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Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Madame mercier, avait sous les conseils de sa clientèle, fait appel aux bons soins de Jessica coiffure à domicile.La longue chevelure rousse de la commerçante avait besoin d’un rafraîchissement. Madame Mercier, 55 ans s’était mise en tête de soigner son allure, mais la nouvelle coupe devait également égailler le quotidien de cette femme divorcée.
On n’avait pas tari d’éloges sur les capacités professionnels de la belle, aussi Odile Mercier s’était empressée de prendre rendez-vous le vendredi suivant, en toute fin de journée.Elle serait sa dernière cliente avant le week-end, laissant à la coiffeuse tout le temps nécessaire pour s’occuper d’elle.
Jessica arriva vers 20 heures, et s’excusa pour son retard bien involontaire, elle avait du passer chez elle refaire le plein de produits: la jeunette en avait sûrement profité pour se donner quelques coupables plaisirs avant de venir.Odile n’ignorait rien de la réputation sulfureuse de la jeune fille, cela lui était arrivé jusqu’aux oreilles, par deux de ses relations, Aude et Claude.C’est d’ailleurs pour cela que la rouquine quinquagénaire l’avait contacté, la notoriété de petite nymphomane masochiste de la demoiselle ayant fini par exciter la libido en sommeil de la boutiquière .
Odile était prête, ses longs cheveux lui descendaient jusqu’au bas de son dos, elle s’installa dans un petit fauteuil le temps que le nécessaire de coiffure fut installé, tout en sirotant l’un des deux verres de Champagne qu’elle avait servi pour elle et la demoiselle.« - Comment je les coupe ? » demanda Jessica.Madame Mercier sorti sa nouvelle paire de lunette et les posa sur son nez.Elle précisa qu’elle souhaitait une coupe en rapport avec sa monture, mais tenait à garder ses cheveux longs, avec peut-être un peu plus de reflets ?, précisa t-elle.
Jessica la regarda un bon moment, silencieuse, quel air strict la paire de lunette lui faisait. Elle proposa une base classique, sérieuse, rigoureuse sur laquelle elle pourrait rajouter un peu de fantaisie, de luminosité.Odile trouva l’idée du mélange rigueur et extravagance séduisante, la félicita pour ce choix original et la laissa commencer son travail.Un bon shampoing, une préparation à la couleur, puis l’application de la coloration, la coupe débuta ensuite. Jessica vanta la qualité de la chevelure de la dame. Par petits coups de ciseaux elle retailla les pointes, cranta la chevelure, restructura l’ensemble.
Les deux femmes se laissaient aller aux banalités d’usages, parlant de leur travail respectif, de ces journées qui passaient vite, si vite...Puis les bulles de la boisson faisant minutieusement effet, le sujet se fit plus grave.Elles parlaient de la morosité du quotidien, de la solitude du soir, du manque de compagnie, pesant.Madame Mercier, lui confia ses envies d’un animal de compagnie, elle souhaitait un chien, une chienne pour être précise.Elle en vantait les vertus de fidélité, le plaisir d’être aimée sans retour, l’abnégation à sa maîtresse, les joies des retrouvailles... et aussi les léchages sur le visage; rajouta t-elle en riant.

Elle s’interrogeait sur la meilleur race, la taille lui importait peu, ce qu’elle souhaitait c’était une bonne chienne aimante.Jessica et Odile devisait sur les Beaucerons, les Caniches, les Cockers et autres Chihuahuas, passant en revue les espèces, leur avantages et aussi leur inconvénients.« - Le choix d’une bonne race est important », précisa la coiffeuse.« - Oui, surtout que je souhaite une bête à la fidélité à tout épreuve ! », précisa ! Madame Mercier.
« - Au fait Jessica ! D’où êtes vous originaire ? »« - De Bourg-La-Reine ! »« - Oh mon dieu, on a du vous faire tout les calembours douteux possible et inimaginables, non ? ».
Jessica répondit en riant par un grand oui, et commença sa litanie des blagues les plus graveleuses qu’on lui avait fait en rapport à ses origines.Les deux femmes riaient, leur complicité grandissait peu à peu, elles buvaient de temps en temps un peu de Champagne, puis, reprenaient leurs rires, leurs blagues de potaches sur le chef lieu des Hauts-de-Seines.
