je n’arrêtais pas de me demander ce qu’il avait bien pu se passer, pour en être arriver là.
Déjà une heure s’était passé, Aline, la vraie ne revenait toujours pas.Alice avait bien essayé de lui parler, mais la porte de sa pièce était verrouillée.Alors toute aussi penaude, elle avait finit par venir me rejoindre.
Nous n’osions même plus nous regarder en face, dégoutté de nous même, de notre bassesse, de notre trahison.
Intérieurement, j’essayais de mettre quelques mots sur ce mauvais vaudeville, mais c’était peine perdu.Alice parfois me regardait en coin, je voyais sa détresse.Elle venait de comprendre que l’arrivée de celle qu’elle avait remarquablement remplacée, mettait définitivement fin à cette vie par procuration.Le temps était venu pour elle mais aussi pour moi, de dire adieu à cette existence qui nous avait rendu tellement heureux.Au fil des semaines, Alice était devenue «Mon Aline».Mais aujourd’hui, son cœur venait d’être déchiré en mille morceaux.Je la plaignais, j’aurais tellement aimé avoir le courage de la serrer dans mes bras pour la réconforter, sécher ses larmes, les boire pour les faire disparaître, mais je n’osais plus bouger.
Un silence de mort avait dès lors assourdi la cuisine...Nous attendions le retour d’Aline, chacun une boule au ventre.Soudain, une petite clochette tinta...
Elle était là sur le pas de la porte, en tenue de chatte...Elle se mit à quatre-pattes, avança sans rien dire, traversa la pièce, se frotta contre mes jambes, puis sur celle de sa sœur. A pas feutrés, elle se dirigea nonchalante vers sa caisse.Elle se mit accroupit, puis posa les bras par terre.Sa tête se redressa, elle releva son menton, puis plissa les yeux et se mit à ronronner.Elle poussait sans pudeur sous les yeux de sa jumelle, et son sphincter se dilata, puis s’ouvrit.Un long étron sorti lentement et se déroula vers la sciure, puis ensuite une autre crotte et une autre encore.Alice la regardait chier, les yeux écarquillés, mais était-ce la vue de sa défécation ou son costume qui l’étonnait le plus ?.Le tas d’excréments grossissait à vue d’œil, la minette se vidait les intestins et pissait sous elle.
Alice contemplait ce spectacle et dans un souffle murmura:« - Lizzie est revenue... Ma Lizzie... ».
Ainsi, elle connaissait le véritable nom de sa chatte.Sûrement l’avait-elle découvert en feuilletant le journal intime de sa jumelle, car celle-ci y notait tout ses secrets, même les plus intimes, y comprit ses fantasmes les plus inavouables.
Alors je me suis levé, et j’ai attrapé le petit cœur rouge spongieux et j’ai commencé à lui nettoyer sa vulve, puis son trou crotté.Puis je me suis retourné vers sa sœur.« - Aline, je te présente Lizzie, notre chatte ».« - Lizzie, voici Aline, ma femme, ta maîtresse adorée, qui comme moi, va bien s’occuper de toi. ».
Je me suis redressé, j’ai embrassé celle qui serait maintenant mon Aline officielle. Lizzie ne disait rien, elle attendit simplement les caresses de sa patronne enfin retrouvée.
Moi je partis dans la salle, ramasser le sac de voyage de ma chérie qui m’avait tant manqué.Mais m’avait-elle vraiment quitté...
Aline déjà, avait ouvert le frigidaire et servait à sa chatte un grand bol de lait.Elle s’était agenouillée à ses côtés, caressait son pelage avec application, ferveur, gourmandise...Elle s’appliquait avec toute l’attention que requérait son exquise flatterie.Une main sous le menton grattouillait la gorge de sa minette, l’autre serpentait le long de sa colonne, suivait la courbe de ses reins.Elle remontait minutieusement sur son fessier, pour finir ensuite par plonger ardemment dans cette raie désormais retrouvée, domestiquée de nouveau.Elle explorait méticuleusement ce vallon dodu, voué aux explorations les plus coquines, jusqu’à la source tiède, d’où jaillissait cet impétueux torrent charriant tout ses délices. Une fois ses doigts imbibés de l’euphorie de la chatte, elle les portaient à sa bouche gloutonne, pimentait son palais de ces saveurs musquées, s’en réjouissait les papilles. Aline reprenait alors ses tendres frôlements, encore et encore, de la tête à la croupe. Plus rien n’existait plus, à part seulement, le parfait abandon de la féline et l’ivresse de sa maîtresse amoureuse.
Lizzie n’était plus que doux ronrons, sa sœur que tendresse, ferveur, minutie sur ce corps dont elle reprenait à présent intégralement possession.Il n’y avait plus que de l’amour entre elle.La dévotion qu’elle portait à son animal n’avait plus de limites, plus aucune contrainte, plus aucune retenue morale.Elle l’avait enfin retrouvé sa minette adorée, celle que les hasards de la vie lui avait fait perdre, et que la destinée lui rendait aujourd’hui.
Sur la table j’aperçus, déjà sortie, la bouteille de yaourt à boire.
Non, durant toutes ces années, elle ne l’avait pas oublié sa précieuse féline, l’inestimable compagne de son enfance, celle qui avait reçu ses confidences, ses peines, sa passion éternelle.Tout était resté là, enfouit en elle, et tout remontait à présent à la surface.Toutes leurs existences passées éloignées l’une de l’autre, venaient d’être balayée.La vie reprenait naturellement son cours... Elle se souvenait de chaque détails, même des gourmandises de sa belle, de ses attentes aussi.
J’ai saisit le flacon de délice lactée et je l’ai appelé.« - Aline, je crois qu’elle aimerait un peu de réconfort... La séparation n’a pas dû être facile pour elle. Nous avons dû probablement lui manquer... ».
Lizzie n’a même pas sourciller en m’entendant prononcer ce prénom qui dès à présent ne lui appartenait plus.Elle en avait fait don à sa jumelle, à elle d’en faire le plus beaux des destins.Il n’y aurait désormais qu’une seule Aline pour son Félix.Elle lui avait remit ce qu’elle avait de plus précieux, son être, pour qu’elles puissent tout recommencer.Elle en avait certainement décidé ainsi, le jour de son appel, je venais de le comprendre.
J’ai saisit la main d’Aline, ma nouvelle destinée et je l’ai entraîné dans le salon.Lizzie en ronronnant nous suivit.Je l’ai entièrement déshabillé puis je l’ai faite s’allonger sur le canapé.Il me restais à ouvrir la bouteille, la chatte impatiente se frottait sur mes jambes, elle avait bien compris.
J’ai délicatement versé sur le corps nue de mon amoureuse, un peu de yaourt.Sur ses seins, son ventre, sa vulve, puis sur son visage...Et j’ai recommencé, jusqu’à ce qu’elle fut entièrement recouverte de cette gourmandise, partout, jusqu’aux moindres recoins, au plus profond de son anatomie, dans ses recoins les plus intimes.
La chatte trépignait d’impatience, je l’ai caressé longuement, avec douceur, délicatesse, pour la calmer un peu.Elle resta là, docile au pied du sofa. Elle attendit même sans bouger que je m’installe sur mon fauteuil, jusqu’à ce que je l’autorise enfin à rejoindre sa maîtresse.
Lizzie ne se fit pas prier, elle sauta sur l’assise aux pieds de mon Aline.Elle commença à laper ses petons, ses mollets, ses cuisses puis l’intérieur de celles ci.Sa langue gourmande dégustait chaque goutte de yaourt, elle en avait de l’appétit sur ce corps qu’elle retrouvait enfin.Le ventre maculé réveilla sa boulimie, elle ne toucha pas aux mets répandus sur le pubis d’Aline, assurément gardait-elle le meilleur pour la fin.Elle fouillait avide dans son nombril pour en extraire la moindre parcelle de sa pitance, puis elle remonta vers sa poitrine, qu’elle goba goulûment.
Aline râlait de plaisir, sa jouissance ne devait pas être bien loin.Son ventre s’inondait peu à peu et diluait lentement la crème.Lizzie dégustait ses globes, ensuite ses aréoles firent son festin.