Jessica terminait la coupe de Madame Mercier. Elle finit par lui faire une petite réflexion sur ses lunettes, elle les trouvait ravissantes, mais jugeait que cela lui donnait une mine un peu sévère, avec un petit style de directrice d’école, lâcha t-elle espiègle.Odile s’esclaffa, et confia qu’elle aimait bien ce look, il lui servait bien dans son commerce, de plus, elle confia qu’elle aimait énormément l’obéissance, la docilité, l’abnégation... au propre comme au figuré.
« - J’aime aussi la discipline ! », confia Jessica dans un souffle...
Madame Mercier s’enhardit et posa alors innocemment sa main sur les fesses de la coiffeuse, comme par inadvertance.Jessica ne broncha pas, semblant ne pas être incommodée par ce geste quelque peu cavalier.Odile commença à lui caresser doucement la croupe. Jessica la laissait faire, silencieuse. Les caresses se succédaient, avec douceur, de haut en bas, toujours plus loin.La main d’Odile flattait langoureusement le fessier de la jeune fille, cajolant son popotin, sa raie, toujours plus profondément, de plus en plus prêt de son anus.Jessica ne manifestait aucune désapprobation, au contraire même, elle se cambrait à présent de plus belle, comme conquise.Madame Mercier confortée par cette docilité continua ses attouchements, avec plus d’assurance, plus d’audace, plus d’aplomb.
« - Jessica, y a t-il de bonnes chiennes fidèles à Bourg-La-Reine ? ».« - Oui Madame, je pense que oui... », répondit Jessica.« - De bonnes chiennes disciplinées, obéissantes, et cajoleuses ? ».
Odile continuait le manège de sa main sur l’arrière train offert, ses doigts de plus en plus fripons titillaient maintenant à travers le vêtement le petit trou de la coiffeuse.« - C’est ce que nous verrons, plus tard. Mais d’abord, s’il vous plaît, finissez ma coupe. ».La jeune fille opina du chef en signe d’acquiescement.Odile encouragée par tant de docilité de la jeunette osa aller plus loin. Sa main s’enroulait à présent sur les fesses de la jeune femme, s’enfonçait allègrement dans sa fente.Jessica ne bronchait toujours pas.« - Jessica, auriez vous l’obligeance d’enlever votre petite culotte, afin que je puisse découvrir un peu mieux votre merveilleux petit cul ».
La demoiselle fut surprise, elle feint un instant l’offusquée, mais très vite se ravisa. La demande était certes incongrue, mais pour la coiffeuse nymphomane l’excitation était là, alors elle ne se fit pas prier une seconde fois et descendit rapidement la petite étoffe qui couvrait son intimité.Une fois la chose faite, elle revint se coller à côté d’Odile, comme si de rien n’était et reprit son travail.
La rousse flamboyante glissa sa main sous la jupe et reprit son méticuleux travail de fouille. Elle était maintenant à l’entrée du trou de Jessica, et lui glissa le bout de son majeur contre son anus.Elle reçu en réponse un petit grognement de satisfaction. Elle prit cela comme un accord et elle enfonça lentement l’extrémité de son doigt.Elle cajolait les replis de son rectum, dilatant de plus en plus ses sphincters, et lorsque ceux ci furent bien détendus, elle introduisit l’index en entier, puis progressivement un autre de ses doigts.Elle continua sa lente masturbation et finit par y fourrer enfin son annulaire.Elle fouillait maintenant avec autorité le fondement malléable de la domptée, Jessica lascive haletait, râlait de plaisir, restant immobile du mieux qu’elle pouvait, les jambes maintenant bien écartées pour facilité l’exploration de celle qui venait de s’imposer à elle comme une nouvelle éducatrice.
Odile enleva sa main, elle l’inspecta un moment sous toutes les coutures, et se félicita à voix haute que le cul fouillé fut relativement propre, puis elle approcha ses phalanges des lèvres de sa conquise.Elle fixa la coiffeuse droit dans les yeux, son regard autoritaire ne laissait aucun doute possible.Jessica n’eut qu’une petite hésitation, et commença à lécher les doigts présentés.Avec gourmandise elle les suçait, se délectant du goût musqué de son fondement les yeux fermés et ses paupières closes confirmaient sa totale obéissance.
Madame Mercier une fois cette petite toilette de sa menotte faite se leva, elle se regarda un long moment dans le miroir, sa coupe de cheveux lui allait à ravir, Jessica connaissait bien son affaire, alors Odile la félicita pour son art.
Elle attrapa ses lunettes et les posa sur son nez, c’est vrai qu’elle cela lui faisait un visage sévère, mais cela ne lui déplaisait pas, ça l’amusait beaucoup même. Elle prit un air exagérément autoritaire et se tourna vers la coiffeuse:« - Jessica tu n’as rien de prévu pour ce week-end ? », et au moment ou celle-ci allait répondre, Madame Mercier répéta :« - Jessica tu n’as rien de prévu ce week-end, n’est ce pas !!! Je suis toujours seule depuis que mon mari m’a quitté. La maison est bien trop grande pour moi.... Et puis je sens qu’il y a comme une grande complicité entre nous qui ne demande qu’à éclore... ».
La docile l’écoutait avec attention, et acquiesça en hochant de la tête.Odile poursuivit.« - Je pense que nous pourrions apprendre à mieux nous connaître, je pressens que nous sommes complémentaires vous et moi... J’ai des chambres d’amie et beaucoup trop de champagne au frigidaire pour une femme seule. Dis oui Jessica, je t’en pries, dis oui... ». La coiffeuse réfléchi une longue minute, puis accepta cette invitation faite au-débotté.
Odile parti vers la cuisine et revint avec un second magnum et quelques mignardises, la commerçante savait recevoir.Elle s’installèrent sur le canapé pour déguster ce petit apéritif dînatoire.
« - Alors comme cela j’ai l’air strict avec mes binocles ?, mon dieu que je dois être laide avec pareille figure autoritaire ? ».« - Non, pas du tout, au contraire même! », répondit la coiffeuse.Odile Mercier la remercia chaleureusement tout en lui resservant un verre de Champagne.La quinquagénaire argumenta sur sa mine renfrognée, sur cette sévérité qui n’était pas s’en déplaire à beaucoup, à commencer par son ex conjoint.Mais Dieu qu’il était difficile pour une femme d’assumer une telle mine, surtout quand en plus, elle, Odile, aimait l’ordre, l’obéissance sans borne, à la limite parfois d’une certaine docilité, voir d’une complète soumission.
« - Je suis malheureusement un peu comme cela, beaucoup même. J’aime diriger, commander, décider. J’aime énormément que l’on m’obéisse, voir que l’on se soumette à mes directives, surtout quand elles sont fondées et que c’est la meilleurs des alternatives.C’est vrai Jessica, c’est ma véritable nature. C’est malheureusement une croix que je dois porter... faute de... ».« - Faute de quoi ? », demande Jessica.« - De ne pas avoir rencontrée mon âme sœur... Celle qui me suivra sans discuter, sans désobéir... sans se poser la moindre question... ».
Jessica resta silencieuse un long moment, elle semblait un peu déconcertée, comme perdue. Odile en profita pour lui remplir sa flûte.« - Odile, il y a bien des personnes qui ont sûrement cette inclinaison un peu particulière...Moi par exemple, j’aime l’autorité, l’ascendance, voir une certaine... ».« - Une certaine forme... de domination, Jessica ? ».« - Oui !, c’est peut-être cela... la domination... ».
Odile lui demanda alors ouvertement si c’était pour cela qu’elle s’était laissée fouiller le derrière.La question était directe, abrupte.Jessica hocha la tête en signe acquiescement. Mais la Mercier commença à la repousser dans ses derniers retranchements. Elle s’adressait à la coiffeuse comme une jouvencelle, presque comme à une petite fille inexpérimentée et lui donna ouvertement l’impression de douter de sa totale capacité à aller plus loin, à endurer encore plus, car ce n’était pas chemin aisé à emprunter.Elle en avait malheureusement déjà fait l’amère expérience, à maintes reprises, confia t-elle.Odile lui expliqua qu’elle ne souhaitait plus revivre pareille déconfiture, la déception étant toujours si grande...Alors elle argumenta davantage, son choix était de toute façon fait et qu’elle ne souhaitait qu’une chienne fidèle, docile, soumise à elle.