Sa maîtresse succomba une première fois, elle s’était cambrée sous sa chatte, comme une marionnette désarticulée, exultant de béatitude, d’ivresse, hurlant à tue tête son nom.« - Lizzie !, Lizzie ! ».Elle l’appelait de toutes ses forces, et ses cris d’amour n’était là que pour implorer son animal à poursuivre sa divine dégustation.
Non, l’adorable minette n’avait pas oublié leur jeux d’adolescentes.Mais aujourd’hui Lizzie maîtrisait parfaitement son art.Elle, si longtemps privée de son régal se montrait résolue à satisfaire sa patronne, pour que jamais plus celle-ci ne l’affame.
Il fallait sceller leurs retrouvailles.Aline ne pouvait plus s’empêcher de jouir.L’adorable féline remonta vers sa figure et la débarbouilla de sa gueule. Leurs langues se mêlèrent, chacune insatiable lécha l’autre.Rien ne pourrait plus dorénavant les arrêter.Rien ne pourrait plus jamais les séparer.
Elles étaient comblées, sereines dans cette symbiose finalement retrouvée... Désormais maîtresse et chatte jouissaient à l’unisson.Impudiques, sauvagement débauchées, dans une communion bienheureuse.
J’avais fini par me lever pour aller les retrouver.J’étais en transe, je ne pouvais plus me retenir. Il fallait que je me soulage, il fallait que je les rejoigne.Je me masturbais au dessus d’elles sans relâche, et ce serait sur la vulve d’Aline que je giclerais mon plaisir. J’éclabousserais son minou avec ma semence, je souillerais sa chatte de mon foutre, ma chérie l’étalerait ensuite avec prévenance comme la plus raffinée des collations, le mêlerait au laitage, jusqu’au retour bienfaisant de la langue de Lizzie, qui nous purifierait de tout l’amour qu’elle avait pour nous.
Cinq années ont passées.Alice un matin de décembre, a totalement disparu de l’état civil français.Elle a vendu son duplex, soldé tout ses comptes et placé l’argent sur notre budget commun.Ce fut son cadeau de Noël.Nous avons eut une fille ensemble.Puis ce fut au tour de Lizzie de suspendre à son tour le jeu.Elle aussi voulait être mère.Elle goutta officiellement, un an plus tard, à sa «seconde» joie de la maternité... Le retour de couche eut bon dos ce jour là.
J’avais à présent deux Alines dans la maisonnée, pour mon plus grand plaisir.Nos filles étaient épanouies, elle avaient deux mamans identiques, papa lui avait ses deux chéries qui dormaient chaque nuit avec lui... L’entrée à l’école nous apporta quelques surprises...Les institutrices ne comprenant plus grand chose, alors Alice, la tata jumelle que l’on voyait peu, fut réinventée pour l’occasion.Cela nous permit de sortir tous ensemble au grand jour.Mais pour nous, la jumelle n’existait plus.
Lizzie n’était jamais très loin, et la nuit venue, elle reprenait chaque soir sa félinité, dans l’abri bienveillant de la chambre parentale, pour partager nos jeux nocturnes.
Aline et Aline travaillaient conjointement, ces deux là réunies avaient doublé leurs talents.Un jour, l’ex d’Alice vint nous rendre visite, le pauvre errait comme une âme en peine depuis sa séparation.Aline et moi l’avons gardé tout un week-end, histoire de lui remonter le moral et de lui conseiller de passer à autre chose.A chaque occasion Aline s’éclipsait à l’étage, pour aller voir les filles, ou sous un quelconque prétexte et permutait avec elle même.Leur manège dura tout le temps du séjour de l’infortuné cocu.Il ne remarqua jamais rien, même lorsqu’il la croisa pour la seconde fois de la matinée sortant de la salle de bain.« - Les désagréments d’une compulsif de la propreté ! », lui avais-je confié.Nous en rions toujours...
Voilà mon histoire.Moi, Félix, le plus heureux des hommes, avec deux fois la même femme... dont une chatte amoureuse.
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