Jessica n’osa plus rien dire, Odile l’air pensive lui présenta quelques douceurs.« - Je veux une bonne chienne, mais je doute qu’à Bourg-La-Reine je puisse trouver la race qui me convienne... ».Odile tendit le bras vers la jeune fille, et commença à lui caresser gentiment la tête. Elle lui cajole à présent sa chevelure, comme on lisse le poil d’un chien, avec douceur, déférence, passion et Jessica la laisse faire, sans remuer une oreille.La main d’Odile chatouille dorénavant son oreille, sa nuque, puis poursuit sa course sur le dos de la jeunette.Jessica, de plus en plus conquise, redresse le menton pour parfaire son allure, puis bombe la poitrine et se cambre sous la douce flatterie.« - Ah ma douce Jessica, ma câline... si tu voulais, je pourrais tellement d’apporter... tu n’en as même pas la moindre idée... ».
Jessica a fermer un instant les yeux sous la douce cajolerie de ces mots, elle se laisse faire, s’abandonne toute entière à la douceur de cette main qui la rassure, la chérit.« - Mais jamais tu n’accepterais... », soupira Odile Mercier.« - Et si... », lâcha Jessica dans un souffle.« - Et si tu acceptais ?... », renchérit Odile.Le champagne avait-il fait son œuvre ?, Jessica commençait-elle à être simplement pompette, ou la jeune femme adhérait elle vraiment à l’idée ?.Il fallait en être certaine.La coiffeuse avait fait preuve d’une certaine prédisposition, il était temps dès lors d’affirmer son ascendance sur elle.
Odile s’est levée d’un coup, sa main a cessé d’effleurer l’anatomie de la belle. Elle la fixe sans faillir, l’œil noir, autoritaire, à la jeune fille de lui faire allégeance.La menotte de Madame Mercier est venu sous le menton de sa douce obéissante, Odile lui lève la tête d’un léger mouvement de doigts, comme pour réajuster son maintien, sa prestance.Le cou de Jessica se tend, son port de tête n’en est que plus beau.
Alors Odile Mercier se lance et prend l’initiative.« - Tu sais Jessica, la ville est petite, nous avons des amies communes, Claude et Aude par exemple.Elles sont plus que des clientes, je suis leur confidente. Elles ne me cachent rien de leurs ébats, ni de ceux où parfois tu viens les rejoindre. Je n’ignore rien de toi, ni des travers de ta libido, de tes tendances perverses... ».Jessica semble un instant sonnée, sa mine s’est refermée, elle commence à gesticuler sur le canapé, les larmes aux bords des yeux, comme honteuse d’avoir été découverte.
Mais Odile ne la lâche plus et enfonce le clou.Elle lui explique d’une voix posée qu’elle n’est pas là pour émettre le moindre jugement, puisse que de toute façon sa propre sexualité est quelque part discutable, mais si complémentaire.Elle rassure à présent du mieux qu’elle peut la coiffeuse prise en faute, la console, amadoue sa joue par le retour de cette main douce et apaisante.Odile se fait attentionnée, conciliante, presque maternelle.
La pression retombe lentement, la confiance s’installe à nouveau entre les deux femmes.Odile l’a prit dans ses bras, embrasse délicatement sa joue, la commissure de ses lèvres, roule ses doigts dans ses boucles, et dans le creux de son oreille elle lui glisse que dès à présent elle serait tellement désireuse de prendre en main son éducation, peut être même sa domestication, voir son dressage... si elle s’en remettait à elle et la laissait faire.
La jeune femme ne dit plus rien, indécise ou totalement conquise, Odile ne sait plus quoi penser.Alors Jessica la fixe, les yeux pétillants, puis pose son visage dans le creux de la main de cette libératrice inespérée. Le geste n’est pas équivoque, Jessica vient de succomber et lui affirme sans appréhension sa docilité.La commerçante est aux anges, car probablement vient-elle de trouver sa dulcinée, la moitié harmonieuse qui lui faisait tant défaut.
Odile se redresse et ajuste sa posture, reprend sa contenance et sans faillir, le regard dans celui de la jeune fille, lui demande de se déshabiller et comme Jessica hésitait une fraction de seconde, Odile s’écria alors sèchement:« - Mets toi à poil et à quatre-pattes... chienne !... Ma petite chienne, mon adorée... ».
Jessica se leva sans réfléchir et obtempéra sans broncher.Elle fit tomber à ses pieds sa jupe, elle déboutonna son chemisier, puis dégrafa son soutien gorge.Odile la regardait en silence, elle ne quittait pas du regard les anneaux et piercings que Jessica portait rivetés aux lèvres intimes et sur chacun de ses tétons.Lorsque la demoiselle ne fut vêtu que de ses bas Dim Up, Odile étendit au sol un plaid et lui désigna sa nouvelle place, d’un doigt souverain.Jessica se plaça à quatre-pattes sur la couverture et resta immobile, sa maîtresse vint un moment lui caresser le dos, l’encolure, le poitrail, les fesses... puis s’en alla dans la cuisine.
Elle revint avec un plateau chargé de son repas, qu’elle posa sur la table du salon, puis s’éclipsa de nouveau.A son retour elle portait deux gamelles pour chien en inox, une contenait de l’eau, l’autre son repas, un mélange de ragoût et de riz.Elle les posa devant sa docile, lui câlina un instant la tête, tout en lui disant quelques flatteries, puis sans mot dire, elle s’en retourna s’asseoir sur le canapé et commença à manger.
Jessica resta un moment interloquée, pantoise devant ses auges, ne sachant que faire, alors Odile se tourna vers elle et lui dit:« - Elle n’a pas faim la fifille à sa maman ? ».
Alors Jessica, obéissante, baissa la tête et commença à laper sa pitance.L’écuelle se déplaçait à chaque coup de langue, et toujours à quatre-pattes, elle la remettait en place d’un coup d’encolure, comme le font les chiens et les chiennes.Elle finit par lécher consciencieusement sa gamelle, puis s’abreuva d’eau de sa langue sortie.Une fois ses libations terminées, elle se replaça face à Odile, et sagement se mit à attendre un signe d’elle, un appel, un regard.Mais Odile mangeait tranquillement sans la regarder. Sa nouvelle maîtresse commandait, et Jessica fidèle et obéissante, les genoux douloureux par l’inconfort de sa posture, apprenait sa première leçon et attendait son bon vouloir.
Madame Mercier se leva, s’éclipsa et retourna s’asseoir sur le sofa.Elle avait ramenée avec elle une boite en carton qu’elle posa sur le coussin prêt d’elle.Elle s’alluma une cigarette, et Jessica patientait, puis elle écrasa son mégot dans le cendrier et se réinstalla au fond de son siège.
Elle dévisagea longuement la petite coiffeuse, elle tapota doucement sur sa cuisse et lui dit :« - Viens !, aux pieds, viens voir maman ! », et Jessica prise d’une inexplicable joie soudaine arriva.
Odile lui cajolait le visage, les cheveux, le cou et le dos, la soumise, elle, avait posée sa tête sur la jambe de sa maîtresse et se délectait de ses douces attentions. Madame Mercier ouvrit sa boite et en sorti un gros collier de chien, tout en cuir noir avec des clous argenté tout autour. Sur le devant pendait une médaille avec gravé dessus ces quelques mots : « Roxane ma chienne fidèle » suivit de son numéro de téléphone portable.Elle lui passa au cou le collier et pendant ce temps là, Jessica était envahie par une émotion déconcertante. Elle aimait cela, être asservie, dominée, à l’écoute des ordres de sa maîtresse, et déjà sa chatte ruisselait de mille eaux.Elle pourrait bien se perdre, la médaille lui assurerait d’être ramenée à sa dominatrice...Odile s’était placée derrière elle, et commença à lui ouvrir le cul de ses doigts mais aussi de sa langue gourmande. Elle l’enfonçait aussi profondément qu’elle pouvait, léchant ses replis, attendant en transe que son petit trou totalement asservi s’ouvre enfin.
Madame Mercier se leva et se déshabilla sous le regard gourmand de sa chienne, une fois nue elle retourna s’asseoir sur le confortable divan, les cuisses grandes ouverte.
Odile Mercier était une très belle femme, une poitrine généreuse ornait son buste, ses seins fermes pointaient fièrement. Son corps était magnifique, musclé par les séances d’aérobic et d’aquagym.Les poils roux vif de son minou était taillé ras, en forme de triangle, cela faisait comme une petite flèche friponne qui semblait indiquer la direction à suivre, pour atteindre son clitoris et sa vulve.Odile sorti de la caisse un petit sachet contenant des friandises sucrées en forme d’os, elle en choisi consciencieusement une et la frotta sur la chatte, puis l’introduisit dans son vagin.Elle ressorti la gourmandise dégoulinante de ses sécrétions et la tendit vers la bouche de Jessica.« - Tiens ma chérie, c’est bien tu as été sage », et Jessica avala le bonbon, puis les suivants tout aussi huilés du jus de sa maîtresse.
Odile la félicita pour sa docilité, pour sa prestance aussi. La maîtresse était fière de sa créature et ne tarissait plus déloge sur celle qu’elle considérait à présent comme sa canine.
Alors, elle écarta en grand les jambes, et dans un râle suppliant elle s’écriât :« - Viens Roxane, viens boire le jus de maman ! »... et la bête soumise vint laper à la source le jus de sa patronne.Elle se reput de toute la mouille qui suintait de la chatte, écartait en grand les lèvres de sa langue, lui pourléchait le clitoris avec délectation ou s’immisçait lécheuse dans le con de sa souveraine jusqu’à ce que celle ci hurla son plaisir, encore et encore.Puis celle qui maintenant répondait au doux nom de Roxane, se dressa sur ses genoux, posa ses mains sur les épaule d’Odile, et dans un grand élan frénétique lui lécha le visage, telle une bonne chienne contente de remercier sa maîtresse, comme si l’animal venait de vivre le déchirement d’une longue et douloureuse séparation et lui offrait la joie de ses retrouvailles.
Au bout d’un long moment, Odile repris ses esprits, à ses pieds, la soumise reprenait sagement quelques forces.Elle se leva et attrapa une laisse qu’elle attacha au collier, puis tirant d’un petit coup sec sur la bride elle lui dit :« -Viens, maman va te sortir pour faire tes besoins ! ».
Madame Mercier était dans son jardin, au bout de la lanière Jessica un peu penaude, ne sachant que faire.« - Allez ! » lui intima Odile,« - On ne va pas y passer la nuit ! ».Alors au pied d’un cerisier, Roxane en chienne docile se cambra et pissa.Un jet dru jaillit d’entre ses jambes écartées, il lui éclaboussa les cuisses.La chaleur de la pisse était délicieux, et le bruit de l’urine qui fusait de son méat rajoutait encore à son plaisir.
Odile lui agitait devant les yeux un sac de déjections canine et s’écria :« - Maintenant fais ta crotte ! ».Jessica n’avait pas spécialement envie, mais le froid du soir, l’herbe humide sous ses jambes finirent par lui tirailler les entrailles.Elle essayait de se contenir, mais les contractions étaient de plus en plus forte, et il y avait aussi cette excitation sournoise, celle de s’abandonner toute entière au désir de celle qui maintenant avait prit en main sa domestication.
Son anus se contractait, puis s’ouvrait, elle sentait qu’aux tréfonds de son ventre les excréments se mouvaient, et cherchaient déjà leur chemin dans les replis de son colon et l’envie impudique de faire caca devant Odile montait.Obéir sans réfléchir, se laisser aller, lui faire se plaisir...
Roxane en bonne chienne, se courba sur ses appuis, et poussa les mains sur la pelouse froide.Elle sentit sa merde lui ouvrir le cul, les étrons lui dilataient l’anus et venaient un instant se planquer dans sa raie, puis ils tombaient les uns après les autres sur le gazon, pour former un petit tas malodorant.Roxane était en transe, exciter de tant d’indécence de sa part, de tant d’abandon, comblée d’avoir franchi ce cap pour celle qui allait dorénavant diriger sa vie.La maîtresse ramassa avec son petit sac, les excréments, et se dirigea vers la poubelle pour les y jeter, Roxane toujours tenue au bout de la laisse.
Odile se dirigeât vers sa chambre, la chienne à quatre patte la suivait fidèlement. Elle lui désigna une couverture à même le sol, à côté du lit, et alla se coucher.Mais pour tout canin qui se respecte, la convoitise du lit du maître est une douce récompense. Odile ne voulait pas céder, mais la jeunette apprenait vite, et tout en la fixant dans les yeux, elle se mit à gémir.Alors la dominatrice céda, et soulevant sa couette, d’un petit sifflement, lui fit signe de venir la rejoindre.A peine fut-elle dans le lit, elle reçu l’ordre de venir la lécher; c’était le prix à payer pour ce douillet confort.Roxane lui brouta la chatte une partie de la nuit, puis exténuée, la figure maculée de mouille, elle s’endormit enfin lovée contre sa patronne.
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